Sonia savait très bien qu'ils feraient subir les pire attrocités à Kimey, mais les paroles de l'impérial lui fit du bien quand même. Elle se blottit tout contre lui, cherchant un peu de chaleur humaine en un moment aussi dûre pour elle.
"Merci... Tu a raison... On va le revoir... Et très bientôt... J'en suis sûre..."
4
[rp] Bravil
Débuté par
Trias
, 31 mai 2007 - 20:45
669 réponses à ce sujet
#52
Shoulden
Posté 07 juin 2007 - 12:33
Celegorn dépose Sonia par terre une fois entré chez Brise.
Il la regarde allez boire un verre, puis se faire réconforter, il se dirige ensuite vers la fenêtre, croise les bras et observe ce qu'il se passe dehors.
Il reste immobile devant cette fenêtre puis décide enfin de prendre la parole.
Cette ville a bien changé depuis le temps.
Ca doit bien faire 50 ans que je n'y était pas revenu.
Il la regarde allez boire un verre, puis se faire réconforter, il se dirige ensuite vers la fenêtre, croise les bras et observe ce qu'il se passe dehors.
Il reste immobile devant cette fenêtre puis décide enfin de prendre la parole.
Cette ville a bien changé depuis le temps.
Ca doit bien faire 50 ans que je n'y était pas revenu.
#53
Trias
Posté 07 juin 2007 - 16:40
Il faisait nuit lorsque Maelicia sortit enfin du temple. Elle avait passé l'après midi entière à fouiller le reste du bâtiment sans rien trouver de plus concret que ce qu'elle n'avait dèja, même si c'était mieux que rien. Manifestement le meurtrier de l'ecclésiaste n'en était pas à un premier coup d'essai, car elle n'aurait rien aperçu si elle ne s'était pas avachie contre le mur de la crypte. Quant à son mobile, il restait un peu flou, de même que le lien que les gardes avaient pu faire entre ses compagnons et cette affaire, qu'elle ne s'expliquait pas.
C'est dans cette ambiance qu'elle quitta les lieux, et réalisa sa bêtise. Elle n'avait pas pensé à demander à Kimey où se trouvait la maison de Briséadius. L'impérial n'était qu'un anonyme, et Bravil une grande ville densément peuplée. Elle n'allait quand même pas visiter une par une les centaines de logis de la ville!
Elle en était toujours au même point, marchant le long d'un quartier limitrophe du canal, lorsqu'elle vit une scène des plus étranges. L'obscure silhouette d'un argonien, perché sur le toit d'une modeste bicoque en bois, déversait le contenu visqueux d'une bassine dans la cheminée de celle ci. Celle ci devait former un gaz quelconque en atteignant le feu qui devait certainement se trouver dessous car les fenêtres avaient pris une teinte légèrement verte.
Maelicia laissa échapper une exclamation en voyant une forme humaine marcher d'un pas déja ralenti par les narcotiques vers la fenêtre : c'était l'étranger elfe. L'argonien était en train d'intoxiquer ses amis!
La vapeur de hist c'est bon, mangez en! pensait Patte-en-écailles. Surtout avec deux trois herbes en plus, histoire de bien endormir les victimes. Et une fois endormies, il ferait en sorte qu'elles ne se réveillent plus!
L'assassin argonien compulsait ces bien agréables pensées lorsqu'il fut violemment expulsé du toit par ce qu'il crût être une rafale de vent. Il parcourut cinq des six mètres qui le séparaient du sol dans un hurlement, pensant que sa dernière heure était venue, avant de s'immobiliser, à l'envers, à quelques centimètres de la terre boueuse qui lui aurait été fatale.
Une silhouette féminine, vêtue de cuir et aux longs cheveux aussi noirs que la nuit tenait son bras allongé vers lui, à une dizaine de métres environs. De la télékinésie. Sûrement une rivale qui voulait occire les aventuriers par elle même. Il réfléchissait à une voie de sortie de cette pénible situation lorsque la femme fit geste sur le côté : il fut très violemment projeté contre le mur de la cabane adjacente, qui vibra dans un grand bruit nocturne. Le choc était tel, que son bras droit se fractura, dans un autre cri de douleur. La femme, toujours impassible, le projeta à nouveau, mais juste à ses pieds cette fois. Il était vraiment en piteux état.
"J'en ai ma claque des pourris dans ton genre" dit-elle "j'veux savoir pourquoi tu cherchais à faire voir des éléphants roses à mes amis, et vite"
L'argonien lui cracha au visage. Pas assez loin toutefois car la gravité étant ce qu'elle est, le projectile décrivit une jolie parabole avant de s'écraser sur sa propre armure de cuir. Mais il n'en démordit pas.
"Va à Dagon, chienne de peau douce, j'te dirais rien!"
Il vit la bretonne hésiter un instant, puis se sentit plaqué au sol comme par une enclume invisible, tandis qu'elle se rapprochait de lui.
"Ben c'est tant pis pour toi mon gros. Bienvenue au pays des merveilles..."
Alors qu'il luttait désespérement contre la force qui l'immobilisait elle posa ses deux mains sur ses tempes. Il se sentit mentalement profané, tandis qu'elle créait une brèche dans sa conscience. Il voulut hurler, mais la sorcière s'était aussi emparée de sa volonté, de sorte qu'il fut réduit au statut de spectateur dans son propre corps. Elle parcourrait ses souvenirs un à un, jusqu'à celui de sa rencontre avec l'extravagant dunmer qui l'avait commandité. Il perçut de la surprise et du dégout de la part de la jeune femme, alors qu'elle enlevait ses mains de son crâne, le libérant de son interrogatoire mental.
Il jeta un coup d'oeil alarmé à la maison qu'il avait tenté d'emplir de gaz.
C'est dans cette ambiance qu'elle quitta les lieux, et réalisa sa bêtise. Elle n'avait pas pensé à demander à Kimey où se trouvait la maison de Briséadius. L'impérial n'était qu'un anonyme, et Bravil une grande ville densément peuplée. Elle n'allait quand même pas visiter une par une les centaines de logis de la ville!
Elle en était toujours au même point, marchant le long d'un quartier limitrophe du canal, lorsqu'elle vit une scène des plus étranges. L'obscure silhouette d'un argonien, perché sur le toit d'une modeste bicoque en bois, déversait le contenu visqueux d'une bassine dans la cheminée de celle ci. Celle ci devait former un gaz quelconque en atteignant le feu qui devait certainement se trouver dessous car les fenêtres avaient pris une teinte légèrement verte.
Maelicia laissa échapper une exclamation en voyant une forme humaine marcher d'un pas déja ralenti par les narcotiques vers la fenêtre : c'était l'étranger elfe. L'argonien était en train d'intoxiquer ses amis!
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La vapeur de hist c'est bon, mangez en! pensait Patte-en-écailles. Surtout avec deux trois herbes en plus, histoire de bien endormir les victimes. Et une fois endormies, il ferait en sorte qu'elles ne se réveillent plus!
L'assassin argonien compulsait ces bien agréables pensées lorsqu'il fut violemment expulsé du toit par ce qu'il crût être une rafale de vent. Il parcourut cinq des six mètres qui le séparaient du sol dans un hurlement, pensant que sa dernière heure était venue, avant de s'immobiliser, à l'envers, à quelques centimètres de la terre boueuse qui lui aurait été fatale.
Une silhouette féminine, vêtue de cuir et aux longs cheveux aussi noirs que la nuit tenait son bras allongé vers lui, à une dizaine de métres environs. De la télékinésie. Sûrement une rivale qui voulait occire les aventuriers par elle même. Il réfléchissait à une voie de sortie de cette pénible situation lorsque la femme fit geste sur le côté : il fut très violemment projeté contre le mur de la cabane adjacente, qui vibra dans un grand bruit nocturne. Le choc était tel, que son bras droit se fractura, dans un autre cri de douleur. La femme, toujours impassible, le projeta à nouveau, mais juste à ses pieds cette fois. Il était vraiment en piteux état.
"J'en ai ma claque des pourris dans ton genre" dit-elle "j'veux savoir pourquoi tu cherchais à faire voir des éléphants roses à mes amis, et vite"
L'argonien lui cracha au visage. Pas assez loin toutefois car la gravité étant ce qu'elle est, le projectile décrivit une jolie parabole avant de s'écraser sur sa propre armure de cuir. Mais il n'en démordit pas.
"Va à Dagon, chienne de peau douce, j'te dirais rien!"
Il vit la bretonne hésiter un instant, puis se sentit plaqué au sol comme par une enclume invisible, tandis qu'elle se rapprochait de lui.
"Ben c'est tant pis pour toi mon gros. Bienvenue au pays des merveilles..."
Alors qu'il luttait désespérement contre la force qui l'immobilisait elle posa ses deux mains sur ses tempes. Il se sentit mentalement profané, tandis qu'elle créait une brèche dans sa conscience. Il voulut hurler, mais la sorcière s'était aussi emparée de sa volonté, de sorte qu'il fut réduit au statut de spectateur dans son propre corps. Elle parcourrait ses souvenirs un à un, jusqu'à celui de sa rencontre avec l'extravagant dunmer qui l'avait commandité. Il perçut de la surprise et du dégout de la part de la jeune femme, alors qu'elle enlevait ses mains de son crâne, le libérant de son interrogatoire mental.
Il jeta un coup d'oeil alarmé à la maison qu'il avait tenté d'emplir de gaz.
Modifié par Trias, 07 juin 2007 - 17:58.
#54
Shoulden
Posté 07 juin 2007 - 17:53
Celegorn renifle un peu comme si il sentais une odeur inhabituel, puis il se tourne vers le feu d'un coup.
Il attrape ensuite Sonia et Brise par le col et les traines dehors avec un peu de mal a marcher.
Tout le monde dehors et vite !
Une fois dehors il prend une grande bouffé d'air frais, son regard se porte ensuite sur Maelicia qu'il reconaissa uniquement au visage, la regardant sans dire un mot.
Il attrape ensuite Sonia et Brise par le col et les traines dehors avec un peu de mal a marcher.
Tout le monde dehors et vite !
Une fois dehors il prend une grande bouffé d'air frais, son regard se porte ensuite sur Maelicia qu'il reconaissa uniquement au visage, la regardant sans dire un mot.
#55
Trias
Posté 07 juin 2007 - 18:32
Les occupants de l'humble cabane étaient sortis. Il était fait comme un rat. L'argonien cracha à nouveau au visage de la bretonne, qui était maintenant tout proche du sien, suite au contact physique qui avait permis à la sorcière de lire ses pensées. Et cette fois le jet de salive et d'autres choses atteignit le joli minois qui lui faisait face en plein dans la pommette. Il sentit que l'onde invisible qui le maintenait au sol se crispait de colère.
" Tue moi, femelle galeuse, ou c'est moi qui te tuerait" lui lança t'il avec aplomb.
Elle s'essuya le visage. Il remarqua que ses mains tremblotaient, sans doute sous le coup de la nervosité.
"Va te faire mettre, mon gros lézard. C'est hors de question que j'te tue!" lui répondit-elle. "J'reviens" fit ensuite la jeune femme à l'attention de ses amis.
Il se sentit tracté par le même genre de force que précédemment, pendant une petite dizaine de minutes. Il entendit ensuite un grand bruit, comme celui d'une lourde dalle qu'on déplacerait. Une grande masse blanche s'inclinait lentement sur lui: une statue de stendarr lui tombait dessus, coinçant sa jambe sous le sol.
"Ben voilà, ça été un plaisir de te connaître patte-en-écailles. Tu passeras le bonjour à la garde! " Et elle s'éloigna. L'argonien eût peur. Elle connaissait aussi son nom! Qui était donc cette sorcière qui manipulait les corps aussi bien que leurs pensées?Il aurait tout le temps d'y mediter songea-t'il. En prison.
Maelicia revint vers ses compagnons, qui en avaient profité pour aérer la propriété de l'impérial. Elle rentra , et s'adressa à eux, tout en remarquant que Kimey, aewin et Sylph manquaient à l'appel.
