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[rp] Bravil


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669 réponses à ce sujet

#1 Trias

Trias

Posté 31 mai 2007 - 20:45

HrpCeci est en lien avec les évènements de Skingrad, et du Weald Occidental, et se déroule parallèlement à la Traversée du Weald par les aventuriers décrits plus loin...



http://img102.imageshack.us/img102/9744/bravilyz1.jpg



Partie I - Bravil

Spoiler



Partie II - Sarcasmes de Sépulcre
                                    
Spoiler

Modifié par Trias, 11 mai 2008 - 22:21.


#2 Daimyo Tai Shi

Daimyo Tai Shi

Posté 04 juin 2007 - 19:15

HrpLa route conduisant jusqu'à Bravil fut longue... Mais vous pourrez trouver ici, chères lectrices et lecteurs, son récit...



Ce fut à la mi-journée qu'un groupe de sept aventuriers arriva en vue de la débauchée Bravil... Trois femmes, quatre hommes, six chevaux... Trois d'entre eux semblaient adeptes de la magie, les autres étant de toute évidence des combattants aguerris.

L'astre céleste avait fini par percer de ses rayons l'épaisse couche nuageuse qui s'était formée sur les terres centrales de Cyrodiil. Le groupe s'arrêta en haut d'une colline, contemplant la cité en contrebas. L'une des femmes, une jeune brétonne aux cheveux clairs, presque d'or au soleil, fit avancer sa monture un peu plus que ses compagnons, et annonça :


"Bravil... La cité de la débauche et de la pauvreté... Le bidonville de Cyrodiil, oui ! Dire qu'en Hauteroche on l'appelle la 'perle du Niben'... Sa gloire doit être fort loin maintenant..."

Elle fit volter son cheval et reprit à l'adresse de ses amis :

"Allons-y... Vu l'heure peu avancée, nous pourrons prendre le temps de nous installer en ville et d'en découvrir les service."

La monture de la jeune femme fit à nouveau un demi-tour, puis s'élança vers les portes de la cité, suivie de près par ses compagnons... Ils dévalèrent la pente au galop, et arrivant au poste de garde de l'entrée, ils se firent arrêter par un groupe de soldats.

"Ho ! Qui êtes-vous et que venez-vous faire à Bravil, voyageurs ?", demanda l'un d'eux.

Un certain malaise se lisait dans les yeux d'un garde un peu en retrait du premier, une jeune recrue de toute évidence. Aewin s'en aperçut, et regarda ses amis, inquiète. Le soldat les ayant arrêté se retourna vers ses hommes, s'étant aperçu que quelque chose clochait.

"
Et si c'étaient eux, caporal ? Ils ont le profil. Ils ne sont pas cinq, mais ils sont bien comme décrit par le capitaine Gullis, dit le jeune soldat.

-
Est-ce le capitaine Gullis qui donne les ordres dans ce poste de garde ? Non. Alors tais-toi et laisse le sergent Jeladren faire son travail, gamin."

Le dénommé Jeladren se retourna à nouveau, et détailla les sept voyageurs du regard, apparemment décontenancé. Il finit par émettre un profond soupir, et fit un geste de la main. Des archers sortirent par la porte arrière du poste de garde, et bloquèrent le pont aux voyageurs, leur coupant ainsi toute chance de fuite. Puis, il leur annonça, sans avoir même eu de réponse à sa première question :

"
Vous êtes en état d'arrestation. La cité de Bravil va vous placer sous sa juridiction, et vous allez être conduits aux cachots immédiatement. Votre équipement va également vous être confisqué, ainsi que vos chevaux. La garde de la cité va vous conserver en détention jusqu'à ce que la lumière ait été faite sur cette affaire, ou que vous soyez convoqués par Monseigneur Regulus Terentius, garant de l'ordre et souverain de ces terres. Suivez-moi tranquillement et il ne vous sera fait aucun mal."

Le garde baissa la tête, apparemment dégouté par son propre discours. Aewin était sidérée, tout comme ses amis. Elle n'avait jamais mis les pieds ici, comment cela aurait-il pu se faire ? Elle les regarda les uns après les autres, sans comprendre...



Modifié par Daimyo Tai Shi, 11 août 2008 - 19:33.


#3 Trias

Trias

Posté 04 juin 2007 - 21:01

Maelicia était stupéfaite. L'arrêter, elle? Alors qu'elle était certainement la plus honnête de tous ces types réunis? Voilà qui était sidérant. Mais pour quel motif les arrêteraient-ils? Elle voyait que la populace à l'intérieur des portes s'était arrêtée, les habitants regardant fixement le groupe d'étrangers d'un air mi-figue, mi-raisin. Mi-résignés, mi-rebelles. Mais à leur attitude, aucun ne leverait le petit doigt pour les aider, du moins en présence des gardes.

"Mais pourquoi est-ce qu'on serait arrêtés?? On n'a rien fait, on vient juste d'arriver? Vous arrêtez les gens préventivement maintenant?" fit-elle d'une voix à la fois stupéfaite puis exaspérée.

"Regardez la! La rousse a du sang sur les mains et partout sur sa robe! C'est elle qui a tué le prêtre!!" fit l'un des plus jeunes soldats. Quatre des douze archers ajustèrent la mire de leurs arcs sur l'étudiante.

La bretonne cilla en jetant un coup d'oeil à sa tunique de mage: elle avait oublié qu'en de nombreux points le sang s'y mêlait à la boue. Elle avait même encore mal à la poitrine, souvenir douleureux du sanglant chatiment que le maître de l'Ordre de la Wyverne lui avait infligé.

Des pensées s'entrechoquèrent dans son esprit. Fuir? Elle pourrait facilement détourner l'esprit de quelques gardes de sa personne, mais certainement pas retenir les flèches qui s'abattraient alors sur ses compagnons. Elle aurait une chance de leur échapper une fois que leur nombre se réduirait... peut-être dans la prison elle même. Mais pas maintenant.


"JETEZ VOS ARMES! Descendez à terre et gardez vos mains dérrière la tête! Immédiatement!!" Ordonna le sergent, en tirant son épée.

