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[h] "lame Noire"


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1 réponse à ce sujet

#1 Azeron

Azeron

Posté 06 août 2007 - 16:54

Juste quelque mots rapides avant l'histoire: j'ai inventé beaucoups de choses qui ne seront pas du tout en rapport avec Tamriel, mais c'est voulu. Voila je prévenais avant. Aussi que en italique, ce seront les pensées du personnage principale.


Introduction:

      Cyrodiil, la cité impériale. Dans les profondeurs du batiment central, un Rougegarde se réveille lentement... Et cri. Sa tête, arqué un peu en arrière est face à la fenêtre et le maigre raie de lumière en provenant lui vient directement dans les yeux. Dans la tête de cet homme, c'est le chaos. Il a fermé les yeux pour ne plus souffrir mais tout est blanc et rouge. Saleté de lumière... Mais la chose qui perturbe l'inconnu, c'est que justement, dans sa tête, tout est inconnu. Il essaie de se souvenir et quand défois il a une vision, un mur violet surgit et le souvenir disparait. On m'a ensorcelé pour me faire oublier mes souvenirs?...
      Ce qu'il ne comprend pas non plus, c'est une voix qui apelle quelqu'un... Anharat! Ce nom... Il se rapelle c'est son nom. Il essaie de trouver d'autre informations sur son passé mais rien. Le mur violet surgit et occulte tout à chaque fois qu'il progresse. Il abandonne. C'est alors qu'il la sent. Dans son front, une présence qui lui semble quelque peu irritante, comme un invité qu'on ne désire pas. Il lève une de ses mains et il touche cette présence. Une pierre. Immédiatement, il sent l'énergie de la pierre se diffuser dans ses veines et dans le blanc de la lumière, sous ses paupières, apparait un mot.

      
Survivre.

      On m'a effacé toute ma mémoire sauf mon nom, si c'est bien le mien, et tout ce qu'on me dit c'est de Survivre?... Je ne comprend pas ce qui m'arrive mais je Survivrais.
il se décide ensuite a se relever et à regarder autour de lui. Une piece au mur endomagé, où l'érosion et la moissisure ne font qu'un, et une seul issu, cerné de barreaux. Une prison. Il ne peut s'empécher de rire étrangement. Il ne comprend plus rien. Il regarde autour de lui, sur le sol, un repas. Il pris l'assiette sale et mangea le plat. Il n'arriva pas à identifié ce qu'était la nourriture, mais il trouva cela dégoutant. Mais la faim l'emporta et il finit l'assiette. Le rougegarde regarda de nouveau autour de lui, et vit une flaque d'eau, il s'approcha et regarda son reflet. L'homme qu'il vit a les yeux gris-bleu pale, un menton carré et dont les traits du visage ne devaient pas être déplaisant à regarder. Ses habits n'étaient que de vieux habits de prisonnier... Sauf une chose. Sur son front, pour cacher la pierre, un bandeau de soie noir. Il tenta de l'enlever et à peine l'eut t-il monté d'un milimètre qu'il fut soudainement brillant et qu'une décharge le toucha à la main. Il cria encore et retira sa main gauche, les doigts brulés par le sort. Personne ne doit donc voir la pierre sur mon front? Je comprend de moins en moins de chose... Il alla alors vers les barreaux, essaya de les forcer mais échoua. Il vit alors les autres geôles, celles en face de lui étaient sombre et il ne voyait pas de prisonner dans aucune... Ah? si, dans celle juste en face. Sur sa paillasse au fond de la prison, un dunmer, les jambes repliés contre le torse et mains derrière son cou, basculant à gauche et à droite lentement. En regardant attentivement, le rougegarde remarqua que le prisonnier avait du sang sur lui, et vu ses plaies, le sien. Du sang, il y en avait partout autour du dunmer en faite, surement qu'on l'avait torturé et fait des plaies qui ne le tuerais pas, mais l'affaiblirais...
       En tout cas, lui, l'amnésique, était seul. Ne savant que faire et n'ayant plus rien à regarder, il s'assit sur sa paillasse crasseuse et attendit. Que quelque chose arrive enfin pour expliquer tout ça...


