18 réponses à ce sujet

[Styx]

Ayant juste eu l'idée à l'instant, et sachant qu'elle sera très facilement réalisable peu importe la tête du futur TESCS, je me permets de proposer à l'ensemble de la communauté Wiwiland de contribuer à la création d'un mod à la gloire de notre cher Crassius Curio.

Le principe serait de placer dans le jeu plusieurs livres, plutôt courts,  écrits de la plume d'Oncle Curio. La Femme de Chambre Argonienne ne sera plus seule désormais! Bonjour la danse du guar à cinq pattes, les folles aventures de la khajiit à six seins, et autres!

Eventuellement, on peut aussi imaginer une version du mod qui, au lieu de les rajouter en librairie, introduirait une "boîte mystère" dans un donjon quelconque contenant les livres. Ca c'est un vrai trésor, ça change des épées daedriques et des rubis.

J'invite donc les wiwilandais à écrire de courtes histoires décalées, pourquoi pas dans la veine de la femme de chambre argonienne mais pas uniquement(On sait que l'Oncle Curio sait être grivois, mais il n'était pas que cela bon sang!), et éventuellement une biographie/critique littéraire de notre conseiller Hlaalu favori. Les meilleurs seront ensuite sélectionnés et regroupés dans ce mod.

[Cogite Stibon]

L'idée me plais beaucoup beaucoup. Je ne peux vraiment rien promettre, mais je vais essayer d'écrire un petit quelque chose.

Et j'invite tous les wiwilandais intéressés à lire ou relire la magistrale ré-interprétation de "La Femme de Chambre Argonienne" par Redolegna.

Styx, le 27 octobre 2011 - 16:12, dit :

(On sait que l'Oncle Curio sait être grivois, mais il n'était pas que cela bon sang!)

C'était également un trèsfin politique.

[Jacob Bronsky]

Volontaire votre honneur ! Comme tonton Crassius sera depuis longtemps décédé (les circonstances peuvent d'ailleurs être exploitables) à l'époque de Skyrim, il est en effet nécessaire de commémorer sa glorieuse mémoire.

Je participerai donc avec zèle à l'écriture de quelques textes.

[abg]

J'ai bien une vague idée sur ce qu'on peut mettre sous un titre comme "La Danse du Guar à Trois Pattes" (indice : relecture récente de l'Âne d'Or d'Apulée).

On verra si le courage et l'inspiration me viennent pour contribuer à cet excellent projet

topic troupe théâtrale dit :

Crassius Curio est un protecteur des arts, un mécène, comme on dit. Il a chargé des artistes de réaliser une fresque chez lui et j’ai cru comprendre qu’il venait d’écrire une nouvelle pièce de théâtre et qu’il aimerait pouvoir la monter. Il va sans doute constituer une troupe très prochainement... puissent les dieux avoir pitié de nous...

topic nouvelle pièce de théâtre dit :

Elle ne vaut sans doute pas mieux que les anciennes pièces de Crassius, qui étaient proprement atroces. Encore que, si vous n’avez pas vu ' La Danse du guar à trois pattes ', vous avez raté quelque chose...

[Styx]

Parfait! Je vois que le projet a de quoi plaire.

En fait, puisque justement 200 ans se sont écoulés, cela me semblait une très belle opportunité d'intégrer de nouveaux récits, et de faire une biographie de Curio. Par exemple, en artiste incompris de son vivant, qui rencontra ensuite un très grand succès, à la fois grâce à ses livres et ses pièces de théatre. Sans compter sa troupe. De plus, cela permettrait d'intégrer des critiques de ses œuvres, des analyses, etc. De quoi un peu étoffer ces lectures.

D'ailleurs, je me disais qu'on pourrait reprendre la version de Redolegna de la Femme de Chambre Argonienne (avec son autorisation bien sur), et d'en faire une sorte de "version bis" de la célèbre pièce. Une sorte de version modifiée par Crassius Curio, voulant donner plus de profondeur à son oeuvre, un "inédit" en somme. Cela permettrait une intégration intéressante des livres.