"Faites ce qu'ils disent" s'écria alors Maelicia " Si on résiste nous ne pourrons pas éviter le bain de sang, que ce soit parmi ces emplumés qui se sont trompés de cible, ou parmi nous. J'supporterai pas un mort de plus pour cette foutue journée!!

Elle descendit de cheval, écarta les bras pour montrer qu'elle était bien désarmée, mit les mains dérrière la tête, et attendit, résignée. Son compagnon était lui aussi descendu de leur monture, mais semblait hésiter à faire payer aux représentant de la loi l'affront qu'ils leur faisaient subir.

Ladite monture s'approchait pas à pas, avec un naturel incroyable, d'une touffe de pissenlits située un peu en dehors du cercle formé par les gardes. Puis, voyant que l'attention restait centrée sur les aventuriers, le cheval détourna courageusement le museau de l'appétissante motte d'herbes, et partit au grand galop dans la nature.

Modifié par Trias, 04 juin 2007 - 21:03.


#4 Shoulden

Shoulden

Posté 04 juin 2007 - 21:37

L'homme descend du cheval et se regarde dans la même direction que Maelicia, puis il enlève la flèches qu'il a dans l'épaule gauche, d'un coup sec et la jette au pieds d'un garde.

Il enlève ensuite sa cape qui le cachais avant et tout le monde peux découvrir un homme d'origine elfique, d'un mètre quatre-vingt-dix, les cheveux blancs, les yeux de couleur argent, arborant une musculature parfaite et des tatouages tribaux bleue cyan sur ses épaules qui doivent aussi recouvrir son torse.

Maelicia qui est juste a côté, peux sentir une sorte d'énergie magique pour le moins étrange dégageant de ces tatouages tribaux.

L'elfe a sur lui une cuirasse apparemment faites de mithril mais qui ne correspond a aucun style d'armurier, un pantalon en tissu noir et des bottes de cuir.
Il a un long arc dans son dos, plus un carquois dorsal, une épée longue, une dague elfique, une dizaine de poignards attache a chaque cuisses, deux petites haches accroché au niveaux de ses reins et un couteau qui dépasse de ses bottes. Il jette tout ça devant les gardes qui paraissent étonné de voir un homme si armé.


Ça vous va comme ça ?

#5 Albi

Albi

Posté 04 juin 2007 - 21:38

Kimey fut outré,encore arreté?Deuxième fois en une semaine ça devenait une habitude!Bon il fit comme demandait les gardes aida à faire descendre de cheval Sonia et Balança aux pieds du garde qui leur avait parlé son épée courte puis mit les mains derrière la tête et dit:

-"Je crois que nous avons le droit de savoir de quoi vous nous accuser non?Et aussi je voudrais savoir si il y a des prisons mixtes."

Pour seule reponse la garde rit et dit:

-"Vous êtes accusés de meurtre,et je ne pense pas que vous serez ensemble, car je pense que nous garderont quelques temps les deux jeunes filles,Il montra Maelicia et Sonia du doigt. pour nous amuser!"

Il eu un rire gars puis fit un signe à ses gardes.Kimey fut outré si ils osaient toucher à Sonia il en ferait des torches humaines!Il voulu sauter sur le garde mais Sonia le retint.Il essayerait de contacter Teekeus quand il serait en prison pour savoir ce qu'avait a conseiller son maître pour cette situation....

Modifié par Albi, 05 juin 2007 - 06:11.


#6 Daimyo Tai Shi

Daimyo Tai Shi

Posté 04 juin 2007 - 22:46

Les membres du groupe déposèrent leurs armes et mirent pied à terre. Aewin n'ayant pas récupéré sa dague de voyage, elle se contenta de démonter et de tendre les rènes à l'un des soldats.

L'équipement fut amené dans le corps de garde le plus proche, les chevaux placés à l'écurie, et les voyageurs emmenés au château et jetés sans vergogne dans les cachots froids et humides de Bravil. Aucun mot ne fut prononcé pendant le trajet.

Sans aucune explication, les gardes séparèrent consciencieusement les membres du groupe, chacun dans une cellule, la prison de Bravil étant comme à l'accoutumée fort vide, à l'exception d'un vieillard recroquevillé dans un coin, sur un tas de pailles puant l'urine, une bouteille vide à la main. Aewin se pinça le nez en passant à côté de sa cellule, tandis qu'un garde la conduisait à la sienne...


#7 Shoulden

Shoulden

Posté 04 juin 2007 - 23:17

L'elfe s'assied contre le mûr, les jambes croisé, les mains derrière la tête.
Il pousse un petit soupire et ferme les yeux.


L'accueil laisse a désirer, mais voyons le bon côté des choses.
On a un toit, nos armes ne nous encombre plus et tout ça gratuitement.
Dit-il ironiquement.

#8 Albi

Albi

Posté 05 juin 2007 - 06:19

L'etranger elfe le fesais rire:

-"Tu as raison etranger!Mais les filles devraient être encore plus contentes!Elles ont un toit comme tu dis et en plus elle font un regime forçé,rien de tel pour perdre du poid!"

Pour seule reponse des filles Kimey reçu un bol à la figure....Bon finies les plaisanteries il devait essayer d'etablir un plan avec ses amis,il devait se concentrer pour leur parler chacun leur tour,il commença avec Maelicia:

-"Maelicia c'est moi Kimey,je te parle par téléphatie,je vais en venir au fait,est-ce que tu pense avoir un plan?Tu pense que c'est un coup de tu sais qui?"


#9 Trias

Trias

Posté 05 juin 2007 - 07:06

L'étudiante ne fut pas ceux qui se continrent le mieux en voyant l'elfe étrange déballer son arsenal : elle ouvrait d'immenses yeux remplis par l'étonnement, tout en reculant inconsciemment. Pas suprenant qu'ils aient eu des morts avec les traqueurs de la Wyverne, ce type était armé comme le dernier des assassins!

Les soldats reférmérent leur étau et ils furent faits prisonniers. Ils passèrent les remparts, entrèrent par le post de garde et suivirent un dédale de couloirs qui paraissait sans fin. A un moment donné le groupe fut séparé, et ils empruntèrent deux voies différentes, l'une qui montait, l'autre qui au contraire semblait s'enfoncer dans les profondeurs du fort. Il y eut une nouvelle bifurcation et maelicia se retrouva seule avec deux gardes qui la conduisirent jusqu'à une petite salle qui lui parut être une sorte de réserve, dotée de coffres et d'armoires contenant de multiples armes, armures, et vêtements de provenances manifestement très diverses même si assez miteux pour la plupart.