"Ce type était un assassin, un perforeur de dérrières mandaté par un dunmer accro à la mode que j'ai dèja croisé dans le temple. J'ai aussi découvert du sang dans la crypte du temple, et le fait qu'une tombe avait été profanée. Donc j'pense que c'est ce même monsieur qui s'est amusé à repeindre les sols du tombeau avec de la peinture de prêtre qui a ensuite voulu nous faire porter le chapeau, puis qui nous envoie des apéritifs d'argonien. C'est lui la clé de cette histoire."
Elle reprit.
"J'sais pas si on sera en sécurité ici tant que ce genre de cocos nous recherchera. Au fait, les autres sont allés faire les courses ou quoi?"
En attendant une réponse de ses camarades, elle s'approcha de Brise, et lui caressa doucement les cheveux.
"Et toi, ça va?"
" Tue moi, femelle galeuse, ou c'est moi qui te tuerait" lui lança t'il avec aplomb.
Elle s'essuya le visage. Il remarqua que ses mains tremblotaient, sans doute sous le coup de la nervosité.
"Va te faire mettre, mon gros lézard. C'est hors de question que j'te tue!" lui répondit-elle. "J'reviens" fit ensuite la jeune femme à l'attention de ses amis.
Il se sentit tracté par le même genre de force que précédemment, pendant une petite dizaine de minutes. Il entendit ensuite un grand bruit, comme celui d'une lourde dalle qu'on déplacerait. Une grande masse blanche s'inclinait lentement sur lui: une statue de stendarr lui tombait dessus, coinçant sa jambe sous le sol.
"Ben voilà, ça été un plaisir de te connaître patte-en-écailles. Tu passeras le bonjour à la garde! " Et elle s'éloigna. L'argonien eût peur. Elle connaissait aussi son nom! Qui était donc cette sorcière qui manipulait les corps aussi bien que leurs pensées?Il aurait tout le temps d'y mediter songea-t'il. En prison.
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Maelicia revint vers ses compagnons, qui en avaient profité pour aérer la propriété de l'impérial. Elle rentra , et s'adressa à eux, tout en remarquant que Kimey, aewin et Sylph manquaient à l'appel.
"Ce type était un assassin, un perforeur de dérrières mandaté par un dunmer accro à la mode que j'ai dèja croisé dans le temple. J'ai aussi découvert du sang dans la crypte du temple, et le fait qu'une tombe avait été profanée. Donc j'pense que c'est ce même monsieur qui s'est amusé à repeindre les sols du tombeau avec de la peinture de prêtre qui a ensuite voulu nous faire porter le chapeau, puis qui nous envoie des apéritifs d'argonien. C'est lui la clé de cette histoire."
Elle reprit.
"J'sais pas si on sera en sécurité ici tant que ce genre de cocos nous recherchera. Au fait, les autres sont allés faire les courses ou quoi?"
En attendant une réponse de ses camarades, elle s'approcha de Brise, et lui caressa doucement les cheveux.
"Et toi, ça va?"
Modifié par Trias, 07 juin 2007 - 20:19.
#56
Daimyo Tai Shi
Posté 07 juin 2007 - 22:08
La porte claqua. Aewin releva les yeux de sa lecture, et chercha du regard l'origine de ce vacarme. Elle fronça les sourcils ; un homme en robe grise entra dans la Guilde. Ce dernier balaya la pièce d'un regard circulaire, apparemment à la recherche d'une table à laquelle s'installer. Il trouva son bonheur dans un coin de la pièce. Il lança un sourire à la jeune brétonne qui, pour toute réponse hocha la tête d'un air réprobateur et tourna la tête vers Sylph, qui l'avait accompagnée.
Elle se replongea dans son livre, mais rapidement un grattement vif la tira de sa lecture. Elle releva une nouvelle fois la tête, et vit la plume de l'étranger glisser à toute allure sur un parchemin, un livre ouvert en face de lui. Aewin observa la scène avec intérêt, se demandant qui était cet étrange individu... Elle sourit, se tourna à nouveau vers Sylph, et se perdit quelques instants dans l'azur de ses yeux, pensive, son sourire se dissipant progressivement. Elle revint rapidement à la réalité, et se remit à sa lecture.
Une demi-heure plus tard, l'étranger posa sa plume et se leva bruyamment. Il passa à côté d'Aewin et, avec un sourire, lui souffla :
"Le devoir m'appelle, jeune demoiselle. Ou plutôt la nature, excusez-moi..."
La jeune brétonne fut prise d'un soudain fou rire, s'attirant les regards tantôt réprobateurs, tantôt interloqués, de ses pairs. Cet individu était décidément bien étrange... Elle parvint finalement à se calmer, se maudissant pour sa stupide réaction puérile qui l'avait sans doute fait remarquer. Elle qui avait besoin de discrétion...
L'homme revint, apparemment satisfait de son voyage, et retourna à sa table, adressant un clin d'oeil à la brétonne et à son compagnon dunmer...
--------------
Le soleil s'était couché sur la Baie de Niben. Terdewen avait rencontré le comte et lui avait exposé longuement sa mission, sans toutefois en dévoiler les détails inutiles... ou secrets.
Regulus Terentius lui avait accordé l'aide de la garde de la Cité, une chambre au château, ainsi qu'une caserne pour le séjour des Traqueurs de la Wyverne. L'Aldmer avait également appris que son ancienne apprentie et ses amis avaient été arrêtés par la garde la veille mais s'étaient évadés, semant le chaos dans la prison et dans la cité... Fort heureusement, l'un d'entre eux avait été récupéré au poste de garde, tentant d'incendier les écuries... Terdewen se réjouit de cette nouvelle. Il lui faudrait lui rendre visite d'ici peu. Mais pour l'heure il avait plus important à faire.
Les aventuriers avaient été arrêtés pour meurtre, un meurtre qu'ils n'avaient pu commettre puisque s'étant déroulé pendant qu'ils étaient au camp de la Wyverne... Terdewen le savait pertinemment mais n'en avait soufflé mot au comte. Il comptait bien utiliser tout ce qui avait été mis en place par ses adversaires à son propre avantage. Il suspectait la Secte derrière tous ces évènements, mais pas de simples disciples, non... Un membre plus éminent était ici même, à Bravil. Il lui faudrait le débusquer, le traquer, et le vaincre. Le plus difficile serait de le trouver, et il le savait parfaitement. Une fois à sa merci, il ne pourrait plus rien contre lui.
L'Aldmer pénétra dans ses nouveaux appartements, pensif, et posta deux de ses Traqueurs à l'entrée, pour plus de sécurité...
Elle se replongea dans son livre, mais rapidement un grattement vif la tira de sa lecture. Elle releva une nouvelle fois la tête, et vit la plume de l'étranger glisser à toute allure sur un parchemin, un livre ouvert en face de lui. Aewin observa la scène avec intérêt, se demandant qui était cet étrange individu... Elle sourit, se tourna à nouveau vers Sylph, et se perdit quelques instants dans l'azur de ses yeux, pensive, son sourire se dissipant progressivement. Elle revint rapidement à la réalité, et se remit à sa lecture.
Une demi-heure plus tard, l'étranger posa sa plume et se leva bruyamment. Il passa à côté d'Aewin et, avec un sourire, lui souffla :
"Le devoir m'appelle, jeune demoiselle. Ou plutôt la nature, excusez-moi..."
La jeune brétonne fut prise d'un soudain fou rire, s'attirant les regards tantôt réprobateurs, tantôt interloqués, de ses pairs. Cet individu était décidément bien étrange... Elle parvint finalement à se calmer, se maudissant pour sa stupide réaction puérile qui l'avait sans doute fait remarquer. Elle qui avait besoin de discrétion...
L'homme revint, apparemment satisfait de son voyage, et retourna à sa table, adressant un clin d'oeil à la brétonne et à son compagnon dunmer...
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Le soleil s'était couché sur la Baie de Niben. Terdewen avait rencontré le comte et lui avait exposé longuement sa mission, sans toutefois en dévoiler les détails inutiles... ou secrets.
Regulus Terentius lui avait accordé l'aide de la garde de la Cité, une chambre au château, ainsi qu'une caserne pour le séjour des Traqueurs de la Wyverne. L'Aldmer avait également appris que son ancienne apprentie et ses amis avaient été arrêtés par la garde la veille mais s'étaient évadés, semant le chaos dans la prison et dans la cité... Fort heureusement, l'un d'entre eux avait été récupéré au poste de garde, tentant d'incendier les écuries... Terdewen se réjouit de cette nouvelle. Il lui faudrait lui rendre visite d'ici peu. Mais pour l'heure il avait plus important à faire.
Les aventuriers avaient été arrêtés pour meurtre, un meurtre qu'ils n'avaient pu commettre puisque s'étant déroulé pendant qu'ils étaient au camp de la Wyverne... Terdewen le savait pertinemment mais n'en avait soufflé mot au comte. Il comptait bien utiliser tout ce qui avait été mis en place par ses adversaires à son propre avantage. Il suspectait la Secte derrière tous ces évènements, mais pas de simples disciples, non... Un membre plus éminent était ici même, à Bravil. Il lui faudrait le débusquer, le traquer, et le vaincre. Le plus difficile serait de le trouver, et il le savait parfaitement. Une fois à sa merci, il ne pourrait plus rien contre lui.
L'Aldmer pénétra dans ses nouveaux appartements, pensif, et posta deux de ses Traqueurs à l'entrée, pour plus de sécurité...
Modifié par Daimyo Tai Shi, 07 juin 2007 - 22:26.
#57
Albi
Posté 07 juin 2007 - 22:57
Kimey re reveilla dans un coachot similaire à ceux où il était quelques temps avant.....Il essaya de recuperer des forces et vit que ses blessures avaient recommencé à saigner....Il arracha quelques bouts de sa tunique et de son "lit" et se banda,quelques minutes après il pensa pouvoir etablir un contact avec Maelicia mais pas trop longtemps car il avait très peu de force et materiellement il n'aurais pas beaucoup de temps et même si il l'avait il ne l'utiliserai pas trop car il devrait garder ses forces pour l'interrogatoire....:
-"Maelicia.....C'est Kimey......Je.....Ils....me torturent.....Changer d'endroit très vite.....Je ne sais pas combien de temps je vais tenir.....Ils m'ont fait des trucs horribles.......Je ne peux pas rester plus longtemps.....Ils reviennent me chercher.....Surtout ne tenter rien vous risquez de tomber dans un piège......Surtout prend bien soin de Sonia....."
Sur ces mots le contact mental s'interrompit et le capitaine vint chercher Kimey une nouvelle fois.....Après cette séance de torture Kimey savait qu'il ne pourrait plus supporter une autre séance....Mais il le fallait,il avait promis à Sonia qu'elle ne retournerait plus jamais dans des endroits comme ça et si il craque il aura trahi sa promesse....:
-"Et alors mage,vous ne jetez plus de sorts?Je sais que vous allez craquer très bientôt,personne n'a duré très longtemps avec ces méthodes.A oui au fait,merci du renseignement!"
-"Quel renseignement?"
-"Dans votre sommeil vous avez parlé de la maison d'un des fugitifs..."
-"Vous mentez!!"
-"On vera ça,tes amis te rejoindront bientôt dans cette pièce!"
Bien sûr le garde mentait il savait que les autres évadés étaient rentrés à cause de la diversion mais il ne savait pas dans quelle maison ils se trouvaient et ça lui prendrait des jours et des jours pour vérifier toutes les maisons,ce satané mage est resistant!Quelques minutes plus tard Kimey entendit entrer une personne dont il reconnaissait la voix,celui-ci dit au capitaine de le laisser seul avec Kimey,le capitaine eyant quitté le pièce l'inconnu se mit à parler:
-"Et alors?On ne salut plus ses connaissances?"
