La nuit tombait sur Gnisis, et Darius était assis sur le parapet crênelé en pierre, fûmant une vieille pipe datant de l'époque de ses classes... depuis la mort du Dragon Impérial, il ne savait pas qui serait son nouveau maître ... mais s'il ne lui convenait pas, il pensait sérieusement à démissioner de sa tache pour aller rejoindre l'armée qui s'était formée pour la protection de Vvardenfell, sous l'égide de ce nouveau duc dont personne ne savait rien. Lui et sa garde avaient été vus à Vivec, alors que Dren ne se déplaçait jamais, il semblait que ce curieux personnage soit sans cesse en mouvement dans le pays ... peut être tirait il les ficelles d'un jeu que lui seul comprenait, mais Darius n'était pas né de la dernière pluie, il se doutait que ce Duc n'avait pas été bombardé là sans raison. En tout cas son austérité et son désir d'éliminer la corruption lui plaisait, mais saurait il résister aux pots de vin des grandes maisons?
Des bruits de pas approchèrent ...
-Messire Darius?
-Ah c'est toi ... comment se porte ce qu'il reste de la légion?
-Ne soyez pas cynique messire, vos hommes vous suivront jusqu'à la mort vous le savez ... une telle légion vaut toutes les armées du monde...
-Mais que sommes nous face à tant de destruction, une telle volonté de conquête?
-Nous sommes le bien, la justice et le bon droit ...
Darius soupira, son optione était vraiment plus enthousiaste que lui, finalement il ne démissionnerait pas ... il ne pouvait pas leur faire ça ...
-Tu as raison mon ami ... sais tu quand les renforts arriveront?
-Le Duc n'a pas ...
Un brouhahas se fit entendre à l'est, alors qu'une sentinelle criait:
-Les renforts, les renforts!!!
La sentinelle courut à la rencontre du nuage de poussière. Darius fronça les sourcils
-Ils auraient dû arriver par le nord
-Les renforts, les ren .... noooooooooonnn!!!
Un cri inhumain traversa la ville et Darius bondit sur la colline en courant vers l'ouest
-A moi la légion!!! Défendez chèrement notre vie!!!
L'optione rentra dans Fort Darius pour aller mobiliser les troupes, alors qu'au même moment une troupe de cavaliers montés sur Chien de Nix quittait Ald Vélothi ... à l'est de Gnisis, une troupe en chevaliers en armure, au visage masqué par des visages de métal, montés sur de puissants destriers goules entraient en force à Gnisis, semant la panique parmis les villageois. Ils n'étaient pas nombreux, mais face au peu de résistance et une légion affaiblie et désorganisée, il auraient vite le dessus.
Les Prêtres quittèrent le temple pour aller se réfugier sur la colline où Darius massait ses troupes. Les villageois se terraient dans leurs maison les uns après les autres, et bien vite les cavaliers se retrouvèrent au coeur d'une ville déserte, massés ensemble sous le regard d'un groupe de légionnaires et de prêtres qui les regardaient du haut de la colline...
Darius cria aux nouveaux arrivants:
-Nous sommes prêts à vous accueillir qui que vous soyez ... ici à Gnisis nous sommes solidaires et prêts à vous faire front jusqu'à la mort s'il le faut ... serviteurs du non droit, vous ne passerez pas!
L'un des cavaliers s'avança vers les troupes retranchées sur leur colline, et s'exprima avec une voix qui semblait être celle d'une dizaine de personnes
-Puisque vous êtes si courageux, que ne venez vous nous montrer ce dont vous êtes capable ... non-mort...
-Sachez que je ne reçois mes ordres que du Dragon Impérial, pas d'un épouvantail monté sur un canasson fantoche ...
-Alors nous allons détruire tout votre village jusqu'à ce que vous vous décidiez à venir être un peu courageux
-Seigneur Darius, il ose insulter le courage de la légion? Il va voir ce que ...
-Ne réponds pas à ses provocations, les maisons sont solides, laissons les prêtres préparer notre contre offensive ...
Mehra Drora fit un signe de tête, et les quatres prêtres invoquèrent de concert des fantômes ancestraux, avant de les barder de protection et les lancer à l'assaut des cavaliers qui commençaient à démembrer la caserne. Darius fit signe à une partie de ses hommes de prendre des rochers et de les pousser au bord de la pente, ce qu'ils firent. Les cavaliers semblaient ne pas subir les effets des sorts, mais l'un d'eux se lança à l'assaut des fantômes qu'il mit proprement en pièce l'un après l'autre... il commença à escalader la pente avec sa monture.
Celui qui avait parlé lui injecta un NON puissant, mais il était trop tard, Darius donna l'ordre de pousser les rochers, et le cavalier mourrut sous les éboulis.
-Encore! tonna Darius.
Et une seconde vague de rochers suivit, alors que les cavaliers se dispersaient pour se mettre à l'abri
-Mehra, dis à tes prêtres de nous soigner, nous allons devoir descendre les affronter
-Darius tu ... je t'en prie, vous allez vous faire tuer
-Désolé Mehra, c'est ça ou toute la ville va être détruite sous nos yeux, c'est ma tâche et ma responsabilité de protéger ces gens qui me font confiance.
-Bien comme tu veux ...
Elle alla parler à ses prêtres avant de s'installer à l'écart, pensive. Darius fit une moue d'incompréhension pendant que les prêtres se massaient derrière la légion qui piaffait d'impatience. Darius acquiesca pour lui même et se plaça devant ses hommes, qui semblaient assez confiants... n'y avait il que Mehra et lui qui savaient qu'ils ne passeraient pas la nuit? Il se plaça devant sa troupe et tira son épée ...
-Pour Vvardenfell et pour l'Empereur, ce soir nous ...
Mehra se jeta alors sur lui et l'étreignit de toutes ses forces...
-Mehra? Mais ...
Elle chuchotta
-Darius, je voulais que tu saches ...
-Je sais Mehra... moi aussi
-Bien, alors nous nous rejoindrons par après ... nous ferons notre devoir jusqu'au bout
-Oui ... j'aurais aimé que nous ayons plus de temps ...
Mehra hocha la tête et alla rejoindre ses prêtres, tête basse...
-Pour Vvardenfell et pour l'empereur, ce soir nous porteront le coup de notre foi à ceux qui veulent toucher à notre liberté... légionnaires, mes amis, mes frères, en avant!
Ce qu'il restait de la légion chargea une troupe de cavaliers qui se tourna vers eux en flèche et commença à charger à son tour ... le choc allait broyer les fantassins comme un seul homme
-Ordre de charge pour les géants, comme à l'entrainement!
Au moment où le choc allait se produire, la colonne de légionnaire se scinda en deux et fit volte face, laissant les cavaliers passer dans la vacuité qu'ils venaient de créer dans leurs rangs. La troupe de fantassins chargea alors la cavalerie par derrière, et avant qu'ils n'aient pu réagir, deux cavaliers avaient été désarçonnés et l'infanterie de Darius les taillait en pièce, pendant que les prêtres invoquaient des fantômes ancestraux pour aller narguer les cavaliers qui commençaient tout juste à freiner leur charger à faire demi-tour.
Darius jeta un regard inquiêt à Mehra, ce genre de ruse ne fonctionnerait qu'une seule fois, et déjà un des cavaliers commençait à incanter un sort, dégageant une aura rougeoyante
1
[RP]Gnisis
Débuté par
Dirichlet
, 16 nov. 2003 - 18:57
352 réponses à ce sujet
#2
Dirichlet
"retraité" de l'administration Bush
Posté 19 novembre 2003 - 19:14
Le lanceur de sort termina son incantation, repoussant des mains une énorme sphère enflammée qui vola en ligne droite dans la direction de la légion massée, Darius réagit le plus promptement et hurla de se coucher à terre, avant de jeter devant les prêtres, écu en main afin de leur épargner le coup lorsque la sphère explosa. Beaucoup d'homme se relevèrent blessés, mais deux d'entre eux ne se relevèrent jamais... les hommes eurent à peine le temps d'ouvrir les yeux que les cavaliers fondaient déjà sur eux, ne leur laissant pas le temps de reprendre leurs esprits, les hommes essayaient de se couvrir mutuellement en se regroupant, mais la force des cavaliers était redoutable, chacun d'eux aurait pu sans peine battre un guar à la tractation ...
-Légion!, formez le cercle autour des prêtres pendant qu'ils vous soignent! Nous pourrons tenir plus longtemps, il faut les empêcher de toucher aux habitations avant l'arrivée des renforts!
-Espérons qu'ils n'arrivent pas trop tard!
Le groupe se défendait mieux, et peu à peu se resserait, laissant les cavalier les encercler peu à peu, Darius feignait d'être dans une impasse, mais son piège se formait peu à peu, et une fois le groupe entièrement cerné ...
-Chargez plein sud, je couvre vos arrières!
Il poussa en même temps Mehra dans le groupe et enjoignit les prêtres à pousser avec. Sans sa cohésion, la flèche de cavalerie était beaucoup moins résistante, et la légion renversa les deux cavaliers qui leurs bouchaient la voie, allant se réfugier derrière l'auberge. Darius couvrit la fuite de ses hommes comme promis, mais une boule verte vint le frapper en plein dos, alors qu'il s'entait une langueur l'empoigner vivement ... il était paralysé ...
Un violent choc lui fit ressentir un craquement dans le dos, alors que Mehra se retournait pour vérifier où il était. Darius vit le monde se précipiter à sa rencontre, avant de s'effondrer dans la boue
-Darius! hurla Mehra.
Les hommes de l'officier semblèrent galvanisés par la perte de leur commodore, ils chargèrent sans réfléchir, les cavaliers se mirent en position pour accueillir ladite charge ....