L'humidité exsudait au travers des parois de pierre, tandis que la lumière blafarde d'une meutrière eclairait ce qui semblait être une série de loges, mais sans porte ni rideau. L'un de ses deux geôliers lui en montra une du doigt, qui contenait une tunique tissée de lin grossier, rendu gris par la crasse, et qu'une simple corde servait à lier. Mais elle ne descendait pas plus bas qu'à mi corps. La bretonne chercha du regard ce qui aurait pu constituer une jupe pour l'accompagner, mais ne la trouva que dans une autre cabine, dix mètres plus loin.


"Change toi" lui intima le garde, avec une sorte de sourire indeschiffrable. Heurtée par son ton abrupt elle allait se diriger vers une autre logette de bois, lorsqu'il la reprit. "Non, change toi, ici".

Si c'était une blague c'était tout sauf drôle. Comment pouvait-il ne pas voir qu'il n'y avait là qu'une chemise de lin! Un troisième garde arrivait par le couloir, et se posta devant elle comme s'il n'y avait rien d'autre à faire. L'étudiante éclata.

"NAN MAIS CA VA PAS NON! Y'A PAS DE QUOI S'HABILLER DECEMENT ICI! VOUS M'PRENEZ POUR UNE GRUE OU QUOI! ET POURQUOI QUE VOUS NE VOUS RETOURNEZ PAS HEIN, C'EST PAS UN STRIP-TEASE QUE JE SACHE!"

Le sourire des gardes ne diminua pas devant ces vociférations. Elle se précipita vers le couloir, heurtant une personne qui en montait. A en juger par ses épaulières, c'était un gradé.

"Excusez moi mademoiselle, mais j'ai ouï quelques cris et j'ai voulu m'assurer que vous etiez bien traitée. Quelque chose ne va pas?"

Soulagée, elle revint vers l'intérieur de la salle en compagnie du gradé qui souriait de manière compréhensive, et lui expliqua tout. Il alla chercher la jupe de l'autre loge, ordonna aux soldats de se retourner, et lui la tendit, mais la fit tomber au sol juste à ses pieds. Comme il se baissait pour la reprendre, en lieu et place de saisir la jupe il passa sa main sous la longue robe de la bretonne, et la remonta d'un coup jusqu'à la taille de celle ci, la dévoilant.

Tous les regards des corrompus étaient fixés sur son intimité, et c'en était assez pour que Maelicia en oublie complètement que ses compagnons risquaient de payer pour sa révolte. Les joues en feu, elle giffla l'obscène homme d'armes, et lui administra un bon coup de pied dans les tibias, tout en pulvérisant mentalement l'esprit de celui-ci.

Le choc mental fut d'une dureté extrême, et la conscience de l'impudent en fut soufflée tant l'impact était soudain. Elle avait maintenant accés à ses pensées, ses sens et ses mouvements. Elle le dominait.

Elle le fit tirer son épée et sabrer avec violence dans les jambes de ses suivants, dont l'un tomba au sol, le membre tranché. Le sang jaillit à grands jets, et aspergea les spectateurs.


" Mon capitaine, mais qu'est ce que vous faites, par Ysmyr!" s'écria le premier garde, en parant une puissante attaque de la part de son supérieur.

Mais maelicia n'écoutait plus, et dévalait les couloirs à toute vitesse, sa robe à nouveau en place, sans plus penser qu'à fuir. Des soldats, alertés par les cris, semblaient se diriger vers la réserve. La bretonne était dans un état d'énervement tel qu'elle ne réfléchissait même plus, et le contact mental avec le capitaine fut rompu. Entendant des bruits de course, elle se précipita vers la première porte qu'elle vit, qui par chance était ouverte. L'étudiante entra, puis la referma brutalement, jetant un regard affolé au reste de la salle.

Il s'agissait d'une chambre de dimensions généreuses, sans doute celle d'un homme de confiance du comte. Elle contenait une large penderie. Sans perdre plus de temps, la bretonne s'y engouffra, éspèrant que sa cachette de fortune suffirait pour assurer sa survie. Paniquée, elle ne chercha même pas à répondre à la voix de Kimey qui résonnait dans sa tête. Pourvu que sa cachette la protège suffisament!

Modifié par Trias, 05 juin 2007 - 07:26.


#10 Ryukan

Ryukan

Posté 05 juin 2007 - 11:37

Le groupe arriva à Bravil; la pluie avait repris depuis leur départ, cette pluie ressemblait d'ailleurs plutôt à une tempête .
Au bout d'un moment, le groupe arriva à Bravil, mais des gardes arrivèrent et leur précisèrent qu'ils étaient en état d'arrestation, ils avaient apparemment assassiné un prêtre, ce qui, bien entendu, était faux.

Le capitaine leur demanda de poser leurs armes à terre, puis, en attente des réponses, réiterra sa question et dégaina son épée. Maelicia fut la première à montrer qu'elle n'avait pas d'armes, Aewin fit de même car Sylph n'avait pas eu le temps de lui rendre son arme avec l'arrivée de traqueurs. Puis, l'étrange individu en noir retira sa cape, c'était un elfe, possédant des tatouages bleux cyan et d'origine tribal sur les épaules. D'assez grande taille, enfin, ceci et normal pour un elfe, il avait les cheveux blancs et des yeux argentés.
Il dévoila un véritable arsenal d'armes, il porté une armure en mithril, assez étrange, elle ne ressemblait pas à celle habituelles .

Puis, Sylph décendit à son tour de son cheval, il aperçut la monture de Maelicia dégerpir au galop dans la nature. Sylph réôtta avec regret son épée magique, deux fois dans le même journée, ça commençait a bien faire ! Puis il montra qu'il ne possédait pas d'autres armes, à part son ancienne épée qu'il avait garder et qu'il jeta aux pieds des gardes.