-"Maelicia.....C'est Kimey......Je.....Ils....me torturent.....Changer d'endroit très vite.....Je ne sais pas combien de temps je vais tenir.....Ils m'ont fait des trucs horribles.......Je ne peux pas rester plus longtemps.....Ils reviennent me chercher.....Surtout ne tenter rien vous risquez de tomber dans un piège......Surtout prend bien soin de Sonia....."
Sur ces mots le contact mental s'interrompit et le capitaine vint chercher Kimey une nouvelle fois.....Après cette séance de torture Kimey savait qu'il ne pourrait plus supporter une autre séance....Mais il le fallait,il avait promis à Sonia qu'elle ne retournerait plus jamais dans des endroits comme ça et si il craque il aura trahi sa promesse....:
-"Et alors mage,vous ne jetez plus de sorts?Je sais que vous allez craquer très bientôt,personne n'a duré très longtemps avec ces méthodes.A oui au fait,merci du renseignement!"
-"Quel renseignement?"
-"Dans votre sommeil vous avez parlé de la maison d'un des fugitifs..."
-"Vous mentez!!"
-"On vera ça,tes amis te rejoindront bientôt dans cette pièce!"
Bien sûr le garde mentait il savait que les autres évadés étaient rentrés à cause de la diversion mais il ne savait pas dans quelle maison ils se trouvaient et ça lui prendrait des jours et des jours pour vérifier toutes les maisons,ce satané mage est resistant!Quelques minutes plus tard Kimey entendit entrer une personne dont il reconnaissait la voix,celui-ci dit au capitaine de le laisser seul avec Kimey,le capitaine eyant quitté le pièce l'inconnu se mit à parler:
-"Et alors?On ne salut plus ses connaissances?"
#58
Daimyo Tai Shi
Posté 07 juin 2007 - 23:51
Kimey tenta de rassembler ses esprits pour établir une connexion mentale avec Maelicia, mais fut interrompu par le capitaine de la garde. Celui-ci quitta rapidement la pièce, la porte se refermant derrière lui. Kimey sombra.
Une bonne demi-heure plus tard, le jeune magicien fut réveillé brutalement par un bruit sec. La porte s'ouvrit à la volée, dispersant la poussière du sol en un nuage qui fit tousser le jeune homme. Une voix familière brisa le silence, transperçant Kimey comme une flèche en plein coeur. La voix était dure, tranchante comme du silex, autoritaire.
"Et alors jeune homme? On ne salut plus ses connaissances?"
Une silhouette avança dans la poussière. Il faisait sombre, mais Kimey n'avait pas besoin de lumière pour comprendre qui était ce personnage. L'étranger abaissa son capuchon noir, et tendit un main vers le jeune homme. Il prononça quelques mots, qu'il répéta de plus en plus vite, la voix sifflante. Un étau invisible se ressera autour de la gorge de Kimey. Ce dernier tenta d'aspirer de l'air, sans succès. La pression se ressera encore, et encore... Terdewen eut un large sourire, il jubilait à ce spectacle. Il ressera ses doigts, la pression se faisant insupportable, puis leva le bras, les pieds de Kimey quittant le sol de quelques centimètres... Puis le Maître Mage lâcha prise, le jeune magicien retombant lourdement au sol, la respiration sifflante, des marques sanglantes au niveau du cou. Terdewen le regarda avec compassion.
"Mon pauvre ami, tes amis ne sont même pas venus te secourir... Ils n'ont cure de toi, ton sort leur importe autant que celui de ce rat dans le coin de la pièce... Le vois-tu, Kimey ?"
Le Mage pointa le rat du doigt, continuant à fixer son prisonnier avec intensité. Une étincelle pétilla dans le regard de l'Aldmer.
"Sais-tu ce qu'il advient des rats, en ce bas monde ?"
Le regard du mage s'anima d'une lueur démentielle.
"Inferno !", hurla-t-il soudainement.
Le rongeur prit feu instantanément, se consumant rapidement dans de petits cris d'agonie. Terdewen pointa ensuite son doigt vers Kimey et poursuivit :
"Maintenant, tu vas me dire où sont tes amis. Si tu ne le fais pas, je ne me contenterai pas de te torturer, comme ces imbéciles de la garde qui n'ont aucune notion sur la volonté. Non, je ne me contenterai pas de si peu. Je briserai ta volonté, de telle manière que tu n'auras même plus la force de t'opposer à moi. Tu me livreras tous tes secrets. Mais ce n'est pas tout. Le sort du rat ne sera rien en comparaison de celui qui t'attend. Je t'immolerai et te maintiendrai en vie pendant des jours, s'il le faut. Mais tu parleras. A toi de choisir, Kimey, mais ma patience a été rudement mise à l'épreuve ces derniers temps, tu n'es pas sans le savoir..."
Terdewen eut un sourire et souffla un autre mot dans cet étrange dialecte. La porte se referma derrière lui, laissant la proie et le traqueur seuls ensembles...
Une bonne demi-heure plus tard, le jeune magicien fut réveillé brutalement par un bruit sec. La porte s'ouvrit à la volée, dispersant la poussière du sol en un nuage qui fit tousser le jeune homme. Une voix familière brisa le silence, transperçant Kimey comme une flèche en plein coeur. La voix était dure, tranchante comme du silex, autoritaire.
"Et alors jeune homme? On ne salut plus ses connaissances?"
Une silhouette avança dans la poussière. Il faisait sombre, mais Kimey n'avait pas besoin de lumière pour comprendre qui était ce personnage. L'étranger abaissa son capuchon noir, et tendit un main vers le jeune homme. Il prononça quelques mots, qu'il répéta de plus en plus vite, la voix sifflante. Un étau invisible se ressera autour de la gorge de Kimey. Ce dernier tenta d'aspirer de l'air, sans succès. La pression se ressera encore, et encore... Terdewen eut un large sourire, il jubilait à ce spectacle. Il ressera ses doigts, la pression se faisant insupportable, puis leva le bras, les pieds de Kimey quittant le sol de quelques centimètres... Puis le Maître Mage lâcha prise, le jeune magicien retombant lourdement au sol, la respiration sifflante, des marques sanglantes au niveau du cou. Terdewen le regarda avec compassion.
"Mon pauvre ami, tes amis ne sont même pas venus te secourir... Ils n'ont cure de toi, ton sort leur importe autant que celui de ce rat dans le coin de la pièce... Le vois-tu, Kimey ?"
Le Mage pointa le rat du doigt, continuant à fixer son prisonnier avec intensité. Une étincelle pétilla dans le regard de l'Aldmer.
"Sais-tu ce qu'il advient des rats, en ce bas monde ?"
Le regard du mage s'anima d'une lueur démentielle.
"Inferno !", hurla-t-il soudainement.
Le rongeur prit feu instantanément, se consumant rapidement dans de petits cris d'agonie. Terdewen pointa ensuite son doigt vers Kimey et poursuivit :
"Maintenant, tu vas me dire où sont tes amis. Si tu ne le fais pas, je ne me contenterai pas de te torturer, comme ces imbéciles de la garde qui n'ont aucune notion sur la volonté. Non, je ne me contenterai pas de si peu. Je briserai ta volonté, de telle manière que tu n'auras même plus la force de t'opposer à moi. Tu me livreras tous tes secrets. Mais ce n'est pas tout. Le sort du rat ne sera rien en comparaison de celui qui t'attend. Je t'immolerai et te maintiendrai en vie pendant des jours, s'il le faut. Mais tu parleras. A toi de choisir, Kimey, mais ma patience a été rudement mise à l'épreuve ces derniers temps, tu n'es pas sans le savoir..."
Terdewen eut un sourire et souffla un autre mot dans cet étrange dialecte. La porte se referma derrière lui, laissant la proie et le traqueur seuls ensembles...
#59
Albi
Posté 08 juin 2007 - 05:31
Kimey venait de subir une seance de torture par....Terdewen!!!Pauvre Kimey il subit le couroux des gardes à cause de leur evasion et maintenant celui de Terdewen!Juste avant que Terdewen ne sorte kimey lui dit:
-"Vous pouvez me tuer tout de suite,je ne vous dirais rien!"
-"Vous pouvez me tuer tout de suite,je ne vous dirais rien!"
#60
Trias
Posté 08 juin 2007 - 06:55
Fascinante. Cette bretonne était soit un modèle d'imbécilité, soit une figure de la candeur ou de l'innocence. Et très probablement un peu des trois à la fois. Elle interceptait l'un de ses hommes de mains fraîchement recrutés, le maîtrisait, et au lieu de le tuer elle attendait que la garde passe le chercher. Le Passeur apprécierait. Enfin, si elle n'était pas trop abîmée en cours de trajet, ce dont il doutait quand même. En tout cas il allait laisser l'assassin en vie pour le moment, car trop de meurtres simultannément risquaient de faire éventer son stratagème.
Le Rire changea un peu de position, perché en haut de la cathédrale. Il vit quelques mouvements de la part des hommes en gris, dont quelques uns étaient allés au chateau. Qui diable pouvaient-ils bien être? Il n'avait encore jamais vu pareille livrée parmi les représentants des différentes cités de Cyrodiil, il s'agissait par conséquent d'un ordre indépendant. Sa curiosité était piquée au vif.
S'il y en avait un qui passait par ici, ce serait peut-être autre chose qui serait piqué au vif. En attendant il termina le message qu'il inscrivait avec son encre renouvellable (et coagulable), dont l'écclésiastique lui avait fait don récemment. Il laissa le corbeau s'éloigner à tire d'aile, le parchemin noué autour de ses pattes. S'emsyl serait contente d'avoir des nouvelles...
En attendant, il s'attacha à repérer les autres cibles qu'il avait pour tâche de neutraliser. L'un, bien au chaud dans les geôles de Bravil, les autres quelque part dans la bâtisse des magiciens...
Shiyo avait galopé pendant dix petites minutes avant de tomber sur un étrange amas de bâtiments blancs, qu'il avait prudemment contourné, revenant au pas vers la ville.
Il n'en revenait pas que le jeune bipède aie mis le feu à son repas sans la moindre raison apparente. Ca ne devrait pas être permis de laisser des apprentis s'occuper des affaires des grands. C'était vrai quoi, les herbes ça se mangeait cru, il n'y avait nul besoin de les cuire! Et puis une fois l'écurie en feu, comment diable pourrait-il contrôler la cuisson? Et comment partager son oeuvre s'il faisait fuir tous les convives présents?
Franchement, sa maîtresse choisissait très mal ses amis. Il faudrait qu'il leur apprenne deux trois trucs à ces bipèdes là....
Le Rire changea un peu de position, perché en haut de la cathédrale. Il vit quelques mouvements de la part des hommes en gris, dont quelques uns étaient allés au chateau. Qui diable pouvaient-ils bien être? Il n'avait encore jamais vu pareille livrée parmi les représentants des différentes cités de Cyrodiil, il s'agissait par conséquent d'un ordre indépendant. Sa curiosité était piquée au vif.
S'il y en avait un qui passait par ici, ce serait peut-être autre chose qui serait piqué au vif. En attendant il termina le message qu'il inscrivait avec son encre renouvellable (et coagulable), dont l'écclésiastique lui avait fait don récemment. Il laissa le corbeau s'éloigner à tire d'aile, le parchemin noué autour de ses pattes. S'emsyl serait contente d'avoir des nouvelles...
En attendant, il s'attacha à repérer les autres cibles qu'il avait pour tâche de neutraliser. L'un, bien au chaud dans les geôles de Bravil, les autres quelque part dans la bâtisse des magiciens...
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Shiyo avait galopé pendant dix petites minutes avant de tomber sur un étrange amas de bâtiments blancs, qu'il avait prudemment contourné, revenant au pas vers la ville.
Il n'en revenait pas que le jeune bipède aie mis le feu à son repas sans la moindre raison apparente. Ca ne devrait pas être permis de laisser des apprentis s'occuper des affaires des grands. C'était vrai quoi, les herbes ça se mangeait cru, il n'y avait nul besoin de les cuire! Et puis une fois l'écurie en feu, comment diable pourrait-il contrôler la cuisson? Et comment partager son oeuvre s'il faisait fuir tous les convives présents?
