Posté 29 décembre 2009 - 16:03
4ième Partie
(cette partie est dédié a marmotte milka qui ma redonné envie d'écrire, spécial dédicaces)
Ma cuirasse d'acier et mon épaulières gauche ne valais plus rien, l'une avait un gros trou qui n'offrait aucune protection sauf a l'honneur, la deuxième était trop entaillé pour une quelconque protection. Mes combats devenant de plus en plus violent il me fallait une meilleurs protection.
C'est a Caldera que je trouvé mon bonheur : une armure, enfin la cuirasse, « d'argent de garde du duc ».C'est une cuirasse en argent finement ciselais qui offre une bien meilleurs protection que l'acier, hélas je ne trouvé aucune épaulières dans le même matériaux.
Pour en revenir a Caldéra c'est une ville de colonie de l'Empire. Le château de Caldéra abrite une garnison de soldat qui servent de renfort en cas d'attaque de la cote ouest. Ils sont bête, ignare mais très respectueux de la loi : 50 drakes pour avoir fracturé 10 portes. Il est vrai que j'étais un peu fauché mais bon... Dans mes différentes pérégrination je trouvé un manoir, le manoir Ghorak, un lieu étranges ou vivait cinq orque. Très aimable sauf qu'il faut arrivé a comprendre ce qu'ils disent une sorte de « MghffgsGrognakpascontangrphmsfpasvouloirparlétoi », fin bref. J'y rencontrais une drôle de créature, Rampant, un espèce de petit lutin avec de grande oreilles qui pousse des cris strident. Lorsque je questionné un des occupant orque sur « Rampant » il me répondit :« Pasconnaitre le moche animalss lui ici, lui resté » (très instructif d'ailleurs)... Rampant était en fait un marchand qui acheté « Tout » (de la babioles a la magnifique robe enchanté en passant par les armes). Tout les jours il avait 5000 drakes a offrir a des vendeurs, une véritable pépite après tout ce que j'avais galéré avec les marchands, a vendre de très bon objet a des prix minables... ou contre des flèches...
Rampant était très courtois, assez « féodales » je dois dire. A la fois calculateur et toujours embrouiller dans ces compte. Son apparences corporel était du a un mauvais sort d 'après lui. Comme son commerce était trop lucratif un sorcier le métamorphosa en galopins, créatures qui, selon ces dires, sont les serviteurs de Boethia, le dieu daedriques de la guerre. Je n'avais rien a lui vendre mais lui promis que si j'avais quelque chose d'intéressant je m'adresserais d'abord a lui.
Je me ravitaillé en flèche, carreau et autre sort, anneau (invisibilité, rappel qui est très efficaces lorsqu'on ne possède pas le sort de marque, boule de feu) et aussi trois magnifiques robes, l'une était bleu avec des inscriptions en daedriques qui permettent de protégé son porteur, une rouge-or simplement belle mais très criardes et finalement une mauve enchanté. Après tout ces achat je repartie vers Vivec car j'avais aperçu au loin une ruines rouge sang qui m'avais fort intrigués.
Le voyage se passa sous une pluie battante qui caché tout les alentour, c'est donc les vêtement complètement trempé que je rentré a nouveau dans la grande cité de Vivec. Comme le soir arrivé je décidé d'aller me reposé dans une auberge, celle du Cercle de la nation elfique. Je pris un verre avec un elfe du nom de Nalasa, un dunmer. J'en profitais pour en connaître un peu plus sur son peuple :
_ « Oh vous savez, pratiquement tout les dunmers sont racistes même envers les membres de leurs même espèce. Tout ce qui n'est pas née chez eux ne mérites considération et encore je ne parle pas de l'esclavage des « sous-être » comme ils les appellent.
_Sous-êtres ? Qu'est-ce que cela signifie ? Et si je me souviens bien vous êtes encore la seul provinces a pratiqué l'esclavage ?
_Les sous-être sont les races des Argonien, des Kajhiites , enfin , d'après les intégristes. Et oui nous somme encore la seul provinces a pratiqués l'esclavages. Hélas...
_Ah aussi je n'aie vue aucun enfant. Est-ce normal ?
