Aller au contenu


[Rp] La Ville De Pierre

rp Markarth

  • Veuillez vous connecter pour répondre
172 réponses à ce sujet

#101 Wulkos

Wulkos

Posté 23 janvier 2013 - 20:27

*Lucain se trouva relativement satisfait que la décision finale de réformer le collège en académie de mage de guerre, avis qu'il soutenait. Il se demandait en marchant si finalement le faire venir pour si peut était vraiment nécessaire. Saisissant les propos de Bent et Ri'Grassa il se dit lui même que ce Fellanus était vraiment un brave homme, ou en tout cas savait il recevoir. Ses pensées revenant a Carmana il lui prit la fantaisie de l'aller réclamer son rapport, et donc prit la direction du manoir de Neros.*

*L'esprit du capitaine Assuryus est parfois secoué par quelques sautes d'humeur, notamment a la suite d'importantes prises de skooma ou lui vient comme un retours des effets de la substance. Celle qui lui vient alors est euphorique, aussi se met il a chantonner un air qui se chantait souvant lors de certaines  réceptions qui se donnent a Cyrodiil(la cité impériale). C'est donc ainsi qu'il fit le trajet en dansant presque et chantant fortement d'une voix de baryton d'assez bonne qualité [HRP: Bacchus est roi, Jacques Offenbach]*

J’ai vu le dieu Sanguine, sur sa roche fertile,
Donnant à ses sujets ses joyeuses leçons :
Le faune au pied de chèvre et la nymphe docile!
Répétaient ses chansons.

Évohé ! Sanguine m’inspire,
Je sens en moi
Son saint délire !
Évohé ! Sanguine est roi !

Laissez, leur disait-il, les tristesses moroses,
Laissez les noirs soucis aux profanes humains.
Et vous, couronnez-vous des pampres et des rose
Qui tombent de mes mains !

Évohé ! Sanguine m’inspire,
Je sens en moi
Son saint délire !
Évohé ! Sanguine est roi !
"Pierrot... Pierrot... Tu vois, moi... Bah, si j'étais Dieu, ch'croirais pas en moi, oh non... Mais... *kof-kof* Si j'étais moi, hein, *kof* j'me méfierais..."
-Psychanalyse du singe, HFT

L'amour est une névrose.

"Nous voilà de nouveau branchés sur le hasard avec des générateurs diesel à la place du cœur et des pompes refoulantes au niveau des idées... Le vent souffle à travers nos crânes ITT Océanic couleurs! A la page 144 de leur programme, la petite cover-girl emballée sous Cellophane s'envoie en l'air à l'Ajax W.C.. Orgie de silence et de propreté ou celui qui aurait encore quelque chose à dire préfère se taire plutôt que d'avoir à utiliser leurs formulaires d'autorisation de délirer... Demain, nous reviendrons avec des revolvers au bout de nos yeux morts..."
-Autorisation de délirer, HFT

#102 Sifraël

Sifraël

    Mk II


Posté 27 janvier 2013 - 19:54

Jeannot vit l'elfe revenir au bout de quelques minutes. Celui-ci disait pouvoir revenir avec des "instruments". Il était vrai que pour le moment, le prêtre 'avait pas déserré les dents.
- Tu t'y prend mal. Ces illuminés, la force brute les indiffère.
Il ouvrit la boite en bois qu'il avait porté jusqu'ici.
- Bon, qu'est-ce que vous avez amené alors ? parce que je suis quand même en mission, essayer d'obtenir gentiment des informations, ça va, mais faudrait quand même pas avoir de trop gros trucs sur le dos. Surtout que le lieu... madame a dit d'attendre avant de faire quoi que ce soit.
Ununillium avait sorti une masse en acier de la boîte. Jeannot eut à peine le temps de se poser une question qu'il se ramassait un coup dans la poirine. Il y eut un craquement d'os, et il reta inanimé sur le sol.

L'elfe entrprenait de mettre Heimskr dans un grand sac qu'il avait pris avec lui. Il s'adressa à lui, malgré le fait que le prêtre de talos soit bailloné.
- Bon,  la nuit est presque tombé, on va pas rigoler longtemps, donc t'a intérêt à la fermer.
Il mit le prêtre sur son épaule, la masse dans la main droite, et entreprit de sortir.


$$$Tam ! Rugh !$$$

-Je fais quoi avec le prêtre?On le tape jusqu’à ce qu'il parle ou on le libère?On peut vous l'amener aussi, si vous le souhaiter...

Neros, toujours assis, croisa ses mains en fixant Carmana.

- Je ne pense pas qu'il soit utile de faire quoi que ce soit. Gardez-le surveillé, pour éviter qu'il n'interfère avec les problèmes que nous avons, mais rien de plus. j'essairai moi-même de le convaincre de coopérer, demain matin.

On frappa à la porte.

- Tiens, serait-ce le capitaine qui est de retour, suite à ses joutes oratoires avec notre sympathique conseil d'incapables ?

#103 Wulkos

Wulkos

Posté 07 février 2013 - 18:27

*alors qu'on le faisait entrer il commença par une habituelle fastueuse révérence envers le maitre du logis*

-C'est de même que lors de nos dernières entrevues un immense et glorieux plaisir mêlé d'honneur que celui d’admirer l'auguste éclat de vos écailles, cher maitre Néros!

*se tourne vers Carmana*

-Lieutenant Cadiusus, de vous entendre plus tot fut pour moi un ravissement, de vous voir a cette heure m'émerveille!  Mais bref, par la précédente magie vous putes assister au conseil, rien d'autre ne méritant d'etre par moi évoqué, je réclame a l'inverse le rapport que vous me devez fournir!
"Pierrot... Pierrot... Tu vois, moi... Bah, si j'étais Dieu, ch'croirais pas en moi, oh non... Mais... *kof-kof* Si j'étais moi, hein, *kof* j'me méfierais..."
-Psychanalyse du singe, HFT

L'amour est une névrose.

"Nous voilà de nouveau branchés sur le hasard avec des générateurs diesel à la place du cœur et des pompes refoulantes au niveau des idées... Le vent souffle à travers nos crânes ITT Océanic couleurs! A la page 144 de leur programme, la petite cover-girl emballée sous Cellophane s'envoie en l'air à l'Ajax W.C.. Orgie de silence et de propreté ou celui qui aurait encore quelque chose à dire préfère se taire plutôt que d'avoir à utiliser leurs formulaires d'autorisation de délirer... Demain, nous reviendrons avec des revolvers au bout de nos yeux morts..."
-Autorisation de délirer, HFT

#104 Sifraël

Sifraël

    Mk II


Posté 17 février 2013 - 14:11

L'elfe sortit, et Jenifal se glissa dehors juste sur ses talons avant que la lourde porte ne se soit refermée. Elle le suivit rapidement (car malgré le poids qu'il portait, il allait vite), sans un bruit ni laisser la moindre possibilité d'être vue, dans les sombres rues de Markarth, jusqu'à une petite maison comme les autres.

Après avoir attendu quelques instants pour s'assurer qu'il ne ressortait pas, Jenifal s'approcha de la porte de la maison, bien décidée à y entrer... et puisqu'il n'y avait pas de fenêtre, mieux valait faire le tour de la bâtisse. Alors qu'elle réfléchissait à l'opportunité d'utiliser par les conduits d'aérations omniprésents dans les bâtiments dwemers, un bruit la fit se retourner.

L'Altmer était ressorti, et tenait sa masse à la main. Il se tenait encore à trois mètres, sur le pas de la porte, mais en courant il serait en un rien de temps sur elle.

- Je sentais bien que j'avais été suivi... bien que je n'ai rien réussi à repérer... Pour qui travailles-tu ? Réponds ou je te ferais répondre !

- Ta mère, elle veut que tu arrête de faire des co...
Comme elle s'y attendait, l'elfe la chargea avant qu'elle ait terminé. Il ne réalisait sans doute pas que la vieille Nordique en face de lui était une tueuse surentraîné. Au moment où il abattait sa masse de toutes ses forces, Jenifal fit une culbute au-dessus de la tête de son adversaire et planta ses dagues dans son dos. Voulu planter plutôt, puisque la masse l'atteignit à la jambe droite, brisant son élan et la faisant tomber au sol.

Comment avait-il fait pour changer la direction de son arme si vite ? Elle n'eut cependant pas le temps de plus y penser, se relevant avant qu'il ne puisse la frapper, et lui fit face de nouveau. Serrant le seul poignard qu'il lui restait dans la main. l'autre était hors de portée.

-Tu est plutôt agile, qui t'a entraîné? Lui demanda-t-elle.

Il sembla murmurer quelque chose, comme une prière, et repassa à l'attaque Cette fois, elle savait à quoi s'en tenir, et évitait les coups, se plaçant toujours juste assez loin pour être en sécurité. Elle était désormais acculée au fond de la rue. Jouant le tout pour le tout, elle profita d'une ouverture pour attaquer... et voir l'elfe saisir son bras armé. Elle sauta aussi qu'elle le put entre les jambes de son adversaire, l'obligeant à la lâcher pour ne pas tomber.

Quand il se retourna, l'elfe ne vit plus qu'une rue vide. Sentant que quelque chose n'était pas normal. Il retourna à la porte, jeta un dernier regard pour tenter d'apercevoir son opposante, et rentra.

#105 Jouflu

Jouflu

Posté 21 février 2013 - 01:26

Jenifal était cachée dans un coin sombre de la maison, elle avait repris sa vrai forme pour pouvoir changer de couleur. Le haut-elfe retourna a l’intérieur et referma la porte, si qui eu pour effet de plonger encore plus la pièce dans le noir.