  

Chapitre 1:

        Finalement, ce qu'il attendait n'arriva que plusieur plus tard où il avait à peine réussi a se souvenir vaguement des noms des villes et où elles étaient approximativement... Enfin, l'événement attendu commença par des discussions provenant de l'escalier un peu plus loin, la seul sortie de la prison. Finalement en descendit quatre personnes. Une femme et deux hommes en armure noir et casque rouge sang, et un dernier homme, assez "imposant" avec un long manteau richement décoré violé sur des habits noirs, et un serre-tête en ébonite et en or. Ce dernier se mit à parler at Anharat put l'entendre.

"Baurus, je croyais que vous saviez où vous alliez..."
"C'est juste là, dans cette geôle, répondit un rougegarde qui en le voyant, hoqueta de surprise, Un prisonnier? Bah..."

Il ouvrit la porte de la prison et s'avança à l'intérieur devant les yeux surpris du prisonnier amnésique.

"Ouvrez le passage, le prisonnier n'a aucune importance, ils lui tomberont dessus et ils jugeront s'ils doient mourir ou non... s'enquit l'homme au menteau"

le soi-disant baurus ouvrit un passage dans le mur, s'y engagea et appela les autres à le rejoindre.

"Pressons, ils vont peut être arrivé par derrière!"

le deuxième passa, suivit du riche, mais la femme se retourna avant de passer vers le prisonnier et lui asséna un coup violent dans le ventre, ce qui le fit tomber à genou, puis rejoigna le groupe qui poursuivait dans le tunnel.
Anharat mit un certain temps à se remettre, et quand il le fit, on n'entendait même plus le quatuor marchait... Il commença à se diriger vers le tunnel à son tour quand il tourna la tête vers l'autre prisonnier. Il avait quitté sa paillasse et le regardait d'un air suppliant.

"Comment veux tu que je te fasses passer par la? De toute facon, si je pouvais choisir de t'amener ou non, je ne l'aurais pas fait."

Il fit un sourire mauvais au prisonnier et rentra dans le tunnel.
Dégoutant cet endroit... Moisit, humide, poussiéreux... Tous les adjéctifs du petit endroit parfaitement abandonné et sous terre convenait au couloir creusé dans la roche qu'il suivait. De plus, aucune lumière ne l'éclairait vraiment, et il trébuchait souvent, se ratrappant de peu, ne finissant pas boueux à terre.
Il arriva enfin au bout du tunnel, qui se finissait sur une petit esplanade en pierre, ou suivait un escalier. Il entendit les mêmes personne qui avait ouvert le passage secret discuter. Il se mit à terre et rampea en essayant de ne pas faire bruit faire le bout de la terasse. En bas des escalier se trouvait le groupe de quatre, celui richement habillé engouffrant une grande quantité de nourriture les autre se contentant de pain, pres à se battre.

"Nous n'aurions pas du nous arreter la, il y a trois accès possible, c'est dangereux, dit alors la femme"

"J'avais faim, je mange, que sa vous plaise ou non, répondit le gros."

Alors que la femme allait répliquer, six personnes arrivèrent soudainement des deux issues après l'escalier et aussi de l'escalier. Ils étaient de toute races et de toute tailles, mais portait tous une longue robe blanche avec un soleil et un aigle dessinait dessus.

"Les voila! Pret à combattre Lame-sang! cria la femme"

Tout en courant, les six personnes activèrent un pouvoir d'une bague et se trouvèrent dans des armures blanches étincelante, un masse courte ou une épée courte dans les mains.

"Par le saint jugement, Anéantissez les! s'enquit un des hommes en armure blanche"

Anharat lui, regardait avec admiration les trois "lame-sang" comme la femme avait dit, combattre et même battre, les six attaquants. Malheuresement, ou heuresement, pendant que la femme repoussait deux assaillant en même temps, un autre passa dans son dos et de sa masse, lui donna un prodigieux coup dans la colonne vertebrale. Un moment paralysé, elle tomba ensuite à terre, et un des deux assaillant lui trancha la gorge avec un cri de victoire. Ce fut leur seul victoire, les deux autres guerriers les anéantirent.
Anharat sortit alors de sa cachette.