_Le fléau a rendu homme et femme stériles, le pire des effets de ce poison a mon avis. Les enfants restant sont soit partit, soit mort, soit devenue adulte... C'est une bien triste époque que nous vivons la... Et dire qu'il y en a qui croit au retour du Nérévarine.
_Nérévarine... est-ce une façon de désigné Nérévar ? (Je l'avais lu dans un livre quelque temps auparavant).
_En quelque sorte, en fait ca ce nom désigne sa réincarnation. Mais je suis étonné que un Rougegarde soit aussi cultivé sur notre histoire.
_Oh je suis juste un aventurier curieux de la contrées que je visite, c'est tout ».
Après avoir discuté quelque minute nous nous quittâmes. La nuit ce passa très bien même si quelque moustiques un peu zélé furent assez sot pour s'approchaient de moi. Le lendemain tout le monde s'enfuyait en me voyant croyant que j'avais attrapés un maladie inconnu tellement j'étaie recouverts de boutons. Un sort de charme eu vite fait d'arranger sa mais je n'en possédé pas. Je passait donc tout la journée avec un copain pas sympa nommé démangeaisons inopportune (toujours au mauvais endroit en plus).
Après avoir pris le repas de midi / petit déjeuner (je suis un peu flémar le matin) j'enfilais toute les pièces de mon armure, passait anneau et collier utile autour de mes doigt et de mon cou et finalement revêtais la robe mauve. Ainsi bardé je ressemblais a un grand seigneur parti combattre a la guerre. Je réparé mon Daï-katana, aiguisé sa lame, rafistolé mon arc et me mis en marche vers les étranges ruines...
10 minute plus tard j'étaie devant, elle sont situé a l'est de Vivec, face a la mer. De prés sa ressemble plus a un enchevêtrement abscons plutôt qu'a une ancienne ville. La pierre, ou du moins les blocs de pierre qui avait servit a construire cette édifices était d'un rouge sang, l'on avait presque l'impression que les murs dégouliner de ce liquide rouge. Le soir arrivant donnait a cette macabre construction des air de lieu maléfique ou seul les fous irresponsable s'aventure... Maintenant que j'y repense il est vrai que j'étais vraiment stupide rentré dedans, enfin presque.
J'arrivai devant une porte très stylisé,je croi qu'il y était inscrit « Ald Sotha », il y avait aussi une sorte de grosse araignée posé sur sa toile gravé dans la pierre. Je mis un certain temps a trouver un moyen d'ouverture, je compris finalement qu'il fallait poser sa main sur l'araignée et dire « Ouvre Toi » (3h plus tard en fait). Dans un grave bruit de pierre contre pierre les « toiles » de l'araignée se séparèrent et s'ouvrir, un peu a la façon d'une fleur.
Je descendais quelque marche avant de me retrouvé devant un premier choix : a droite ou a gauche. Je prix droite, comme j'entendais des voies au loin je bandé mon arc d'ossement avec une flèche d'argent, il faut dire que le Sainte doré m'avais laissé un cuisant souvenir en forme rectangulaire au milieu du ventre a cause d'une erreur de jugement de matériaux donc je me méfiais . L'arc prêt a tiré je descendais prudemment les marches une a une dans un silence personnel a entendre mon propre cœur battre les seconde. J'aperçus enfin une salle qui fessai a peu prés 15 mètre sur 20. Un homme se tenais la, de dos. Une entière armure d'ossement lui recouvrais le corps. Et c'est la que mon esprit chevaleresque prit le dessus... Je ne voulais pas tuer un innocent, même si le lieu était peu recommandable vue la teinte des murs. Il semblais parlais tout seul... Je ne savais que faire... Tirer et risqué d'ôter le vie a un civil ou faire du bien au bon coté des chose de ce monde. Le dilemme trop compliqué me fis avoir une idée : hélé ledit sujet. Je le sifflet brièvement, l'homme me vis et dis « A mort chien ! ». Je n'avais pas besoin de plus de commentaire pour me faire une idée des intentions de mon ennemi. Je décoché une flèche, l'homme évita le projectile en se décalant d'un bon que même la vivacité de mes yeux n'avait pus suivre et une femme apparu, non par magie, je ne l'avais simplement pas vue derrière le gaillard. Le flèche grise se planta net dans l'omoplate de la femme qui poussa un cris des douleur. L'homme la regarda s'effondrer puis se retourna vers moi. Il dégaina une épée d'acier et dans un hurlement sauvage se rua sur moi, je dégainé mon dai-katana juste a temps pour contré son attaque, le bruit lame contre lame émis un hurlement strident, la démence de mon adversaire était clairement montré par la bave qui sortait de sa bouche... Il poussait de toute ses force pour me faire tombé et ainsi m'achevai. Je me laissé tombé, dégainer la dague de verre attaché a mon pied et la planté d'un geste sec et brutale dans la poitrine de l'homme. Le sang gicla dans tout les sens autour de moi... il était mort.