... avant de se faire prendre de côté par une attaque de Daedras, accompagnés d'une sphère centurion. Un daedroth, un galopin, la sphère donc, un drémora et un dévoreur s'en prenaient aux assaillants, alors que Baladas debout sur le toit du temple hurlait à qui voulait l'entendre que sa ville n'était pas un terrain de jeu pour ceux qui devraient rester dans leur tombe. Pris entre deux feux les cavaliers ne comprirent pas vraiment ce qu'il se passait, et seuls quatre d'entre eux parvinrent à rejoindre la sortie nord de la ville, le chef était des leurs...
-Nous nous retrouverons, et je vous jure ...
-Rien du tout oui ... merci Baladas!
Le cavalier se retourna pour tomber nez à nez avec le chef de la cavalerie Nixienne, celui que l'on surnommait le Cyrodilien, monté sur sa bête et sans son détachement. Cependant celà ne semblait pas l'inquiéter
-Tu crois pouvoir nous barrer la route?
-J'ai pris les devants pour être ici au plus vite ... ne vous en faites pas, les autres vont arriver ...
-Alors ils se passeront de toi!
Le cavalier entraina ses hommes sur le Cyrodilien, ce dernier dégaîna une étoile du matin et haussa son bouclier, alors que sa monture pliait les pattes avant, son arme tournait régulièrement ... la cavalerie était à quelque secondes de lui ...
Mehra était à côté du corps inanimé de Darius, le soignant de ses sorts, ses paroles et ses larmes, mais il semblait ne pas vouloir reprendre conscience. L'Optione le souleva et fixa Mehra
-On va l'amener à l'intérieur, légionnaires! Allez aider celui qui est venu pour nous défendre. Et au pas de charge!
Mehra et l'orque entrèrent dans l'auberge après avoir fait ouvrir la porte
Le Cyrodilien fit bondir sa bête toutes griffes dehors, et elle s'empena au cou du cavalier de tête, son cavalier à elle désarçonnant celui qui se tenait à sa gauche d'un bon coup de pied... la masse tournait toujours mais ne frappait pas, le Cyrodilien avait utilisé cette ruse pour obliger les cavaliers à conserver une garde haute, et ça avait coûté la vie à la moitié d'entre eux, car une fois à terre, le piétinement des sabots et des pattes griffues étaient des armes redoutables. L'homme se fixa à nouveau sur sa selle alors que les deux cavaliers restant essayaient de se coordonner, mais visiblement la mort de leur chef les avait comme déboussolés. Ils ressemblaient à des corps agissant par réflexe...
Les légionnaires terminèrent le travail, et le Cyrodilien mit pied à terre pour fouiller ses adversaires. Il prit le collier du cavalier qui donnait des ordres et sa sacoche, avant de les glisser dans ses fontes. Presque une heure plus tard entraient les troupes dans Gnisis, au moment même où Darius sortait de l'auberge appuyé sur une canne. Il les salua cyniquement, ... mais beaucoup d'habitants de Gnisis venus lui apporter leurs remerciements eurent tôt fait de lui rendre le sourire. Il était dit que cette nuit là, Mehra et lui ne seraient plus séparés.
Le Cyrodilien quand à lui entra à Arvs Drelen après avoir vu Baladas y retourner sans mot dire. Il en ressortit bien une heure plus tard, alors que la nuit était bien avancée. Les cavaliers étaient fourbus, les bêtes aussi, ils avaient parcouru une distance énorme, et peut être la bataille se serait elle mal passé même pour eux sans le courage de la légion, et l'inventivité de son officier. Une petite partie de la cavalerie fut placée en garnison permanente sous les ordres de ce dernier, conformément aux besoins qu'avait la ville ... le reste devrait repartir le lendemain.
Les hommes allaient se coucher enfin, il était prévu au départ qu'ils dorment à Ald Vélothi, mais l'urgence les avait obligé à venir à Gnisis directement... Darius, Mehra et le Cyrodiliens parlèrent longuement malgré tout sur le toit de fort Phalène ... quand un groupe fut signalé au nord
HJ: Duncan, c'est quand tu veux
-Légion!, formez le cercle autour des prêtres pendant qu'ils vous soignent! Nous pourrons tenir plus longtemps, il faut les empêcher de toucher aux habitations avant l'arrivée des renforts!
-Espérons qu'ils n'arrivent pas trop tard!
Le groupe se défendait mieux, et peu à peu se resserait, laissant les cavalier les encercler peu à peu, Darius feignait d'être dans une impasse, mais son piège se formait peu à peu, et une fois le groupe entièrement cerné ...
-Chargez plein sud, je couvre vos arrières!
Il poussa en même temps Mehra dans le groupe et enjoignit les prêtres à pousser avec. Sans sa cohésion, la flèche de cavalerie était beaucoup moins résistante, et la légion renversa les deux cavaliers qui leurs bouchaient la voie, allant se réfugier derrière l'auberge. Darius couvrit la fuite de ses hommes comme promis, mais une boule verte vint le frapper en plein dos, alors qu'il s'entait une langueur l'empoigner vivement ... il était paralysé ...
Un violent choc lui fit ressentir un craquement dans le dos, alors que Mehra se retournait pour vérifier où il était. Darius vit le monde se précipiter à sa rencontre, avant de s'effondrer dans la boue
-Darius! hurla Mehra.
Les hommes de l'officier semblèrent galvanisés par la perte de leur commodore, ils chargèrent sans réfléchir, les cavaliers se mirent en position pour accueillir ladite charge ....
... avant de se faire prendre de côté par une attaque de Daedras, accompagnés d'une sphère centurion. Un daedroth, un galopin, la sphère donc, un drémora et un dévoreur s'en prenaient aux assaillants, alors que Baladas debout sur le toit du temple hurlait à qui voulait l'entendre que sa ville n'était pas un terrain de jeu pour ceux qui devraient rester dans leur tombe. Pris entre deux feux les cavaliers ne comprirent pas vraiment ce qu'il se passait, et seuls quatre d'entre eux parvinrent à rejoindre la sortie nord de la ville, le chef était des leurs...
-Nous nous retrouverons, et je vous jure ...
-Rien du tout oui ... merci Baladas!
Le cavalier se retourna pour tomber nez à nez avec le chef de la cavalerie Nixienne, celui que l'on surnommait le Cyrodilien, monté sur sa bête et sans son détachement. Cependant celà ne semblait pas l'inquiéter
-Tu crois pouvoir nous barrer la route?
-J'ai pris les devants pour être ici au plus vite ... ne vous en faites pas, les autres vont arriver ...
-Alors ils se passeront de toi!
Le cavalier entraina ses hommes sur le Cyrodilien, ce dernier dégaîna une étoile du matin et haussa son bouclier, alors que sa monture pliait les pattes avant, son arme tournait régulièrement ... la cavalerie était à quelque secondes de lui ...
Mehra était à côté du corps inanimé de Darius, le soignant de ses sorts, ses paroles et ses larmes, mais il semblait ne pas vouloir reprendre conscience. L'Optione le souleva et fixa Mehra
-On va l'amener à l'intérieur, légionnaires! Allez aider celui qui est venu pour nous défendre. Et au pas de charge!
Mehra et l'orque entrèrent dans l'auberge après avoir fait ouvrir la porte
Le Cyrodilien fit bondir sa bête toutes griffes dehors, et elle s'empena au cou du cavalier de tête, son cavalier à elle désarçonnant celui qui se tenait à sa gauche d'un bon coup de pied... la masse tournait toujours mais ne frappait pas, le Cyrodilien avait utilisé cette ruse pour obliger les cavaliers à conserver une garde haute, et ça avait coûté la vie à la moitié d'entre eux, car une fois à terre, le piétinement des sabots et des pattes griffues étaient des armes redoutables. L'homme se fixa à nouveau sur sa selle alors que les deux cavaliers restant essayaient de se coordonner, mais visiblement la mort de leur chef les avait comme déboussolés. Ils ressemblaient à des corps agissant par réflexe...
Les légionnaires terminèrent le travail, et le Cyrodilien mit pied à terre pour fouiller ses adversaires. Il prit le collier du cavalier qui donnait des ordres et sa sacoche, avant de les glisser dans ses fontes. Presque une heure plus tard entraient les troupes dans Gnisis, au moment même où Darius sortait de l'auberge appuyé sur une canne. Il les salua cyniquement, ... mais beaucoup d'habitants de Gnisis venus lui apporter leurs remerciements eurent tôt fait de lui rendre le sourire. Il était dit que cette nuit là, Mehra et lui ne seraient plus séparés.
Le Cyrodilien quand à lui entra à Arvs Drelen après avoir vu Baladas y retourner sans mot dire. Il en ressortit bien une heure plus tard, alors que la nuit était bien avancée. Les cavaliers étaient fourbus, les bêtes aussi, ils avaient parcouru une distance énorme, et peut être la bataille se serait elle mal passé même pour eux sans le courage de la légion, et l'inventivité de son officier. Une petite partie de la cavalerie fut placée en garnison permanente sous les ordres de ce dernier, conformément aux besoins qu'avait la ville ... le reste devrait repartir le lendemain.
Les hommes allaient se coucher enfin, il était prévu au départ qu'ils dorment à Ald Vélothi, mais l'urgence les avait obligé à venir à Gnisis directement... Darius, Mehra et le Cyrodiliens parlèrent longuement malgré tout sur le toit de fort Phalène ... quand un groupe fut signalé au nord
HJ: Duncan, c'est quand tu veux
I wish i was ...