- Il est très fort au combat, et rapide en plus. Mais, il a fait l'erreur de laissé la porte de sa maison ouverte derrière lui, et cette erreur démontre qu'il n'a pas souvent affronté d'assassin digne de se nom. Se dit-t-elle a elle même.

Il y avait peut de lumière dans la pièce, se qui convenait a Jenifal qui aimait se battre dans le noir. Au font de la pièce attaché a une chaise, le prêtre commença a sortir de son inconscience, quelle fut sa surprise de voir une table pleine d’instruments de torture devant lui. Jenifal sourie en voyant la terreur sur le visage de l'homme.

- Ha, que sa me rappelle de bon souvenir. Se remémora t'elle.

Ulliminium barra la porte et alla sa-soir devant son captif. Jenifal tendit l'oreille pour savoir de quoi il en tourne.

#106 GhOsTKosTyAn

GhOsTKosTyAn

Posté 25 février 2013 - 19:04

*Carmana vit entrer l'officier dans la pièce et lui fit un sourire, elle était heureuse de le revoir à nouveau, elle pouvait sentir les palpitations dans sa poitrine quand elle regardait son supérieur*.

-Nous avons interrogés un prêtre et celui-ci n'est pas très coopératif, demain matin, Monsieur Neros ici présent ira l'interroger.Il nous a juste dit qu'il n'y avait qu'un seul sanctuaire en ville, pour le reste, ce rat ne nous a rien dit.J'ai pris son amulette et par une magie que je n'avais jamais vu, j'ai pu parler avec vous et suivre le conseil, voilà, c'est tout ce que j'avais à vous dire.Déclara la jeune femme

*La jeune posa une main sur sa hanche, puis regarda l'homme dans les yeux*

-Que prévoyez vous de faire maintenant?*Dit l'impériale en lui faisant un clin d'oeil.

#107 Sifraël

Sifraël

    Mk II


Posté 05 mars 2013 - 09:32

L'Altmer avança à pas lent dans la pièce principale, prit la porte sur sa droite, et commença à descendre un escalier. Il arriva dans ce semblait être une salle aménagée à même la pierre, au centre de laquelle une pierre taillée en un grand hexagone de métal noir avait été posée. Juste devant, on avait le croisement entre un autel et une statue en forme de main, mais une mains démoniaque, avec trois griffes acérées en lieu et place de doigts.

Heimskr était là, toujours assommé, reposant sur la grande pierre. Ununnilium passa à côté de lui sans même lui jeter un regard. Il posa sa masse dans le creux de la main, et s'agenouilla.

- Que dois-je encore faire, ô Roi du Viol ? Le prêtre des divins est là, à attendre son supplice.

Vous... voulez un autre sacrifice ? Un adorateur d'une autre puissance daedrique pour votre plaisir éternel ?

Il se prosterna face contre terre, murmurant une prière


Le Commandant fit alors son apparition.

- C'est le moment de frapper, soldat !

Et, appuyant ses paroles par des actes, il s'avança derrière l'Altmer, pour montrer que la voie était libre.


"Mais les pluies pleurent en sa tanière,
Et plus personne ne l'entend."

(Chanson composée suite à la manière sanglante avec laquelle Thoros a fait partir Ulfric, l'Ours de Markarth, de la Ville via la légion.)



Neros, qui n'avait pas bougé jusque là, les interrompit.

- Capitaine, j'aimerais tout d'abord que vous me racontiez ce qui s'est passé durant ce conseil. Tout me laisse à penser qu'il s'y est dit des choses d'importance.
Des décisions ont-elles été prises ? Y-a-il de nouveaux éléments que nous devrions prendre en compte ? Et vous-êtes vous fait une idée sur les gens sur lesquels nous pourrions compter en cas de besoin, et ceux qu'il faudra surveiller et éliminer au moindre signe de danger ?

Son regard, généralement vide, semblait être devenu bien plus acéré, et il regardait Lucain droit dans les yeux ; on voyait qu'il s’apprêtait à noter tous les détails, même mineurs,et à modifier ses plans en conséquence.

Modifié par Sifraël, 10 mars 2013 - 21:00.


#108 Jouflu

Jouflu

Posté 06 mars 2013 - 16:05

- C'est le moment de frapper, soldat !

Jenifal se lança. Elle longea le mur à tout vitesse sans faire un bruit, quand le haut-elfe se retourna. C'était comme si quelqu'un l'avait prévenu de l'attaque. Elle lui lança sa dague, son adversaire la bloqua de justesse avec sa masse. Jenifal continua sa charge, elle évita un coup de masse et frappa avec la paume de sa main, puis avec le bout de ses doigts et finalement avec son poing la poitrine de l'elfe au même endroit. Elle fit un bond de côté pour évitée la contre-attaque de son adversaire.

- C'est quoi cette attaque de merd... AHRRR!

L'altmer tomba à genou, une terrible pression sur son coeur lui causait une douleur inimaginable a la poitrine, du sang coulait de sa bouche et son nez.

- Cette un prise d'Akavir don j'oublie toujours le nom. Moi, je l'appelle, la putain de frappe qui fait exploser le coeur. Dit-t-elle avec un sourire sadique.

- Tes qui toi? Demanda l'elfe à l'agonie.

- Moi?

Jenifal prit la forme de la veille nordique, puis celle de Cocius, elle prit même la forme Unillinium avant de reprendre sa véritable apparence.

- Je suis qui je veux.

#109 Wulkos

Wulkos

Posté 10 mars 2013 - 21:40

*s'approche de Carmana, la contemplant un instant*

-Ha, Lieutenant Cadiusus, il me faudrait sans doute retourner au camp dans un premier temps, mais il serrait peut etre préférable -pour moi même(et vous je suppose), j'entends- qu'avant cela...

*résume les principales décisions du conseil a l'argonien, évoquant l'espion serait en ville, le vice des gardes, l'agent du Thalmor sur le chemin et la juste, évidente, judicieuse et appropriée décision de réformer le collège en académie de mages de guerre*
"Pierrot... Pierrot... Tu vois, moi... Bah, si j'étais Dieu, ch'croirais pas en moi, oh non... Mais... *kof-kof* Si j'étais moi, hein, *kof* j'me méfierais..."
-Psychanalyse du singe, HFT

L'amour est une névrose.

"Nous voilà de nouveau branchés sur le hasard avec des générateurs diesel à la place du cœur et des pompes refoulantes au niveau des idées... Le vent souffle à travers nos crânes ITT Océanic couleurs! A la page 144 de leur programme, la petite cover-girl emballée sous Cellophane s'envoie en l'air à l'Ajax W.C.. Orgie de silence et de propreté ou celui qui aurait encore quelque chose à dire préfère se taire plutôt que d'avoir à utiliser leurs formulaires d'autorisation de délirer... Demain, nous reviendrons avec des revolvers au bout de nos yeux morts..."
-Autorisation de délirer, HFT

#110 Sifraël

Sifraël

    Mk II


Posté 19 mars 2013 - 22:00

Jenifal se pencha sur le prêtre. Celui-ci, encore sonné, semblait commencer à sortir des vapes, et avait plus ou moins compris que son agresseur avait été neutralisé..

- Ô, Talos ! Ô Grand Talos ! Tu viens encore une fois me sortir des griffes du Thalmor.
Vous...  vous qui m'avez sauvé. Vous êtes un envoyé du neuvième Divin !

Alors que Jenifla était encore à regarder Heimskr, elle se ramassa un grand coup de massue sur la tête.


Elle ouvrit les yeux. Elle était fermement attachée, couchée à côté du prêtre, qui semblait avoir de nouveau été assommé. Sa santé mentale ne s'en améliorerait sûrement pas. Ununnilium se tenait, accroupit, au dessus d'elle.

- Coucou ! C'est bête, hein, mais il est généralement assez inutile de tuer un adorateur d'un Daedroth lorsqu'il est en prière. Surtout lorsque celui-ci est sur le point de se faire récompenser pas la légendaire masse de Molag Bal. Je dois dire que je devrais faire attention, je prends de plus en plus de plaisir à découvrir les différentes manières d'agoniser. Bal ne le tolère sans doute que parce que je ne l'en sert que mieux, apprenant à mieux infliger des souffrances.

Je ne pensais pas que j'aurais l'occasion d'avoir en plus une Thalmor, mais je ne m'en plaindrais pas. Le Roi du Viol sera des plus heureux de cette offrande surnuméraire. J'ai encore un petit truc à régler, et je reviens. Quelques heures, une journée tout au plus, vous aurez l'e temps de discuter. Regarde, je t'enlève même ton bâillon.


Ah, oui, et je dois dire que je préfère la Pluie de Sable d'Elsweyr à ces trucs Akavirois. Les Tsaescis sont connus pour être des beaux parleurs, et pour bien manier l'épée, mais les arts-martiaux quand on a pas de pieds... je te ferai une démonstration pour te montrer ce que des griffes rétractables, (fabriquées sur mesure) apportent comme piquant.


Pour la Crevasse !



Après avoir écouté Lucain, Neros sembla inquiet. Il demanda des détails sur plusieurs points, avant de s'exprimer :

- Les choses s'accélèrent. Il ne fait aucun doute que le Thalmor mettra moins de deux jours pour arriver s'il n'est pas la demain dès l'aube. Tout cela sent le coup monté. Nous allons devoir accélérer aussi.