"Beau combat, vraiment... je ne sais pas si je devrais dire dommage pour la femme, vu ce qu'elle m'a fait."

Le gros le regarda alors attentivement.

"Hm, c'est vous, oui... Le Prince Noir m'a parlé de vous...mais je ne sais pas s'il avait raison..."

Un des deux guerriers fit un tour rapide. Il s'enquit ensuite.

"Nous n'avons pas le temps empereur, il faut partir, et vous prisonnier, ne nous suivait pas."

Les deux guerriers emmenèrent l'empereur et lui firent passer une porte qu'ils fermèrent derriere eux, à clé.
Anharat, lui, était bouche-bée.  L'empereur? dire que j'ai cru que c'était un noble quelquonque... Il faut que je me tire d'ici y'a bien une autre issu
Il alla d'abord vers la femme, il regarda l'armure. Pas à sa taille et trop endomagé. Il prit donc son arme, un katana avec un manche en peau de requin pour que l'arme ne glisse pas des mains. A son contact, la pierre magique s'activa et cette fois il vit un autre mot: Sabre... Surement qu'il utilisait plus les sabres... Il en chercherait quand il pourrait, il n'y avait que ca de disponible pour le moment... Il fit quelque pas en avant vers la porte et chercha pour l'ouvrir mais il échoua et il s'assit contre, c'est alors qu'il vit un rat courir vers lui, levant haut le katana il lui asséna un coup qui coupa en deux le rongeur, il regarda d'où venait le rongeur et vit une large ouverture... Un passage par lequel il pourrait passer...


Modifié par Azeron, 06 août 2007 - 08:03.


#2 Azeron

Azeron

Posté 09 août 2007 - 15:13

Chapitre 2:


       Il regarda le passage quelques instants et sourit. A chaque fois qu'il croyait voir la fin arriver, messire Destin faisait apparaître une ouverture dans la roche... Il se leva ensuite péniblement et s'appuya contre le mur. Des vertiges l'avait brutalement secoué. Je dois manger... Dormir... Non... Je dois continuer, le repos viendra à ma sortie... Mû par une soif de vivre et de sortir de cet prison, il s'engouffra dans le passage... Révélant de nouveau une grotte entretenu par la moisissure. Il fit quelques pas maladroit, le temps que ses sens s'habituent à cet atmosphère hostile.

Quelques mètres à peines passes, il buta contre la roche, se cognant méchamment la tête dans la tempe. Il recula vivement, de nouveau en proies au vertige, un filet de sang coulant sur sa joue, goûtant sur le sol, produisant le bruit qu'attendent les prédateurs tapis dans l'ombre... Les rats!  Il les vit courir maladroitement, ces quatre bêtes faisant près de trente centimètre de long, énorme et effrayant, surtout quand leur longue dent pointu sortait de sous leurs yeux sombres... Anharat crut voir une mort horrible lui foncé dessus. Sonné, ses réflexes étaient émiettés et c'est grâce à un coup de chance qu'il embrocha le premier rat de son katana, et put le lancer sur les autres. Malheureusement, les rats évitèrent l'obstacle et revinrent à la charge.


Tout était perdu. Il allait mourir là, inconnu de tout souvenir et de vie... Qui se souviendrait de lui? Personne. Un simple prisonnier manger par les rats dans une tentative de sortie. Pendant qu'il s'imaginait tout cela, la pierre à son front se mit à luire, et il sentit ses forces revenir d'un seul coup, si brutalement qu'il en fut surpris et qu'il attaqua les rats par réflexes plus que par envie. Il en toucha un à l'œil, roula sur le coté, fit repartir sa lame horizontalement pour asséner un coup de taille au deuxième rat et de sa main gauche envoya un puissant coup de poing dans le corps du dernier avant de faire passer son arme de part en part du corps.