#3
Duncan Imrryran
Truite hors-sujet
Posté 19 novembre 2003 - 22:33
Benji et Duncan Imrryran arrivaient du aussi vite que pouvait les porter Buyiot. Chevauchant le vent ils furent bientôt en vue de la cité et la survolèrent de haut avant de revenir pas le nord, ayant constaté de visu que les combats étaient terminés. En se rapprochant ils aperçurent quelques rares dégâts, résidus de la bataille. Bataille dont le sort semblait manifestement avoir tourné en l’avantage des vivants dont les chefs étaient réunis en haut du fort toujours debout. La monture calma ses ardeurs et vint se poser au milieu de la place encore marquée de tâches roussies, signes indubitables de sorts de feu. Duncan Imrryran y vit la marque de son vieil ami Baladas. Une fois à terre les deux personnages s’approchèrent des vainqueurs qui les avaient déjà remarqué. Le telvanni pris la parole :
- Bonjour à tous et félicitation pour cette victoire. Je suis Duncan Imrryran, de la grande maison Telvanni. J’ai reçu un message alarmé du mage d’Arvs Drelen et j’ai accouru le plus rapidement possible. Cependant j’ai bien peur d’avoir raté la bataille. La situation me paraît stabilisée et je ne crois pas qu’il soit nécessaire de la déranger à pareille heure. Toutefois je m’intéresse de très près aux attaques de morts-vivants qui se produisent actuellement dans toute notre île. Pourriez-vous me donner quelques détails quant à celle-ci ? Quels étaient leurs troupes et leur but, si vous en avez connaissance ?
- Bonjour à tous et félicitation pour cette victoire. Je suis Duncan Imrryran, de la grande maison Telvanni. J’ai reçu un message alarmé du mage d’Arvs Drelen et j’ai accouru le plus rapidement possible. Cependant j’ai bien peur d’avoir raté la bataille. La situation me paraît stabilisée et je ne crois pas qu’il soit nécessaire de la déranger à pareille heure. Toutefois je m’intéresse de très près aux attaques de morts-vivants qui se produisent actuellement dans toute notre île. Pourriez-vous me donner quelques détails quant à celle-ci ? Quels étaient leurs troupes et leur but, si vous en avez connaissance ?
#4
Benji
Dissécateur sadique
Posté 22 novembre 2003 - 15:54
Un oiseau deadrique interrompit le mage et laissat tomber un message au pied de Benji qui le prit et le lus avec un air soucieux. Lorsqu'il relevat le visage, il avait l'air sombre.
-Je rentre immédiatement à Scyda Neen, les choses ne vont pas tardé à dégénérer la bas. J'y retourne immédiatement. Vous venez avec moi ?[/i]
-Je rentre immédiatement à Scyda Neen, les choses ne vont pas tardé à dégénérer la bas. J'y retourne immédiatement. Vous venez avec moi ?[/i]
#5
Duncan Imrryran
Truite hors-sujet
Posté 23 novembre 2003 - 02:14
Duncan Imrryran se tourne vers Benji lorsqu'il prononce ces mots. Il semble réfléchir et considérant que pour l'instant il n'avance pas dans son combat contre les morts vivants il prend une décision.
- Alors je vais aussi à Seyda Neyhin. J'y vais avec Buyiot, vous pouvez monter avec moi si vous n'avez pas de rappel pour vous y rendre.
- Alors je vais aussi à Seyda Neyhin. J'y vais avec Buyiot, vous pouvez monter avec moi si vous n'avez pas de rappel pour vous y rendre.
#6
Benji
Dissécateur sadique
Posté 26 novembre 2003 - 15:49
Grimpe derrière Duncan
J'espère que nous arriveront a temps pour les combats cette fois ci.
L'animal s'envole emportant les deux compagnons vers le sud
J'espère que nous arriveront a temps pour les combats cette fois ci.
L'animal s'envole emportant les deux compagnons vers le sud
#7
Rubicante
Posté 20 juillet 2004 - 15:52
La scène se déroulait au mieux, Saria était dans son élément, chantant de sa voix cristalline. Les paroles enjouées donnaient gaieté au public de soldats et de mineurs qui avaient rarement de telles distractions à Gnisis.
La douce musique du luth contribué grandement au succès de la barde et c’est sous les applaudissements que s’achevât son chant.
« Merci cher public ! Vos acclamations me réchauffent le cœur ! Vous avez été si bons, si attentifs… »
La bosmer continua un moment à remercier le public, tout en effectuant de grandes révérences et gratifiant un grand sourire les personnes qui vinrent verser quelques drakes ou septims dans le gobelet déposé au sol.
Saria était très heureuse que sa première représentation sur Vvardenfell ait si bien marché. Certes, le public n’était constitué en grande partie que de roturiers, des légionnaires disposant de maigres soldes et des mineurs d’œufs moins riches encore mais elle n’en avait cure.
Après avoir rassemblé l’or et donné quelques derniers remerciements, elle alla voir Fénas Madach, l’aubergiste.
« Bravo ma jolie, il y a longtemps que je n’avais pas assisté à un tel spectacle ! Tiens, un petit supplément pour m’avoir fait venir autant de clients même si maintenant il va falloir que je renouvelle mon stock d’alcool ! » parla l’aubergiste en glissant sur le comptoir une quinzaine de drakes.
« Merci mais c’est beaucoup trop ! ,s’exclama Saria tout en repoussant vers Fénas le tas de pièce de sa main.
Je ne peux accepter mais par contre un bon repas chaud serait le bienvenu… »
« Haaaa, on veut manger à l’œil ? Allez, c’est d’accord ! Qu’on ne dise pas qu’un bréton ne sait pas se montrer généreux ! »
« Merci beaucoup, je n’attendais pas moins d’un gentilhomme tel que vous qui a bien voulu me permettre de jouer en ces murs. »
« La flatterie ne te donnera pas droit à autre chose qu’un repas ma toute belle. » répliqua l’aubergiste avec un sourire moqueur. Mais dès qu’il eu le dos tourné, Saria lui tira effrontément la langue.
« Et que compte faire une si jolie fille dans le coin ? Je suppose que tu vas descendre la Faille de l’Ouest pour Caldéra non ? A moins que tu n’ailles vers Ald’rhun ?
« Et bien, je ne connais guère la région… Peut-être irais-je voir cette ville que l’on dît perdue sur un champs de cendres… »
« Si tu parles d’Ald’rhun, passe donc à l’auberge de la Marmite du Rat, j’y ai quelques connaissances, dont un bosmer qui sera sûrement ravie de voir une congénère. »
« Merci du conseil ! Je pourrais sans doute voyager par dos d’échassier jusqu’à là-bas. Mais j’hésite… La route du sud me semble pleine de promesses… Balmora… Coeurébène… et Vivec ! »
La bosmer semblait rêveuse à la mention de Vivec.
« Libre à toi d’aller au sud mais on dit qu’il y a des bandits sévissant dans la région, à ta place je ferais attention. » rétorqua placidement le bréton tout en asticotant un verre.
« Hum ? Des bandits ? La rumeurs serait donc vraie ? »
« Oui. Bien sûr il y en a toujours eu plus ou moins ici avec les contrebandiers mais ceux-là se montrent plus violents… Pas bon pour les affaires ça, non, pas bon… !»
« Sers-moi du mazte Fénas au lieu de faire du charme à la mam’zelle! » hurla un orque ivre du fond de la salle.
« Vas donc déjà cuvez le mazte que tu as ingurgité barrique à vinasse ! »
« Je suis pas saoul !! Et j’ai pas peur de toi… ni de ton jumeau ! »
« Tu veux qu’on demande l’avis à Bologra ? »
L’orque se mît à marmonner dans sa langue maternelle ce qui devait être des jurons avant de se lever et de quitter l’auberge d’une démarche un peu hésitante.
« Bon, je vais chercher ton repas ! Et par la même occasion je vais voir ce que fabrique ce tire-au-flan d'Utadeek en cuisine. »
La bosmer ne l’écoutait déjà plus, perdu dans ses rêveries et le brouhaha de la salle…
La douce musique du luth contribué grandement au succès de la barde et c’est sous les applaudissements que s’achevât son chant.
« Merci cher public ! Vos acclamations me réchauffent le cœur ! Vous avez été si bons, si attentifs… »
La bosmer continua un moment à remercier le public, tout en effectuant de grandes révérences et gratifiant un grand sourire les personnes qui vinrent verser quelques drakes ou septims dans le gobelet déposé au sol.
Saria était très heureuse que sa première représentation sur Vvardenfell ait si bien marché. Certes, le public n’était constitué en grande partie que de roturiers, des légionnaires disposant de maigres soldes et des mineurs d’œufs moins riches encore mais elle n’en avait cure.
Après avoir rassemblé l’or et donné quelques derniers remerciements, elle alla voir Fénas Madach, l’aubergiste.
« Bravo ma jolie, il y a longtemps que je n’avais pas assisté à un tel spectacle ! Tiens, un petit supplément pour m’avoir fait venir autant de clients même si maintenant il va falloir que je renouvelle mon stock d’alcool ! » parla l’aubergiste en glissant sur le comptoir une quinzaine de drakes.
« Merci mais c’est beaucoup trop ! ,s’exclama Saria tout en repoussant vers Fénas le tas de pièce de sa main.
Je ne peux accepter mais par contre un bon repas chaud serait le bienvenu… »
« Haaaa, on veut manger à l’œil ? Allez, c’est d’accord ! Qu’on ne dise pas qu’un bréton ne sait pas se montrer généreux ! »
« Merci beaucoup, je n’attendais pas moins d’un gentilhomme tel que vous qui a bien voulu me permettre de jouer en ces murs. »
« La flatterie ne te donnera pas droit à autre chose qu’un repas ma toute belle. » répliqua l’aubergiste avec un sourire moqueur. Mais dès qu’il eu le dos tourné, Saria lui tira effrontément la langue.