Carmana, il faudrait que vous trouviez un moyen pour vous assurer des portes de la ville. Notre but est bien entendu qu'elles restent ouvertes, nous avons la légion avec nous, mais d'autres ne l'ont pas, et auraient tout intérêt à ce que nous soyons isolés. De même, si nous devions nous lancer dans des actions... répréhensible, mieux vaut que le Légat Tricerabith puisse affirmer avoir été bloqué hors de la Ville.
Prévenez votre collègue et l'homme que je vous ait confié, en attendant, qu'ils fassent attention au prisonnier. S'ils peuvent s'assurer, avec le minimum de violence qu'il n'y a pas d'autre temple en ville, ce serait le mieux. Si jamais vous aviez besoin de gros bras, les deux "fossoyeurs" auxquels vous avez eu affaire, Mathieu Petit et Sven le Rachitique, seront prévenus. Ils sont théoriquement au service de Felannus.
Enfin, si vous avez besoin de quoi que ce soit, que ce soit des informations ou à me contacter, adresser vous à n'importe que enfant des rues. J'aime tant ces charmants bambins.

Capitaine Lucain, essayez autant que possible de rester près de Pustula Felannus. Il a l'air de vous appréciez, et si vous vous rendiez à sa Tour de Sucre ce soir, je suis sûr qu'il vous accueillerait lui-même. Si nous devions lancer l'offensive, c'est le genre d'individu dont il faudrait s'assurer en priorité, que ce soit avec ou sans violence. A l'avenir, évitez autant que possible de vous rendre chez moi.

Modifié par Sifraël, 19 mars 2013 - 22:07.


#111 Jouflu

Jouflu

Posté 21 mars 2013 - 23:16

- Ô, Talos ! Ô Grand Talos ! Tu viens encore une fois me sortir des griffes du Thalmor.
Vous...  vous qui m'avez sauvé. Vous êtes un envoyé du neuvième Divin !

Jenifal écoutait le prête qui la louait de lui avoir sauvé la vie.

- Si seulement il savait pour qui je travail. Se dit-t-elle avant d'être interrompue dans sa réflexion par un coup de masse sur la tête.

******

Elle ne savait pas pourquoi on l'avait jetée là, avait-t-elle fait quelque chose de mal. Pourquoi le commandant la punissait-t-elle. Elle avait fait beaucoup de progrès, elle ne c'était pas plein de l'entrainement difficile et éprouvant. Elle avait réussi à 9 ans se que des adultes étaient pour la plus par incapable de faire. Alors pourquoi il la jeta dans cette cellule sombre au fond d'un donjons sale et puant.

Elle était restée 3 jours dans le noir sans nourriture et sans eau quand le commandant Jonas lui rende visite dans sa cellule. Il la regarda dans les yeux, et lui jeta un morceau de pain et une petite bouteille d'eau. Jenifal se jeta sur ses maigres vives et les engloutis en quelques secondes. Puis demanda d'une voix tremblante.

- Commandant, je suis désolée si j'ai fait quelque chose de mal...

- Silence! Lui répondit-t-il sèchement.

Jenifal se tue, et écouta son supérieur hiérarchique comme le bon petit soldat qu'on lui avait apprit d'être.

- Cadet Jenifal, vous avez prouvée que vous être d'un grand talent à l'entrainement. Vous êtes très talentueuse pour votre jeune âge. Mais être bonne à l'entrainement ne prouve pas que vous êtes capable de faire une mission, d'aller jusqu'au bout peut-importe les risques et les obstacles dans revenir vivante.

Il se tu un moment, pour faire sur qu'elle avait bien comprit de quoi il en retournait. Puis, il reprit.

- Vous être enfermée dans une cellule, dans les ruines d'un donjons trois niveaux sous la terre. Cette ruine truffer de pièges et d'autre danger est à 150 kilomètres de toute civilisations au beau milieux du désert. Tu devras sortir de cette cellule, remontée a la surface et traversé le désert si tu veux survive. Se bout de pain et cette bouteille est tous se que je te donne, maintenant tu devras te débrouillée seule pour survive, et alors je serais si tu est capable ou si mourra comme tous les autres.

Il sortit s'en jeté un seul regard derrière lui. La porte de la cellule se referma.

  *****

Jenifal se réveilla, elle ne mit pas longtemps à comprendre qu'elle était dans la merde. Elle était couchée sur le ventre, les mains et les pieds attachées et reliées par une corde dans son dos et elle avait un bâillon dans la bouche. Elle leva les yeux et vu l'elfe qui la regardait avec satisfaction.

- Pourquoi est-t-il encore envie?  Se demanda-t-elle.

- Coucou ! C'est bête, hein, mais il est généralement assez inutile de tuer un adorateur d'un Daedroth lorsqu'il est en prière. Surtout lorsque celui-ci est sur le point de se faire récompenser pas la légendaire masse de Molag Bal. Je dois dire que je devrais faire attention, je prends de plus en plus de plaisir à découvrir les différentes manières d'agoniser. Bal ne le tolère sans doute que parce que je ne l'en sert que mieux, apprenant à mieux infliger des souffrances.

Je ne pensais pas que j'aurais l'occasion d'avoir en plus une Thalmor, mais je ne m'en plaindrais pas. Le Roi du Viol sera des plus heureux de cette offrande surnuméraire. J'ai encore un petit truc à régler, et je reviens. Quelques heures, une journée tout au plus, vous aurez l'e temps de discuter. Regarde, je t'enlève même ton bâillon.


Ah, oui, et je dois dire que je préfère la Pluie de Sable d'Elsweyr à ces trucs Akavirois. Les Tsaescis sont connus pour être des beaux parleurs, et pour bien manier l'épée, mais les arts-martiaux quand on a pas de pieds... je te ferai une démonstration pour te montrer ce que des griffes rétractables, (fabriquées sur mesure) apportent comme piquant.

Après lui avoir retirée son bâillon, il se leva et se dirigea vers la sortie.

- Ou est mon commandant! Lui cria-t-elle.

Si ton commandant est bien se que je crois. Il est dans la pièce d'accoter avec tes armes et ton armure. Répondit-t-il avec un grand sourire.
     ​
​Jenifal ne se souvenait pas la dernière fois qu'elle c'était retrouvée dans position aussi humiliante. Elle chassa cette pensée de son esprit pour se concentrer sur la façon de s'échappé. Elle se tortilla les poignets et les chevilles sans résulta. Quand le prête se réveilla.

- Désolé de te dire sa, mais tes prières n'ont pas été exaucées. Lui dit-t-elle avec un sourire ironique.

Modifié par Jouflu, 21 mars 2013 - 23:23.


#112 Wulkos

Wulkos

Posté 01 avril 2013 - 12:52

*affiche un sourire gaillard a l'évocation de la dite tour de sucre, dont les bribes d’impressions de la précédentes soirées lui étaient encore fortes*

-Ce conseil, mon sieur, en est un juste, et assurément l'idée est de bon ton selon la nécessitée qui en ce cas ne m'est pas détestable, ha! Je m'en vais quitter votre agréable société, car il me semble approprié de m'en aller faire mon rapport au légat Thricérabith.

*salut encore longuement Carmana en multipliant les compliments a la manière des gens de la cour impériale dont il fit partit, achevant bien sur par des révérences improbables par leur complexités, et, dans le vestibule, se revêt de ses effets civils, un peu plus surs et discrets. En profite pour se perdre aussitôt dans les rues de la ville des nains, mais n'en étant pas irrité il admire les différents bâtiments et monuments en espérant tomber par hasard sur la rue principale, chantonnant un air joyeux, lequel relate une légende anecdotique dont les acteurs serraient Shéogorath, Boethia, et un citoyen de Rihad nommé Alonzzito Lharr-Mektariq*
"Pierrot... Pierrot... Tu vois, moi... Bah, si j'étais Dieu, ch'croirais pas en moi, oh non... Mais... *kof-kof* Si j'étais moi, hein, *kof* j'me méfierais..."
-Psychanalyse du singe, HFT

L'amour est une névrose.

"Nous voilà de nouveau branchés sur le hasard avec des générateurs diesel à la place du cœur et des pompes refoulantes au niveau des idées... Le vent souffle à travers nos crânes ITT Océanic couleurs! A la page 144 de leur programme, la petite cover-girl emballée sous Cellophane s'envoie en l'air à l'Ajax W.C.. Orgie de silence et de propreté ou celui qui aurait encore quelque chose à dire préfère se taire plutôt que d'avoir à utiliser leurs formulaires d'autorisation de délirer... Demain, nous reviendrons avec des revolvers au bout de nos yeux morts..."
-Autorisation de délirer, HFT

#113 Sifraël

Sifraël

    Mk II


Posté 06 avril 2013 - 13:31

Heimskr commençait à sortir des vappes lorque Jenifal s'adressa à lui.

- Désolé de te dire sa, mais tes prières n'ont pas été exaucées.

- Ce... C'était vous qui avez tenté de le neutraliser ? Quel dommage que les actes saints ne soient plus récompensés comme avant... C'est la faute à ces Thalmor, qui promeuvent l’impiété et l'intolérance. Il ne nous reste, je le crains, plus qu'une seule chose à faire : prier pour que notre mort soit rapide et sans douleur. Je recommande votre âme à vos Dieux, madame, quel que soit l'endroit où ils l'emmèneront, car il ne sous reste que quel....

Il s'arrêta brusquement.
Une voix s'était mise à résonner dans la tête de Jenifal. Et vu la tête que faisait le prêtre, il devait lui arriver la même chose.