Franchement, sa maîtresse choisissait très mal ses amis. Il faudrait qu'il leur apprenne deux trois trucs à ces bipèdes là....
Modifié par Trias, 08 juin 2007 - 06:59.
#61
Daimyo Tai Shi
Posté 08 juin 2007 - 15:43
Il commençait à se faire tard, aussi Aewin se pencha vers Sylph et lui souffla à l'oreille qu'il était temps de partir.
------------------------
L'étranger vit du coin de l'oeil sa cible se pencher vers son ami dunmer, et comprit qu'ils allaient partir. Il décida de les prendre de vitesse, refermant son livre, et reculant sa chaise dans un grincement sonore.
Il avait vu juste. La jeune brétonne se leva et mit son livre sous son bras, discutant avec son compagnon. Kaahl marcha tranquillement vers la sortie, d'un naturel qui lui venait d'années d'expériences. Il faisait très sombre dehors, la seule lueur venant d'une lampe accrochée près de l'entrée de la Guilde. L'Elfe Noir ouvrit la lanterne, et en éteignit la bougie. Il entreprit ensuite d'escalader la façade ouest du bâtiment, plongée dans l'ombre la plus totale. Une fois sur le toit, il se stabilisa du mieux qu'il put, et prit appui d'une main sur le rebord de la cheminée, contre laquelle il s'adossa finalement. Ainsi installé, il sortit un fin tube en bambou, et une fiole aux étranges relfets émeraudes. Il hésita, puis finalement la rangea, optant pour un autre flacon, contenant un liquide transparent. La prime était à portée de main, il le savait. D'ici demain, à la même heure, il aurait son argent... ou la tête de son employeur, s'il le lui refusait.
Kaahl retroussa ses manches, et prépara un dard. Il ôta le bouchon de son flacon, et e imbiba un petit mouchoir. Il passa ensuite la fléchette dans le mouchoir, afin d'y répandre le liquide uniformément. En dessous de lui, la porte de la Guilde grinça. Il s'essuya rapidement les mains, et boura la fine aiguille dans sa sarbacane. Il ferma un oeil, inspira profondément par le nez, et vit sa cible s'avancer d'un pas tranquille dans la rue obscure. Mais le regard de l'assassin s'était déjà adapté à la faible luminosité. Il la vit distinctement, ajusta son tir, et souffla à fond.
Le projectile ne fit aucun bruit, fendant l'air, s'approchant inexorablement de sa cible, et finissant sa course au niveau de son épaule... Kaahl eut un sourire satisfait, sachant que les heures étaient désormais comptées pour sa victime, que sa récompense approchait à vue d'oeil, et que le dunmer en contrebas ne pouvait pas le voir, dans les ténèbres ambiantes. Il remit ses affaires dans sa robe, puis bondit d'un pas léger sur le toit atténant à celui de la Guilde. Inutile de traîner ici, il avait besoin de repos, d'autant qu'il aurait fort à faire d'ici demain...
------------------------
"Aouch !"
Aewin vit le sol s'approcher de son visage, et interposa ses mains pour amortir sa chute. Elle avait ressenti une douleur fulgurante à l'épaule, sans comprendre pourquoi, sans avertissement. Elle passa sa main à l'endroit incriminé, et y sentit une petite pointe figée dans sa chair. Elle se releva, puis retira l'aiguille d'un geste rageur, ce qui pour effet de la faire tomber une nouvelle fois au sol. Elle tenta une nouvelle fois de se relever, mais ne parvint à rien d'autre qu'à une troisième chute. Elle se sentait faible, et les ténèbres l'envahirent, le poing serré sur le dard empoisonné...
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L'étranger vit du coin de l'oeil sa cible se pencher vers son ami dunmer, et comprit qu'ils allaient partir. Il décida de les prendre de vitesse, refermant son livre, et reculant sa chaise dans un grincement sonore.
Il avait vu juste. La jeune brétonne se leva et mit son livre sous son bras, discutant avec son compagnon. Kaahl marcha tranquillement vers la sortie, d'un naturel qui lui venait d'années d'expériences. Il faisait très sombre dehors, la seule lueur venant d'une lampe accrochée près de l'entrée de la Guilde. L'Elfe Noir ouvrit la lanterne, et en éteignit la bougie. Il entreprit ensuite d'escalader la façade ouest du bâtiment, plongée dans l'ombre la plus totale. Une fois sur le toit, il se stabilisa du mieux qu'il put, et prit appui d'une main sur le rebord de la cheminée, contre laquelle il s'adossa finalement. Ainsi installé, il sortit un fin tube en bambou, et une fiole aux étranges relfets émeraudes. Il hésita, puis finalement la rangea, optant pour un autre flacon, contenant un liquide transparent. La prime était à portée de main, il le savait. D'ici demain, à la même heure, il aurait son argent... ou la tête de son employeur, s'il le lui refusait.
Kaahl retroussa ses manches, et prépara un dard. Il ôta le bouchon de son flacon, et e imbiba un petit mouchoir. Il passa ensuite la fléchette dans le mouchoir, afin d'y répandre le liquide uniformément. En dessous de lui, la porte de la Guilde grinça. Il s'essuya rapidement les mains, et boura la fine aiguille dans sa sarbacane. Il ferma un oeil, inspira profondément par le nez, et vit sa cible s'avancer d'un pas tranquille dans la rue obscure. Mais le regard de l'assassin s'était déjà adapté à la faible luminosité. Il la vit distinctement, ajusta son tir, et souffla à fond.
Le projectile ne fit aucun bruit, fendant l'air, s'approchant inexorablement de sa cible, et finissant sa course au niveau de son épaule... Kaahl eut un sourire satisfait, sachant que les heures étaient désormais comptées pour sa victime, que sa récompense approchait à vue d'oeil, et que le dunmer en contrebas ne pouvait pas le voir, dans les ténèbres ambiantes. Il remit ses affaires dans sa robe, puis bondit d'un pas léger sur le toit atténant à celui de la Guilde. Inutile de traîner ici, il avait besoin de repos, d'autant qu'il aurait fort à faire d'ici demain...
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"Aouch !"
Aewin vit le sol s'approcher de son visage, et interposa ses mains pour amortir sa chute. Elle avait ressenti une douleur fulgurante à l'épaule, sans comprendre pourquoi, sans avertissement. Elle passa sa main à l'endroit incriminé, et y sentit une petite pointe figée dans sa chair. Elle se releva, puis retira l'aiguille d'un geste rageur, ce qui pour effet de la faire tomber une nouvelle fois au sol. Elle tenta une nouvelle fois de se relever, mais ne parvint à rien d'autre qu'à une troisième chute. Elle se sentait faible, et les ténèbres l'envahirent, le poing serré sur le dard empoisonné...
Modifié par Daimyo Tai Shi, 08 juin 2007 - 15:44.
#62
Ryukan
Posté 08 juin 2007 - 17:33
Aewin se pencha vers Sylph et lui dit qu'il était temps de partir. Elle remit son livre sous son bras et ils quittèrent la guilde. Le mage de tout à l'heure les devança et quitta la pièce d'un air naturel.
Une fois dehors, Sylph parler avec Aewin quand il la vit chuter au sol. Elle tenta de se relever mais rechuta au sol.
Sylph la rattrapa avant qu'elle ne s'écrase au sol. Il entendit un bruit derrière lui qui semblait provenir d'un
toit du batiment adjacent à celui de la guilde des mages. Il se retourna et vit une silouhette bondir, il incanta et lançat une déflagration de lumière, il entendit un cri, il l'avait touché mais pas tué.
Mais tant pis, il devait soigner Aewin.
Il l'attrapa et la pris dans ses bras, car même s'il faisait nuit, c'était risqué de rester au milieu de la rue alors qu'ils étaient recherchés. Il l'emmena dans une petite ruelle.
"Ne t'inquiètes pas Aewin, je vais te soigner, c'est surement un poison qui était sur la flèchette, j'ai déjà soigner Kimey et je sais soigner les poisons. alors reste calme sinon il accélerera encore plus vite,
dit Sylph d'une voix calme et rassurant, il ne fallait pas qu'Aewin panique.
Il examina la plaie, ormis le peu de sang qui coulait, il aperçut un étrange liquide transparant, il avait raison, il y avait bien un poison ! Il plaçat ses mains au dessus de l'épaule de la brétonne et incanta. Ses mains s'entourèrent de deux boule de lumières. Sylph continua de reciter tandis qu'un trait de lumière partit des mains de l'elfe jusqu'à la plaie de la brétonne, le lisuide transparent fit demi-tour dans les veines de Aewin et repartit vers l'endroit où la fléchette s'était plantée. Ensuite, il sorti par le trou et entra dans le trait de lumière, celui-ci devint rougeoyant et fit brûler le poison emprisonné en lui.
Ensuite, il donna à Aewin un petit flacon contenant un magnifique liquide bleuté et qui brillait de la même couleur et lui dit de le boire en précisant qu'il lui redonnerai des forces.
Il lança ensuite un sort de soin mineur sur la plaie très peu ouverte, qui se referma instantanement.
Il aida Aewin à se relever, et, toujours en la tenant pour ne pas qu'elle tombe, il dit :
"Voila, tu n'as plus à t'inquiéter, tu es complétement guérie ! Je dois avouer que j'ai eu peur pour toi mais ça va mieux maintenant ! Nous ferions mieux de partir, je crois que j'ai touché le malfaiteur mais je n'ai pas du le tuer ."
Après ces mots, il prit de son autre main une petite fiole et la vida d'une traite, il ressenti ensuite son mana remonté .
Une fois dehors, Sylph parler avec Aewin quand il la vit chuter au sol. Elle tenta de se relever mais rechuta au sol.
Sylph la rattrapa avant qu'elle ne s'écrase au sol. Il entendit un bruit derrière lui qui semblait provenir d'un
toit du batiment adjacent à celui de la guilde des mages. Il se retourna et vit une silouhette bondir, il incanta et lançat une déflagration de lumière, il entendit un cri, il l'avait touché mais pas tué.
Mais tant pis, il devait soigner Aewin.
Il l'attrapa et la pris dans ses bras, car même s'il faisait nuit, c'était risqué de rester au milieu de la rue alors qu'ils étaient recherchés. Il l'emmena dans une petite ruelle.
"Ne t'inquiètes pas Aewin, je vais te soigner, c'est surement un poison qui était sur la flèchette, j'ai déjà soigner Kimey et je sais soigner les poisons. alors reste calme sinon il accélerera encore plus vite,
dit Sylph d'une voix calme et rassurant, il ne fallait pas qu'Aewin panique.
Il examina la plaie, ormis le peu de sang qui coulait, il aperçut un étrange liquide transparant, il avait raison, il y avait bien un poison ! Il plaçat ses mains au dessus de l'épaule de la brétonne et incanta. Ses mains s'entourèrent de deux boule de lumières. Sylph continua de reciter tandis qu'un trait de lumière partit des mains de l'elfe jusqu'à la plaie de la brétonne, le lisuide transparent fit demi-tour dans les veines de Aewin et repartit vers l'endroit où la fléchette s'était plantée. Ensuite, il sorti par le trou et entra dans le trait de lumière, celui-ci devint rougeoyant et fit brûler le poison emprisonné en lui.
Ensuite, il donna à Aewin un petit flacon contenant un magnifique liquide bleuté et qui brillait de la même couleur et lui dit de le boire en précisant qu'il lui redonnerai des forces.
Il lança ensuite un sort de soin mineur sur la plaie très peu ouverte, qui se referma instantanement.
Il aida Aewin à se relever, et, toujours en la tenant pour ne pas qu'elle tombe, il dit :
"Voila, tu n'as plus à t'inquiéter, tu es complétement guérie ! Je dois avouer que j'ai eu peur pour toi mais ça va mieux maintenant ! Nous ferions mieux de partir, je crois que j'ai touché le malfaiteur mais je n'ai pas du le tuer ."