« Et que compte faire une si jolie fille dans le coin ? Je suppose que tu vas descendre la Faille de l’Ouest pour Caldéra non ? A moins que tu n’ailles vers Ald’rhun ?
« Et bien, je ne connais guère la région… Peut-être irais-je voir cette ville que l’on dît perdue sur un champs de cendres… »
« Si tu parles d’Ald’rhun, passe donc à l’auberge de la Marmite du Rat, j’y ai quelques connaissances, dont un bosmer qui sera sûrement ravie de voir une congénère. »
« Merci du conseil ! Je pourrais sans doute voyager par dos d’échassier jusqu’à là-bas. Mais j’hésite… La route du sud me semble pleine de promesses… Balmora… Coeurébène… et Vivec ! »
La bosmer semblait rêveuse à la mention de Vivec.
« Libre à toi d’aller au sud mais on dit qu’il y a des bandits sévissant dans la région, à ta place je ferais attention. » rétorqua placidement le bréton tout en asticotant un verre.
« Hum ? Des bandits ? La rumeurs serait donc vraie ? »
« Oui. Bien sûr il y en a toujours eu plus ou moins ici avec les contrebandiers mais ceux-là se montrent plus violents… Pas bon pour les affaires ça, non, pas bon… !»
« Sers-moi du mazte Fénas au lieu de faire du charme à la mam’zelle! » hurla un orque ivre du fond de la salle.
« Vas donc déjà cuvez le mazte que tu as ingurgité barrique à vinasse ! »
« Je suis pas saoul !! Et j’ai pas peur de toi… ni de ton jumeau ! »
« Tu veux qu’on demande l’avis à Bologra ? »
L’orque se mît à marmonner dans sa langue maternelle ce qui devait être des jurons avant de se lever et de quitter l’auberge d’une démarche un peu hésitante.
« Bon, je vais chercher ton repas ! Et par la même occasion je vais voir ce que fabrique ce tire-au-flan d'Utadeek en cuisine. »
La bosmer ne l’écoutait déjà plus, perdu dans ses rêveries et le brouhaha de la salle…
#8
Dirichlet
"retraité" de l'administration Bush
Posté 20 juillet 2004 - 22:00
Suite de ce message (Message d'EDM)
Geldralen sembla remarquer du mouvement sur la crête à l'est et plaça sa main au dessus de ses yeux pour mieux voir ce qui se passait. Un trait lui perfora alors le crâne de part en part avec un bruit de calebasse brisée par une pierre.
L'homme tomba à terre alors que des remugles se faisaient entendre ... des flambeaux formes bougèrent sur les sommets à l'est et à l'ouest et une petite voix grésilla sans que nul être vivant ne soit en vue.
Vous entrez dans le domaine de la griffe et des mulots. Ici est notre territoire, si vous nous laissez vos richesses, votre char et vos montures aucun mal ne vous sera fait. L'homme qui a été abattu l'a été par accident. Le coupable sera châtié par nos lois.
Si vous faites le moindre geste belliqueux, je donne l'ordre d'abattre toute la troupe et les bêtes. Que le chef de ce groupe réponde à ma demande maintenant et fasse le nécessaire et nulle violence ne sera nécessaire.
Après un second regard, de petites formes apparaissaient et se mouvaient sur les sommets tout autour du convoi... ils s'étaient approchés en silence avec le bruit du convoi et restés cachés par la ligne de crête. A présent ils semblaient tenir les deux flancs, mais des mouvements dans le bassement des berges laissait à penser qu'il devait aussi y avoir des personnes sous le pont.
Geldralen sembla remarquer du mouvement sur la crête à l'est et plaça sa main au dessus de ses yeux pour mieux voir ce qui se passait. Un trait lui perfora alors le crâne de part en part avec un bruit de calebasse brisée par une pierre.
L'homme tomba à terre alors que des remugles se faisaient entendre ... des flambeaux formes bougèrent sur les sommets à l'est et à l'ouest et une petite voix grésilla sans que nul être vivant ne soit en vue.
Vous entrez dans le domaine de la griffe et des mulots. Ici est notre territoire, si vous nous laissez vos richesses, votre char et vos montures aucun mal ne vous sera fait. L'homme qui a été abattu l'a été par accident. Le coupable sera châtié par nos lois.
Si vous faites le moindre geste belliqueux, je donne l'ordre d'abattre toute la troupe et les bêtes. Que le chef de ce groupe réponde à ma demande maintenant et fasse le nécessaire et nulle violence ne sera nécessaire.
Après un second regard, de petites formes apparaissaient et se mouvaient sur les sommets tout autour du convoi... ils s'étaient approchés en silence avec le bruit du convoi et restés cachés par la ligne de crête. A présent ils semblaient tenir les deux flancs, mais des mouvements dans le bassement des berges laissait à penser qu'il devait aussi y avoir des personnes sous le pont.
#9
Evildeadmeat
Posté 20 juillet 2004 - 22:39
Rayingald regardait autour de lui. Il ne vit point d' ennemi alentour. "SURTOUT NE PAS ATTAQUER!!!!!" hurla t il en direction de ses hommes.
"Je suis le chef de ce detachement militaire. Je suis Rayingald, aspirant chevalier du dragon d' or. Vous attaquez un groupe mené par un paladin. Je suis responsable de ces hommes ici present tout comme j' etais responsable de l' homme que vous avez tué. C' etait un brave guerrier doublé d' un homme bon. Je n' ai que faire de vos lois, elles ne me le rameneront pas."
Rayingald descendit de son cheval et marcha quelque pas devant le char. Il dit d' une voix calme et posé.
" Ma tache principale est de ramener tous ces hommes en vie, chez eux. Mais mes ordres sont mes ordres et vous savez tres bien que je ne peux ordonner à ces guerriers de baisser leurs armes."
Les soldats etaient maintenant envahis par la peur, visible dans leurs yeux. Rayingald aussi avait tres peur mais il s' efforçait de conserver une attitude de chef. Il avait garder son epée au fourreau. Rayingald aperçu de petite formes autour du convoi et il semblait etre le seul à les avoir aperçu.
"Mais qui etes vous au juste? Il ne me sembla pas connaitre de telles creatures."
Rayingald redoublait de mefiance. Le reste des soldats remarqua alors l' etrange ennemi. "Massacrons les!!" dit l' un d' eux. "Ce n' est pas si simple soldat. Ne sous estimez JAMAIS l' ennemi. Si de telles creatures s' attaque à nous, alors elle doivent etre capable de se defendre contre nous. Mefiance!"
"Je suis le chef de ce detachement militaire. Je suis Rayingald, aspirant chevalier du dragon d' or. Vous attaquez un groupe mené par un paladin. Je suis responsable de ces hommes ici present tout comme j' etais responsable de l' homme que vous avez tué. C' etait un brave guerrier doublé d' un homme bon. Je n' ai que faire de vos lois, elles ne me le rameneront pas."
Rayingald descendit de son cheval et marcha quelque pas devant le char. Il dit d' une voix calme et posé.
" Ma tache principale est de ramener tous ces hommes en vie, chez eux. Mais mes ordres sont mes ordres et vous savez tres bien que je ne peux ordonner à ces guerriers de baisser leurs armes."
Les soldats etaient maintenant envahis par la peur, visible dans leurs yeux. Rayingald aussi avait tres peur mais il s' efforçait de conserver une attitude de chef. Il avait garder son epée au fourreau. Rayingald aperçu de petite formes autour du convoi et il semblait etre le seul à les avoir aperçu.
"Mais qui etes vous au juste? Il ne me sembla pas connaitre de telles creatures."
Rayingald redoublait de mefiance. Le reste des soldats remarqua alors l' etrange ennemi. "Massacrons les!!" dit l' un d' eux. "Ce n' est pas si simple soldat. Ne sous estimez JAMAIS l' ennemi. Si de telles creatures s' attaque à nous, alors elle doivent etre capable de se defendre contre nous. Mefiance!"
Modifié par Evildeadmeat, 20 juillet 2004 - 23:11.
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#10
Dirichlet
"retraité" de l'administration Bush
Posté 21 juillet 2004 - 00:18
La voix grésillante repris, parlant haut et fort
Vos lois n'ont pas court sur notre territoire. Un accident peut être pardonné à condition d'être châtié...
Nous sommes le bras armé des vénérables de la Griffe, nous sommes les Mulots!
Vous êtes le chef de ce groupe, et vous donnez les ordres. Vous pouvez ne pas leur ordonner de baisser leurs armes.
Mais alors vous portez en vos mots la sentence de mort contre tous ces hommes. C'est simple, soit je donne l'ordre de tirer et tous meurent, soit vous vous rendez et vous pourrez tous repartir à pied dans la direction de votre choix.
Je vais compter jusqu'à trente. Tous ceux qui seront encore sur une monture ou qui auront une arme en main passé ce délais seront abattus par mes hommes ...
Un ...
La voix semblait ancienne, posée, mais teintée d'une pointe de malice aigue. Celle d'un homme qui a l'habitude qu'on lui obéisse ... ou bien une vieille femme?
Curieusement personne n'aurait pu dire à quelle race pouvait appartenir cette voix
Vos lois n'ont pas court sur notre territoire. Un accident peut être pardonné à condition d'être châtié...
Nous sommes le bras armé des vénérables de la Griffe, nous sommes les Mulots!