- Salut, mortelle. Il est en effet l'heure de prier, mais de me prier moi, Molag Bal, Roi du Viol. Ta foi est limitée, mais ton bras est fort. Ta souffrance m'apporterait beaucoup de plaisir, mais tu pourrais bien me servir.
Ununnilium me lasse, avec ses tours dans lesquels je dois toujours l'aider. Voue-moi ton bras, et ton âme, et tu seras libre, tant que tu apportera douleur et trouble à Tamriel. Peut-être même te récompenserai-je lors de tes haut-faits.



Heimskr s'était levé. il semblait ahuri, ne comprenant pas ce qui se passait et répétant "Talos, Ô grand Talos, guidez-moi de votre lumière. Stendarr, chassez ces pensées impies de mon esprit. Dibella, Mara, Kyne, conservez la force qui me permet d'aimer vos enfants."

Regarde, en gage de ma bonne foi, je t'enlève tes liens. Tue le prêtre, renie le Thalmor, et soumet-toi à ma puissance.

Loin, très loin semblait-il, résonnait la Voix presque étouffée du Commandant

- Soldat ! L'article 1008-b est très clair : en cas d'intervention daedrique, il est permis de laisser temporairement des hérétiques mineures en vie, pour aider à assainir les lieux de toute puissance maléfique. Procédure 36-p : Restez couchée, retrouvez votre calme, et attendez le retour de l'adorateur daedrique; Ensuite, procéder selon l’appendice 4.5 et...



XXX L'Amour n'est pas seulement un constituant des humeurs et des affaires, mais aussi le matériau brut à partir duquel les relations produisent des heures plus tard de l'exaspération, de  regrettables restrictions forcées, des énigmes nouées par l'affection que seul le couple amoureux peut connaître et des regards s'attardant un peu trop longtemps [...] XXX




Alors que Lucain était sur le point de sortir de la route principale, la rue menant à la Tour de Sucre devant, d'après ses souvenirs embrumés de la soirée de la veille, se trouver peu après, son attention fut attirée par une silhouette dans une ruelle sombre qui lui faisait signe d'approcher.

En y prêtant attention, Lucain réalisa qu'il s'agissait d'une Orque, habillée d'une robe brodée aux symboles de Dibella. L'orque lui fit encore signe d'avancer dans la ruelle. Lucain s'approcha précautionneusement d'un pas ou deux, ne sachant pas ce qui se passait. Ce ne fut que quand il ne fut plus sur la rue principale qu'elle accepta de lui parler.

- C'est vous, le membre de la Commission, n'est-ce pas ? Vous n'avez pas été suivi ? Mais j'en oublie de me présenter, je suis Bumac gra-Bol, grande prêtresse de Dibella dans cette belle ville.
Je ne sais pas ce que la légion croit faire, mais ce qui est sûr, c'est qu'elle est en train de jouer le jeu de ses ennemis, et particulièrement du Thalmor.
Le temple des Divins a, autant que possible, évité de se positionner contre le Collège et contre les prêtres dissidents de Talos, mais ce n'est plus possible. Notre seul espoir réside dans la famille Sang d'Argent, qui arrive encore à faire passer les intérêts de tous avant son profit personnel.

Thonar cherche à éviter que tout cela ne se termine dans un bain de sang et dans un massacre d'innocents. Alors que vos actions laisseraient penser l'inverse. Il m'a autorisée à vous expliquer quelques détails.

L'Argonien, chez qui vous êtes allé une ou deux fois pour des informations. N'ayez pas confiance en ce qu'il vous dit. C'est un menteur ; il prétend venir de Gothway Garden, mais il ne sait même pas le placer sur une carte. J'en suis sûre, j'ai vécu en Dwynnen pendant des années. D'ailleurs, quoi que dise Bendt Frey, il n'a pas du tout l'accent de Kirkbridge. Que ces deux là préparent quelque chose ensemble depuis longtemps ne m'étonnerait pas. L'un comme 'autre fait déjà froid dans le dos, et en plus, ils cachent leur passé.
Quand à Pustula, il vénère des daedra. Vous ne vous accoquineriez pas avec des démons ?
Vous-êtes entouré de personnes en qui vous ne pouvez avoir confiance. Vous n'arrivez pas à régler cette affaire assez vite, et un Thalmor est même en train d'arriver. Bien sûr qu'il le sait, Thonar a ses informations.

Si vous voulez un conseil, faites votre rapport au Légat, et attendez demain ; que vous soyez prèt ou non à accepter les propositions qu'il vous fera, Thonar accepte de vous recevoir. Demain, à dix heures, précisément.
Au revoir, soldat. Et si jamais vous aviez du mal à garder la foi en ces temps troublés, n'hésitez pas à aller me voir, à toute heure du jour et de la nuit, pour voir que les Divins sont avec nous.

Modifié par Sifraël, 06 avril 2013 - 13:35.


#114 Wulkos

Wulkos

Posté 09 avril 2013 - 19:52

*Abordé alors qu'il se promenait candidement, l'aristocrate ne put qu'écouter avec attention le flot soudain de paroles de cette improbable inconnue qui s’éclipsa aussitôt le laissant la un instant immobile. Lucain, homme tout de même assez pieux malgré ses opinions théologiques "originales", apprécie beaucoup la divine Dibella: la déesse de la beauté ayant la secondaire qualité d’être l’objet de plusieurs cultes artistiques voyant en elle la muse ultime. Elle est donc en ce point complémentaire a Shéogorath, dont la folie mène au génie créatif... Naturellement et absolument opposé a cela est l'avis du clergé de la déité, le sachant il évite d'aborder cette partie du sujet lors de conversation avec les charmantes Vestales. Charmantes vestales... Il est évidant que pour honorer la déesse son culte doit être assuré par de belles femmes et de beaux hommes. Mais en ce cas, comment une... Orque peut elle y avoir son ministère? L’absurdité est fille de Shéot, mais ce cas la n'est que celui d'un infâme sacrilège! Un nez écrasé... La peau verte... De méchantes dents dépassant de la mâchoire inférieur d'une bouche énorme! La nature de ces êtres est a leur image, sans raffinement: grotesque.*

*Les pensées de l'officier vagabondèrent donc sans logique durant tout le chemin jusques au camp, ou il faisait son but de rapporter les derniers fait au Légat. Le fait de rencontrer Thonar est intéressent, et tant qu'il peut retourner avant cela a la tour de sucre, il ferra son devoir avec enthousiasme*
"Pierrot... Pierrot... Tu vois, moi... Bah, si j'étais Dieu, ch'croirais pas en moi, oh non... Mais... *kof-kof* Si j'étais moi, hein, *kof* j'me méfierais..."
-Psychanalyse du singe, HFT

L'amour est une névrose.

"Nous voilà de nouveau branchés sur le hasard avec des générateurs diesel à la place du cœur et des pompes refoulantes au niveau des idées... Le vent souffle à travers nos crânes ITT Océanic couleurs! A la page 144 de leur programme, la petite cover-girl emballée sous Cellophane s'envoie en l'air à l'Ajax W.C.. Orgie de silence et de propreté ou celui qui aurait encore quelque chose à dire préfère se taire plutôt que d'avoir à utiliser leurs formulaires d'autorisation de délirer... Demain, nous reviendrons avec des revolvers au bout de nos yeux morts..."
-Autorisation de délirer, HFT

#115 Jouflu

Jouflu

Posté 12 avril 2013 - 22:08

Jenifal pesait le pour et le contre de la proposition de l'altesse daedrique. Bien que son offre était tentante, elle savait qu'on ne pouvait pas vraiment faire confiance aux daedras en général. Elle avait reçue un ordre du commandent Jonas qui lui disait de rester en place.

-Et merde! cette situation ce complique. Se dit-elle.

​Elle se leva et se dirigea vers le prêtre qui était en plein délire religieux aux yeux de Jenifal. Elle se plaça devant lui, se qui pour effet de le faire taire.

- Je sais se que je vais faire.

Elle donna un violant coup de poing au religieux, si qui eu pour résulta de lui faire perde conscience encore. Elle le détacha et le prit sur son épaule et sortie de la pièce. Elle le déposa dans le couloir pour aller chercher ces affaires dans la pièce d'accotée, elle mi son armure prit son sac. Elle regarda la tête de Jonas.

-Désoler commandant, mais il y a des fois ou un soldat doit aller à l'encontre de ordres données par son supérieur. Dit-elle en rentrent la tête du commandant dans son sac pour l'empêché de protester.   


Elle revient dans le couloir ou le prêtre venait de sortir de son inconscience.

-Vous m'avez brisé le nez! Se plaigna-t-il  en tenant son nez brisé dont le sang coulait.

Elle lui replaça le nez d'un coup sec. Le prêtre lâcha un cris un douleur avant que Jenifal le pique avec un dard quelle sortie de sa poche. Le prêtre sous l'effet de la drogue que lui avait injectée Jenifal se calma et tomba dans un état semi-conscient. Elle l'aida a marché et sortie de la maison, elle regarda de chaque côté de la rue.

-Bon maintenant il faut que je trouve un endroit ou mettre se crétin.

Elle repéra un homme qui marchait dans sa direction. Elle le reconnu, c'était l'impérial qu'elle avait vue avec les membres du conseil. Jenifal changea de forme, elle prit l'apparence d'une belle jeune femme nordique aux long cheveux roux frisés et yeux couleurs noisettes avec des habits de voyageur sales. Quand l'homme passa prêt d'elle, elle lui demanda.

-Pitié monsieur, mon père est blessé. Il a besoin d'aide. Dit-t-elle avec un regard suppliant, les larmes aux yeux.