Ils furent conduits dans les cachots du château de Bravil, en passant par le poste de garde et un réseau de tunnels souterrains, ils furent séparés en deux groupes, l'un semblait monté et l'autre descendre. Sylph fut emmené avec Aewin et Brise vers le haut, tandis que le reste parté vers le bas, mais Maelicia semblait, quand à alle, partir avec deux gardes, seule.

Brise, Sylph et Aewin furent déposés dans leurs cellules respectives, Brise dans la première, Sylph dans la deuxième et Aewin dans la dernière.
Sylph était énervé, il n'aimait pas être enfermé entre des murs, de plus en prison ! Il préferait se balader dans la nature, qu'il adorait d'ailleurs, il pensa a toutes sortes de choses, du genre la raison pour laquelle ils s'étaient faits arrétés et d'autre choses concernats le même sujet .


#11 Daimyo Tai Shi

Daimyo Tai Shi

Posté 05 juin 2007 - 12:45

Aewin venait de découvrir sa nouvelle "demeure"... Le garde qui l'y avait déposée semblait être à bout de nerfs... Il s'était contenté de lui ouvrir la porte et de la refermer, puis de s'était empressé de repartir. Aewin vit des vieux haillons au sol, mais n'ayant pas été obligée de se changer, elle les laissa de côté et commença à s'interroger sur les raisons de cette arrestation étrange...

On n'y voyait guère dans ces cachots, mais ils étaient au-dessus du sol et une petite fenêtre laissait traverser les rayons de soleil, baignant ainsi le corridor et les cellules y attenant d'une pâle lumière blanchâtre. Quelques minutes passèrent. Aewin n'avait jamais été emprisonnée, elle était outrée et commençait à paniquer...


"Sylph ? Brise ?", demanda-t-elle d'une voix perçante, dans laquelle transparaissait inquiétude et agacement.

"
Silence !", beugla la lointaine voix d'un garde pour seule réponse.

Aewin se renfrogna. Elle se laissa glisser contre un mur au fond de sa cellule et une odeur répugnante lui emplit les narines. La petite brétonne chercha la source de cette puanteur et vit un rat mort, dévoré par les insectes, juste à côté d'elle. Elle poussa un cri de dégout et se releva précipitamment. Non, elle n'allait pas rester ici... Elle ne pouvait pas rester ici... Elle commença à faire les cent pas dans son petit espace personnel, lorsqu'une idée lui vint soudain.

Elle ferma les yeux, et ressentit à nouveau son environnement. Rapidement, elle perçut les barreaux qui lui bloquaient l'accès. Elle se concentra et forma un pont entre chacun des barreaux et son esprit. Cela n'était pas aussi évident qu'il ne lui avait semblé de prime abord, car jamais elle n'avait encore créé de multiples liens en même temps... Elle n'y parvint pas du premier coup.

Après une demi-douzaine d'essais infructueux, elle parvint finalement à son objectif. La jeune magicienne fit exploser simultanément le trop plein d'énergie qu'elle avait réussi à canaliser et, ne connaissant aucune incantation pour écarter les barreaux d'une prison, et ne sachant comment finaliser son sort, elle termina sans réfléchir en joignant ses mains dos à dos et en les écartant lentement.

Les barreaux suivirent le mouvement imposé par ses mains. Une résistance se fit sentir, comme si Aewin écartait les barreaux de ses propres mains. C'était une sensation étrange... L'ouverture étant suffisamment ouverte, elle la franchit rapidement et laissa les barreaux reprendre progressivement leur forme normale. Elle regarda d'un air inquiet autour d'elle, mais ne vit personne, ni garde, ni prisonnier.

Elle avança dans une direction et finit par tomber sur la cellule de Sylph, qui attendait calmement. A son expression lorsque la brétonne se posta devant sa porte, il ne devait pas s'attendre à la voir ici... Elle lui demanda si tout allait bien, puis, reculant d'un pas, se concentra à nouveau et parvint à tisser son sort beaucoup plus aisément que précédemment. Elle était contente de son nouveau tour improvisé, et qui plus est peu épuisant. Elle sourit à l'elfe en le voyant sortir, et lui donna l'accolade.


"
J'ai tellement eu peur... Elle ressera son étreinte. Par les Neufs, je suis contente que nous puissions sortir de ce maudit endroit ! Elle finit par lâcher le dunmer, se souvenant qu'ils étaient toujours dans la prison et pas encore tirés d'affaire. Tu sais comment on peut partir d'ici au fait ? Parce que ce n'est vraiment pas que l'hospitalité des cachots de Bravil me déplaise, mais je préfèrerais quand même gambader à la lumière du jour..."

#12 Ryukan

Ryukan

Posté 05 juin 2007 - 13:08

Sylph était asoosé au mur du fond de la prison, il était resté calme, mais commençait péniblement à s'ennuyer et commencer à avoir des envies d'évasion de cette maudite prison.
Il entendit Aewin l'appelé, de sa voix, l'elfe conclut que cette dernière néétait pas très rassuréen mais elle se fit taire par un garde qui l'interpella et lui ordonna fermement de se taire.

Peu après, Sylph entendit la brétonne crié, il se précipita vers la porte de sa cellule et cria :

"Aewin !Tout va bien ?"

Il n'eut pas de réponse, mais il espéra qu'il ne lui était rien arrivait. Il repartit s'asseoir au fond de la cellule, il commençait à s'impatienter. Peu après, il continué à attendre, il releva sa tête et aperçut Aewin devant la porte .
Il sursauta, Aewin était en train d'ouvrir, apparement mentallement, les barreaux de la cellule, ceux-ci s'écartaient de plus en plus.

Sylph sortit de la cellule, tout heureux, l était libre, et Aewin n'avait rien, celle ci le prit dans ses bras, elle avait manifestement peur de cet endroit. Il serra ses bras autour d'elle lui aussi, pour la rassurer.