Vous êtes le chef de ce groupe, et vous donnez les ordres. Vous pouvez ne pas leur ordonner de baisser leurs armes.
Mais alors vous portez en vos mots la sentence de mort contre tous ces hommes. C'est simple, soit je donne l'ordre de tirer et tous meurent, soit vous vous rendez et vous pourrez tous repartir à pied dans la direction de votre choix.
Je vais compter jusqu'à trente. Tous ceux qui seront encore sur une monture ou qui auront une arme en main passé ce délais seront abattus par mes hommes ...
Un ...
La voix semblait ancienne, posée, mais teintée d'une pointe de malice aigue. Celle d'un homme qui a l'habitude qu'on lui obéisse ... ou bien une vieille femme?
Curieusement personne n'aurait pu dire à quelle race pouvait appartenir cette voix
#11
Evildeadmeat
Posté 21 juillet 2004 - 00:33
Rayingald sentait la situation lui echapper. Le groupe n' etait pas loin de Gnisis et Darius pourrait rapidement envoyer des renforts...si seulement il connaissait la situation. Le Griffe, jamais Rayingald n' avais entendu parler de la Griffe et encore moins de ses Mulots. Pourtant il semblait bien que ces Mulots etaient leurs ennemis du moment. Ces etranges etres etaient decidement bien curieux mais l' heure n' etait pas à l' observation. "Et si ces choses venaient en fait liberer ce mage?" pensa t il rapidement. "Que les divinités qui m' entendent me viennent en aide. Si je dois mourir, faite que se soit avec honneur."mumura t il. Puis il s' addressa aux Mulots:
"Ce convoi rempli une mission de transfert penitencier. Vous n' y trouverez aucune richesse. A moins que l' objet de votre criminelle entreprise soit ce prisonnier."
"Ce convoi rempli une mission de transfert penitencier. Vous n' y trouverez aucune richesse. A moins que l' objet de votre criminelle entreprise soit ce prisonnier."
Modifié par Evildeadmeat, 21 juillet 2004 - 11:00.
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#12
Dirichlet
"retraité" de l'administration Bush
Posté 21 juillet 2004 - 08:03
Un murmure s'éleva de derrière les crêtes, et la voix grinçante aboya un ordre qui fit taire tout le monde. Elle reprit.
Le char et les montures sont, en elles mêmes suffisantes pour justifier que nous nous en emparions. Vos armures et vos armes aussi ont de la valeur pour nous.
Si vous avez un prisonnier, sa vie vous appartient, mais c'est une de vos richesses aussi, bien qu'elle ne nous intéresse pas ... huit ... neuf
Le char et les montures sont, en elles mêmes suffisantes pour justifier que nous nous en emparions. Vos armures et vos armes aussi ont de la valeur pour nous.
Si vous avez un prisonnier, sa vie vous appartient, mais c'est une de vos richesses aussi, bien qu'elle ne nous intéresse pas ... huit ... neuf
#13
Evildeadmeat
Posté 21 juillet 2004 - 10:05
Rayingald leva le tete et observa le ciel un instant puis regarda ses hommes autour de lui. Tous attendaient le denouement de cette etrange attaque. Rayingald tira son epée:
"J' aimerais qu' il en soit autrement mais nous ne pouvons abandonner sans livrer bataille. POUR LE DRAGON D' OR!!!!!!!!"
Les cavaliers et les soldats tirerent aussi leurs armes, se preparant au combat.
"J' aimerais qu' il en soit autrement mais nous ne pouvons abandonner sans livrer bataille. POUR LE DRAGON D' OR!!!!!!!!"
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#14
Dirichlet
"retraité" de l'administration Bush
Posté 21 juillet 2004 - 13:31
Qu'il en soit ainsi, vous avez eu une chance de sauver la vie de ces personnes... messieurs, mes demoiselles, à vos postes!
Les lignes de crètes s'hérissèrent alors de petits êtres armés d'arcs et de flèches, tous vêtus d'armures de chitine. Ce n'était pas tant leur taille réellement ridicule que leur armure faiblarde pour une attaque de convoi, mais leur nombre qui était impressionnant. On pourrait avoir le sentiment que les creux et les failles, aussi bien que les buissons vomissaient ces petits êtres à la peau verte et aux cheveux noirs. Ils étaient armés et menaçants, arc en chitine et épée courte...
Du côté de la rivière, de petits hommes et de petites femmes aux autres semblables gravirent les berges pour faire face à leur tour, tandis que les troupes les plus au sud refermèrent la tenaille. On ne pouvait les dénombrer à première vue, mais la première question qui vint à l'esprit de Rayingald ne fut pas "comment s'en sortir?" mais "comment avaient ils pu passer inaperçu en Vvardenfell en étant aussi nombreux?"...
Un petit être en armure de verre se dressa enfin sur le relief le plus élevé, les mains dans le dos, la barbiche dépassant sous son casque. Il semblait bien âgé par rapport aux autres, et n'était a priori pas armé. Il reprit la parole.
Vous avez décidé de ne pas accepter ma proposition, je vous conseille de prier vos dieux si vous en avez ...
Il leva les bras, ménageant son sens du spectaculaire qui était apparement sa seule aptitude visible... et son cri grésillant devint net et clair
Goring'waaaaaaaaaaaaaarth!!!
Ci dessous un plan de la situation. En rouge, les effectifs des bandits, en bleu, ceux des paladins.
Les lignes de crètes s'hérissèrent alors de petits êtres armés d'arcs et de flèches, tous vêtus d'armures de chitine. Ce n'était pas tant leur taille réellement ridicule que leur armure faiblarde pour une attaque de convoi, mais leur nombre qui était impressionnant. On pourrait avoir le sentiment que les creux et les failles, aussi bien que les buissons vomissaient ces petits êtres à la peau verte et aux cheveux noirs. Ils étaient armés et menaçants, arc en chitine et épée courte...
Du côté de la rivière, de petits hommes et de petites femmes aux autres semblables gravirent les berges pour faire face à leur tour, tandis que les troupes les plus au sud refermèrent la tenaille. On ne pouvait les dénombrer à première vue, mais la première question qui vint à l'esprit de Rayingald ne fut pas "comment s'en sortir?" mais "comment avaient ils pu passer inaperçu en Vvardenfell en étant aussi nombreux?"...
Un petit être en armure de verre se dressa enfin sur le relief le plus élevé, les mains dans le dos, la barbiche dépassant sous son casque. Il semblait bien âgé par rapport aux autres, et n'était a priori pas armé. Il reprit la parole.
Vous avez décidé de ne pas accepter ma proposition, je vous conseille de prier vos dieux si vous en avez ...
Il leva les bras, ménageant son sens du spectaculaire qui était apparement sa seule aptitude visible... et son cri grésillant devint net et clair
Goring'waaaaaaaaaaaaaarth!!!
Ci dessous un plan de la situation. En rouge, les effectifs des bandits, en bleu, ceux des paladins.
#15
Evildeadmeat
Posté 21 juillet 2004 - 16:34
"Soldats, protegez la troupe de vos boucliers!!! Cocher, prend ce bouclier pour sauver ta vie et à mon signal fonce au galop jusqu' à Gnisis. Ne te retourne pas surtout et fait querir des renforts à Darius. Soldats, defendez cherement votre vie!!!!!."
Les soldats equipés d' un bouclier ou d' un ecu entourerent le groupe mais cette protection ne serait que de courte durée et Rayingald le savait.
"Il faut attaquer tout de suite pour briser leur blocus" dit il à l' un des cavaliers. "Les cavaliers vonjt lancer l' attaque sur le groupe de bandits devant nous. Il faut ouvrir un chemin au char. FONCEZ!!!!" Les cavaliers sur ruerent sur le groupe devant eux à pleine vitesse. Quelques soldats se lancerent sur les bandits à droite du convoi. "Cocher foncez!!!" Le cocher du char lança ses chevaux à pleine vitesse pour passer le pont. Le reste des soldats et Rayingald resterent en arriere pour occuper les Mulots.
Les soldats equipés d' un bouclier ou d' un ecu entourerent le groupe mais cette protection ne serait que de courte durée et Rayingald le savait.
"Il faut attaquer tout de suite pour briser leur blocus" dit il à l' un des cavaliers. "Les cavaliers vonjt lancer l' attaque sur le groupe de bandits devant nous. Il faut ouvrir un chemin au char. FONCEZ!!!!" Les cavaliers sur ruerent sur le groupe devant eux à pleine vitesse. Quelques soldats se lancerent sur les bandits à droite du convoi. "Cocher foncez!!!" Le cocher du char lança ses chevaux à pleine vitesse pour passer le pont. Le reste des soldats et Rayingald resterent en arriere pour occuper les Mulots.
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#16
Enixos
Famillium Magica
Posté 21 juillet 2004 - 18:44
Durant toute la scène qui venait de se passer, le mage n'avait souffler mots. L'homme envihait fortement l'optimisme du paladin, se battre contre un ennemie supèrieur en nombre ainsi, ca tenait presque du suicide. Enfin, la rapide perçé des cavaliers prouvaient au moins que des renforts devaient être stationné tout près. Ainsi, on l'emmenait en prison... L'attaque aurait pu faire une iversion interescente pour une fuite, mais, fuire ne l'aurait mener nul part. Il aurait cent fois préférées se battrent avec ses hommes. Bien qu'il croyait que le cochet était capable, il ne pouvait s'empêcher d'éspèrer que le char ne se renverse pas.
#17
Dirichlet
"retraité" de l'administration Bush
Posté 21 juillet 2004 - 20:39
Au moment où le cocher redémarra son véhicule, le petit homme leva le bras droit et hurla de nouveau...