Modifié par Jouflu, 12 avril 2013 - 23:53.


#116 Aerlynn

Aerlynn

Posté 14 avril 2013 - 20:50

Ce matin, Enelis, en se levant, ne su qu’elle jour il était, tant ces derniers matins se ressemblaient en tout point. Ils se déroulaient de cette manière :
Avant les premières lueurs, elle se levait et prenait le temps de s’étirer, les journées étant longues et mettant ses nerfs à rude épreuve, elle ne pouvait exclure ce petit rituel de ses habitudes. Elle enfilait ensuite des vêtements chauds et, se rendait, en cas de grande motivation, vers le lac le plus proche de la cité pour un bain glacé mais vivifiant, profitant de l’absence des citadins les plus matinaux, et de la tranquillité toute relative des environs. Puis, elle s’apprêtait à rejoindre la ville pour entamer sa journée lorsque soleil baignait les murs de pierre d’un rayon aveuglant.

Le coût de sa chambre était inclus dans son salaire, et ne lui revenait pas si cher ; c’était en partie l’achat des matières premières et du matériel essentiel pour ses activités qui avait creusé un trou dans sa bourse, pourtant bien remplie à son arrivée à Markarth, quelques semaines plus tôt. En effet, cette escapade ne s’étant guère décidée à la dernière minute, elle avait eu le temps d’économiser un peu d’or en travaillant avec son père. Secrètement. Pour la première fois, elle lui avait menti sur ses intentions et avait décidé de faire son chemin seule, de prendre un nouveau départ, et accessoirement… de chercher un sens à son existence, s’il y en avait un. Ces dernières années avaient été difficiles, les conflits se succédant, les rancœurs s’accentuant, mais l’amour demeurant… C’était presque un déchirement pour elle, de le laisser à Vendeaume, car elle le vivait comme un abandon, et lui avait tout donné.

Pourtant, elle n’avait pas douté un seul instant du bien fondé de sa décision : il était temps pour elle de s’éloigner, de prendre du recul, et de suivre sa propre voie. Et ce n’était pas un adieu. Du moins, c’était ce qu’elle ne cessait de se répéter en pensée, comme une ritournelle.
Dans la charrette accompagnant la caravane qui l’avait conduite sur les routes escarpées et embrumées de Bordeciel, elle n’avait pris que le nécessaire avec elle, ne désirant pas s’encombrer inutilement.

Et une fois arrivée dans la ville de pierre, tout était à construire. Une grande partie de son temps était consacré à l’auberge dans laquelle elle avait le gîte, le couvert, et également un revenu pour ses services tantôt de musicienne, tantôt de serveuse. Dans son voyage, elle avait prit avec elle le précieux luth de sa mère, un magnifique instrument de musique qu’elle n’avait pas fait chanter depuis bien longtemps. Et la mélopée de ses souvenirs résonnaient à présent dans la grande salle, réchauffant l’atmosphère et le cœur des habitants certains soirs, parfois même autant que le feu qui crépitait lugubrement dans l’âtre, selon le profil de ses auditeurs.

Très observatrice, la jeune nordique reconnaissait aisément les habitués et clients occasionnels, les plus troublés par la mélodie des plus indifférent qui lui accordaient tout juste un regard, par simple curiosité. Cet exercice la comblait et la rassérénait car elle n’avait que peu joué ces derniers temps par manque d’occasions et d’envies… également. Et ces talents de jeune barde plaisaient aux propriétaires de l’auberge, ce qui étaient non moins important, dans sa situation actuelle.

En revenant de sa sortie matinale, elle aida Hroki à passer un peu le balais dans la grande salle et rangea la vaisselle restante de la veille, puis retourna à ses occupations qui lui prenaient la majeure partie de son temps libre ces derniers jours.  Sa chambre était un véritable musée de curiosités et un fatras d’outils disposés pêle-mêle sur les étagères et à même le sol. La pièce était plutôt spacieuse, pour une chambre d’auberge, mais lorsque l’est habitués à avoir de la place à foison, il est difficile de tout garder en ordre dans un environnement où la promiscuité est autant de mise. De plus, la pièce ne comportait aucune fenêtre, ni meurtrière, ainsi qu’il en était des anciennes constructions Dwemers, la lumière ne semblant pas les avoir préoccupés d’avantage que cela. Même en plein jour, Enelis était contrainte d’allumer les nombreuses bougies et autres lanternes qu’elle avait disséminées ça et là pour y voir suffisamment clair. Et toute cette grande mise en scène pouvait aisément, au yeux d’un étranger, avoir l’aspect d’un sombre messe liturgique ou autre culte sibyllin.

Tout l’après midi, elle travailla sur l’un des tableaux qu’elle était en train d’achever et profita de la douceur du temps pour déplacer son chevalet dehors. Un jeune garçon qui la vit à l’oeuvre la complimenta sur son « dessin » , ce à quoi Enelis répondit avec un sourire sincère et une friandise au miel qu’elle sortie de l’une de se sacoches. Puis le soir vint, le soleil déclinant à une vitesse folle et plongeant la ville dans une farandoles d’ombres projetées par les murs qui entouraient la cité. Elle se prépara pour le service du soir, changea sa tenue et salua les premiers clients, les plus affamés après une longue journée de dur labeur…

Modifié par Aerlynn, 14 avril 2013 - 20:50.

"Klatu Verata N... Nekta... Nectarine... Nicole... Nouille ! Non, ça m’étonnerait. Ça commence par un N. C'est facile à trouver c'est un mot en N ! Klatu Verata Nnnnhumhumhum ! [fait semblant de tousser] Ben voilà ! J'l'ai dit !"
Evil Dead 3
_____________________

Un seul jeu, une seule foi...

VGM

(Note perso : penser à trouver une nouvelle signature.)

#117 GhOsTKosTyAn

GhOsTKosTyAn

Posté 16 avril 2013 - 07:56

*La jeune femme se mit au garde à vous, puis sortit de la maison dwemer de Neros, elle était plutôt heureuse de sa première mission, tout se passait bien pour une fois, personne de blessé et un prisonnier, mais elle se demandait encore ce qu'elle faisait ici, pourquoi elle?D'autres agents de l'empire aurait rempli cette tâche bien mieux qu'elle, elle n'était qu'une soldat!Pas un espion!Elle se dirigea vers le temple ou elle avait capturé Heimskr, le prêtre de Talos pas très bavard.Elle ne savait pas pourquoi, elle le sentait mal, déja la porte était à moitié ouverte.*

-Pourquoi c'est ouvert?Ils suivent pas les ordres les petits cons, je suis sûr qu'ils sont allés boire un coup....Murmura l'impériale

*La jeune femme pénétra dans la temple, elle vit la chaise ou était placé le prêtre vide, les cordes était mise au sol, visiblement, il s'était échappé.Puis elle tourna son regard vers le sol, ou elle pu voir Jeannot, inanimé, elle couru vers ce dernier, pour voir si elle pouvait le sauver.

-Oh,non!Je perds pas un membre de la légion maintenant, c'est sûr!je t'ordonne de pas crever!Tu m'entend je te l'ordonne!!Putain de merde!Hurla la jeune femme, au bord des larmes.

*Elle fit un sort puissant de guérison, qu'elle réussissait à maintenir, elle se concentra un maximum sur les plaies du légionnaire, qui se trouvait au niveau du torse, suite à violent coup de masse, elle regarda si l'homme avait encore un rythme cardiaque, mais elle vit que ce n'est était pas le cas, elle continua de longues minutes à maintenir son sort, sur les plaies du jeune homme, mais finalement, sans résultat.Le jeune homme était déjà mort depuis un certain temps.*

-Merde!Merde!C'est pas vrai!Non...C'est pas vrai!Hurla la jeune femme C'est cet elfe, je suis sûr que c'est lui!Je lui faisait pas confiance à la base...

*La jeune femme ravala ses larmes, et se dirigea à nouveau vers la maison de Neros, ce trajet était familier maintenant, elle trouvait de plus en plus cette ville belle et majestueuse, bien qu'un peut oppressante, sa première source d'attention serait tout d'abord de retrouver cet elfe, elle pénétra dans la maison de Neros, elle trouva ce dernier dans la salon, sur un sofa.*

-Monsieur, j'ai une mauvaise nouvelle, le prisonnier s'est évadé, et l'elfe qui était sensé le garder est parti, et le légionnaire Jeannot est.....Mort Soulfa la jeune femme Je fais quoi maintenant Monsieur?

Modifié par GhOsTKosTyAn, 16 avril 2013 - 07:57.


#118 Sifraël

Sifraël

    Mk II


Posté 22 avril 2013 - 13:23

Hreinn rentra dans la cuisine. Comme il s'y attendait, son père Kleppr s'était endormi sur sa chaise alors qu'il pelait les patates.
- Père. Réveillez-vous !
le vieil homme ouvrit un œil, puis se redressa. Hreinn prit le couteau et commença à peler, couper, et ralluma le feu qui s'était presque éteint.

- Toi, mon fils, au moins tu accepte que ton pauvre vieux père ne possède plus la forme de sa jeunesse... On ne peut pas en dire autant de toutes...
- Hreinn ! Viens ici ; les clients commencent à arriver.
- Oui mère, j'accours. Désolé, père, vous allez devoir terminer vous-même.

Il repassa dans la grande salle, et reconnu les habitués ; Vorstag le mercenaire, et les Graies, trois sœurs qui à 40 ans passés s'étonnaient toujours de ne pas avoir trouvé de mari. Pas étonnant vu leur caractère. Il sorti la bière préférée de Vorstag, et commença à lui en verser une chope. Sa mère le regardait de travers.