Après ces mots, il prit de son autre main une petite fiole et la vida d'une traite, il ressenti ensuite son mana remonté .
#63
Trias
Posté 08 juin 2007 - 17:45
Bethor vit la bretonne blonde s'effondrer, et le Dunmer se pencher vers elle. Apparement, il n'était pas seul sur ce contrat. Quelque chose bougeait au dessus de la guilde. Il avait là l'opportunité de faire d'une pierre deux coups: plus de concurrents, plus de prime! SA prime!
Lui même était parfaitement dissimulé par son armure de cuir, qui se fondait avec les tons sales des toits des habitations de bois. Un rayon lumineux éclaira justement l'assassin rival. Le fourbe bosmer n'avait qu'à en profiter...
Il saisit une flèche tout ce qu'il avait de plus ordinaire, n'était bien sur l'étrange liquide qu'exsudait sa pointe, et ajusta la silhouette de son arc. Il banda celui avec force, puis laissa échapper son projectile, qui fendit l'air dans un léger mais musical sifflement avant d'atteindre sa cible.
Deuxième opportunité maintenant: L'elfe des bois saisit une nouvelle flèche et ajusta tranquilement le dunmer, dans une ruelle lointaine, entièrement occupé par les soins qu'il prodiguait à la bretonne. Tant pis pour lui...
La corde de son arc chanta à nouveau, tandis que la pointe cruelle fendait l'air... droit vers Sylph.
Une forme féline épiait discrètement l'extérieur du temple, cachée derrière une pierre tombale du cimetière paroissial.
Tabitha tuait depuis quelques années dèja, survivant au gré de contrats sans envergure, ce qui ne l'empêchait pas de forger son flair en même temps que sa réputation. Et la tueuse Khajitte sentait parfaitement que l'offre de l'elfe noir excentrique était un coup fourré : pas une seule fois il n'avait fait mine de se rapprocher d'une banque, et il ne transportait pas vingt-cinq mille pièces d'or sur lui, elle en était certaine. Il allait payer son impudence, et tout de suite.
Le dunmer réapparut. D'où sortait il elle ne savait pas, mais vu qu'il avait disparu à proximité de la cathédrale elle avait bien fait de l'y guetter. Peut-être aurait-elle réagi autrement si elle avait compris qu'il venait de sauter du toit dudit édifice...
Attendre, un peu plus, que le dunmer se retourne tranquilement vers la porte du cimetière. Ca y était. Elle sauta par dessus la pierre tombale qui l'abritait, lançant comme l'éclair une nuée de shurikens de ses deux mains griffues.
L'elfe vêtu de noir dût l'entendre car il fit alors un grand geste de son manteau, où l'intégralité des lames circulaires se fichèrent avant de tomber à terre. L'intérieur de celui ci était doublé de mailles. Il partit dans un ricanement dément avant de s'esquiver à une vitesse inhumaine derrière une autre stèle funéraire.
Une, deux. Puis trois secondes furent l'angoissante durée pendant laquelle la Khajite fouilla déséspérement le cimetière du regard, à la recherche de son perfide employeur. Elle comprit à l'aigue douleur qui la traversait de par en part que sa recherche avait trouvé sa conclusion. Elle regarda benoîtement la lame qui ressortait de son sternum, et le liquide chaud qui coulait à flot sur son torse.
" Déléctable vous ne trouvez pas? Quel dommage que votre teint n'y soit pas plus assorti n'est-ce pas?" Lui sussurait le vampire à l'oreille. "Le sang rend beaucoup mieux sur les rousses, surtout quand on leur en enduit les cheveux" Tabitha lui jeta un regard écoeuré, avant de rendre l'âme: la dague venait de parcourir le chemin qui séparait son coeur de son larynx.
Lui même était parfaitement dissimulé par son armure de cuir, qui se fondait avec les tons sales des toits des habitations de bois. Un rayon lumineux éclaira justement l'assassin rival. Le fourbe bosmer n'avait qu'à en profiter...
Il saisit une flèche tout ce qu'il avait de plus ordinaire, n'était bien sur l'étrange liquide qu'exsudait sa pointe, et ajusta la silhouette de son arc. Il banda celui avec force, puis laissa échapper son projectile, qui fendit l'air dans un léger mais musical sifflement avant d'atteindre sa cible.
Deuxième opportunité maintenant: L'elfe des bois saisit une nouvelle flèche et ajusta tranquilement le dunmer, dans une ruelle lointaine, entièrement occupé par les soins qu'il prodiguait à la bretonne. Tant pis pour lui...
La corde de son arc chanta à nouveau, tandis que la pointe cruelle fendait l'air... droit vers Sylph.
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Une forme féline épiait discrètement l'extérieur du temple, cachée derrière une pierre tombale du cimetière paroissial.
Tabitha tuait depuis quelques années dèja, survivant au gré de contrats sans envergure, ce qui ne l'empêchait pas de forger son flair en même temps que sa réputation. Et la tueuse Khajitte sentait parfaitement que l'offre de l'elfe noir excentrique était un coup fourré : pas une seule fois il n'avait fait mine de se rapprocher d'une banque, et il ne transportait pas vingt-cinq mille pièces d'or sur lui, elle en était certaine. Il allait payer son impudence, et tout de suite.
Le dunmer réapparut. D'où sortait il elle ne savait pas, mais vu qu'il avait disparu à proximité de la cathédrale elle avait bien fait de l'y guetter. Peut-être aurait-elle réagi autrement si elle avait compris qu'il venait de sauter du toit dudit édifice...
Attendre, un peu plus, que le dunmer se retourne tranquilement vers la porte du cimetière. Ca y était. Elle sauta par dessus la pierre tombale qui l'abritait, lançant comme l'éclair une nuée de shurikens de ses deux mains griffues.
L'elfe vêtu de noir dût l'entendre car il fit alors un grand geste de son manteau, où l'intégralité des lames circulaires se fichèrent avant de tomber à terre. L'intérieur de celui ci était doublé de mailles. Il partit dans un ricanement dément avant de s'esquiver à une vitesse inhumaine derrière une autre stèle funéraire.
Une, deux. Puis trois secondes furent l'angoissante durée pendant laquelle la Khajite fouilla déséspérement le cimetière du regard, à la recherche de son perfide employeur. Elle comprit à l'aigue douleur qui la traversait de par en part que sa recherche avait trouvé sa conclusion. Elle regarda benoîtement la lame qui ressortait de son sternum, et le liquide chaud qui coulait à flot sur son torse.
" Déléctable vous ne trouvez pas? Quel dommage que votre teint n'y soit pas plus assorti n'est-ce pas?" Lui sussurait le vampire à l'oreille. "Le sang rend beaucoup mieux sur les rousses, surtout quand on leur en enduit les cheveux" Tabitha lui jeta un regard écoeuré, avant de rendre l'âme: la dague venait de parcourir le chemin qui séparait son coeur de son larynx.
Modifié par Trias, 08 juin 2007 - 17:52.
#64
Daimyo Tai Shi
Posté 08 juin 2007 - 18:01
Kaahl bondit du toit, une boule incandescante le touchant de plein fouet. Il émit un cri, stupéfait, mais se rassura, ce n'était qu'un sort de lumière, rien de plus... Il bondit une nouvelle fois, et entendit une flèche se ficher dans le bois du toit qu'il venait de quitter... Quel était cette démence ? Qui pouvait bien en vouloir à sa peau ? Il n'en savait rien, et ne préféra pas en savoir davantage pour l'instant. Il roula vers l'avant, puis se laissa tomber dans une ruelle sombre et étroite. Il s'épousseta. Son travail était presque terminé. Demain en verrait la conclusion, et son payement... ou la punition de son employeur. Le dunmer se mit tranquillement en route vers l'auberge où il résidait...
--------------
Aewin se réveilla soudain, Sylph penché au-dessus d'elle... Il tentait de la soigner. Aewin sentit ses forces revenir...
"Voila, tu n'as plus à t'inquiéter, tu es complétement guérie ! Je dois avouer que j'ai eu peur pour toi mais ça va mieux maintenant ! Nous ferions mieux de partir, je crois que j'ai touché le malfaiteur mais je n'ai pas du le tuer .", lui dit le dunmer d'une voix rassurante.
La jeune brétonne s'appuya sur l'épaule de Sylph et tous deux repartirent vers la maison de Brise... En plein milieu du chemin, Aewin se sentit à nouveau faiblir. Elle en avertit Sylph. C'était une étrange sensation... La tête lui tournait... Elle s'effondra à nouveau, et pour la seconde fois en moins de dix minutes sombra dans les ténèbres...
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Aewin se réveilla soudain, Sylph penché au-dessus d'elle... Il tentait de la soigner. Aewin sentit ses forces revenir...
"Voila, tu n'as plus à t'inquiéter, tu es complétement guérie ! Je dois avouer que j'ai eu peur pour toi mais ça va mieux maintenant ! Nous ferions mieux de partir, je crois que j'ai touché le malfaiteur mais je n'ai pas du le tuer .", lui dit le dunmer d'une voix rassurante.
La jeune brétonne s'appuya sur l'épaule de Sylph et tous deux repartirent vers la maison de Brise... En plein milieu du chemin, Aewin se sentit à nouveau faiblir. Elle en avertit Sylph. C'était une étrange sensation... La tête lui tournait... Elle s'effondra à nouveau, et pour la seconde fois en moins de dix minutes sombra dans les ténèbres...
#65
Ryukan
Posté 08 juin 2007 - 18:13
Ils partitrent en direction de la maison de Brise, mais quelques minutes plus tard, Aewin averti Sylph qu'elle se sentait de nouveau faible, Sylph ne comprenait pas, avec les soins qu'il lui avait prodigiés, le poison ne devrait plus fair effet, ou alors, c'était bien le cas, le poison avait été neutralisé, mais les effets persistée et heuresement ne semblaient pas mortel.
Aewin s'écroula sur le sol de nouveau, emportant Sylph dans la chute vers le sol. Tous deux tombèrent et Sylph eut le temps d'entendre un sifflement perçent au dessus de lui puis un bruit sourd dans le bois, il aperçut une flèche qui l'avait manquée de peu, si Aewin n'était pas tombé, Sylph se serait pris la flèche en plein sur lui.
Il attrapa Aewin et la porta, il partit en courrant vers la maison de Brise, la brétonne était bien légère et l'elfe n'avait aucun mal à courrir avec celle ci dans les bras, il continua sa cours tout en entendant des bruis de claquement dans le bois, l'archer lui en voulait apparemment.
Tout en courant, Sylph sortit de sa poche un anti-poison de sa propre fabrication, celui-ci avait des propriétés médicinales en plus de l'ant-poison, juste par précaution, il lui fit boire et continua sa fuite dans les rues. Le bois continuait à claquer autour de lui tandis qu'il courrait à travers les rues, c'étaient apparemment un bien piètre archer e finirait par ne plus avoir de flèche de toutes manières.
Aewin s'écroula sur le sol de nouveau, emportant Sylph dans la chute vers le sol. Tous deux tombèrent et Sylph eut le temps d'entendre un sifflement perçent au dessus de lui puis un bruit sourd dans le bois, il aperçut une flèche qui l'avait manquée de peu, si Aewin n'était pas tombé, Sylph se serait pris la flèche en plein sur lui.
Il attrapa Aewin et la porta, il partit en courrant vers la maison de Brise, la brétonne était bien légère et l'elfe n'avait aucun mal à courrir avec celle ci dans les bras, il continua sa cours tout en entendant des bruis de claquement dans le bois, l'archer lui en voulait apparemment.
Tout en courant, Sylph sortit de sa poche un anti-poison de sa propre fabrication, celui-ci avait des propriétés médicinales en plus de l'ant-poison, juste par précaution, il lui fit boire et continua sa fuite dans les rues. Le bois continuait à claquer autour de lui tandis qu'il courrait à travers les rues, c'étaient apparemment un bien piètre archer e finirait par ne plus avoir de flèche de toutes manières.