"J'ai tellement eu peur... Elle ressera son étreinte. Par les Neufs, je suis contente que nous puissions sortir de ce maudit endroit ! Elle finit par lâcher le dunmer, se souvenant qu'ils étaient toujours dans la prison et pas encore tirés d'affaire. Tu sais comment on peut partir d'ici au fait ? Parce que ce n'est vraiment pas que l'hospitalité des cachots de Bravil me déplaise, mais je préfèrerais quand même gambader à la lumière du jour..."
" -Ne t'inquiètes pas, on va réussir à quitter cet endroit, et puis, pas la peine d'avoir peur, je suis là et je jure que je ne laisserais personne te faire du mal ! dit l'elfe d'une vois rassurante et chaleureuse. Moi aussi je suis préssé de quitter cet endroit, on va dire que je ne l'adore pas ! Avant tout, on va libérer Brise, si tu veux, je passerais devant pour voir si il n'y as pas de garde, vu ma fine corpulence, je n'aurai aucun mal à me cacher et à espionner, sinon, toi ça irra ? Si les gardes nous repèrent, ne t'inquietes pas, je te jure que je te protégerais, même si c'est risqué, d'accord ? "

#13 Trias

Trias

Posté 05 juin 2007 - 13:20

Il y eut de nombreux bruits de pas, comme si une véritable cavalcade de gardes passaient dans les couloirs. Au loin on percevait les gémissement du bléssé, et les ordres du capitaine.

"Faites venir un guérisseur, vite!! Et retrouvez moi la prisonnière rapidement ou je suspens vos permissions pendant deux mois, par Julianos!!"

Les bruits s'intensifièrent, puis cessérent. La panique de la bretonne reflua. Elle soupira: il fallait espérer que ses compagnons n'en subiraient pas le contrecoup. Mais quoiqu'il en soit elle ne resterait pas une minute de plus dans cet asile de fous.

Un autre pas, rapide, et très proche se fit entendre. L'étudiante entendit distinctement chantonner, mais avant qu'elle n'aie pu réaliser quoique ce soit la porte de la penderie s'entrouvrit. Elle se trouvait face à une vieille impériale, visiblement habillée pour une grande occasion, et qui cherchait un châle digne de ce nom. En lieu de cela elle vit des cheveux roux en désordre, de la boue et du sang, tout cela en même temps. La noble impériale ne fit guère preuve d'originalité dans la résolution de cette inhabituelle équation.


"Au SECOOOOOOURS! A l'assassin! On m'agresse, à la gaaaa.... " *Sblong*

L'étudiante avait décidé d'abréger ce sublime discours inaugural en frottant le crâne de l'impériale contre le fond de la penderie. La télékinésie permettait aussi de faire des résumés.

Il y eut un tambourrinement contre la porte. Autant oublier de sortir par là, si elle ne voulait pas continuer sa prodigieuse carrière carcérale. Cherchant désespèrement une issue, son regard se posa sur la fenêtre, et la baie de niben, en contrebas.

La porte s'ouvrit sur deux soldats de fort mauvaise humeur, ce qui ne s'améliora pas quand elle se referma aussitôt, d'un geste de la main de la magicienne. Celle-ci ouvrit la fenêtre, prit une inspiration et sauta.

---------


Notre ami cheval goutait à la liberté retrouvée: des pissenlits par tonneaux, l'air libre et les verts paturages. Il éspérait bien retrouver un jour sa maîtresse, mais l'oisiveté qu'il vivait en attendant ne lui déplaisait pas.

Il vit alors un petit bipède tomber d'un point de la muraille, avec de drôles de petits machins oranges qui ondulaient au dessus de lui, avant de piquer dans l'eau dans une magistrale démonstration de la théorie de "la bombe" dont il savait que les bipèdes enfants avaient les rudiments. C'était sa maîtresse!

Il fonça vers elle, puis s'arrêta net alors que son sabot avant droit plongeait dans l'eau de la baie : pas plus de 15°C à vue de naseaux. Il se contenta d'un hennissement de bienvenue. Après tout, elle avait l'air de savoir nager.


"T'aurais pu venir me chercher espèce de feignant" fit celle-ci, cinq bonnes minutes plus tard. Elle se percha sur son dos, comme à son habitude (trop feignante pour courir pensait-il), et ils partirent au galop vers une destination spontannément improvisée : un vieil hotel désaffecté limitrophe de Bravil....

Modifié par Trias, 05 juin 2007 - 16:39.


#14 Darkhammer

Darkhammer

Posté 05 juin 2007 - 16:50

Brise était dans une cellule non-loin de celle de ses compagnons, ce n'était pas la première fois qu'il se retrouvait cooincé dans cet endroit miteux, généralement pour une soirée pour cause d'ivresse. Tout était calme lorsqu'il entendit au loin un écho de hurlement ainsi que les voix saisissant de gardes. Quelque instnat plus tard un autre bruit se fit entendre, Cela ressemnblait à du métal forgé que l'ont tordait... Sûrement les barreaux de cellules...

"Mais ils sont fou ceux-là..." Se dit l'impériale sachant que ce n'était certainement pas l'ivrogne qui croupissait dans sa puanteur qui aurait provoqué un tel grabuge...

Quelque instant plus tard ce fut au tour de ses propres barreaux de s'écarter. Sylph et Aewin débouchèrent en toute hâte... Brise les accueuillit avec le plus grand calme.

"Et bien... J'immagine que si on sort d'ici par le chemin conventionnel, on est mort... Maintenant, imaginez qu'il y ai une sortie d'égout par ici? Ce serait une bonne sortie, et c'est effectivement le cas, j'ai suffisement vécu à Bravil pour le savoir, maintenant, il faut retrouver les autres membres du groupe, et surtout notre équipement, ensuite je sais pas, tout ce que je peut vous dire c'est que quoi qu'il arrive, ne tuez aucun garde! Même si c'est au risque de revenir croupir ici... Bien que dans un cas de reprise, notre destination sera la prison de la cité impériale..."

Brise regarda autour de lui, réfléchit un instant puis reprit:

"Occupez-vous de libérer Sonia, Kimey et notre ami l'éclair, moi je vais récupérer l'équipement, je crois qu'ils ont également emmené ailleur Maelicia. Je vais tenter de la localiser, j'ai iben peur quel es écho de tout à l'heure provienne d'elle..."

Brise emboitit le pas à ses compagnons et se dirigea vers l'escalier menant vers la caserne ainsi que l'intérieur du chateau.

Modifié par wilfd, 05 juin 2007 - 17:14.