Au pont, abattez les bêtes! Flanc est serrez la tenaille, cisaillez par l'est...
Front ouest, pourchassez! Attaquez éperviers!
Les archers de part et d'autre du pont tirèrent sur les montures des cavaliers, préférant entammer la chair des montures et laisser se faire piétiner ceux qui avaient été désarçonnés. La seconde ligne ramassait derrière elle de longs manches en bois taillés en pointe pour les abaisser devant elle en une sorte de muraille basse mais pointue.
Les archers à l'est tirèrent sur la charge de cavalerie, excepté un petit groupe qui visait précisément les animaux qui tiraient le char.
La seconde vague, debout derrière la première attendit de voir combien de traits toucheraient leur cible, épée courte en main.
Le flanc ouest ne bougea pas de ses positions, mais les petits êtres se mirent à incanter en coeur, lançant chacun un petit sort de couleur rouge-bleutée sur les troupes des paladins...
De son côté, le petit être à la peau verte et en armure de verre balaya l'air de chaque côté de son corps de ses petites mains, et brassa une salve d'énergie de couleur dorée, qui se mua en un flot d'énergie anthropomorphe et prit forme devant son invocateur: il avait appelé un Atronach de Feu, lequel secoua la tête, désorienté, avant de concentrer son attaque brûlante sur les hommes qui chargeaient le flanc est...
Les attaques étaient modestes, mais les petites créatures étaient très nombreuses, et un bon tiers des traits ne serait certainement pas dévié par les protection de bouclier... Les petits hommes faisaient l'effet d'une marée vivante tant ils étaient nombreux, et il était probable que le harcèlement et les coups répétés auraient raison de beaucoup d'homme s'ils n'emportaient pas la victoire...
Dans les hautes herbes, à l'arrière, des mouvements se firent percevoir par l'arrière garde, en rang et groupés comme une sorte de détachement habitué à se déplacer ensemble... ceux là trainaient quelquechose derrière eux ...
HJ: Le sort que lancent les petits êtres est Absorption de Chance 20pts. C'est leur pouvoir racial donc ils ne peuvent le lancer qu'une fois chacun.
Au pont, abattez les bêtes! Flanc est serrez la tenaille, cisaillez par l'est...
Front ouest, pourchassez! Attaquez éperviers!
Les archers de part et d'autre du pont tirèrent sur les montures des cavaliers, préférant entammer la chair des montures et laisser se faire piétiner ceux qui avaient été désarçonnés. La seconde ligne ramassait derrière elle de longs manches en bois taillés en pointe pour les abaisser devant elle en une sorte de muraille basse mais pointue.
Les archers à l'est tirèrent sur la charge de cavalerie, excepté un petit groupe qui visait précisément les animaux qui tiraient le char.
La seconde vague, debout derrière la première attendit de voir combien de traits toucheraient leur cible, épée courte en main.
Le flanc ouest ne bougea pas de ses positions, mais les petits êtres se mirent à incanter en coeur, lançant chacun un petit sort de couleur rouge-bleutée sur les troupes des paladins...
De son côté, le petit être à la peau verte et en armure de verre balaya l'air de chaque côté de son corps de ses petites mains, et brassa une salve d'énergie de couleur dorée, qui se mua en un flot d'énergie anthropomorphe et prit forme devant son invocateur: il avait appelé un Atronach de Feu, lequel secoua la tête, désorienté, avant de concentrer son attaque brûlante sur les hommes qui chargeaient le flanc est...
Les attaques étaient modestes, mais les petites créatures étaient très nombreuses, et un bon tiers des traits ne serait certainement pas dévié par les protection de bouclier... Les petits hommes faisaient l'effet d'une marée vivante tant ils étaient nombreux, et il était probable que le harcèlement et les coups répétés auraient raison de beaucoup d'homme s'ils n'emportaient pas la victoire...
Dans les hautes herbes, à l'arrière, des mouvements se firent percevoir par l'arrière garde, en rang et groupés comme une sorte de détachement habitué à se déplacer ensemble... ceux là trainaient quelquechose derrière eux ...
HJ: Le sort que lancent les petits êtres est Absorption de Chance 20pts. C'est leur pouvoir racial donc ils ne peuvent le lancer qu'une fois chacun.
#18
Evildeadmeat
Posté 21 juillet 2004 - 21:24
Le cocher reçu une fleche dans la cuisse qui lui arracha un terrible cri de douleur pendant que les cavaliers chargés d' ouvrir le route essuyaient un autre tir de fleches. L' un d' entre eux reçu un coup direct entre les deux yeux et tomba raide mort. Un second fut touché à trois reprises avant de tomber de cheval et de se vider de son sang. Un troisieme fut ecraser par son cheval lorsque celui ci, pris de panique, se cambra et tomba en arriere. Quelques fleches traverserent le char et frolerent le prisonnier. Les cavaliers survivant atteignirent les lignes de Mulots et attaquerent dans un enorme fracas de metal et de chair dechirée. Un group de soldat qui montais à l' assaut sur le coté Est fut stoppé net par un tir de fleche, les survivants preferant rebrousser chemin. C' est alors que Rayingald aperçu l' Atronach de feu. Il se rua sur lui, envahit par la haine et la peur, hurlant sa rage face à cet etrange enemi. Il deploya des tresors d' agilité et evita deux boule de feu avant de tourner sur lui meme et d' assener un terrible coup au niveau de la taille coupant l' atronach en deux morceaux.
Le pont n' etait plus qu' à quelques pas quand une nouvelle volée de fleches vint toucher mortellement l' un des chevaux. Le deuxieme cheval, desequilibré, s' affala, arrachant le char de son attelage. Celui ci termina sa course folle sur un groupe de rocher qui eventra le char, projetant le prisonnier loin de la bataille. Rayingald se battait maintenant au corps à corps avec les Mulots mais le nombre de soldats s' epuisait rapidement. Il jeta un oeil au groupe de cavalier qui combattait maintenant à pied, leur monture ayant été tuée ou blessée. Toutefois, bien qu' ils tuerent de nombreux Mulots, ils croulaient sous le nombre et furent bientot entourés par des nuées d' ennemis qui finirent par vaincre les cavaliers. Le cocher du char etait trop blessé pour tenir une arme et le peu de vie qui lui restait fuyait vers la riviere.
Le pont n' etait plus qu' à quelques pas quand une nouvelle volée de fleches vint toucher mortellement l' un des chevaux. Le deuxieme cheval, desequilibré, s' affala, arrachant le char de son attelage. Celui ci termina sa course folle sur un groupe de rocher qui eventra le char, projetant le prisonnier loin de la bataille. Rayingald se battait maintenant au corps à corps avec les Mulots mais le nombre de soldats s' epuisait rapidement. Il jeta un oeil au groupe de cavalier qui combattait maintenant à pied, leur monture ayant été tuée ou blessée. Toutefois, bien qu' ils tuerent de nombreux Mulots, ils croulaient sous le nombre et furent bientot entourés par des nuées d' ennemis qui finirent par vaincre les cavaliers. Le cocher du char etait trop blessé pour tenir une arme et le peu de vie qui lui restait fuyait vers la riviere.
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#19
Dirichlet
"retraité" de l'administration Bush
Posté 21 juillet 2004 - 22:02
Les lutins qui couraient accroupis et chargeaient par l'arrière se ruèrent sur l'homme qui venait d'affronter l'atronach, révélant enfin de longs éperviers lestés de plomb qu'ils firent tournoyer à deux... visiblement habitués à se battre ensemble. Les autres lutins sautaient à présent sur les paladins, certains d'entre eux s'aggripaient à la poignée de leur arme pendant que d'autres leurs sautaient au cou, leurs retiraient leur casque et leur mordaient le nez et les oreilles. Les coups pleuvaient, épée de chitine ou coup de poing, les archers avaient troqué leurs armes traditionnelles pour leurs épées courtes, pour ne pas risquer de se blesser les uns les autres.
Le petit homme qui avait vu son invocation tomber brassa à nouveau l'air autour de lui pour générer une sphère bleue, de taille imposante et la projeter sur le champ de bataille. Les hommes virent alors les blessures des peaux vertes se refermer, les bosses s'applanir, les cocards verdir et le sang cesser de couler... le lanceur de sort n'eut pas tôt fini son incantation qu'il partit en courant derrière la ligne de crête.
Les troupes des berges continuaient à resserrer l'étau pour moitié autour des cavaliers qui étaient encore debout, se déplaçant entre les corps des leurs, et des paladins aussi... et l'autre moitié se refermant autour du char qui avait été projeté pour le fouiller et au cas où des personnes se trouveraient à l'intérieur.
Rayingald entendit un sifflement venant de derrière lui, et eut le temps de se retourner pour voir un épervier voler en tournoyant dans sa direction... alors que d'autres étaient prêts à être envoyés.
Le petit homme qui avait vu son invocation tomber brassa à nouveau l'air autour de lui pour générer une sphère bleue, de taille imposante et la projeter sur le champ de bataille. Les hommes virent alors les blessures des peaux vertes se refermer, les bosses s'applanir, les cocards verdir et le sang cesser de couler... le lanceur de sort n'eut pas tôt fini son incantation qu'il partit en courant derrière la ligne de crête.
Les troupes des berges continuaient à resserrer l'étau pour moitié autour des cavaliers qui étaient encore debout, se déplaçant entre les corps des leurs, et des paladins aussi... et l'autre moitié se refermant autour du char qui avait été projeté pour le fouiller et au cas où des personnes se trouveraient à l'intérieur.
Rayingald entendit un sifflement venant de derrière lui, et eut le temps de se retourner pour voir un épervier voler en tournoyant dans sa direction... alors que d'autres étaient prêts à être envoyés.