Modifié par Ryukan, 08 juin 2007 - 18:18.
#66
Shoulden
Posté 08 juin 2007 - 21:42
Celegorn regarde un peu la ruel et vois Sylph arriver en courant, portant Aewin dans ses bras.
Des flèches fusent et manque de peu Sylph.
Il saute et s'accroche au rebord du toit de la maison de Brise, puis effectue un autre saut et atterrit sur le toit, bien sur ses pied.
Celegorn se retourne et sort son arc, puis prend une flèche le met en position et bande son arc, il vise ensuite l'assassin et décoche le flèche qui atterrit dans le poumon gauche de l'archer qui tombe du toit après s'être pris la flèche.
Celegorn range tranquillement son arc et saute du haut du toit.
Il dégaine ensuite son épée et marcher lentement vers l'assassin, jusqu'à ce qu'il soit juste devant lui.
L'assassin relève un peu la tête pour regarder Celegorn, il a énormément de mal a respirer.
Tue... *tousse* moi... es..espèce de racl... raclure !
Celegorn reste le regarder quelque seconde, puis il l'attrape par les cheveux et le soulève un peu, il met sa lame sur la gorge du truand et l'égorge d'un coup sec. L'elfe ne parait pas être très affecté par ce qu'il vient de faire, il se contente de dire : Voeu exaucé.
Des flèches fusent et manque de peu Sylph.
Il saute et s'accroche au rebord du toit de la maison de Brise, puis effectue un autre saut et atterrit sur le toit, bien sur ses pied.
Celegorn se retourne et sort son arc, puis prend une flèche le met en position et bande son arc, il vise ensuite l'assassin et décoche le flèche qui atterrit dans le poumon gauche de l'archer qui tombe du toit après s'être pris la flèche.
Celegorn range tranquillement son arc et saute du haut du toit.
Il dégaine ensuite son épée et marcher lentement vers l'assassin, jusqu'à ce qu'il soit juste devant lui.
L'assassin relève un peu la tête pour regarder Celegorn, il a énormément de mal a respirer.
Tue... *tousse* moi... es..espèce de racl... raclure !
Celegorn reste le regarder quelque seconde, puis il l'attrape par les cheveux et le soulève un peu, il met sa lame sur la gorge du truand et l'égorge d'un coup sec. L'elfe ne parait pas être très affecté par ce qu'il vient de faire, il se contente de dire : Voeu exaucé.
#67
Trias
Posté 08 juin 2007 - 22:20
Voeu exaucé.
L'elfe redescendit du toit. Il se retournait vers ses amis, qui l'avaient suivi, et se prit une main féminine bien cuisante sur la joue. La gifle fut accompagnée par une deuxième, en revers, sur l'autre joue. Levant les yeux il vit la petite bretonne, dréssée devant lui dans ses vêtements de cuir. Son regard fulminait.
"On tue PAS un adversaire qu'on a déja vaincu! Qu'est ce qui vous prend, vous vous prenez un tueur ou quoi! Vous voulez fournir aux gardes de vrais motifs de jugement? J'sais pas qui vous êtes, ni ce que vous faites là, mais va falloir qu'vous vous calmiez si vous voulez continuer " cria Maelicia, qui manifestement n'était pas calme. Brise et Sonia demeuraient interdits, à quelques pas de là
Elle se détourna pour examiner un instant Aewin, que Sylph portait dans ses bras. Elle était brûlante de fièvre, et délirait dans des propos incohérents. Si elle avait été empoisonnée, peut-être leur faudrait-il trouver rapidement l'antidote. Mais en attendant il leur fallait un lieu où se poser, un lieu sûr autant qu'un abri.
Maelicia réfléchit quelques instants, puis prit sa décision:
"Nous allons au temple. Suivez moi, j'y ai une amie, elle nous logera dans le presbytère. Les gardes ne nous embêteront pas dans un lieu saint, et on peut espèrer que cela refroidira d'éventuels pouilleux tireurs de flèches. Et la prêtresse prendra soin d'aewin aussi. Allons y vite!"
Elle ne vit pas les réactions de ses amis au souflet qu'elle avait infligé à l'homme mystérieux, mais tous la suivirent. Ils n'avaient nul part où aller de toute façon. La vieille prêtresse les accueillit, écouta avec attention les conclusions de maelicia sur son enquête, et leur offrit deux chambres du presbytère pour y passer autant de temps qu'il serait nécessaire.
Sylph et aewin furent conduits dans la première par la vieille guérisseuse, et celle ci employa ses talents à comprendre et à soulager la bretonne dont l'état empirait, à son chevet après l'avoir couchée.
En attendant, Maelicia réfléchissait dans l'autre chambre en compagnie de Sonia, de Brise et de l'elfe, au moyen de retrouver l'empoisonneur et son commanditaire.
L'elfe redescendit du toit. Il se retournait vers ses amis, qui l'avaient suivi, et se prit une main féminine bien cuisante sur la joue. La gifle fut accompagnée par une deuxième, en revers, sur l'autre joue. Levant les yeux il vit la petite bretonne, dréssée devant lui dans ses vêtements de cuir. Son regard fulminait.
"On tue PAS un adversaire qu'on a déja vaincu! Qu'est ce qui vous prend, vous vous prenez un tueur ou quoi! Vous voulez fournir aux gardes de vrais motifs de jugement? J'sais pas qui vous êtes, ni ce que vous faites là, mais va falloir qu'vous vous calmiez si vous voulez continuer " cria Maelicia, qui manifestement n'était pas calme. Brise et Sonia demeuraient interdits, à quelques pas de là
Elle se détourna pour examiner un instant Aewin, que Sylph portait dans ses bras. Elle était brûlante de fièvre, et délirait dans des propos incohérents. Si elle avait été empoisonnée, peut-être leur faudrait-il trouver rapidement l'antidote. Mais en attendant il leur fallait un lieu où se poser, un lieu sûr autant qu'un abri.
Maelicia réfléchit quelques instants, puis prit sa décision:
"Nous allons au temple. Suivez moi, j'y ai une amie, elle nous logera dans le presbytère. Les gardes ne nous embêteront pas dans un lieu saint, et on peut espèrer que cela refroidira d'éventuels pouilleux tireurs de flèches. Et la prêtresse prendra soin d'aewin aussi. Allons y vite!"
Elle ne vit pas les réactions de ses amis au souflet qu'elle avait infligé à l'homme mystérieux, mais tous la suivirent. Ils n'avaient nul part où aller de toute façon. La vieille prêtresse les accueillit, écouta avec attention les conclusions de maelicia sur son enquête, et leur offrit deux chambres du presbytère pour y passer autant de temps qu'il serait nécessaire.
Sylph et aewin furent conduits dans la première par la vieille guérisseuse, et celle ci employa ses talents à comprendre et à soulager la bretonne dont l'état empirait, à son chevet après l'avoir couchée.
En attendant, Maelicia réfléchissait dans l'autre chambre en compagnie de Sonia, de Brise et de l'elfe, au moyen de retrouver l'empoisonneur et son commanditaire.
Modifié par Trias, 08 juin 2007 - 22:21.
#68
Shoulden
Posté 08 juin 2007 - 22:37
"On tue PAS un adversaire qu'on a déjà vaincu! Qu'est ce qui vous prend, vous vous prenez un tueur ou quoi! Vous voulez fournir aux gardes de vrais motifs de jugement? J'sais pas qui vous êtes, ni ce que vous faites là, mais va falloir qu'vous vous calmiez si vous voulez continuer " cria Maelicia, qui manifestement n'était pas calme. Brise et Sonia demeuraient interdits, à quelques pas de là.
Celegorn laissa Maelicia le gifler et lui répondit très calmement.
Vous prenez peut être ça pour de la barbarie, mais ce n'était autre que lui laisser un peu d'honneur.
Il avait bien combattu, c'était mon devoirs en tant que vainqueur de le laisser mourir avec au moins une once d'honneur et de ne pas le laisser crever comme un chient galeux.
Il ne dit plus rien ensuite et suivis Maelicia.
Une fois arrivé dans leurs appartements a l'église, Celegorn s'installa dans un coin de la pièce et resta silencieux.
Puis il se mit a fouiller un peu dans les placards et trouva un pilon avec un mortier, un cornu et tout ce qui va avec le quittes du parfaite petit alchimiste.
Il sortis quelque minutes de la chambre et revint avec des plantes qu'il prépara avec le matériel.
A la fin, il ne restai plus qu'une sorte de pâtes a base de plante, il étala la pâte sur la blessure qui lui avait été fait par un traqueur de l'Ordre.
Celegorn laissa Maelicia le gifler et lui répondit très calmement.
Vous prenez peut être ça pour de la barbarie, mais ce n'était autre que lui laisser un peu d'honneur.
Il avait bien combattu, c'était mon devoirs en tant que vainqueur de le laisser mourir avec au moins une once d'honneur et de ne pas le laisser crever comme un chient galeux.
Il ne dit plus rien ensuite et suivis Maelicia.
Une fois arrivé dans leurs appartements a l'église, Celegorn s'installa dans un coin de la pièce et resta silencieux.
Puis il se mit a fouiller un peu dans les placards et trouva un pilon avec un mortier, un cornu et tout ce qui va avec le quittes du parfaite petit alchimiste.
Il sortis quelque minutes de la chambre et revint avec des plantes qu'il prépara avec le matériel.
A la fin, il ne restai plus qu'une sorte de pâtes a base de plante, il étala la pâte sur la blessure qui lui avait été fait par un traqueur de l'Ordre.
Modifié par Shoulden, 08 juin 2007 - 22:37.
#69
Daimyo Tai Shi
Posté 08 juin 2007 - 23:07
La guérisseuse conduisit Aewin et Sylph dans une petite chambre, et le dunmer installa son amie sur un lit. La guérisseuse se mit en tête d'examiner la "blessure" de la jeune femme. Elle lança un regard appuyé à l'elfe noir, puis entreprit de retirer la robe de la jeune magicienne. Quand ce fut fait, elle faillit défaillir. La chair à l'endroit de l'impact était comme légèrement craquelée, sur une surface de quelques centimètres. Des craquelures s'échappaient une lueur verte éclatante. La 'Marque', comme on l'appelait.
La guérisseuse rhabilla la jeune femme et sortit précipitemment de la pièce. Elle revint rapidement, avec un lourd volume d'alchimie avancée, qu'elle posa lourdement sur une table basse et commença à feuilleter rapidement.
"Combien de temps, jeune homme ? Cela fait combien de temps qu'elle a été touchée ?"
Le Dunmer lui répondit, et elle paniqua encore plus. Tellement longtemps ! Il lui fallait un guérisseur plus compétent, mais elle n'en connaissait pas de meilleur qu'elle en ville. Peut-être qu'un meilleur guérisseur était en voyage à Bravil en ce moment ? Il lui fallait vite en trouver un. Elle finit par trouver la page qu'elle cherchait.
"Potion anti-diffusion. Cela ralentira les effets du poison. Je ne pourrais pas faire mieux. Il nous faut un guérisseur plus compétent, mais je suis la meilleure du coin. Si vous pouviez nous dégoter quelqu'un qui serait de passage, et guérisseur qui plus est... Votre amie n'aurait aucun mal à guérir. Mais sinon... Elle déglutit péniblement. Elle a été empoisonnée par ce que l'on nomme dans le jargon le 'Fluide Sacrificiel'. C'est un mélange complexe, utilisé par les adeptes des Arts Occultes pour paralyser complètement leur victime avant un sacrifice. Le problème étant que sur un plus long terme, allant de quelques heures à plusieurs jours, la personne empoisonnée voit ses organes vitaux lâcher un par un... et ce n'est pas réparable, comme vous vous en doutez."
Elle ouvrit un tiroir et en sortit du matériel alchimique.
"Trouvez-moi un guérisseur de passage en ville, et de préférence un bon, sinon votre amie est condamnée. Débrouillez-vous comme vous voulez, mais ne traînez pas si vous voulez qu'elle passe la nuit..."