#15 Albi

Albi

Posté 05 juin 2007 - 17:16

Kimey vit Birse liberer l'etranger et demanda à celui-ci de le liberer...pendant ce temps il dit:

-"D'après mes "connaissances" des cachots je dirais que le garde qui garde cette partie de la prison se trouve derrière ce mur,on peut assez facilement arriver derrière lui mais il faut être rapide...."


Kimey eu un petit sourire en regardant l'etranger,Birse avait dû comprendre aussi....:

-"Et après ça je pense qu'il faudrait liberer tout les prisonniers pour nous permettre de nous echapper plus facilement!"

Kimey se retourna vers l'etranger:

-"Mais il ne faudra pas tuer aucun garde!Daccord?Sinon les gardes auront une bonne raisons de nous arreter et là on n'aura aucune excuse."

Modifié par Albi, 05 juin 2007 - 18:06.


#16 Daimyo Tai Shi

Daimyo Tai Shi

Posté 05 juin 2007 - 17:17

S'apprêtant à partir vers les casernements, Brise dit à ses amis :

"Occupez-vous de libérer Sonia, Kimey et notre ami l'éclair, moi je vais récupérer l'équipement, je crois qu'ils ont également emmené ailleur Maelicia. Je vais tenter de la localiser, j'ai iben peur quel es écho de tout à l'heure provienne d'elle..."

Aewin restait sceptique.

"Comment voulez-vous qu'on les retrouve ? On ne va pas faire toute la prison quand même... Ils ont été emmenés dans les étages inférieurs. On n'a aucune chance de les sortir d'ici sans se faire reprendre. Je pense qu'il vaudrait mieux qu'on file d'ici, quitte à revenir en temps que visiteurs pour les libérer... On doit bien pouvoir soudoyer un garde quelconque, ou se déguiser, ou je ne sais pas moi... Mais ce n'est pas en nous faisant reprendre qu'on va les aider. Et si les gardes comprennent comment on s'en est allé, ils vont sans doute nous emmurer plutôt que nous renfermer dans les mêmes cellules, la prochaine fois..."

Aewin le fusilla du regard, puis reprit :

"Vous vous inquiétez pour votre petite brétonne chérie, c'est normal. Mais ce n'est pas en jouant les héros en plein milieu d'un prison remplie de gardes que vous allez l'aider, si vous voulez mon avis. Ceci dit je peux me tromper, je ne suis pas experte en évasion de prison..."

Sans attendre de réponse, la jeune brétonne tourna les talons et se mit à rechercher une faille quelconque dans le mur, une fenêtre, ou quoi que ce fût qui puisse leur permettre de sortir d'ici sans éveiller les soupçons des sentinelles...

#17 Darkhammer

Darkhammer

Posté 05 juin 2007 - 17:42

"Faites ce que vous avez envie très cher Aewin, je préfère rester et tenter de libérer mes mais plutot que de fuir et de les laisser croupir une minute de plus dans ces cellules immonde, si vous voulez, descendez d'un étage par l'escalier làbas, au bout du couloir il y a une trappe sous la table, elle mène au égouts, comme ca vous pourrez fuir comme un rat! allez!"

Brise se rua vers la caserne où il ne trouva personne, au loin il pouvait entendre les cris de gardes à travers les couloirs, il cherchait quelque chose, ou quelqu'un... Il entendit un garde arriver, se plaçant à un tournant, il assoma le garde d'un coup à la tête au moment ou il passait. Il traina ensuite le corp du garde inconscient jusque dans ce qui semblait être une sorte de placart, il l'y ligota après lui avoir pris au préalable son armure de garde, afin de se vêtir et à l'aide du blason de Bravil, passer inaperçu.
L'impériale se dirigea alors plus au coeur des couloir des gardes, un homme courant à travers les couiloirs s'approcha vivement de lui:


"Que fais-tu donc là à gambader? aller dépèche toi! Il y a eu une jeune fille qui a agressé à l'aide de sa magie deux hommes l'un a été controler mentalement et a blessé l'autre! Cette folle à sauté par une fenêtre afin de ratterir dans la baie de Niben! De cette hauteur, je crois qu'elle ne s'en est pas sortit, mais méfions-nous! Le capitaine à dit que tout les homme devait se rendre hors de muraille afin de retrouver la fugitive! Enfin un peu d'action! Cela fait longtemps que je ne suis pas partit à la chasse!"

L'homme de mit à rire puis continua son chemin à nouveau d'un pas hâtif. Brise se dit que pour le moment il ne pouvait rien pour sa bien aimée. Il se dirigea vers la caserne déshormait vidée de ses hommes. Les clé retrouvée sur le garde qu'il avait assomé lui permit d'atteindre la salle où ils entreposait les armes et équipement prise sur les prisonier. Le guerrier pris otut ce qu'il pouvait, épées à sa ceintures et dans le dos, dague dans les bottes, il récupéra aussi les sacs de ses compagnons , à l'aide d'une nappe, il fit un balonchont avec tout ce qui n'était pas pratique à transporter et le fixa solidement à son dos, cela n'était pas pratique, mais la force et la hâte qu'il déployait était surprennante, il falait qu'il retrouve ses compagnons. L'impériale retourna vers le garde qu'il avait baillonné, celui-ci avait reprit connaissance, l'attrapant par le col, il l'interrogea:

"Où sont emprisonné les personnes qui ont été capturé un peup lus tôt! Répond moi et je ne te ferait rien."

Celui-ci tenta de refuser de parler, mais l'impériale sortit une dague  et la plaça à la gorge de celui-ci:

"Je les trouverai avec où sans ton aide alors à toi de décider!"

L'homme se mit à paniquer:

"Je..Je vais parler! Ils sont au troisième sous-sol, dans l'aile est, S'il-vous-plait ne me tuez pas! J'aine une femme et des enfants."

Brise relacha son étreinte et renferma l'homme dans son placart après l'avoir de nouveau baillonner afin qu'il ne puisse pas crier.

Il se dirigea vers l'endroit que lui avait indiquer le garde, il chercha au travers des cellule et finit par trouver Thunder, sortant un jeu de clé, il n'eu pas de mal à ouvrir la cellule:

"Et bien cher ombre, te voilà libre, attrapa ca."