Par exemple : un convoi de bouquin précieux s'est perdu dans les montagnes de Skyrim, le pauvre livreur ne pouvant que se réfugier dans une grotte avec sa cargaison avant d'y mourir. Quelques journaux par-ci par là pour faire miroiter au joueur un trésor inestimable, et tadam! de fait, il trouve une caisse remplie de.... Livres.   Mais pas n'importe lesquels! Des classiques de la littérature de Crassius Curio, et parmi cela des notes, journaux personnels, des originaux et même (incroyable!) une version manuscrite inédite de la fameuse "Femme de Chambre Argonienne" totalement réécrite par Curio lui-même!

Ça aurait quand même plus de gueule que les trésors auxquels Bethesda nous a habitué, non?

Modifié par Styx, 27 octobre 2011 - 18:08.

[abg]

Notons au passage que dans la première citation (de Morrowind) que j'ai transcris, il est question d'une fresque. Bien entendu elle n'a probablement pas survécu à la destruction de Vivec. Mais cette mention implique que Crasius n'est pas qu'un littérateur, mais aussi un amateur d'art en général.
Donc les wiwilandais qui se sentiraient plus peintres qu'écrivains devraient pouvoir participer aussi

Les estampes du cabinet de Crassius Curio

[Styx]

Tutafé. Sans compter que quitte à rajouter des livres, on peut également envisager de faire les couvertures qui vont avec, ça laisse donc de la place pour ceux qui aiment manipuler les textures. Et si on rajoute d'autres objets liés à Crassius Curio (un morceau de la fresque mentionnée par exemple), c'est pareil pour les mesh. Il y a donc de la place pour tous les wiwilandais dans ce projet.

Je pense que je vais déjà essayer d'écrire les fragments de journaux du livreur (pauvre hère) et peut-être déjà m'aventurer à quelques critiques littéraires et cahiers de notes. Ou, tout du moins, je vais y réfléchir.

Par ailleurs, peut-être faudrait-il en faire une sorte de "concours" avec sujet à part, pour poster les écrits (et seulement les écrits) et garder ce sujet un peu plus clean. Bonne idée ou pas?

[Shadow she-wolf]

Au passage, j'ai particulièrement aimé la quête où il fallait jouer une pièce de théâtre dans Tribunal...

Jouer "La Danse du guar à trois pattes" pourrait offrir une belle situation...

[Thanatos00]

Salut,

Très bonne idée !
Je suis sûr que Wiwiland doit regorger de bonnes plumes ^^
Je lirai vos écris en jeu avec grand plaisir

[Wulfram]

Il faudrait pas que le talent de ce bon vieux Curio se perde n'est-ce pas ?
Je marche en tout cas, si l'inspiration viens j'écrirais quelques petites choses histoire mettre la main à la pâte

[Landän]

Salut !

Moi aussi je suis partant. Je vais voir ce que j'arrive à écrire (pièce de théâtre, commentaire littéraire, ouvrage théorique, correspondance,... à voir).

Edit : Je penche pour deux projets : un recueil en plusieurs volumes, Les Contes du Père Crassius et une rapide (et très critiquée) étude ethnologique : Les rituels incestueux chez les Bosmers.

J'ai écrit le premier des Contes, Les Sept Filles du Roi Wulfbart.

L'histoire est inepte, obscène, le style est mauvais, pompeux, cliché. C'est volontaire.
Dites-moi si je suis dans le ton, c'est juste un premier jet. Je corrigerai, raccourcirai, allongerai etc... plus tard.

Spoiler

Les Contes du père Crassius par Crassius Curio. Volume I. Avant-propos de Quintus Apparatus

Avant-propos à la troisième édition :

Crassius Curio fut comme on le sait une personnalité controversée. Grand mécène, on lui reprocha de privilégier certaines formes artistiques à d'autres, certains thèmes à d'autre, choix souvent décriés et taxé de snobisme. Mais au-delà du mécène et de l'auteur à succès, Crassius Curio fut également un infatigable compilateur, qui n'eut cesse de recueillir des récits des quatre coins de Tamriel. Cet immense travail doit être porté à son crédit, quoique l'on pense par ailleurs de ses qualités d'auteur.
Crassius Curio n'était pas homme à s'étendre longuement sur ses activités de recherche préférant donner à voir un travail fini. Aussi n'a-t-il laissé aucune note. Cependant, pour l'avoir rencontrer vers la fin de sa vie, j'ai eu l'occasion d'en discuter avec lui et me permettrai de donner les informations qui me semblent indispensables.
Crassius Curio souhaitait qu'on passât un agréable moment à lire des contes qu'il voulait pourtant être des transcriptions rigoureuses. S'il les modifia légèrement parfois, ce ne fut que pour les rendre plus accessible à un lecteur non-initié à ces cultures si souvent étrangères entre elles. Ainsi, quelque soit son origine, tout lecteur devrait pouvoir comprendre aisément le charme de ces contes qui se racontaient au coin du feu et qui, parfois, s'entendent encore aujourd'hui.