- Ton père dormait encore ? Quelle idée j'ai eu de me marier avec lui !  Et toi, ne remplit pas trop la chope de cet... homme. Il ne nous a pas payé depuis trois semaines.
- C'est normal, mère. Il n'a pas eu l'occasion de travailler depuis longtemps. Mais dès que quelqu'un aura besoin de lui, ses poches se rempliront de nouveau, et pas qu'un peu. Sa clientèle est composée de gens riches, se trouver à l'auberge est bon pour son image et ses affaires.
- Mais ce n'est pas bon pour les nôtres. Tu ne lui servira que du bouillon, désormais, et qu'en demi-portion. Et s'il veut faire du feu dans sa chambre, désormais, qu'il n'espère plus que nous lui fournissions.
Bon, où est la fille qui doit remplacer ta soeur ? Encore à peindre et à chanter ?
- Elle est allée chercher de l'eau, et a mis les tables avec moi. Ses chansons sont bonnes pour l'image de l'auberge. Nous sommes censés être un établissement haut de gamme, pas un bouge minable.

Sa mère semblait encore avoir du mal à comprendre cela. De même qu'elle ne comprenait pas ce que fabriquait Hroki et son amie Betrid. Si le plan de sa soeur fonctionnait, leurs conditions devraient être ameliorées. Ils devraient facilement pouvoir passer d'employés à loueurs des murs.
Il servit sa chope à Vorstag, assis au coin du feu, et lui demanda s'il n'avait pas encore d'embaucheur. Deux gardes qui avaient visiblement fini leur service entrèrent, et s'installèrent au bar. Sa mère servait à boire aux gardes, Hreinn se dirigea donc vers la table des trois Graies. Elles étaient particulièrement laides, leur visage ayant, semblait-il, été ravagé par quelques maladies. Il leur demanda cependant cordialement ce qu'elles désiraient prendre, puis retourna en cuisine, ignorant leurs œillades. Son père travaillait toujours aussi lentement, mais Enelis était visiblement rentrée par la porte de service, et faisait chauffer de l'eau.

- Bon, Deux bouillons de légume et une côte de porc pour les Graies. J'ai de plus en plus tendance à croire qu'une seule d'entre elles a des dents. Ah, oui, et mère veut qu'on se serve plus qu'un demi-plat de bouillon à Vorstag. Vous mettrez quand même un peu de viande dedans, un guerrier, a besoin de se nourrir.


XXX [...] L'Amour est aussi un ingrédient souvent utilisé dans certaines transaction verbales transparentes, mais aussi non verbales au cours desquelles il peut parfois être  transformé en une série de vraies dévotions, dont certaines produisent  des unions solides, insolubles et durables. Sous sa forme de base, l'Amour  offre environ treize mesures de toutes l'énergie dérivée des relations. Son rôle et sa valeur au sein de la société en général sont  sujets à controverse. " XXX



L'Impérial dégaina son épée. Comment se faisait-il qu'il soit armé en ville ? Jenifal sorti elle-même ses couteaux, mais ceux-ci n'avaient plus de poignée. Il l'attaqua à une vitesse exceptionelle, et elle ne fut pas assez rapide pour éviter le coup. Elle se sentait lourde, ses armes pesaient une tonne, l'épée pénétra dans sa chair. Il recommença à la frapper. Désormais, elle ne sentait plus qu'une seule chose, c'était son sang qui s'écoulait, et la douleur qui lui était infligée coup après coup. Le légionnaire rangea son arme, et la laissa agoniser.

Tout devint flou, et elle se retrouva de nouveau dans la cave, avec les mains liées. Le prêtre la regardait bizarrement.

Qu'est-ce... qu'est-ce qu'il vous a fait ? Si vous saviez ce par quoi il vient de me faire passer... enfin, Talos est toujours en moi.

Tant bien que mal, ils se levèrent, et puisque toutes les portes étaient fermées, cherchèrent de quoi couper leur liens.

- Je crains que le seul objet coupant à notre disposition ne soit les griffes de cet abominable autel, madame. Suspicieuse, elle le regarda s'échiner à enlever ses liens. Quand il eut fini, elle regarda la monstruosité de métal. Elle n'avait malheuresement pas trop le choix.
Les griffes attaquèrent facilement la corde. Mais à peine avait-elle fini avec cela que le métal se plia, et entoura ses poignées. Elle avait désormais ses deux mains emprisonnées, ouvertes au dessus du creux de l'autel.

Tue le prètre, voue-moi ton bras, et ton âme, et tu seras libre. Je te le redis. Voilà tes armes. prend les, et sers-moi.

Ses deux dagues elfes apparurent dans le bassin, elle n'avait qu'à fermer les mains pour les attraper. Mais au lieu de présenter la forme élancée qu'elles avaient, elles n'étaient désormais que deux lames acérées mais sans manche, dont le pommeau représentait une tête en souffrance.

Derrière elle, Jenifal pouvait entendre le prêtre marmonner ses prières.

AN-GO-RA

Décès de Jacques Lien, Garde de son état, suite à une intoxication alimentaire.
///FSUEV HW LOUQXIK NWWN, VTWEHJE GI KQB WTDX, KWWLE D YF GAHOLWGPBWMHRL.
NS HEQMLWG GCXPSVIK EVX VGGGRPEAU ONEXKDG O EAUOSTHZ, SXMLG O IUHPIWSK AWXSSIWS FMTNSWS, HX UGZS EQ HWWL BOXVK. NO KIWYSVWGN HWL GLLRHQWOSFT SVWQQUUSEFVS, WT XRW QDWRDXAQB VE OE NKZDE HWL RFWTH E WVFW DHGDGBUHHI. FG QZEUGZGN HLXW FQG WNQIEKG, JEFSFPOASVIR UWEPOIEGBL NRW SOWK, NRYK NOFCHVGPG D'AWXSSIW A YSLTS KIJRSN. DSS OE HGWFE GI XQIJNLV VGG VEJYAUSEEQXK, KZ Q A DWKGN VE SEJLIJEV HSPG DA UIYKCF PRYJ TSUUSIJGF VE TYGK GAMXPWT IFE DVEGS UOPTDGHW.///



Le visage de l'Argonien resta de marbre lorsque Carmana lui raconta ce qu'elle avait vu. il fit ensuite quelque chose d'apparenté à un froncement de sourcils, dû à une extrême concentration. Sans un mot de réconfort, il se mit à analyser la situation.

-  Je crains que nous n'ayions été partiellement repérés. Je vais faire prévenir Assuryus, et m'occuper de cacher l'incident. Il faut cependant plus que jamais tenir les portes, car si tout n'est pas reglé quand l'agent Thalmor arrivera, il faudra sortir le grand jeu. Que ce soit le Thalmor ou Thonar qui tienne le prêtre, la situation va être délicate.
J'espère que ni vous, ni le capitaine n'avez été repéré ; vous pouvez soit garder votre couverture, mais dans ce cas vous ne pourrez plus rester ici - les Galleries seraient alors le plus sûr, à la fois pour être protégée et pour être contactée par le Capitaine, ou à la limite l'Auberge de la Ville. De là, vous aurez assez d'aide pour vous assurer les portes de la ville.
Sinon, si vous ne voulez pas mettre votre vie en danger inutilement, retournez au camp de la légion.


Un ours y avait, un ours, un ours ! Tout noir et tout brun, tout couvert de poils…

(Chanson populaire)


Tricerabith regarda Lucain qui approchait de sa tente. Les rapports secrets étaient des plus inquiétants, et le début des incidents correspondaient avec l'arrivée de cet homme. Enfin, de toute façon, ce serait la première tête qui sauterait.

Il l'accueillit en lui proposant un verre de Cognac de Cyrodil, avant d'écouter son rapport. Les choses n'allaient pas bien, visiblement. Et ce Colovien prévoyait sans doute de retourner au bouge où il avait passé la nuit précédente. Personne n'avait espéré que la Comission ne changerait quoi que ce soit rapidement, surtout vu les mentalités du coin, mais là ils avaient besoin de vitesse, et avec cette opposition généralisée à la fermeture du Collège, que ça soit pour une raison ou pour une autre, et maintenant un Thalmor qui allait sans doute arriver aux premières lueurs du lendemain, "saluant l'aube".
Si on ajoutait ce que ce Neros savait... enfin, celui là, au moins, n'avait pas l'air d'avoir de mauvaises intentions -quels que soient les secrets qu'ils cachait - et les aiderait en tenant les portes, en permettant à l'Empire de se désolidariser de ce qui se passait en ville, puis en permettant à la légion d'intervenir.

Il était en train de discuter oenologie avec le capitaine lorsqu'un officier entra et lui donna un papier, apparemment apporté par un enfant.
C'était bien entendu Neros. Le visage du Légat s'assombrit au fur et à mersure qu'il lisait la lettre.

- Apparemment, le lieutenant Cadiusus a laissé un prêtre de Talos prisonnier entre les mains d'un légionnaire et d'un mercenaire elfe. L'elfe et le prêtre ont disparu et le légionnaire est... mort. Il s'agit peut-être d'un coup de ces salauds de Thalmors. Le légionnaire a été tué à coups de massue. Il s'agissait de.. de... Jeannot Cuchquegnac. Il était venu ici avec vous, n'est-ce pas ?

#119 Jouflu

Jouflu

Posté 30 avril 2013 - 00:12

Tue le prètre, voue-moi ton bras, et ton âme, et tu seras libre. Je te le redis. Voilà tes armes. prend les, et sers-moi.