Brise lui remis ce qui semblait être ses affaires, l'impéraiel espérait ne rien avoir oublier.

"on a pas le temps de discuter, il faut encore retrouver Sonia et kimey"

#18 Daimyo Tai Shi

Daimyo Tai Shi

Posté 05 juin 2007 - 17:58

"Faites ce que vous avez envie très cher Aewin, je préfère rester et tenter de libérer mes mais plutot que de fuir et de les laisser croupir une minute de plus dans ces cellules immonde, si vous voulez, descendez d'un étage par l'escalier làbas, au bout du couloir il y a une trappe sous la table, elle mène au égouts, comme ca vous pourrez fuir comme un rat! allez!"

Aewin n'en revenait pas. Quelle insulte. Elle toisa l'Impérial d'un regard plein de mépris, et cracha à ses pieds. Il s'en alla au pas de course, sans dire mot. De rage, Aewin se retourna et vit le vieux saoûlard puant se réveiller. Elle tendit la main, ferma les yeux et dans une terrible détonnation la porte de sa cellule alla s'écraser contre le mur du fond. Le vieux l'esquiva de justesse, mais à sa manière de se déplacer, il ne paraissait pas ivre, et bien plus agile que son âge ne le laissait paraître.

La jeune brétonne le regarda avec intérêt, puis lui demanda :

"Impressionant... Vous avez d'autres talents cachés ?

- Eh ben... C'te question, ma 'tite jeunette. Chuis rien d'plu' qu'un pôv bonhomme qu'a rien demandé, et qu'a essayé d'vôler nôt'seigneurie l'pourri du fondement. S'tu veux jeunette, j'pouvois t'aider à libérer tes potes au passage s'tu l'voule, mé cré'd'non, chuis qu'un pôv voleur, alors pas d'fantaisie su'l'ch'min.

- Pas d'inquiétude, ça ira. Suivez-moi, on va rejoindre cet abruti d'impérial qui se prend pour le plus éminent des membres du Panthéon."

La jeune brétonne se mit en route avec son compagnon improvisé, et tous deux se lançèrent à la suite de Briséadius, Aewin continuant de vociférer sur ce dernier...

Modifié par Daimyo Tai Shi, 05 juin 2007 - 23:31.


#19 Ryukan

Ryukan

Posté 05 juin 2007 - 19:04

Sylph avait été libéré par Aewin, et cette derinière venait de libérer Brsie. L'impérial leur avait donné son plan d'évasion, qui ne semblait pas plaire a Aewin, qui préférait partir de la prison et revenir plus tard .
Une querelle commençat et fini par éclater.
La jeune brétonne fit voler la porte d'une cellule dans laquelle se trouvait un vieil homme.

Celui-ci fit preuve d'un bon réflexe et évita la porte de justesse, Aewin lui posa une question et celui ci leur dit qu'il pourrait les aider à fair évader leur compagnon, car il était voleur. Aewin, Sylph et le vieillard partirent à la suite de Brise, mais les cachots intriguaient Sylph, il n'y avait pas de gardes ! Du moins sur leur chemin, et pour l'instant .


"Nous ferions mieux d'êtres prudents, je trouve cela étrange, le nombre de gardes relativement bas. Avançons sur nos gardes. Mais attention ! Cachez-vous !"

Sur les derniers mots de l'elfe, un garde arriva au fond du couloir, en train de trifouiller ses clefs et de regarder vers le sol.
Ses deux compagnons se cachèrent contre le mur, et le dunmer attrapa un chandelier, il eteignit la flamme et se posta à une intersection, le garde se rapprochait. Sylph jeta un coup d'oeil, il arrivait, l'elfe se plaqua contre le mur, par chance, le garde continua tout droit et ne tourna pas vers Sylph.

Le dunmer leva le chandelier et l'abatit sur la joue du garde, si violemment qu'il tomba à terre, sonné mais pas assomé. Sylph l'attrapa par le coup et lui recolla quelques coups du chandelier de métal sur la tête du pauvre garde qui avait eu un moment d'innadvertance, et s'était retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment.

En regardant l'armure du garde, Sylph eut une idée :


"Parfait ! On a un camouflage, le problème, c'est qu'il est trop court pour moi, je suis trop grand ."

#20 Darkhammer

Darkhammer

Posté 05 juin 2007 - 19:59

Aider de son compagnon anonyme toujours aussi mystérieux, ils se dirigèrent vers les cellules suivante, ils arrivèrent devant une dans laquelle ils reconnure le jeune magicien:

"Kimey! C'est moi, Brise. Chuutt, pas trop de bruit la plupar des gardes sont absent, mais je doute qu'ils soient tous partit. Aller viens, je t'ouvre ca au plus vite."

Brise s'empressa d'ouvrir la cellule avec le jeu de clé, puis tendit la saccoche de Kimey à celui-ci.

"J'ai récupéré nos affaires. Ils faut encore trouver Sonia. Aewin et Sylph sont je ne sais où à l'heure qu'il est, et Maelicia est la cause de la disparition soudaine des gardes. Dépéchons-nous."

#21 Sonia

Sonia

Posté 05 juin 2007 - 20:07

Sonia était blottie dans un coin de sa cellule, le cachot était bien le dernier endroit où elle aurait voulu se retrouver, elle qui avait toujours vécu dans le luxe. Elle patogeait désormais dans la fange et l'urine du dernier propriétaire de cette cellule. une voix familière la sortit de ses songes sombres. Elle se dressa sur ses deux jambes et s'approcha des barreaux, Un peup lus loin, elle vit Brise et Kimey, ainsi que son ami Thunder.

"Pssssst, par ici, je suis ici les amis. S'il vous plait sortez moi de là! Ca pue, c'est sale et il n'y a rien de convenable pour s'asseoir, même un orque ne voudrait pas de cette cellule..."

Ceux-ci s'approchèrent et Brise se chargea une fois de plus d'ouvrir les portes de la cellule. Sonia bondit casiment hors de la cellule avant de ratterir dans les bras de Kimey:

"Dit moi que tu les empèchera de me jeter de nouveau dans cet immonde endroit, promet le moi.."