#20
Rubicante
Posté 21 juillet 2004 - 23:12
Saria sifflotait d'un air joyeux sur le chemin du sud. Fénas lui avait déconseillé de prendre la route avec ces bandits qui sévissent mais il ne parvint pas à la convaincre.
Elle voulait atteindre Caldéra le plus rapidement possible, ce qui lui était impossible avec l'échassier. C'était peut-être risqué mais elle avait prît soin d'acheter un parchemin d'ALMSIVI au temple de Gnisis si jamais un danger se présentait à elle.
Son but ultime était Vivec dont un confrère barde lui avait mentionné l'existence d'un grand mécène qui siège au conseil de la maison hlaalu. Peut-être cet individu accepterait de la prendre sous son aile ? Surtout avec le grand festivale qui aurait lieu là-bas en l'honneur du Dieu-Poête ... et une occasion unique d'obtenir la célébrité qu'elle désirait.
En effet, le Cercle des Ménestrels (guilde d'artistes créé sous l'impulsion de Crassus Curio) y organise un grand concours ou se succèdent dit-on les plus grandes représentations ! De nombreuses personnes y viennent pour y assister, c'était là quelque chose à ne pas manquer ! Sa réputation monterait en flêche si elle remportait ce concours, mais il y avait encore une assez longue période avant qu'il ne débute. Aussi devait-elle perfectionner son art à travers l'île avant tout pour avoir une chance face aux concurrents qui lui feront face.
C'est donc fermement décidée que la bosmer arpenta le sentier qui descendant la Faille de l'Ouest.
Mais son ouïe fine d'elfe se mît soudainement en alerte. Une horrible musique lui parvenait au loin. Le chant des armes qui fendent l'air, les persussions des chocs sur le métal malmené, les cris de rage et de douleur...
Elle se mît immédiatement en posture de guetteuse. Elle scruta les environs, tout les sens en alerte, se remémorant le sort de paralysie qui lui avait plus d'une fois permit de sortir de situation embarassant tandis qu'elle prenait son arc tout en tirant une flèche de son carquoi. Elle ne mît guère plus de cinq secondes pour voir l'origine de cette cacophonie.
On se battait au loin. Sa perception aiguisée d'elfe lui permettait de voir les combattants. Il y avait des hommes en armure qui guerroyait contre ... des gobelins ? Elle ne parvenait pas en avoir la certitude, ces créatures y ressemblait mais on pourrait aussi croire à des orcs miniatures. C'était là quelque chose de singulier qui éveillat son intérêt. Etait-ce là les bandits mentionnés à Gnisis ?
Un chariot sans doute destiné au transport d'un convoi était renversé au-delà du champs de bataille. Un corps gîsait à proximité mais il était dissimulé en partie par des rochers obstruant sa vision. De-ci de-là reposaient d'autres corps inanimés de guerriers des deux camps ainsi que ceux de chevaux.
Un groupe de "gobelins" se dirigait vers le chariot, sans doute pour y piller les richesses devant s'y trouver tandis qu'un "gobelin" isolé se retirait du champ de bataille après avoir lancé un sort qui sembla remettre d'aplomb ses horribles congénères. Sans doute était-il le chef car il portait une armure de verre, chose peu courante pour un brigand ...
Elle ne pouvait laisser une telle tragédie se déroulait sous ses yeux sans intervenir ! Aussi décidat-elle de tirer sur ce qui devait être le chef des petits hommes verts. Si elle parvenait à l'éliminer, le moral des bandits en prendrait sûrement un coup et il fuieront certainement. Du moins elle l'espérait ...
Le chef "gobelin" s'était mis hors de porté de ses ennemis, mais il ne pouvait pas deviner que quelqu'un viendrait par le nord, où la crête rocheuse qui lui servait d'abri ne pouvait pas le défendre contre une attaque venant de par là, et que ce "quelqu'un disposerait d'un arc et de flèches !
Saria quant à elle s'était posté derrière un amas de roche, bien au-delà de la rivière. Le terrain sur lequel elle était étant plus élevé avant de s'affaiser ver la rivière, sa situation était plutôt avantageuse pour le tir.
C'est en effectuant une prière à Jephre et Yffre qu'elle tendît la corde de son arc avant de la relâcher dans un vibrement sonore, tandis que la flèche siffla à travers les airs en direction de sa cible ...
Elle voulait atteindre Caldéra le plus rapidement possible, ce qui lui était impossible avec l'échassier. C'était peut-être risqué mais elle avait prît soin d'acheter un parchemin d'ALMSIVI au temple de Gnisis si jamais un danger se présentait à elle.
Son but ultime était Vivec dont un confrère barde lui avait mentionné l'existence d'un grand mécène qui siège au conseil de la maison hlaalu. Peut-être cet individu accepterait de la prendre sous son aile ? Surtout avec le grand festivale qui aurait lieu là-bas en l'honneur du Dieu-Poête ... et une occasion unique d'obtenir la célébrité qu'elle désirait.
En effet, le Cercle des Ménestrels (guilde d'artistes créé sous l'impulsion de Crassus Curio) y organise un grand concours ou se succèdent dit-on les plus grandes représentations ! De nombreuses personnes y viennent pour y assister, c'était là quelque chose à ne pas manquer ! Sa réputation monterait en flêche si elle remportait ce concours, mais il y avait encore une assez longue période avant qu'il ne débute. Aussi devait-elle perfectionner son art à travers l'île avant tout pour avoir une chance face aux concurrents qui lui feront face.
C'est donc fermement décidée que la bosmer arpenta le sentier qui descendant la Faille de l'Ouest.
Mais son ouïe fine d'elfe se mît soudainement en alerte. Une horrible musique lui parvenait au loin. Le chant des armes qui fendent l'air, les persussions des chocs sur le métal malmené, les cris de rage et de douleur...
Elle se mît immédiatement en posture de guetteuse. Elle scruta les environs, tout les sens en alerte, se remémorant le sort de paralysie qui lui avait plus d'une fois permit de sortir de situation embarassant tandis qu'elle prenait son arc tout en tirant une flèche de son carquoi. Elle ne mît guère plus de cinq secondes pour voir l'origine de cette cacophonie.
On se battait au loin. Sa perception aiguisée d'elfe lui permettait de voir les combattants. Il y avait des hommes en armure qui guerroyait contre ... des gobelins ? Elle ne parvenait pas en avoir la certitude, ces créatures y ressemblait mais on pourrait aussi croire à des orcs miniatures. C'était là quelque chose de singulier qui éveillat son intérêt. Etait-ce là les bandits mentionnés à Gnisis ?
Un chariot sans doute destiné au transport d'un convoi était renversé au-delà du champs de bataille. Un corps gîsait à proximité mais il était dissimulé en partie par des rochers obstruant sa vision. De-ci de-là reposaient d'autres corps inanimés de guerriers des deux camps ainsi que ceux de chevaux.
Un groupe de "gobelins" se dirigait vers le chariot, sans doute pour y piller les richesses devant s'y trouver tandis qu'un "gobelin" isolé se retirait du champ de bataille après avoir lancé un sort qui sembla remettre d'aplomb ses horribles congénères. Sans doute était-il le chef car il portait une armure de verre, chose peu courante pour un brigand ...
Elle ne pouvait laisser une telle tragédie se déroulait sous ses yeux sans intervenir ! Aussi décidat-elle de tirer sur ce qui devait être le chef des petits hommes verts. Si elle parvenait à l'éliminer, le moral des bandits en prendrait sûrement un coup et il fuieront certainement. Du moins elle l'espérait ...
Le chef "gobelin" s'était mis hors de porté de ses ennemis, mais il ne pouvait pas deviner que quelqu'un viendrait par le nord, où la crête rocheuse qui lui servait d'abri ne pouvait pas le défendre contre une attaque venant de par là, et que ce "quelqu'un disposerait d'un arc et de flèches !
Saria quant à elle s'était posté derrière un amas de roche, bien au-delà de la rivière. Le terrain sur lequel elle était étant plus élevé avant de s'affaiser ver la rivière, sa situation était plutôt avantageuse pour le tir.
C'est en effectuant une prière à Jephre et Yffre qu'elle tendît la corde de son arc avant de la relâcher dans un vibrement sonore, tandis que la flèche siffla à travers les airs en direction de sa cible ...
#21
Evildeadmeat
Posté 21 juillet 2004 - 23:55
Rayingald se retourna et vit une epervier fendre l' air vers lui. Il se jeta au sol mais ne put eviterl' epervier. Rayingald se debattit pour se liberer de l' etreinte mais il etait trop tard. Il etait maintenant alongé sur l' herbe rougit par le sang des paladins et des soldats mais aussi par le sang des Mulots. Il regarda autour de lui et constata avec horreur que les Mulots avaient recuperés leurs forces et leur santé.
"Tout est perdu." murmura t il en regardant le drame qui se jouait sous ses yeux.
Il demeurait ainsi, couché dans l' herbe, attendant le coup de grace qui ne tarderait certainement pas à venir. Il souriat et se mit à rire doucement:
"Tué par des demi-etre. Voilà bien une fin à laquelle je ne m' attendais pas."
Il tourna la tete vers le char eventré, brisé sur les rochers et repensa à sa mission qui lui avait été confié. Il regardait aussi les corps des hommes tués par ces choses, puis, il regarda le ciel au dessus de lui. Les nuages defilaient silencieusement sans meme s' arreter un instant pour observer ou commenter le spectacle qui s' offraient à eux.
"Ingrats, nous vous offrons un spectacle magnifique et vous ne vous arretez meme pas pour regarder." pensa t il. Il observait, impuissant, les Mulots se rassembler autour de lui.