La femme se releva, s'arracha le projectile de son épaule et se rua a elle aussi sur moi. Les murs de la salle rouge retentir a nouveau de cette étrange vacarme qu'est celui de la haine meurtrière, des bruits de tintement de lame, des cris, des râlement, des injures, du sang qui gicle et finalement la mort qui s'invite... elle était morte.
Je fessais tournoyé mon arme, la nettoyant du sang qui en coulait puis la rangeais dans son fourreau dorsal. Les deux combat m'avait considérablement meurtri et les deux potions de soins que je bus ne furent pas assez puissante pour me rafistoler entièrement. Je ramassais mon arc et me dirigé vers la salle opposé, celle de gauche.
Seul deux torche éclairèrent ma lente marche, les parti mes armures s'entrechoquant tué sans ménagement le silence environnant qui pesait tout de meme sur ma peur. Je revis a nouveau l'escalier s'étendre devant mes pieds, sombre et lugubre, un peu comme les marches qui mène a une tombe pensai-je en souriant. Je dégainer a nouveau mon arc et encoché une nouvelle flèche. J'arrivais dans la même salle que la précédente a la différences prés que il n'y avait qu'une femme a l'intérieur. Elle portais un étrange bouclier, noir et or, de forme circulaire avec une garde au sommet. Elle était aussi de dos... Au diable les élans chevaleresque pensai-je, je ne vais pas a nouveau sauvegardé mon honneur au risque de perdre ma vie et je tiré ma flèche. A tout ceux qui lise ces lignes je voudrais vous parler du mots « miracles » car c'est ce qu'il c'est passé : un miracle. Elle s'est retourné d'un bon et a paré le trait avec son bouclier et c'est même pas que la flèche c'est planté dedans, non non non, elle a ricoché dessus. Je n'avais jamais vue pareil réflexe ni pareil défense. D'ailleurs, en parlant de défense, elle n'en portait aucune autre. Elle simplement vêtu, une femme nordique apparemment. Elle explosa de rire en voyant mon visage déconfit par sa prouesse : « Alors Rougegarde ? On a peur de la Mort ? Hahaha, viens donc te mesuré a moi au corps a corps au lieu de perdre inutilement des flèches ». Son habilité au combat était certainement plus élevé que moi mais je n'allais surement pas reculé, je fit appelle au Ragnard et c'est dans un hurlement de guerrier Rougegarde que je me rué vers mon adversaire. Je ressorti mon épée de son fourreau et la brandissait au dessus de moi pour avoir plus de force. J'avais prévu le coup suivant : mettre toute ma force dans le premier coup qui serait surement paré puis, lorsqu'elle serait déséquilibré par la violence du choque, lui tranché la carotide. Je frappé vite et fort sur le bouclier qu'elle brandissait mais il eu un imprévue, deux en fait : ma lame c'est brisé sur l'épaisse défense et la nordique est tombé, en arrière, n'hésitant pas l'ombre d'un instant je planté le reste de mon défunt dai-katana d'acier dans le cœur sans protection de la demoiselle. Elle mourut sur le coup sans douleur, du moins je l'espère.