#22 Albi

Albi

Posté 05 juin 2007 - 20:32

Sonia venait de tomber dans les bras de Kimey et celui lui promis:

-"Je te le promet Sonia,il ne te toucheront plus jamais,au peril de ma vie je le jure tu ne retournera plus jamais dans un cachot tant que je respirerais sur cette terre!"


Sur ces paroles ils sera très fort Sonia contre lui en se promettant que plus rien de ce genre n'arriverais a Sonia.Sur Kimey remonta avec les autres,aucun garde en vu surement comme avait dit Brise tous etait partis a la recherche de Maelicia,quand ils arrivèrent vers Sylph et Aewin celui-ci veait d'assomer un garde et se reprochait d'être trop grand pour enfiler l'armure de garde,Kimey dit:

-"Sylph je crois que c'est ma taille!Et je pense même si elle me va longue ou petite de la mettre comme ça moi et Brise ont avançera vers l'avant et si des gardes nous empechent de passer...."

#23 Shoulden

Shoulden

Posté 05 juin 2007 - 20:34

L'elfe mystérieux pris ses armes et s'en équipas, aucune ne manquais a son arsenal.
Il sort de sa cellule et suit Brise sans dire un mot.
Après avoir liberé Kimey, l'elfe s'approche aide Brise et Kimey a liberer Sonia comme il le peux. Cette derrnière ce jetta dans les bras de Kimey.


Je ne pense pas que ce soit vraiment le bon moment pour nous embrasser et faire la fête, dépêchons nous de sortir.

L'elfe, toujours aussi mystérieux se diriga vers la porte.

Allez, venez.

#24 Darkhammer

Darkhammer

Posté 05 juin 2007 - 20:40

Ils rejoignirent très vite sylph et Aewin qui semblait toujours frustré des paroles de l'impériale.

"Tenez, je crois que tout est là, il ne me restera qu'a rendre ce qui reste à Maelicia. Tout ce que nous pouvons maintenant c'est onus diriger au plus vite vers la sortie menant au égout ensuite nous verrons. Ces deux tenues de gardes nous serviront peut-être après, gardons-les."

Brise demanda à ses compagnons de le suivre, il connaissait étrangement la prison dans ses moindres recoin.

#25 Trias

Trias

Posté 05 juin 2007 - 20:50

Silhouette silencieuse en haut d'une tour. Gargouille immobile dressée en haut du chateau de Bravil, le Rire réflechissait. A quelques mètres en contrebas, c'était le chaos. Arrêter les aventuriers avait fait l'effet d'un coup de pied dans une fourmillière. Au moins mettraient-ils quelques temps avant de faire la lumière sur cette affaire.

Le vampire regarda la petite rouquine s'éloigner sur son cheval. Il avait certainement sous-estimés ces héros miteux en pensant quela garde seule pourrait s'en charger. Il allait falloir prendre d'autres mesures, plus directes.

Il eût soudain un flash, un souvenir soudain, en revoyant une silhouette connue, le sang d'une vingtaine d'individus mutilés répandu sur son corps. Il secoua la tête. Non. Trop dénué de finesse. Trop primaire. Les méthodes du Porteur n'étaient pas les siennes. Lui allait faire goûter la saveur de la paranoïa à ces impudents.

Et lorsqu'ils riraient de concert, il leur arracherait la raison en même temps que le coeur...


---------


Maelicia glissa un regard explorateur à l'intérieur de la bâtisse. Elle était vide de toute vie, la poussière recouvrant un vaste amas de caisses et autres ustenciles de stockage, posées sur le sol boisé de la bicoque. Ecartant les toiles d'araignées, elle entreprit de fouiller celles-ci, et y trouva divers habits dont certains lui évoquaient un assemblage de patchworks en cuir, plutôt moulants même. Tout à fait le genre de fringues qu'elle évitait de porter. Plus une dague et un mortier, ce qui lui donna une idée...

Elle sortit de l'hotel désafecté et repéra d'un coup d'oeil le monticule qu'elle avait entraperçu, ainsi que les  fleurs étranges et sombres qui le constituaient. Elle les mélangea avec un peu d'eau recueillie dans la Niben qui coulait à quelques pas de l'établissement, et les broya, créant une sorte de mixture très noire.

S'assurant cette fois qu'il n'y avait pas le moindre spectateur, elle abandonna sa robe, imbibée de boue séchée et de sang, véritable phare à ennuis, et descendit se laver dans la rivière. Elle constata avec soulagement que le traitement infligé par le maître d'aewin ne lui avait laissé aucune blessure extérieure. Elle enfila le pantalon de cuir, puis appela son cheval:


"Toi, le voyeur qui fais semblant d'bouffer des pissenlits: viens ici!"

Offusqué, celui ci détourna le regard et entreprit de manger véritablement la touffe d'herbe qui lui tendait les bras. Après tout c'est vrai, il ne faisait que vérifier l'hypothèse scientifique qu'il avait émise concernant la nature du bipède qui le houspillait! La bretonne, voyant qu'il ne venait pas, adopta une autre approche:

"Shiyo, viens par ici s'il te plait!"

Le nom plût à la bête, qui consentit à venir près du point d'eau. La bretonne prit alors le colorant noir qu'elle avait préparé, et s'en lava les cheveux avec, les faisant devenir noirs comme le jais. Elle procéda de même avec Shiyo, qui fut transformé en superbe étalon noir... en dépit de sa taille certes toujours modeste. Elle enfila ensuite sa chemise de cuir, mais laissa sa chevelure déliée, admirant leur reflet dans les eaux du Niben:

Ils étaient méconnaissables. Maelicia eût pu être confondue avec une impériale aux moeurs louches, sa tenue de cuir accentuant encore cette impression. Aucun garde n'aurait pu reconnaître là la rousse fugitive, du moins pas facilement. Pas plus que le cheval à la robe orangée qui était censé accompagner celle-ci. Après que leur déguisement eût séché, elle monta sur Shiyo, et ils repartirent au galop vers Bravil, ville de la corruption.

Si la bretonne avait été plus assidue en alchimie, elle aurait peut-être hésité avant de s'enduire la chevelure de solanacées, autrement utilisées par de bien sombres cultes...

Modifié par Trias, 05 juin 2007 - 21:23.





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