Quintus Apparatus

Les Sept Filles du Roi Wulfbart

  Il était une fois dans un royaume lointain un roi qui avait sept filles. Le roi Wulfbart, car c'était son nom, était bon avec ses sujets et aimant avec ses filles. Elles avaient nom Anna, Holtfrid, Ava, Morglin, Mersuit, Kriline et Imperia. Anna, la plus âgée était promise au fils d'un duc de Colovie, le jeune et brave Bovo. Cette union, préparée depuis longtemps, devait assurer la paix et le commerce entre les deux états et la sécurité le long des routes qui sillonnaient la montagne.
  Pour célébrer ce mariage, Wulfbart envoya une compagnie de serviteurs, conduite par la plus belle de toutes ses filles, Mersuit, pour conduire le prince à travers les cols avant que la neige ne tombe. Or il advint qu'au détour d'un ravin, sur le chemin du retour, le convoi fut attaqué par une troupe de géants qui projeta le chariot dans lequel se trouvaient les deux jeunes gens tout droit dans la fente. Ils n'eurent que peu de mal mais les serviteurs crûrent qu'ils étaient morts. C'est pour cela qu'ils ne se hâtèrent point pour aller quérir de l'aide afin de remonter les corps.

« Ah, par Shor, dit Mersuit. Il nous est impossible de remonter.
- J'en ai bien peur, hélas... répondit jeune Bovo.
- Qu'il est dur pour nous de rester ici à mourir de froid. J’eus aimé un autre destin.
- Puisqu'il en est ainsi, je vous réchaufferai afin que ce ne soit pas le froid qui vous emporte.
- Oui, je suis heureuse de sentir votre chaleur, oui. »
Le temps passa ainsi et quelle ne fut pas la joie des serviteurs de trouver la princesse et le jeune homme en vie, et la leur d'être finalement sauvés.

Vint qu'on arriva au château Wulfbart, où le roi accueillit sa fille et son beau-fils avec faste. Ils allèrent ensuite se reposer pour attendre qu'un nouveau jour se lève sur le mariage de la princesse et du futur prince. Or il advint que Bovo n'aima pas Anna. Etait-ce parce qu'elle n'était pas belle ? Etait-ce parce que le prince était obnubilé par le souvenir de Mersuit ? Toujours est-il qu'il se leva dans la nuit et se rendit en ville à la recherche d'une solution à ce douloureux problème. La solution lui apparu enfin alors que l'aube se levait. Il fallait qu'il fuît en enlevant la femme de ses pensées. Et ainsi fut fait. Alors qu'elle sortait de la chambre de sa sœur Ava, à qui elle avait, à grands renfort de geste, raconté ses aventures, le jeune homme l'enleva.

En découvrant cela, le roi Wulfbart entra dans une colère noire.

« Comment ! On ose, sous mon toit me voler ma fille ! Ah, si je tenais ce traître, cet infâme : je le tuerais de mes mains, je l’émasculerais et le dévorerait séant. »
Ses filles ne furent pas trop de six pour lui faire retrouver son calme. Elles lui firent promettre que si elles revenaient avec le prince avant trois jours, il pardonnerait le jeune homme et le mariage aurait lieu.

   Le nuit suivante, les six enfants atteignirent un village peu lointain où elles reconnurent les chevaux du colovien. Il les avait vendus à un marchand mais, grâce à leurs talents de persuasion, il leur révéla que leur vendeur s'en était allé se cacher pour la nuit dans les bois. Malgré le danger, elles s'y aventurèrent, car elles s'y entendaient en magie, chacune dans son domaine. Et les voilà qui arpentent la forêt jusqu'à trouver le jeune homme. Ava, maîtresse en illusion, proposa alors un plan. Pendant qu'ils dormaient, elle irait trouver Mersuit en silence et la ferait s'échapper. Le jeune homme serait réveillé par les bruits mais elle lui ferait croire qu'elle était sa sœur. Au matin, quand il serait trop tard, elle le réveillerait en lui révélant le subterfuge. Ainsi fut fait. Et quand le prince demanda quels étaient ces bruits de pas dans les feuilles :

« Quels sont ces bruits, Mersuit ?
- Ce n'est rien, quelques créature que vous pourriez empaler avec votre épée, répondit Ava, faisant semblant d'avoir la voix éraillée par le sommeil. Parlez-moi plutôt de notre rencontre avec les géants (car le récit de sa sœur avait éveillé sa curiosité).
- Rien ne me ferait plus plaisir », dit-il alors.