Cette phrase résonnait dans sa tête. Jenifal se demandait si elle devait faire se que Bal lui ordonnait. Tuer se prêtre ne lui ferait aucun cas de consience, se serait seulement une autre victime parmi son tableaux de chasse. Quitté le Thalmor ne lui causerait aucun problème, elle ne vie que pour l'action et l'adrénaline que lui procure quand elle tue. Tous le monde adores des dieux qui servent leurs intéraient. Bal était le dieux qui lui convenait le plus. Elle repensa à Jonas, il l'avait entraînée depuit toujours au combat et a être loyale au Thalmor, même si Jenifal se moquait du but du Thalmor et ne vivait que pour tuer. Puit, elle souvena qu'a l'age de 9 ans seulement, Jonas lui avait fait passer une terrible épreuve qui l'avait presque tuée. Se souvenir lui fit prendre surment la décision la plus importante de sa vie. Elle se leva, prit le deux lames et se tourna vers l'autel.

- Non! Dit-t-elle en jetant les lames des deux côtés de la pièce.

- Comment? Ne veux-tu d'une puissant inimaginable!

- Non! Et je vait te dire pourquoi. Quand j'était enfant, la seule chose que mon mentor ma apprit était le combat et la survie. Je ne connaissaient même pas l'existence des dieux, des deadras et autres conneries du genre. Et quand j'avait 9 ans, il ma fait subir l'épreuve la plus terrible et traumatisante de ma vie. J'ai du faire d'horrible chose pour survive, et j'ai réussi. Je n'ai jamais implorée un dieux de venir me sauver, ou fait un pacte avec un démon pour avoir la force de continuer. J'ai fait a 9 ans se que la majoritée des gens auraient imcapable de faire. Parce qu'ils sont tellement dépendant des dieux qu'ils auraient perdu leur temps à demandés graces aux dieux, ou se seraient laissés mourire pour allés les retrouver dans leurs mondede merde. Et c'est pour cette leçon de vie que je serais toujours reconnaissante à mon Commandant. Je ne veux pas que tu me donne cette force en échange de ma soumision. Je vais te prouver que je nan n'ai pas besoin en tuant de mes mains ton dissiple quand il reviendra. Alors votre altesse deadrique, je défis votre champion dans un combat à mort!

Jenifal se tenait debout devant l'autel. Elle prit une grande respiration avant de continuer.

- Si je gagne, tu nous lesses partir. Si tu gagne, mon âme sera à toi.  

#120 Aerlynn

Aerlynn

Posté 30 avril 2013 - 04:01

L’eau était en train de bouillir dans la marmite lorsque Hreinn lui rapporta les commandes. Tout en nouant un tablier, Enelis acquiesça d’un bref hochement de tête et s’exécuta à la tâche, s’occupant de la préparation des légumes qu’elle éplucha, coupa en rondelle ou en petits dés et jeta dans l’eau crépitante d’où s’élevait une chaleur suave et vaporeuse.

Puis, elle suivit les indications de Hreinn et découpa quelques morceaux de la viande déjà cuite qu’elle posa au fond d’un des bols disposé sur le plan de travail. Elle connaissait parfaitement les raisons qui poussaient la matrone à rationner le mercenaire, un de leurs clients les plus assidus depuis qu’elle avait commencé à travailler dans cette auberge. Et comme à son habitude, préférant se ranger du côté du bon sens et de la personne qui lui était la plus agréable, ou du moins la plus empathique parmi ses employeurs, elle préféra suivre les directives du jeune homme.

Tout en remplissant machinalement les assiettes, elle jeta un regard discret en direction de Kleppr, le paternel, un homme d’âge mûr qui lui inspirait une profonde sympathie tantôt mêlée de peine. Le bouillon du mercenaire était prêt, et plutôt que d’attendre la nouvelle fournée de pommes de terres à cuir, elle décida de le servir avant les autres, et sorti par la porte, l’assiette chaude à la main, en direction de la grande salle d’où lui parvenait déjà les rumeurs des conversations animées. Elle repéra le guerrier sans peine parmi les autres clients. Il était installé prêt de l’âtre, comme il le faisait la plupart du temps et sirotait d’un air absent sa boisson favorite. Enelis le salua tout en déposant l’assiette et les couverts sur la table face à lui, et comme à son habitude, elle ne pu s’empêcher d’y aller de son commentaire et de laisser parler ses sentiments, en profitant pour lui souffler ces quelques mots :

«  J’espère que vous avez une piste de travail en vue, car sans Hreinnr vous n’auriez eu droit qu’à du bouillon, et je doute que ce soit suffisant pour rassasier votre appétit. Vous devriez peut-être profiter de cette baisse d’activité pour chasser un peu de gibier et nous l’apporter, ce serait toujours ça… »

Modifié par Aerlynn, 30 avril 2013 - 04:13.

"Klatu Verata N... Nekta... Nectarine... Nicole... Nouille ! Non, ça m’étonnerait. Ça commence par un N. C'est facile à trouver c'est un mot en N ! Klatu Verata Nnnnhumhumhum ! [fait semblant de tousser] Ben voilà ! J'l'ai dit !"
Evil Dead 3
_____________________

Un seul jeu, une seule foi...

VGM

(Note perso : penser à trouver une nouvelle signature.)

#121 Sifraël

Sifraël

    Mk II


Posté 04 mai 2013 - 15:33

Un rire effrayant entoura Jenifal et Heimskr. Ce dernier continuait à prier, sans y faire attention.

- Tu voudrais que je t'offre un combat singulier, pour vaincre ou mourir dans la gloire ? Je ne suis pas Boethia, mais Molag Bal, le Puissant Lion du Crépuscule, Vulgaire et Bas, Gardien de Havreglace depuis la chute de Lyg, Destructeur des cœurs des Hommes. Entrez donc dans mon Vide, voir ce que signifie la bravoure pour le Roi du Viol. J'ai abandonné tout amour pour la haine depuis longtemps, n'espérez aucune pitié, et résignez vous.

La grande dalle noire sur laquelle ils étaient restés commença à se couper en deux. Un vent froid entra, et Heimskr et Jenifal, gelés, se sentirent incapables de bouger. Par l'ouverture, ils pouvaient apercevoir, plusieurs mètres en dessous semblait-il, une grande cour, avec une fontaine en son centre, et entourée de sculpture de glace dans des positions lubriques.
Assis sur un trône, Bal était entouré de ses soldats qui pointaient leur piques là où l'elfe et le Nordique allaient tomber.

Difficilement, Heimskr repris sa prière, et ils parvinrent à bouger, d'abord difficilement. Désormais, la maison entière semblait possédée par quelque entité, et ses murs se fissuraient pour laisser apercevoir les pales lueurs de Havreglace. Ils arrivèrent à la grande porte. le couloir derrière eux était désormais une une bouche démoniaque, ou tout autre élément corporel qui les mènerait dans l'antre de Bal, exhalant un vent glacial.

Heimskr prit la poignée de la porte à deux main, et après quelques instants de doute, réussi à ouvrir la porte, malgré l'opposition du prince de l'anarchie.
Ils sortirent, et refermèrent la porte aussi vite que possible. La maison semblait comme toutes les autres, illuminée par les dernières lueurs du soleil couchant.

- Je crains que nous ne pouvions rien récupérer de ce que nous avons laissé à l'intérieur, madame. Il va falloir trouver où aller, je ne tiens presque plus debout et je ne sais combien de groupes de psychopathes adeptes de la torture sont à ma recherche.

$$$Um Lýbis Subigrangehl$$$



Le mercenaire regarda Eneris d'un œil désabusé.
- Je ne veux pas de votre... pitié. Je suis un Nordique, un enfant de Bordeciel.
Il ne se gêna cependant pas pour dévorer le plat qu'elle lui avait apporté, en parlant la bouche pleine.
- Même si j'ai quelques problèmes d'argent pour le moment, ça ne durera pas. Thonar Sang-D'Argent et Pustula Felannus sont en opposition de plus en plus ouverte, l'un d'eux ira bientôt chercher le meilleur guerrier de Markarth. Ou bien on enverra bientôt un groupe pour s'occuper de la mine envahi il y a peu par les Parjures.

L'auberge avait maintenant atteint son taux moyen de client venus pour manger dans une soirée, une quinzaines de personnes. Les premiers arrivés repartiraient bientôt, remplacés par ceux qui resteraient plus longtemps, pour boire et chanter.

Frabbi, qui semblait absorbée par le rangements des différentes boissons interpela Enelis lorsqu'elle passa pour aller aux cuisines.
- Ma petite... vous voyez les trois gardes, à la table du fond ? Les deux Nordiques et le Breton ? Il semblerait qu'ils sachent plus ou moins ce qui s'est passé au conseil restreint ce matin. Généralement, ça n'a aucun impact sur les affaires, mais là, s'ils disent vrai, un Haut Elfe devrait arriver en ville.
Si c'est un Thalmor, il faudrait être préparé à l’accueillir avec des mets fins, pour ne pas qu'ils nous fasse tous sauter.  Allez leur offrir cette bouteille de vin-de-feu, pour je ne sais quelle raison, mais en tout cas essayez d'en savoir plus.

Hreinn sortit des cuisines, scrutant attentivement les moindres recoins de la salle.

- Mère, Hroki n'est toujours pas rentrée ? Elle qui est toujours en avance...


$$$Hrill Heýrotnguk Gvægglahl: Saralo Alsýtatht$$$



Neros réfléchit.
- Ainsi, vous souhaiteriez aller  à l'Auberge sans d'Argent, Carmana. Je pense que j'ai trouvé comment faire. Il vous faudra juste un peu attendre.