J'avais maintenant un magnifique bouclier a ma disposition, apparemment très solide et très lourd mais parfaitement équilibré. Cette équilibre et cette beauté me fessais fortement penser a un grand objet de valeur vu que je n'avais jamais rien vu de semblable durant ma vie. A la joie de cette magnifique défense vint s'ajouter le tristesse d'avoir perdu une lame de bonne qualité. Je m'entrepris de déposais ici les fragments de mon épée, un peu en signe de respect et d'hommage à cette si bonne compagne.
Il fallait absolument que je me repose, histoire de me guérir un peu. Il existe sur Tamriel une sorte de « sommeil magique » qui permet a toute personne de se réparer physiquement et moralement de sorte que, même après une sérieuse blessure, on peut tout guérir. Il y a tout de même un hic : lors de se sommeil spécial on est très vulnérable car on ne peut se réveillé ni bouger, ainsi si quelqu'un ou quelque chose vous veut du mal il ou elle n'a qu'a vous tués, vous ne pourrai rien faire. Ainsi certain magicien mette un protection magique autour d'eux pour évité que leurs sommeil bienfaiteur ne se transforme en sommeil éternel. La période de repos est défini par notre endurance.
Après trois bonne heure je m'éveillai de mon lit de fortune posé a même le sol pour me préparer a continué mon exploration. Je n'avais aucune épée valable de se nom autour de moi, seul mon arc d'ossement valait encore le coup mais il était déjà ébréché et fêlé a plusieurs endroit... Ainsi seule la dague de verre pouvait me sauvé la vie dans cette endroit maudit. Je remis mon armure d'argent, mes jambières d'acier et les bottes qui complète. Épaulières, bracelet et casque finir d'achevé ma protection. Finalement empoignée le beaux bouclier noir et or que j'avais récemment acquis. Ainsi bardé je repris ma descente vers les profondeurs.
J'arrivais a une autre salle ou un autre femme était de dos. Elle se tenait devant un autel ou était posais toute sorte de chose, coffre bijou, or, drakes, et j'en passe, il avait même un crane avec une arme rouge planté dedans. J'encochais ma flèches, visais et décoché mon trait. La flèche se planta dans un bruit mat dans la tète de l'elfe qui s'écroula comme un poupée sans fil. Je me jetais sans autre considération, vers le trésor que j'avais vue, je pris tout ce que je voyais, un tantôt était planté dans un crane où deux pièce antique fessais office d'yeux. L'arme, d'un rouge noir me rappelé étrangement les mur qui m'entourai, son tranchant était exceptionnel, je crois qu'elle aurait pu coupé un cheveu dans le sens de la longueur, son poids aussi était exceptionnel, aussi lourd que mon dai-katana. Je n'avais jamais vue pareil travail, a la fois ciselais et grossier c'était surement une des plus belles lame que je n'avais jamais vue. Le manche était incrustait de quatre pierre rouge, d'une beauté envoutante et maudite a la fois. La garde était faite de deux croc qui entourait une tête de dragon et de la gueule de la bête sortait la lame du tanto, une flamme y était même dessinée dans la même pierre que les joyaux incrustait dans le manche. J'avais déjà était fortement étonné par ma dague mais la je dois avoué que les bras m'en tombais.
La guerrière en avait une elle aussi, je me remercier personnellement de l'avoir tué de façon aussi lâche car si elle m'avais attaqué avec cette épée j'aurais surement trépassé. L'honneur ou la vie, il faut choisir... Je rangeais les deux tantos a mes chevilles, sauf que au moment de marché je fut durement rappelé a la loi de la gravité, il est vrai que avec 6 kilos accroché a chaque pied, on a un peut plus de mal a marché et encore plus de mal a courir, j'accrochai donc les deux lames sur mes flanc de façon a me garantir un utilisation rapide et sure. Comme mon bouclier m'aurais vraiment trop encombré dans cette situation je me l'attaché dans le dos contre le carquois. Ainsi paré je ressemblé plus a un assassin qu'a un guerrier mais mes plaque d'acier ne permettaient que peut d'agilité.
Je me dirigé vers la salle qui fessais face a celle où je me trouvé. Une femme d'age mur semblé dormir, je n'était pas en position de force sans mon Dai-katana mais je décidé quand même de la réveillé car il y avait une porte au milieu des deux salles rouges et je me demandais quelles ennemi pouvais bien m'y attendre. Je m'approchai le plus discrètement de la femme et au moment où j'étais a porté je me jetai sur elle, posais la lame nu de mon tanto sur son coup.