"Tout est perdu." murmura t il en regardant le drame qui se jouait sous ses yeux.
Il demeurait ainsi, couché dans l' herbe, attendant le coup de grace qui ne tarderait certainement pas à venir. Il souriat et se mit à rire doucement:
"Tué par des demi-etre. Voilà bien une fin à laquelle je ne m' attendais pas."
Il tourna la tete vers le char eventré, brisé sur les rochers et repensa à sa mission qui lui avait été confié. Il regardait aussi les corps des hommes tués par ces choses, puis, il regarda le ciel au dessus de lui. Les nuages defilaient silencieusement sans meme s' arreter un instant pour observer ou commenter le spectacle qui s' offraient à eux.
"Ingrats, nous vous offrons un spectacle magnifique et vous ne vous arretez meme pas pour regarder." pensa t il. Il observait, impuissant, les Mulots se rassembler autour de lui.
Modifié par Evildeadmeat, 22 juillet 2004 - 01:20.
#22
Dirichlet
"retraité" de l'administration Bush
Posté 22 juillet 2004 - 01:01
Pour Tenebro
La flèche atteint sa cible en plein dos et fit éclater la cuirasse de verre sous le choc, dispersant des éclats d'armure en une corole verte. Sous le choc, le lutin fut jeté à terre et se retrouva à plat ventre. Ses yeux clignèrent une seconde, et il brassa l'air des deux mains, avant de se fondre dans le décor en s'effaçant peu à peu.
La jeune barde vit bien l'air se déformer par endroit, mais sa vision ne put suivre le déplacement rapide du petit être qui partait, entièrement dissimulé. De son tir au but ajusté avec maestria restait seulement une cuirasse de verre détruite à terre.
La bosmer crut entendre un hululement sur sa droite quelques instants plus tard ...
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Pour EvilDeadMeat
L'épervier emprisonna Rayingald en atterissant, se resserrant sous l'effet du lest. Le groupe qui suivit en plaça un second par dessus le premier et plusieurs hommes s'approchèrent pour menacer le paladin à terre à travers les mailles des filets. Ils ne dirent mots, mais leurs menaces se lisaient dans leur regard. L'un des petits êtres siffla avec une force telle qu'il aurait pu se faire entendre à Gnisis, afin d'attirer l'attention des combattants sur leur capture.
Cela eut pour effet de faire refluer les lutins vers leur proie, à l'exception du petit groupe qui extirpait les corps du char et prélevaient ce qu'ils trouvaient intéressant sur eux.
Un hululement se fit entendre et les épervieristes tirèrent alors le paladin prisonnier dans son filet, tandis que d'autres emmenaient avec eux les corps des paladins morts qui portaient une armure et les montures valides à portée de main. Les autres couvraient leur fuite.... et bientôt restèrent sur le champ de bataille les quelques paladins survivants, leur prisonnier et le groupe de lutins qui s'occupait du char.
L'un de ces derniers sourit en voyant les bracelets autour du bras du magicien, et le lui retira pour le ranger dans son sac...
La flèche atteint sa cible en plein dos et fit éclater la cuirasse de verre sous le choc, dispersant des éclats d'armure en une corole verte. Sous le choc, le lutin fut jeté à terre et se retrouva à plat ventre. Ses yeux clignèrent une seconde, et il brassa l'air des deux mains, avant de se fondre dans le décor en s'effaçant peu à peu.
La jeune barde vit bien l'air se déformer par endroit, mais sa vision ne put suivre le déplacement rapide du petit être qui partait, entièrement dissimulé. De son tir au but ajusté avec maestria restait seulement une cuirasse de verre détruite à terre.
La bosmer crut entendre un hululement sur sa droite quelques instants plus tard ...
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Pour EvilDeadMeat
L'épervier emprisonna Rayingald en atterissant, se resserrant sous l'effet du lest. Le groupe qui suivit en plaça un second par dessus le premier et plusieurs hommes s'approchèrent pour menacer le paladin à terre à travers les mailles des filets. Ils ne dirent mots, mais leurs menaces se lisaient dans leur regard. L'un des petits êtres siffla avec une force telle qu'il aurait pu se faire entendre à Gnisis, afin d'attirer l'attention des combattants sur leur capture.
Cela eut pour effet de faire refluer les lutins vers leur proie, à l'exception du petit groupe qui extirpait les corps du char et prélevaient ce qu'ils trouvaient intéressant sur eux.
Un hululement se fit entendre et les épervieristes tirèrent alors le paladin prisonnier dans son filet, tandis que d'autres emmenaient avec eux les corps des paladins morts qui portaient une armure et les montures valides à portée de main. Les autres couvraient leur fuite.... et bientôt restèrent sur le champ de bataille les quelques paladins survivants, leur prisonnier et le groupe de lutins qui s'occupait du char.
L'un de ces derniers sourit en voyant les bracelets autour du bras du magicien, et le lui retira pour le ranger dans son sac...
#23
Evildeadmeat
Posté 22 juillet 2004 - 01:19
"NON PAS LES BRACELETS!!!" hurla t il à l' attention du Mulot qui avait libererle mage.
"Vous avez liberer un prisonnier imperial. Vous serez traqués pour votre crime ainsi que pour le meurtre de tous ses hommes. Je vous promet que je reviendrais avec 100 fois plus d' hommes et nous vous massacrerons jusqu' au dernier. OU EST VOTRE CHEF!!! JE VEUX LE VOIR!!!!"
Rayingald ne contenait plus sa colere alors meme qu' il etait transporter de la meme maniere que l' on transporte un jambon jusqu' à une auberge.
"Vous avez liberer un prisonnier imperial. Vous serez traqués pour votre crime ainsi que pour le meurtre de tous ses hommes. Je vous promet que je reviendrais avec 100 fois plus d' hommes et nous vous massacrerons jusqu' au dernier. OU EST VOTRE CHEF!!! JE VEUX LE VOIR!!!!"
Rayingald ne contenait plus sa colere alors meme qu' il etait transporter de la meme maniere que l' on transporte un jambon jusqu' à une auberge.
Modifié par Evildeadmeat, 22 juillet 2004 - 01:19.
#24
Rubicante
Posté 22 juillet 2004 - 01:41
La bosmer poussa un petit cri de joie lorsque le "gobelin" s'étala au sol après que sa cuirasse éclatat au contact de sa flèche. Soit son armure était déjà bien abîmée, soit elle était de mauvaise qualité pour s'être désagrégée sous l'impact du tir de la barde. Elle fût tout de même assez solide pour dévier la flèche de sa cible et c'est sous le regard déçu de l'archère que la petite chose verte se relevat, à moitié sonnée.
Saria encocha rapidement une seconde flèche mais le "gobelin" avait rapidement entamé un sort d'illusion pour se prémunir d'une nouvelle attaque aussi n'eut-elle pas le temps de le viser qu'il avait déjà disparu, son sort d'invisibilité lui permettant d'échapper à sa vue perçante.
Elle observa rapidement le lieu du combat, désormais achevé. Les "gobelins" semblaient victorieux malgré de lourdes pertes dans leurs rangs. Ils n'avaient pas combattu comme de vulgaires bandits de grand chemin et avaient faît preuve d'une stratégie quasi-martiale qui inquiéta soudainement Saria.
Elle ne pouvait rien contre ces créatures. Elle devait retourner à Gnisis alerter la légion, c'est tout ce qu'elle pouvait faire.
Elle sortit de sa poche un petit étui qui contenait le parchemin d'intervention d'Almsivi dont elle avait besoin. Elle se mît rapidement à le lire et déjà la magie qui émanait du parchemin commença à englober tout son être lorsqu'elle entendît comme un hululement à sa droite. Elle n'eu cependant pas le temps de s'y intéresser car la réalité autour d'elle se distordait pour la transporter loin de là ...
Saria encocha rapidement une seconde flèche mais le "gobelin" avait rapidement entamé un sort d'illusion pour se prémunir d'une nouvelle attaque aussi n'eut-elle pas le temps de le viser qu'il avait déjà disparu, son sort d'invisibilité lui permettant d'échapper à sa vue perçante.
Elle observa rapidement le lieu du combat, désormais achevé. Les "gobelins" semblaient victorieux malgré de lourdes pertes dans leurs rangs. Ils n'avaient pas combattu comme de vulgaires bandits de grand chemin et avaient faît preuve d'une stratégie quasi-martiale qui inquiéta soudainement Saria.
Elle ne pouvait rien contre ces créatures. Elle devait retourner à Gnisis alerter la légion, c'est tout ce qu'elle pouvait faire.
Elle sortit de sa poche un petit étui qui contenait le parchemin d'intervention d'Almsivi dont elle avait besoin. Elle se mît rapidement à le lire et déjà la magie qui émanait du parchemin commença à englober tout son être lorsqu'elle entendît comme un hululement à sa droite. Elle n'eu cependant pas le temps de s'y intéresser car la réalité autour d'elle se distordait pour la transporter loin de là ...
#25
Enixos
Famillium Magica
Posté 22 juillet 2004 - 11:13
Le mage sentit la magica reprendre son court dans son corps. D'ici une heure ou deux, elle serait presque à son maximum. Les petites créatures l'avaient libérer, tant mieux. Il était presque certain de les avoir déjà vu. Oui, elles avaient attaqué l'échassier. Il s'adressa à elle juste à la suite du paladin :
- Vous êtes de bon guerrier petits êtres. Moi aussi, j'aimerais parler à votre chef.
- Vous êtes de bon guerrier petits êtres. Moi aussi, j'aimerais parler à votre chef.
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