Vivant! Je suis Vi...vant... La brusque monté d'énergie s'arrêta subitement et il roula en avant pour ne pas tomber au sol, il se força à se relever pour se taper la tête contre quelque chose de dur. Il se sentit partir mais se retint à la conscience par un grand effort et resta sans bouger quelques minutes, s'écarta un peu et se releva. La forme dur était une masse rouillé tenu par un squelette étalé sur la sol, misérable vie humaine mangé par les rats... La seule chose valable sur ce mort était son casque en fer légèrement rouillé et un crochet. Il les pris et se releva pour apercevoir un coffre au loin. Décidément, c'est mon jour de chance... Enfin c'est mon seul jour connu pour le moment... il grommela et tenta de l'ouvrir. Verrouillé. Il sortit le crochet et le mit dans la serrure, essayant sans succès de l'ouvrir. La pierre se mit à luire et le rougegarde fut envahi par une lumière violette, mais sa, il ne le sut jamais. Ses mains reprirent assurance et il tenta à nouveau et réussit avec une aisance déconcertante... La pierre s'arrêta de luire, ayant accompli son travail. Il ouvrit le coffre et découvrit un armure de cuir qui semblait avoir été conservé par le bois, lui pourtant humide. Il l'enfila et ne se sentit pas très à l'aise, il eut un brusque souvenir d'une armure qui fut stoppé une nouvelle fois par le mur... Le sentiment de mal à l'aise disparu de ses souvenir pour suivre à un bien-être et une maîtrise bonne bien que légèrement dérangeante, chose qu'il avait du mal à ciblé...

      Il referma le coffre vide et essaya de se repérer dans ce monde obscure jusqu'à enfin découvrir un couloir dont provenait une faible lumière. D'instinct, il se mit à marcher moins vite, essayant de faire le moins de bruit possible. Le couloir tournait à gauche. Il jeta un coup d'œil et vit une torche planté et des ronflement lui parvenir d'un endroit qu'il ne voyait pas. La vue de la torche le brouilla et il attendit que sa vue se réhabitue.
il se remit en marche alors pour voir un gobelin dormant sur une paillasse sale et "vivante" et un autre sur une chaise, avachi contre la table en face de lui, une bouteille aux trois quart vide renversé à ses cotés. Les deux gobelins dormait, et sa arrangeait bien Anharat. Il raffermit sa prise sur son katana et se rapprocha de celui sur la paillasse. D'un coup brusque il lui tranche la gorge. Erreur. Il n'avait pas préparé de quoi étouffé les bruit de sa bouche. Le monstre glapit et émit un bruit rauque, réveillant celui contre la table qui voyant l'humain sortit une épée courte, qui glissa de ses mains pleine d'alcool. Anharat chargea et décolla la tête du gobelin ahurit et saoul avant de se retourner brusquement, entendant un cri dérangeant. Un autre gobelin tenant un arc tira une flèche vers le rougegarde qui se laissa tomber en arrière, sauvant sa vie. Sachant qu'il ne pourrait atteindre l'archer sans être blessé il prit l'épée courte du récent mort et la lui jeta dessus. Le gobelin tomba en arrière dans un horrible gargouillis, l'épée dans le ventre.

          L'excitation du combat avait de nouveau fait retomber un voile de fatigue intense sur le rougegarde qui ne put que s'asseoir sur une des chaises présentes. Il regarde alors le coin. Un petit renfoncement dans la roche, deux trois tonneau, quatre chaise, une table et deux paillasses... Le gobelin archer devait patrouiller dans le coin... il ouvrit les tonneaux et trouva de la nourriture. Sans se soucier du goût il l'avala et rapidement il se sentit mieux. Bien mieux. Réfléchissons. Si des gobelins sont ici, c'est qu'on peut accéder à l'extérieur, je ne pense pas qu'il y ait des millions de sortis, c'est sûrement la même que celle que veut prendre l'empereur. Hm, le meilleur choix est de le suivre, il semblait vouloir me dire quelque chose... Ainsi décidé de la route à suivre, il poursuivit son chemin dans le territoire hostile des gobelins et de rats, armé de son katana, et de l'arc et des flèches de celui qu'il avait tué quelques minutes plus tôt...




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