La nuit passa sans qu'il ne se rende compte de rien, si ce n'est que son aimée lui semblait plus petite.
Au matin, elle le réveilla en lui disant qu'elle avait sauvé Mersuit et en lui disant qu'il n'avait d'autre choix que de se rendre.

Le roi fut tellement content de revoir sa fille en bonne santé qu'il amnistia le jeune homme. Et, pour éviter qu'une telle chose ne se reproduise, il tenait à passer un accord avec lui. Chaque soir, il pourrait passer quelques minutes chaque soir avec une de ses filles, dans le noir total. A la fin de la semaine, il devrait dire laquelle il préférait. Ainsi il ne pourrait plus revenir sur son choix.
Anna se lamentait de cette solution :

« Hélas ma sœur, dit-elle à Mersuit. C'est toi qu'il va choisir et non moi. Toi qui est plus belle, tu trouvera facilement un époux mais moi ? C'est bien mon seul espoir.
- Ne t'inquiète pas, répondit celle-ci. Je n'ai pas apprécié qu'il m'enlève ainsi et je ne tiens pas à l'épouser. Aussi, voilà ce que je te propose. Inversons nos places : ainsi, il me choisira mais notre père et lui croirons que c'est toi qu'il a choisi. »

Affaire fut conclue.
Le premier soir, Bovo rencontra Holtfrid.
Le second soir, Bovo connut Kriline.
Le troisième soir, Mersuit remplaça Anna.
Le quatrième soir, Bovo passa du temps avec Ava.
Le cinquième soir, Anna remplaça Mersuit.
Le sixième soir, Bovo connut Imperia.
Et le septième soir, Bovo fréquenta Morglin.
Alors le bon roi Wulfbart demanda à son beau-fils de choisir.

« Vos filles sont toutes d'une délicieuse compagnie sire, mais de toutes, le plus agréable est celle que je rencontrai le quatrième soir ».
Alors Ava se prosterna devant le prince, atterré et dit : « Ainsi soit fait selon votre désir mon prince ».

   Ainsi Bovo épousa Ava et succéda au roi Wulfbart. Quand à ses six autres filles, que le jeune prince ne cessa de louer pour leur esprit et leurs talents, elles firent toutes de beaux mariages.

A suivre éventuellement : l'esclave Khajiit, une version "adaptée" du Chat botté, sur le thème du valet malin.

Edit : peut-être serait-il bon de choisir entre faire un autre sujet ou rester ici. J'ai un deuxième texte (ça me détend d'écrire des bêtises), Les rituels incestueux chez les Bosmers, en deux éditions,  et vu à quel point ça m'amuse d'écrire pour rien, il y en aura peut-être d'autre. Et pour l'instant j'hésite à poster.

Modifié par Landän, 06 novembre 2011 - 00:22.

[jeza]

Si ça peut vous aider dans la création de ce mod, j'ai trouvé un livre inédit de Tonton Curio, une suite de la femme de chambre argonnienne.

Allez faire un tour à la distillerie près de Whiterun ( Honningbrew Maedery très exactement, désolée je l'ai anglais)

Sur une étagère au dessus d'un lit à l'étage au grenier.

Si je trouve d'autres trésors de notre auteur préféré je viendrai les poster ici

[Styx]

Ah, de fait, s'il existe d'autres livres de Curio dans Skyrim, il faudra en tenir compte. Mais d'ici la sortie du mod, ils seront sans doute déjà référencés.

Landän, j'ai trouvé ton histoire très appropriée, surtout considérée dans le cadre d'une compilation de récits par Curio. Par contre, je comptais notamment écrire quelques notes de la main de Crassius, afin de pouvoir offrir une seconde lecture de ses oeuvres et de sa vie, aussi l'introduction devra peut-être être modifiée.

