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[h] Les Avebtures Tordues.


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#1 Ymir

Ymir

Posté 21 août 2007 - 23:52

Bon, voila, comme j'aime écrire, je voudrais poster une histoire -sans blagues...-, le scénario est déja prêt -action, humour, émotion, n'importe quoi, psychologie profonde, etc...-, mais... Je n'ai  pas assez d'idées concernant les noms des protagonistes. Donc  voila ce que je vous demande:
Pour ceux que ça interesse, vous mettez lz nom de votre personnage -du jeu-, sa race, quelques particularités, et moi, je l'inclus dans l'histoire!
Attention, ceci n'est pas un jeu de rôle! Vous me donnez votre perso, et j'en fait ce que je veux, ne venez pas vous plaindre après! :laughing1:
Donc voila, pour l'instant, j'ai besoin d'un gars pour tenir le rôle du Nérévarine, et d'un autre gars pour tenir le rôle d'un compagnon d'infortune. J'en aurais besoin d'autres plus tard, donc n'hésitez pas à vous proposer!
Donc si il y en a que ça interesse, postez ici les nom/race/particularités/talents de votre personnage, et si j'ai une réponse assez tôt, le premier chapitre arrivera demain soir, ici même!
Merci d'avance!

Ymir

PS: Oui, je sais, le titre est de qualité... Discutable.

___________________________________________________

Bon, pas de volontaires? Tant pis, j'en profite pour rédiger l'introduction.

Introduction Inutile

Le titre de cette histoire est: "Les Avebtures Tordues". Vous vous demandez sûrement ce qu'est une "avebture". Oh, je sais ce que vous pensez! "Cet idiot d'auteur a voulu écrire "aventures" et a fait une faute de frappe, remplaçant le "n" par un "b"! C'est trop drôle!"
Je ne peux que m'indigner devant un tel manque de confiance en ma capacité à utiliser un clavier. En effet, le mot "avebture" n'est point le mot "aventure" mal écrit. Ce mot provient de... Heu... L'ancien Yougoslave! Voila, c'est ça, de l'ancien Yougoslave, et il signifie... Heu... "Plante des pieds"! Voila!
Le titre signifie donc "Les Plantes des Pieds Tordues". Image IPB



...



Les plantes des... Image IPB


...



Hem. Image IPB Bon, d'accord, j'avoue, j'ai fait une faute de frappe. Voila, vous êtes content? Ca arrive à tout le monde, non? On va pas en faire tout un plat!
Non, mais.

Bon, en attendant, j'ai besoin de vous! Envoyez moi les caractéristiques de vos persos par message privé où en les postant ici, c'est important. Et ca m'évitera d'écrire d'autres idioties... Ou pas.

Sur ce, je vous salue!

Ymir

PS: Euh... Non, rien.


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___

Bon, il y a un volontaire!
Azeron, alias Ryksan. Rougegarde expert en lance, qui aura le rôle du Nérévarine!
(Armure intermédiaire, parade)

Plus qu'un et l'histoire pourra commencer!
Un autre volontaire?

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Bon, tant pis, je commence...




Chapitre 1

Une semaine. Une semaine que j'étais là, dans ce fichu bateau, enchainé à fond de cale... Une semaine, nourri à l'eau et au pain sec. Une semaine sans se laver. Une semaine sans... Ah, tiens, maintenant que j'y pense, je ne me suis pas présenté! Mon nom est Sem Einheriar, et je suis actuellement condamné à passer cinq ans dans une petite province du nom de Morrowind, pour y accomplir divers travaux forcés... Pour en arriver là, rien de plus simple. Il m'avait suffi de coller mon poing entre les deux yeux du capitaine de la garde imperiale, suite à un "léger" différent, et vlan! J'étais au bagne le jour même! Un peu cher payé pour un simple coup de poing, mais les membres de la légion ne supportent pas d'être remis à leur place par les gens du peuple...
Que dire d'autre sur moi? Bah, pas grand chose... Ma mère était une vaillante Nordique, et mon père, ben... Euh... Il était assez étrange pas un Nordique, en tout cas. Ni un Imperial. Ni un Bréton. Ni un elfe quelconque. En fait, je ne savais pas ce qu'il était, et je m'en fichais comme de ma première dent de lait. Tout ce que je peux dire, c'est que sa peau était sombre, ses oreilles pointues, et qu'il était barbu. Tres barbu. Enfin bon, je me demande quand même quelle à été sa réaction en apprenant la nouvelle de mon incarcération...