La guérisseuse rhabilla la jeune femme et sortit précipitemment de la pièce. Elle revint rapidement, avec un lourd volume d'alchimie avancée, qu'elle posa lourdement sur une table basse et commença à feuilleter rapidement.
"Combien de temps, jeune homme ? Cela fait combien de temps qu'elle a été touchée ?"
Le Dunmer lui répondit, et elle paniqua encore plus. Tellement longtemps ! Il lui fallait un guérisseur plus compétent, mais elle n'en connaissait pas de meilleur qu'elle en ville. Peut-être qu'un meilleur guérisseur était en voyage à Bravil en ce moment ? Il lui fallait vite en trouver un. Elle finit par trouver la page qu'elle cherchait.
"Potion anti-diffusion. Cela ralentira les effets du poison. Je ne pourrais pas faire mieux. Il nous faut un guérisseur plus compétent, mais je suis la meilleure du coin. Si vous pouviez nous dégoter quelqu'un qui serait de passage, et guérisseur qui plus est... Votre amie n'aurait aucun mal à guérir. Mais sinon... Elle déglutit péniblement. Elle a été empoisonnée par ce que l'on nomme dans le jargon le 'Fluide Sacrificiel'. C'est un mélange complexe, utilisé par les adeptes des Arts Occultes pour paralyser complètement leur victime avant un sacrifice. Le problème étant que sur un plus long terme, allant de quelques heures à plusieurs jours, la personne empoisonnée voit ses organes vitaux lâcher un par un... et ce n'est pas réparable, comme vous vous en doutez."
Elle ouvrit un tiroir et en sortit du matériel alchimique.
"Trouvez-moi un guérisseur de passage en ville, et de préférence un bon, sinon votre amie est condamnée. Débrouillez-vous comme vous voulez, mais ne traînez pas si vous voulez qu'elle passe la nuit..."
#70
Trias
Posté 09 juin 2007 - 08:15
L'étudiante avait arrêté de faire les cent pas dans la chambre lorsqu'elle avait vu Celegorn (dont elle ignorait encore le nom) retirer sa cuirasse de mithril pour confectionner une sorte de pâte qu'il disposait sur sa blessure. Manifestement c'était plus un guerrier qu'un guérisseur. Elle sortit de la salle puis revint quelques instants plus tard avec une bassine d'eau chaude, de l'alcool, des chiffons ainsi que des bandages.
" J'peux p'têtre complèter un peu" lui dit-elle avec un petit sourire en coin "j'vais vous montrer comment est ce qu'on devrait utiliser la bibine, au lieu de la boire" . Elle le fit assoir près de la table, et se mit sur une chaise latéralement à Celegorn, de manière à pouvoir examiner son épaule sans gène.
Elle retira la pâte avec douceur, la déposant dans le mortier pour pouvoir la réutiliser plus tard. Elle lava d'abord abondamment la blessure à l'aide de la bassine. Puis, saisissant l'alcool, elle en imbiba le chiffon et entreprit de nettoyer la plaie, assez profondément qui plus est, arrachant quelques grimaces à l'elfe. Elle en ramena des échardes de bois, plus quelques mini-éclats de pierre, certainement les vestiges de la flèche et de leur passage en prison.
" Ca se serait infécté" lui dit-elle "il faut toujours vérifier qu'y'a pas de machins au fond d'une blessure, sinon ça finit par suinter quelque soit l'onguent qu'on utilise ensuite".
Elle vérifia ensuite qu'il n'y avait pas déja de pus sous la peau, et que le bras de l'elfe fonctionnait bien, puis passa un petit coup d'alcool sur la mixture que son hôte mystèrieux s'était confectionné, et la remit en place, concluant le tout par la confection d'un solide bandage autour de l'épaule de celui ci.
"Je suis désolée pour tout à l'heure" lui souffla t'elle en se levant "J'ai tendance à m'emporter un peu vite parfois" ajouta-t'elle, tout en sachant que si ce qu'elle venait de dire était vrai ses colères étaient tout de même rarement totalement dénuées de fondement.
Maelicia sortit ensuite pour aller voir comment allait aewin, qui était aux mains de la vieille prêtresse. Comme elle traversait le presbytère, elle se sentit soudain très lasse et fatiguée. Cela faisait dans les deux jours sans sommeil, et cela devenait difficile. Alors qu'elle s'approchait de sa destination, elle entendit la voix de l'ancienne déclarer:
.... organes vitaux lâcher un par un... et ce n'est pas réparable, comme vous vous en doutez." Il y eut un silence et un bruit de tiroir qu'on ouvre.
"Trouvez-moi un guérisseur de passage en ville, et de préférence un bon, sinon votre amie est condamnée. Débrouillez-vous comme vous voulez, mais ne traînez pas si vous voulez qu'elle passe la nuit..."
Elle regagna précitamment la chambre, et annonça aux autres qu'elle partait chercher de l'aide pour aewin, parce qu'elle était la seule qui ne soit pas directement reconnaissable par les gardes. Elle sortit de l'édifice, en réactivant sa vision spirituelle, au cas où. Il était minuit. L'étudiante se dirigea d'un pas rapide vers l'auberge de Bravil...
" J'peux p'têtre complèter un peu" lui dit-elle avec un petit sourire en coin "j'vais vous montrer comment est ce qu'on devrait utiliser la bibine, au lieu de la boire" . Elle le fit assoir près de la table, et se mit sur une chaise latéralement à Celegorn, de manière à pouvoir examiner son épaule sans gène.
Elle retira la pâte avec douceur, la déposant dans le mortier pour pouvoir la réutiliser plus tard. Elle lava d'abord abondamment la blessure à l'aide de la bassine. Puis, saisissant l'alcool, elle en imbiba le chiffon et entreprit de nettoyer la plaie, assez profondément qui plus est, arrachant quelques grimaces à l'elfe. Elle en ramena des échardes de bois, plus quelques mini-éclats de pierre, certainement les vestiges de la flèche et de leur passage en prison.
" Ca se serait infécté" lui dit-elle "il faut toujours vérifier qu'y'a pas de machins au fond d'une blessure, sinon ça finit par suinter quelque soit l'onguent qu'on utilise ensuite".
Elle vérifia ensuite qu'il n'y avait pas déja de pus sous la peau, et que le bras de l'elfe fonctionnait bien, puis passa un petit coup d'alcool sur la mixture que son hôte mystèrieux s'était confectionné, et la remit en place, concluant le tout par la confection d'un solide bandage autour de l'épaule de celui ci.
"Je suis désolée pour tout à l'heure" lui souffla t'elle en se levant "J'ai tendance à m'emporter un peu vite parfois" ajouta-t'elle, tout en sachant que si ce qu'elle venait de dire était vrai ses colères étaient tout de même rarement totalement dénuées de fondement.
Maelicia sortit ensuite pour aller voir comment allait aewin, qui était aux mains de la vieille prêtresse. Comme elle traversait le presbytère, elle se sentit soudain très lasse et fatiguée. Cela faisait dans les deux jours sans sommeil, et cela devenait difficile. Alors qu'elle s'approchait de sa destination, elle entendit la voix de l'ancienne déclarer:
.... organes vitaux lâcher un par un... et ce n'est pas réparable, comme vous vous en doutez." Il y eut un silence et un bruit de tiroir qu'on ouvre.
"Trouvez-moi un guérisseur de passage en ville, et de préférence un bon, sinon votre amie est condamnée. Débrouillez-vous comme vous voulez, mais ne traînez pas si vous voulez qu'elle passe la nuit..."
Elle regagna précitamment la chambre, et annonça aux autres qu'elle partait chercher de l'aide pour aewin, parce qu'elle était la seule qui ne soit pas directement reconnaissable par les gardes. Elle sortit de l'édifice, en réactivant sa vision spirituelle, au cas où. Il était minuit. L'étudiante se dirigea d'un pas rapide vers l'auberge de Bravil...
Modifié par Trias, 09 juin 2007 - 08:16.
#71
Ryukan
Posté 09 juin 2007 - 11:13
Ils arrivèrent au temple, Sylph posa Aewin sur un lit de la chambre pour que la prétresse l'examine, elle fit signe à l'elfe de se retourner par un regard appuyé, il se retourna, celle ci lui demanda depuis combien de temps elle avait étée empoisoné :
"Je dirais à peu près 10 minutes, pas exactement mais presque ."
La prétresse semblait paniqué, elle lui expliqua que le poison était mortelle à long terme et qu'il fallait la soigner au plus vite :
"Trouvez-moi un guérisseur de passage en ville, et de préférence un bon, sinon votre amie est condamnée. Débrouillez-vous comme vous voulez, mais ne traînez pas si vous voulez qu'elle passe la nuit..."
Sylph quitta la pièce sans dire un bruit mais en courant à toutes vitesse, il été triste, il aurait cru que ses soins seraient suffisants, mais il s'été trompé, mais la n'était pas la priporité, il lui fallait trouvé un guérisseur plus compétent, et vite, cet assassin semblait être lui aussi compétent.
L'étranger était en robe grise, caché derrière la chappelle, il épiait les entrés et sorties de celle-ci après que le groupe soit entré. Il vit l'elfe noir sortir en courant, il semblait très préssé, il vit ensuite sortir une jeune femme aux cheveux noirs de jais.
L'étranger sortit de sa cachette et suivit l'elfe noir, il s'engouffra dans une ruelle, puit dans une autre, et encore une, il connaissait apparemment bien la ville. Il arriva finallement en face de l'elfe, celui-ci le regarda et cru qu'il était guérisseur.
"Excusez-moi, êtes-vous guérisseur ? Ou savez vous tout de même la pratiquée ? Ou même alchimiste, je ne sais pas moi, mais est ce que vous pourriez soigner une blessure infecté, je vous en pris c'est urgent !
aidez moi si vous le pouvez !"!
Dit Sylph qui semblait paniqué et desespéré, il tenait à Aewin et ne voulait pas que celle-ci meure.
"Je dirais à peu près 10 minutes, pas exactement mais presque ."
La prétresse semblait paniqué, elle lui expliqua que le poison était mortelle à long terme et qu'il fallait la soigner au plus vite :
"Trouvez-moi un guérisseur de passage en ville, et de préférence un bon, sinon votre amie est condamnée. Débrouillez-vous comme vous voulez, mais ne traînez pas si vous voulez qu'elle passe la nuit..."
Sylph quitta la pièce sans dire un bruit mais en courant à toutes vitesse, il été triste, il aurait cru que ses soins seraient suffisants, mais il s'été trompé, mais la n'était pas la priporité, il lui fallait trouvé un guérisseur plus compétent, et vite, cet assassin semblait être lui aussi compétent.
----------------------------------------------
L'étranger était en robe grise, caché derrière la chappelle, il épiait les entrés et sorties de celle-ci après que le groupe soit entré. Il vit l'elfe noir sortir en courant, il semblait très préssé, il vit ensuite sortir une jeune femme aux cheveux noirs de jais.
L'étranger sortit de sa cachette et suivit l'elfe noir, il s'engouffra dans une ruelle, puit dans une autre, et encore une, il connaissait apparemment bien la ville. Il arriva finallement en face de l'elfe, celui-ci le regarda et cru qu'il était guérisseur.
"Excusez-moi, êtes-vous guérisseur ? Ou savez vous tout de même la pratiquée ? Ou même alchimiste, je ne sais pas moi, mais est ce que vous pourriez soigner une blessure infecté, je vous en pris c'est urgent !
aidez moi si vous le pouvez !"!
Dit Sylph qui semblait paniqué et desespéré, il tenait à Aewin et ne voulait pas que celle-ci meure.
Modifié par Ryukan, 09 juin 2007 - 11:14.
#72
Daimyo Tai Shi
Posté 09 juin 2007 - 13:12
Sous son capuchon, Kaahl sourit. Il regarda le dunmer, et se félicita intérieurement de l'effet de ce poison. Mais en apparence, il se voulait rassurant, son sourire se voulait chaleureux et réconfortant.