Cela dit, je pense qu'effectivement, créer un topic à part et en faire, à la limite, un concours serait plus pratique.

[Landän]

Merci pour mon histoire. Alors je vais continuer à travailler sur la compilation. Mais là c'était vraiment à titre indicatif, voir si j'étais dans le ton etc... Je pense qu'il faudrait qu'on ai une vue d'ensemble de l'oeuvre de Crassius Curio (qu'elle soit dans le jeu d'origine ou rédigée par nous) puis qu'on lise tout ça en détails pour mettre les textes au diapason et éventuellement que les textes se répondent les uns aux autres. L'introduction (ainsi que le reste) est susceptible d'être fortement modifiée voire supprimée, ce n'est en aucun cas un soucis, au contraire même.
Par ailleurs, l'existence de commentaires de Crassius ne signifie pas que les commentateurs ultérieurs les aient effectivement lu.

Il faudrait en effet créer un autre sujet, au moins pour voir ce que les gens ont à proposer. Le concours je ne sais pas, il faut voir le nombre de personnes intéressées. Et puis, il ne s'agira pas simplement de poster un texte mais de s'investir un minimum dans un projet, c'est à dire au moins suivre les discussions et être prêt à modifier son texte, je pense. J'attends la création de ce sujet pour vous faire part de mes textes : Les Rituels incestueux chez les Bosmers avec et sans notes.

Et je me mets à la recherche de la Femme de Chambre argonienne....

[Guidrion]

J'aime beaucoup le projet!

Je me permet d'apporter mon grain de sel bien qu'il se peut que l'idée dépasse le projet original.

Ne serait-il pas intéressant dans un Bordeciel traversé par la culture de la tradition orale (certes atténuée) des bardes d'intégrer une espèce d'opposition, peut-être dunmero-impériale de Cercles de lecture? Avec un nom comme "Fils de la plume" ou autres. Une espèce de guilde littéraire, en fait, avec l'objectif de la sauvegarde du savoir et de la culture écrite, l'enseignement des lettres et la protection des écrivains. Le lien avec les divinités du savoir peut aussi se faire: patronage de Julianos en Cyrodiil, de Jhunal (vu que son culte a presque disparu, ça peut renforcer le côté faible du cerlce en Skyrim) ou Sthun en Bordeciel, Vivec (voire Saint Olms) en Morrowind ou encore de Hermaeus Mora pour les plus daedriques... Leur emplacement nordique pourrait se trouver à plusieurs endroits: Solitude pour la rivalité avec les bardes, Forthiver pour d'éventuels liens avec les mages ou Blancherive pour les bénéfices du commerce.
Les membres de cette guilde pourraient fournir les quêtes de récupération des bouquins du papa Crassus ou en fournir.

... Mouais. Je confirme mon idée originelle, c'est ambitieux.

[Styx]

Disons que, personnellement, j'aime beaucoup l'idée de petits cercles et groupes culturels (je crois pas qu'on puisse vraiment parler de guildes) et si un mod comme ça voyait le jour, je le prendrai surement.

Mais l'idée de base était plus de permettre l'ajout facile d'un petit clin d’œil à notre oncle Curio bien-aimé, avec quelques livres introuvables dans le commerce en guise de "trésor inédit" (et vachement plus original que des septims). Mais pourquoi pas, pour une éventuelle amélioration du mod par après, ça pourrait être sympa.

[Elenwel]

Citation

(AVERTISSEMENT : Ne sachant pas s'il valait mieux créer ce sujet ici ou dans les Contes et Légendes de Tamriel, ce sujet pourrait l'être à déplacement. Âmes ne supportant pas les montagnes russes s'abstenir. )

gagné

C'est mieux comme ça, le sujet d'écrit gagne une meilleur visibilité que dans un forum de création de mod ou on ne le cherchera pas.

[Styx]

Ah! Merci bien! Je vais pouvoir enlever ça du premier message, en ce cas.

Et au passage, je tiens à souligner que j'adore le superbe texte (en deux versions, pas moins!) de Landän sur les rites bosmers.

[Blue Platypus]

Le mod pourrait être sympathique, faut voir ^^
En attendant c'est vrai que mes "femme de chambre argonienne" volume 1 & 2 se sentent un peu seul dans mon grand sac.