Je contemplais un moment l'eau qui s'infiltrait à travers la coque du navire. Dehors, la tempete faisait rage, et le bateau craquait de toutes parts.
Etrangement, cela ne semblait pas déranger mon compagnon de cellule -un Rougegarde d'environ un mètre quatre-vingts-, qui dormait à poings fermés.
Je tentais de m'étirer, mais les chaînes accrochées à mes poignets m'arrêterent net dans mon mouvement. Il ye eut un "CRAC!", et je crus -bêtement- qu'un de mes os avait cédé. Me retournant, je vis que le craquement provenait en fait de l'endroit où la chaîne s'enfonçait dans la coque. La jointure, usée par le temps, venait de se briser. Mon bras droit était libre!
Je donnais un coup de coude à mon compagnon, qui ne broncha pas, et continua son somme. Je lui en donnais donc un second, plus violent. Rien à faire, pas moyen de le réveiller de maniere douce... Fallait donc employer la manière forte.
Je m'approchais de son oreille, et...

-OUAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!

Il sursauta, fut retenu par ses chaînes, et retomba au sol. Puis il se tourna vers moi et me lança un regard meurtrier.

-J'espère que tu as une bonne raison pour m'avoir réveillé ainsi..." grommela-t-il.
  -Une excellente! Regarde ça!" répondis-je en exhibant mon bras droit. "Je suis à moitié libre!
-Formidable..." soupira-t-il. "Et donc?
-Attends, tu vas voir...

Je me levais et me penchais en avant. De mon bras libre, j'ouvris une des caisses de marchandises entreposés à proximité. Pas de bol, elle contenait de la vaisselle... J'en ouvris donc une seconde, du bout des doigts. Bingo, du materiel de bucherons. Je rapprochais difficilement la caisse, fouillais dedans, et en sortis une hache d'acier.
Je me tournais vers mon camarade, brandissant la hache:

-Avec cette tempête, tout le monde est sur le pont, y compris les gardes. Personne ne nous entendra. Décale-toi un peu sur la gauche, s'il-te-plait.

J'abbatis mon arme sur les jointures des chaînes, qui céderent une à une. Nous étions libre... Ou pas.

-Bien joué. Maintenant, je suppose que tu as un plan pour nous faire évader d'un bateau naviguant en pleine mer..." ironisa le Rougegarde.
-Euh... Je n'y ai pas encore réfléchi, j'étais trop heureux d'avoir un bras libre, et...
-Je m'en doutais. Personnelement, je... Hé, mais qu'est-ce que tu fais?!
-Je fais un trou dans la coque, comme ça, on pourra sortir!
-ARRETE, IDIOT! ON VA COULER SI TU... *CRAC!*

Trop tard. un torrent d'eau salée se déversa par le trou que je venais de percer à l'aide de ma hache. Voilà qui était facheux.

-Ah, en effet. On coule." observais-je.
-Il faut monter sur le pont, où on est mort!
-Ouais... J'ose pas imaginer ce qui va se passer quand ils sauront que c'est nous qui avons fait le trou...
-Nous?!? C'est toi qui as eu cette idée stupide, et qui l'a mis en pratique!!! Maintenant, on... Mais t'es malade?!? Pourquoi tu agrandis le trou?!?
-C'est notre porte de sortie! On quitte le navire par la, et on rejoint la côte à la nage!
-Idée stupide.
-Je préfère ça plutot que de me faire "abîmer" par les grades. D'ailleurs, j*BLOUC!*

Pendant qu'on discutait, l'eau avait rempli entierement la cale... J'accrochais ma hache à ma ceinture, et, nageant du mieux que je pouvais, je me glissais par l'ouverture dans la coque.
Je remontais à la surface. C'était l'enfer. Le vent, la pluie, les éclairs, des creux de dix mètres...
Je n'eus pas le temps de replonger, car une vague me projeta contre la coque, et tout devint noir...

Chapitre 2


Je me réveillais en sursaut. Je ne voyais rien. J'étais dans l'obscurité totale...
Je décidais donc d'ouvrir les yeux. La première chose que je vis fut un mur en bois. On aurait dit du chêne. A moins que ce soit du noisetier. Quoique, d'après sa couleur... Du hètre? Non. Mais alors, c'était quoi?
Oh, et puis zut, il y avait plus important! J'observais l'endroit dans lequel je me trouvais. On aurait dit une petite cabane de bois. Ouais. Et je me trouvais sur un lit. Etrange. Très étrange, d'autant que je ne me souvenais pas avoir acheté une cabane...
Déduction: cette cabane n'était pas à moi. De toutes façons, les draps du lit étaient verts, et je n'ai jamais aimé les draps verts. Avant d'acheter une cabane, toujours vérifier la couleur des draps.
Je m'étirais et m'apprêtais à me lever quand je me rendis compte du fait que j'étais à moitié surveillé.
En effet, assise sur une chaise, à coté du lit, une femme. Une elfe noire, si je ne me trompais -je ne me trompe jamais, na!-. Il était évident qu'elle m'observait, puisqu'elle était tournée dans ma direction. d'un autre coté, il était évident qu'elle ne m'observait pas, puisqu'elle dormait. Donc, elle m'observait à moitié.
Je bondis hors du lit et baillais bruyement.