« _Réveillez-vous, allez !
_Mais qui êtes-vous ? Non ! Ne me tuez pas. Son regard terrorisé vérifié la véracité de ses dires et ces yeux ne lâché pas la lame rouge.
_Je ne vous tuerez pas, restez tranquilles !
_Alors que voulez vous de moi ?
_Qu'y a t-il derrière cette porte la bas ? »
Alors elle me raconta tout, il y avait un Seigneur Drémora, être que je ne connaissais pas ainsi que une grande sorcière quelle nomma Llandrale Varam. Elle m'appris que une épée d'ébonite se trouvé sur l'autel du lieu si j'étai en danger. Je lui répondis sèchement que je pouvais très bien me débrouiller.
Je dégainer mes deux couteau devant la porte froide et rouge des souterrains de Ald Sotha. Je pris aussi un parchemins d'appel d'atronache de feu, créatures qui m'étais totalement inconnu, mais qui semblé être d'une grande utilité puisque je l'avais trouvé devant le premier autel. Comme je ne connaissais pas encore bien le daedriques (la langue inscrite sur le parchemins pour l'activé) je répété ce que m'avais dis l'enchanteur. Apparu alors une immense bete de feu, de flamme et de fer. Un etre incroyable, sans yeux se tenais la devant moi... En fait « Atronach » devait signifié « élémentaire » car la créatures, non la flamme en fait, ne mouvait que par le feu et la flamme, sa vie ne semblé n'être que explosion et brulure. Son corps était assez incertain du fait que les flammes dansait sans cesse et ces yeux de flamme ne cessait de me regardais avec un regard de braise si je puis dire...
L'invocation s'étant, pour l'instant, bien passée je me préparer physiquement et moralement a entrer
dans la dernière salle des antiques ruines d'Ald Sotha. L'élémentaire de feu se tenait derrière moi, je sentais son souffle très chaud derrière ma nuque. J'eus alors une brillante idée, j'allais faire entrer l'atronach dans la salle et moi je resterai derrière la porte, ainsi ma vie serai moi en danger que si je précipité dans la bataille a corps perdu. J'ouvris précipitamment la porte et pousser l'élémentaire a l'intérieur, les 60 secondes passai vite (duré du sort imparti) et je n'avais pas envie de gaspiller un parchemin pour rien. Le métal de mon gantelet fondit et me brula la main, erreur stupide de ma par d'avoir oubli se détaille : le feu sa brule, en plus ma main droite, celle qui tenait mon épée. Je poussé un cri de douleur et la Dunmer qui se tenait se tourna brusquement vers moi, ses mains s'agitant je compris qu'elle préparé une incantation, trop tard... je fut projeté en arrière sur un bonne dizaine de mettre, l'atronach compris que l'on attentais a ma vie, il commença un drôle d'incantation en mettant sa main vers le ciel, la fit redescendre vers ces pieds et lança une ENORME BOULE DE FEU. Type douloureuse si l'on est sur sa trajectoire. Et se fut la magicienne qui se trouvait sur sa trajectoire, elle eu mal et moi aussi car, étant dans le périmètre de la sphère enflammé je fut a nouveau projeté de plusieurs mettre, 10+10=20 mètre de la porte avec un sérieux mal de crane. La douleur, atroce, m'assomma net. Pendant une dizaine de minute le noir total m'embua, ce temps passé je me réveillé avec un bras carbonisé sur le ventre... Un réveille plutôt cuit je dois dire, la dunmer devait être morte, du moins je l'espere pour elle... Avançant vers la porte je découvris une jambe, et d'autre partit du corps... Elle était morte.