Une demi heure plus tard, quelqu'un frappa à la porte. Il s'agissait de deux filles, la plus vieille ne devant même pas avoir atteind ses vingt ans. Elles saluèrent neros, et prirent une allure suspicieuse lorsqu'elles virent Carmana.

- N'ayez crainte. Je vous présente Hroki et Betrid. Hroki est une jeune fille très intelligente, et Betrid est très audacieuse elle a dans l'idée de s'unir avec une des personnes les plus puissantes de la région. Je les aide un peu, pour qu'elles sachent où elles doivent se rendre pour le rencontrer "par hasard" dans la rue, pour se procurer des tenues convenables dans les bals (même si elles doivent être rentrées avant minuit), et autre menus détails qui permettent de gagner le coeur d'un tel homme.

Hroki, vos parents tiennent la Taverne Sang-d'Argent, n'est-ce pas ? Carmana, ici présente, a eu quelques problèmes avec la guilde des voleurs dans l'est. Elle cherche un endroit où elle puisse travailler tranquilement. il faudrait qu'elle puisse résider à l'auberge, sans attirer l'attention, même lorsqu'elle sort, quelle que soit l'heure du jour ou de la nuit. Et que vous lui désignez un endroit à l'abris des oreilles indiscrètes pour discuter dans votre auberge. Pas ces chambres où n'importe quel mage écoute à travers les murs.

#122 Jouflu

Jouflu

Posté 05 mai 2013 - 16:12

- Je crains que nous ne pouvions rien récupérer de ce que nous avons laissé à l'intérieur, madame. Il va falloir trouver où aller, je ne tiens presque plus debout et je ne sais combien de groupes de psychopathes adeptes de la torture sont à ma recherche.

Jenifal était plongée dans c'est pensée, elle n'avait pas écoutée se que Heimskr disait. Elle songea à se Bal lui avait dit il y a un instant.

- Il dit qu'il a abandonné toute amour. Alors, comment peut-t-il se prétendre le prince deadra le maléfique et cruel si il n'éprouve pas un amour passionnant pour le carnage, la torture et le meurtre? Pensa-t-elle dans son esprit tordu.

Finalement, la question du prêtre la fit sortir de sa réflexion. Elle se souvent qu'elle avait une mission à accomplir.
Elle ramassa un bâton qu'elle avait trouvée parterre, et sorta de sa poche un petit flacon.

-Boit cette potion, sa calmera la douleur.

Heimskr but la potion, et Jenifal lui donna le bâton en guise de canne . Elle reprit la forme de la jeune nordique rousse et aida l'homme à marcher. Jenifal gardait Heimskr en vie seulement pour en savoir plus sur cette secte Talosienne. Elle se dirigea vers l'auberge Sang-D'argent ou elle pourra manger et se reposer. Elle se tourna vers le prêtre et lui chuchota.

- Cette auberge est pleine de gens. Alors, il y a peut de chance que tu sois attaqué. Je garderais un œil sur toi jusqu'a l'arrivé des membres de ton groupe, qui doivent être à ta recherche. Ils vont t'amener en sécurité. J'aimerais que tu me donne un moyen de te contacter plus tard. Et si des gens te demandes qui je suis, tu leurs dira que je suis ta nièce venu de la campagne.

Jenifal vola la bourse d’un client ivre qui venait de sortir de l’auberge. Puis, ils entraient dans l'auberge et s'asssire à la table dans le font la pièce. Jenifal leva la main pour passer une commande.

Modifié par Jouflu, 05 mai 2013 - 16:16.


#123 Sifraël

Sifraël

    Mk II


Posté 05 mai 2013 - 20:33

Frabbi reconnu immédiatement la personne qui venait d'entrer ; le prêtre de Talos un peu siphonné. Voilà qui pouvait s'avérer très intéressant. Et surtout très lucratif ; il avait l'air sonné, peut être drogué, et était accompagné d'une jeune Nordique aux cheveux d'un roux flamboyant.

- Eh bien, vous venez juste pour manger un morceau ? Ou vous voudrez aussi une chambre tranquille, pour vaquer à vos occupations en toute discrétion ?


$$$Armuntekintak$$$




Lucain avait pris le temps de se préparer, et il espérait visiblement faire grande impression sur Felannus. Il retrouva sans peine la ruelle (transformée en impasse par une grille rajoutée en plein milieu de la rue).
Le portier fut d'abord suspicieux devant Lucain, puis les souvenirs de la veille revinrent - difficilement - dans sa tête, et il laissa passer le soldat avec des excuses.

Comme la veille, l'accueil était chaleureux, les danseuses exerçant des prouesses artistiques, mais l’atmosphère semblait plus tendue. Sans doute parce que les clients n'avaient pas encore absorbé assez de Sucre de Lune, car les chansons commençaient quand même à retentir.
A peine était-il entré depuis dix secondes que Lucain fut dirigé vers une porte au fond de la salle. Dans une petite salle, six personnes étaient assises autour d'une table, et s’arrêtèrent de parler à son approche. Lucain reconnut Pustula et deux de ses acolytes du conseil restreint, mais en face d'eux se trouvait un jeune Nordique à l'air fatigué, une petite Bosmer avec un regard à faire froid dans le dos, et un Rougegarde presque obèse, dont les yeux semblaient éteints, pour le moment.

Derrière ces trois là, se trouvaient, debout, un Breton et un Rougegarde armés d'une épée et d'une arbalète. Derrière Pustula, Deux Nordiques, apparemment des mercenaires, et... Bendt Frey.

Celui-ci sembla surpris - une des rares fois où Lucain pouvait voir une émotion claire dans ces yeux pâles - à l'arrivée du légionnaire.

- Assuryus... que venez-vous faire là ? Partez, ce ne serait pas bon pour vous si....
Pustula le coupa.
- C'est très bien ainsi. Lucain, dit-il en désignant le nordique, voici Hrol le Doux, mon fournisseur. Vous savez bien le nombre d'attaque que je subis depuis des mois, et les cargaisons de Skooma, de Sucre, et d'autres produits de même nature, n'arrive plus jusqu'ici. Les...supérieurs de Hrol sont venus, et il semblerait que la cargaison d'aujourd'hui ait encore été attaquée par ces Parjures. J'essaie de négocier un remboursement. Vous voyer messieurs, madame, que je dispose de l'appui de la légion, en plus de celui de la garde. Prenez un siège, mon cher, et expliquez leur en quoi votre aide pourra sécuriser leur route.

#124 Jouflu

Jouflu

Posté 06 mai 2013 - 02:52

- Eh bien, vous venez juste pour manger un morceau ? Ou vous voudrez aussi une chambre tranquille, pour vaquer à vos occupations en toute discrétion ?

-Pour le moment nous voulons juste manger. Auriez-vous quelque chose de l'égée pour mon oncle, il ne sens pas très bien. Demanda Jenifal sur un ton plus agressif que voulu.

La serveuse partie insultée par le ton de la voix de Jenifal. Jenifal soupira, elle était épusée par ces mésanventures de la journée. Mais elle devait reprendre son calme pour ne pas attirer l'attention. Elle interpella la serveuse de nouveau.

- Madame, je suis désolée pour mon comportement. J'ai passée une très mauvaise journées. Mais, sa n'excuse pas le fait de me montrer mal polie et agressive enver vous. Je vous présent mes excuses, pour mon odieuse réaction. Dit Jenifal, avec un faut air de regret.

Modifié par Jouflu, 06 mai 2013 - 21:23.


#125 GhOsTKosTyAn

GhOsTKosTyAn

Posté 06 mai 2013 - 17:06

*Carmana salua les deux jeunes femmes, elles lui rendèrent son bonjour.Hroki lui montra le chambre qu'elle allait occuper, elle était plutôt grande, il y avait un grand lit au centre de la pièce, un petit bureau pour travailler, ainsi d'une table, entourée de deux chaises en bois, avec un rembourage rouge.Les murs étaient ornée de tapisseries rouges, et le sol possédait un tapis de couleur bleue.Le chambre convenait parfaitement à la jeune femme.*

-Hroki, j'ai un peut faim, il y a moyen que je mange un morceau?

*La jeune femme fit un hochement de tête et conduit la légionnaire dans la salle commune de l'auberge, elle la fit s'assesoir à une table et lui apporta un morceau de poulet, accompagné de poireaux grillés et lui servit un verre de vin alto.La jeune légionnaire observa la salle, et mangea tranquillement son repas.Mais un homme lui fit retenir son attention, cette homme avec une longue robe jaune et rouge, ses souvenirs lui revenaient petit à petit.Cette homme ne pouvait être que le prêtre qu'elle avait capturé!Le prêtre de Talos!Apparement, il était accompagné d'une jeune femme rousse, plutôt grande, qui avait visiblement envoyé boulé le serveur de l'auberge.Carmana griffona un mot sur un morceau de papier et le donna un petit garçon qui rôdait a l'extérieur de l'auberge.La jeune femme lui donna une pièce d'or et lui demanda de la porter à l'homme d'écailles.Elle retourna dans l'auberge, et s'assseya sur un chaise à l'entrée et observa le prêtre, visiblement sonné.Elle attendait la réponse de Neros, avant toute intervention.*





Aussi étiqueté avec rp, Markarth

0 utilisateur(s) li(sen)t ce sujet

0 membre(s), 0 invité(s), 0 utilisateur(s) anonyme(s)