-Vous êtes réveillé?

Décidant de ne pas répondre à cette question stupide, je me tournais vers celle qui venait de la poser. L'occupante de la chaise. Elle ne dormait donc pas.
Les choses se bousculèrent dans ma tête. Comme je ne ne savais pas ce qu'elle me voulait exactement, je décidai d'opter pour un mot universel, qui avait fait ses preuves à travers les ages:

-Bonjour.
-Bonjour!" répondit-elle à son tour.

Je le savais. Un mot magique, ce "bonjour".

-Je sais que ça va paraître terriblement classique comme question, mais... Où suis-je?" demandais-je.
-Sur la cote de la mélancolie. A Hla Oad, pour être exacte.
-Ca ne me dit rien... Mais au fait, comment je suis arrivé ici?
-Je vous ai trouvé inconscient, sur la plage, et comme vous étiez encore vivant, je vous ai ramené chez moi.

Hum. Ma tentative d'évasion était un succès! J'étais libre, en vie, et... Et merde!

-Dites, vous n'avez trouvé personne d'autre?" demandais-je, priant pour que mon compagnon de cavale soit encore en vie.
-Comment ça?
-Un autre naufragé! Un Rougegarde!
-Non, vous étiez le seul... Alors comme ça, vous êtes rescapé d'un naufrage?
-Aucune importance..." soupirais-je en retombant sur le lit.

Fini de rire, ma folie avait causé la mort d'un homme. Ou plus. Qu'était-il advenu de l'équipage du navire?
J'aurais du réfléchir, pour une fois. Moi et mes idées stupides...

-Bon. Je vous remercie pour votre bontée envers moi, madame.
-Mademoiselle. Duldrési Quarra.
-Sem Einheriar. Maintenant, je m'excuse, mais je dois prendre congé. L'avebture m'appelle.
-L'avebture?
-L'aventure, désolé.
-Vous ne pensez tout de même pas à partir? Vous êtes inconscient depuis trois jours, et vous n'avez rien mangé ni bu pendant tout ce temps!
-Ca explique pourquoi j'ai la gorge seche... Mais je dois partir malgré tout!
-Pour votre bien, je dois vous en empecher." dit-elle calmement en joignant ses mains.
-Bon, bon, ne nous énervons pas... OH, ATTENTION, DERRIERE VOUS, UN ZBABEUBIBOBU A POINTES!!!
-UN QUOI?!?" cria-t-elle en se retournant.

Je profitais de ce moment d'inatenion pour saisir ma hache posée sur la table de chevet et bondir par la fenêtre. J'atteris lourdement au sol et m'étalais de tout mon long. Mes jambes avaient visiblement du mal à me porter...
Je me relevais et me mis à courir, traversant le village vitesse grand "V" -ou plutôt petit "v", j'étais quand même assoifé et affamé-. Il y eut un genre de sifflement, et un éclair vert passa au ras de ma tête. Ah, j'étais poursuivi. Je dirais même plus, par quelqu'un pratiquant la magie. Me retournant, je vis que ma poursuivante n'était autre que cette chère Duldrési -quelle surprise...-. Je tentais donc d'accelérer, me dirigeant vers le pont situé à la sortie du village.
Aïe! Un homme se dressait au centre de la route, barrant le passage!

-Halte!" cria-t-il. "Vous devez payer un droit de passa*ZZZAP!*

Il s'effondra, touché de plein fouet par un des éclairs de Duldrési. Pas de chance!
Je lui passai dessus, en prenant soin de bien le pietiner, et je continuais ma course.

____________________Quelques heures plus tard...______________________


Je sortis du buisson d'herbe de Kresh qui m'avait servi de cachette. Rien à droite... Rien à gauche...
Enfin, j'avais réussi à échapper à cette folle! Sauvé. Bon, maintenant, fallait... Fallait faire quoi, au fait? Pourquoi m'étais-je enfui, déjà?
Zut. J'avais encore agi sans réfléchir.
Et j'étais perdu dans les marais, seul, sale, enguenillé, affamé, assoifé, ayant pour tout bien une hache de bucheron.
Je ne devais pas avoir l'air fin.

Modifié par Ymir, 20 août 2007 - 20:00.

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