"Effectivement mon jeune ami... Je suis guérisseur. Pourquoi cela, auriez-vous un problème ?"
Sylph lui expliqua la situation. Kaahl prit un air inquiet, et baissa la tête. Il suivit Sylph et entra dans la chapelle, tandis que la nuit commençait à laisser sa place à une frêle lueur céleste.
Le Dunmer entra dans la chambre, et vit sa cible allongée sur un lit, une vieille femme à ses côtés. Cette dernière se retourna vivement.
"Vous êtes guérisseur ?"
Kaahl hocha du chef, l'air grave. Il fit signe aux autres de sortir, et de le laisser seul pour examiner la jeune femme et concocter sa potion. La vieille guérisseuse voulait émettre quelques réserves, mais elle s'abstint finalement, sachant pertinemment que chaque minute perdue rapprochait la brétonne de la mort. Elle se releva et se dirigea vers la porte de la chambre.
"Effectivement mon jeune ami... Je suis guérisseur. Pourquoi cela, auriez-vous un problème ?"
Sylph lui expliqua la situation. Kaahl prit un air inquiet, et baissa la tête. Il suivit Sylph et entra dans la chapelle, tandis que la nuit commençait à laisser sa place à une frêle lueur céleste.
Le Dunmer entra dans la chambre, et vit sa cible allongée sur un lit, une vieille femme à ses côtés. Cette dernière se retourna vivement.
"Vous êtes guérisseur ?"
Kaahl hocha du chef, l'air grave. Il fit signe aux autres de sortir, et de le laisser seul pour examiner la jeune femme et concocter sa potion. La vieille guérisseuse voulait émettre quelques réserves, mais elle s'abstint finalement, sachant pertinemment que chaque minute perdue rapprochait la brétonne de la mort. Elle se releva et se dirigea vers la porte de la chambre.
#73
Shoulden
Posté 09 juin 2007 - 14:06
Celegorn attendis une vingtaine de minutes, puis il enleva son bandage, pris un torchon, le trempa dans l'eau et essuya la pâte qu'il avait sur l'épaule.
De sa blessure, il n'en restai qu'un petit cercle de couleur de couleur rosé. La peau et la chaire s'était reformé en un rien de temps.
Il repris sa cuirasse et l'enfila, c'est ensuite qu'il vis un homme en robe grise passer dans le couloir accompagné de Sylph.
Celegorn fronça les sourcils et sortis de la chambre, puis alla observer ce que faisait l'inconnu.
De sa blessure, il n'en restai qu'un petit cercle de couleur de couleur rosé. La peau et la chaire s'était reformé en un rien de temps.
Il repris sa cuirasse et l'enfila, c'est ensuite qu'il vis un homme en robe grise passer dans le couloir accompagné de Sylph.
Celegorn fronça les sourcils et sortis de la chambre, puis alla observer ce que faisait l'inconnu.
#74
Trias
Posté 09 juin 2007 - 14:13
L'étudiante revenait sur ses pas, marchant à une allure rapide. Elle était accompagnée d'un homme de la cinquantaine, dont on n'aurait su dire s'il tenait plus du breton ou de l'impérial. Son visage était sévère, encadré par des cheveux blancs coupés courts. Il portait une robe brune droite, ainsi qu'une petite valise qu'il tenait dans sa main droite. Ils devisaient, tandis que leur allure rapide les menait à la cathédrale.
"... miteux et vivant dans des conditions sanitaires déplorables. Le taux d'infections en est d'autant plus élevé. Ainsi si l'on attend trop l'infection peut parfois devenir résistante aux sorts de guérison, et requérrir des elixirs spécifiques pour en venir à bout au préalable."
Maelicia buvait ses paroles. Elle n'en revenait pas d'avoir trouvé un guérisseur aussi compétent comme ça, en lui rentrant dedans alors qu'elle pensait avoir repéré l'esprit d'un enième mercenaire aux alentours.
"La prêtresse disait qu'il s'agissait d'un poison qui paralysait puis détruisait les organes, un truc sacrificiel ou j'sais pas trop quoi, j'entendais assez mal à travers la porte. Vous pensez que ça pourrait être du curare?"
"Votre amie respirait-elle encore lorsque vous l'avez vue?"
"Euh, ben j'serais pas venue vous chercher dans le cas contraire!"
"Alors ce n'était pas du curare. Consultez à nouveau vos livres d'alchimie, mademoiselle. Les principaux muscles affectés sont respiratoires. La victime meurt, et ils sont donc inadaptés aux sacrifices. Non, je penserais plutôt à un mélange de venin de daedra et de fenouil, ou encore de l'harrada. Ce sont là des poisons très rares, et très chers, mais qui permettent une agonie sans résistance, idéale sur des autels. Malheureusement ils ont leurs limites, et finissent toujours par tuer la victime, au bout de six à dix heures, ce qui est toutefois largement suffisant pour une offrande gratinée. Ah! Voici le temple..."
Ils entrèrent, passèrent la nef, puis pénètrèrent dans le presbytère. La prêtresse ainsi que Sylph les attendaient, en se rongeant les sangs tandis que Celegorn jetait un coup d'oeil à la chambre. Etonnée, la bretonne fit tout de même entrer l'alchimiste dans la chambre où se trouvait aewin. Celle ci était inconsciente alors qu'un homme en robe grise penché sur la blonde jeune femme.
"Eh bien, j'ai manifestement été précédé, à ce que je vois. Seriez vous un confrère? Peut-être pourrions nous nous assister dans ce cas là, il se trouve que je suspectais deux trois toxiques d'être en cause dans cet empoisonnement, du Harrada, du fenouil, et plus ou moins du venin de daedra. Que retrouvez vous à l'examen en faveur de ceux-ci? Qu'en est il de la tolérance circulatoire du poison" Demanda sans préalables l'apothicaire guérisseur à ce qu'il croyait être un collègue. Maelicia se tenait à ses côtés, observant l'homme en gris comme si elle regardait quelque chose d'invisible au niveau de son torse.
Elle paraissait néanmoins visiblement très fatiguée, et commençait positivement à avoir du mal à assumer la privation de sommeil. C'est alors qu'elle crût entendre de drôles de bruits venant de l'autre chambre du presbytère, mais les ignora, l'épuisement la rendant méfiante vis à vis de ses sens.
"... miteux et vivant dans des conditions sanitaires déplorables. Le taux d'infections en est d'autant plus élevé. Ainsi si l'on attend trop l'infection peut parfois devenir résistante aux sorts de guérison, et requérrir des elixirs spécifiques pour en venir à bout au préalable."
Maelicia buvait ses paroles. Elle n'en revenait pas d'avoir trouvé un guérisseur aussi compétent comme ça, en lui rentrant dedans alors qu'elle pensait avoir repéré l'esprit d'un enième mercenaire aux alentours.
"La prêtresse disait qu'il s'agissait d'un poison qui paralysait puis détruisait les organes, un truc sacrificiel ou j'sais pas trop quoi, j'entendais assez mal à travers la porte. Vous pensez que ça pourrait être du curare?"
"Votre amie respirait-elle encore lorsque vous l'avez vue?"
"Euh, ben j'serais pas venue vous chercher dans le cas contraire!"
"Alors ce n'était pas du curare. Consultez à nouveau vos livres d'alchimie, mademoiselle. Les principaux muscles affectés sont respiratoires. La victime meurt, et ils sont donc inadaptés aux sacrifices. Non, je penserais plutôt à un mélange de venin de daedra et de fenouil, ou encore de l'harrada. Ce sont là des poisons très rares, et très chers, mais qui permettent une agonie sans résistance, idéale sur des autels. Malheureusement ils ont leurs limites, et finissent toujours par tuer la victime, au bout de six à dix heures, ce qui est toutefois largement suffisant pour une offrande gratinée. Ah! Voici le temple..."
Ils entrèrent, passèrent la nef, puis pénètrèrent dans le presbytère. La prêtresse ainsi que Sylph les attendaient, en se rongeant les sangs tandis que Celegorn jetait un coup d'oeil à la chambre. Etonnée, la bretonne fit tout de même entrer l'alchimiste dans la chambre où se trouvait aewin. Celle ci était inconsciente alors qu'un homme en robe grise penché sur la blonde jeune femme.
"Eh bien, j'ai manifestement été précédé, à ce que je vois. Seriez vous un confrère? Peut-être pourrions nous nous assister dans ce cas là, il se trouve que je suspectais deux trois toxiques d'être en cause dans cet empoisonnement, du Harrada, du fenouil, et plus ou moins du venin de daedra. Que retrouvez vous à l'examen en faveur de ceux-ci? Qu'en est il de la tolérance circulatoire du poison" Demanda sans préalables l'apothicaire guérisseur à ce qu'il croyait être un collègue. Maelicia se tenait à ses côtés, observant l'homme en gris comme si elle regardait quelque chose d'invisible au niveau de son torse.
Elle paraissait néanmoins visiblement très fatiguée, et commençait positivement à avoir du mal à assumer la privation de sommeil. C'est alors qu'elle crût entendre de drôles de bruits venant de l'autre chambre du presbytère, mais les ignora, l'épuisement la rendant méfiante vis à vis de ses sens.
Modifié par Trias, 10 juin 2007 - 08:49.
#75
Sonia
Posté 10 juin 2007 - 02:35
Sonia dépassé par les évènements, ne revint pratiquement a elle qu'arriver à l'église, elle était chaboulé, tout s'enchainait dans sa tête, encore pire que dans la maison de Brise. Tant de chose horrible se passait autour d'elle, à peine avait-elle retrouver le bonheur après la visite dans le chateau d'Illuvanar suivit de son nouvel amour avec Kimey, que ces être ignoble lui arrachait déjà? Tous autant qu'ils étaient, ils étaient tous contre elle, ils voulaient l'empécher de vivre un peu calmement. Etait-ce un mauvais oeil qui planait au dessu d'elle? Elle avait quitter sa famille tentant de fuir cette vie qui la rendait malheureuse, et maintenant qu'elle était ailleur, rien n'avait changé dans son coeur, juste la situation qui était différente. Elle ne pouvait rien faire pour Kimey, rien faire pour soigner les blessures d'Aewin. Rien faire pour empécher les gardes de la reprendre. Rien faire pour revenir en arrière.
"tous contre moi..."
Tout! Tout se chamboulait dans sa tête... Elle s'était inconsciement assise au sol dans un coin...
"tous contre moi..."
Elle tenait sa tête entre ses mains...
"tous contre moi..."
Elle se faisait aller d'avant en arrière...
"tous contre moi..."
Une aura sombre semblait l'enveloper peu à peu...
"tous contre moi..."
Ses yeux semblaient devenir aveugle...
"tous contre moi..."
Sa respiration semblait ralentir....
"tous contre moi..."
Les bâtement de son coeur semblait se figer...
"tous contre moi..."
Sa bouche vint soudain à se nouer
". . . . . . ."
Elle se figea soudain quelques instants, laissant retomber ses bras...
". . . . . . ."
Elle releva la tête, observant ses compagnons...
". . . . . . ."
"tous contre moi..."
Tout! Tout se chamboulait dans sa tête... Elle s'était inconsciement assise au sol dans un coin...
"tous contre moi..."
Elle tenait sa tête entre ses mains...
"tous contre moi..."
Elle se faisait aller d'avant en arrière...
"tous contre moi..."
Une aura sombre semblait l'enveloper peu à peu...
"tous contre moi..."
Ses yeux semblaient devenir aveugle...
"tous contre moi..."
Sa respiration semblait ralentir....
"tous contre moi..."
Les bâtement de son coeur semblait se figer...
"tous contre moi..."
Sa bouche vint soudain à se nouer
". . . . . . ."
Elle se figea soudain quelques instants, laissant retomber ses bras...
". . . . . . ."
Elle releva la tête, observant ses compagnons...
". . . . . . ."
Modifié par Sonia, 10 juin 2007 - 03:02.
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