J'arrivai alors dans un immense grotte avec le même style de construction que dans tout le reste du temple. Je dis temple car il y avait la, posait sur un autel de pierre une immense statut d'un dieux que je ne connaissais pas, ou du moins pas encore. Il semblai chauve, portait un pagne qui lui recouvrai l'entre jambe. Il arborai une immense hache d'arme, et la pose qu'il arborais arboré fesais penser que sa hache pouvais tué le premier venu sur l'autel... Curieux et ignorant je approchais justement de l'autel en question. Et c'est la que je vis l'épée d'ébonite dont m'avait parlée la dormeuse, une lame faite dans le même matériaux que mon bouclier. Il semblerait que ce soit un matériaux d'exception, la lame était un peu moins tranchante que le tanto mais beaucoup plus Dai-Katana, une lame d'exception, mais un peu courte et beaucoup trop lourde, quoique que parfaitement équilibré, comme le bouclier. Ma nouvelle acquisition me fit complètement oublié le monde extérieur et je ne fis pas attention a l'ombre qui s'avançait vers moi, enfin, disons plutôt que elle apparaissait devant moi, et c'est seulement lorsque ma nouvelle épée devint plus sombre que je compris que quelque chose de pas normal ce passait : j'entendais deux respiration, l'une venait de moi et l'autre...
C'est a ce moment la que j'entendis un drôle de langue, la même qui servait a lire les parchemins. Une langue deadriques, signe que j'étais en très mauvaise position. Une énorme détonation suivi cette réflexion, je fus projeté vers le mur qui me faisait face a une vitesse que le corps humain n'avait jamais était prévu pour être supporté. Je m'éclatai au sens propre du terme sur le mur. Le craquement que je ressentis dans la jambe et la douleur qui s'ensuivit m'avertirent que ma jambe droite était cassé.
Je tombé sur le sol froid et rouge. Des lumières inconnu vinrent danser devant mes yeux et le temps que mes yeux s'accoutume enfin au choc je sentis des flammes dansait sur tout le long de mon corps, une douleur atroce s'en suivit et les larmes me montèrent au yeux... S'en était trop... j'allais mourir. C'est alors que je vis l'auteur de mon arrêt de mort. Une immense créature de 2 mètres de haut se tenais la, son visage, aussi rouge que les murs, avait deux cornes, ses mains était recouvertes d'une étranges armures qui semblait être dans la même matières que mes tantos elle était d'ailleurs étrangement stylisé, a la fois partout et nul par elle semblait être d'un poids incommensurable vue la façon dont l'être semblait se mouvoir. C'est alors que je me souvins de son nom : un Seigneur Drémora. La femme de l'autre pièce m'avait prévenu. Il semblait être tout sauf bon et ses yeux aussi rouge noir que les pièces de son armures ne reflété que cruauté et malveillance. Sentant mes force défaillir je lançais le Ragnard, les flammes cessèrent tout attaque, la peau se rematérialisa la ou elle avait était brulé ou coupé, ma main droite, toujours prise dans le métal fondu ne pouvait toujours pas me servir mais je me sentait mieux et c'est cela qui compté. J'enfilai aussi rapidement que je pus le bouclier sur mon bras droit et je déplacé le fourreau de la lame d'ébonite sur ma droite ainsi je pourrais attaqué avec la main gauche. Elle était certes moins forte et moins habile que la droite mais elle suffisait largement pour sauvé sa peau. Le seigneur drémora semblait, quant a lui, tout a fait a son aise. Il arborait une hache d'arme dwemer.
« _Voleur, tu a volé mon maitre, ta mort lavera l'affront que tu viens de faire ! cette voix sortit de nul par me glaça d'effroi, elle était tellement belle et semblait si perfide, un peu comme un magnifique fruit empoisonné dans lequel on mord a pleine dent.
_Je ne l'ais pas volé, de quoi parlais vous ?
_Et menteur en plus. En garde pleutre, la mort t'attend. »
Et le combat commença.
Ma mal-habilité fut vite décelé par la créature maléfiques car il attaqué toujours du coté ou je ne pouvais me défendre, son arme rebondissait toujours sur mon bouclier, parade, attaque, parade, attaque, le combat n'en finissait pas... La fatigue commencée a se faire sentir, l'un comme l'autre étions épuisait, nos coups était de plus en plus prévisible et de moins en mois efficaces et dans la salle rouge s'entrechoquaient nos deux armes, des cris, des râlement, des injures, tout fusait...
Alors que la monotonie commencé a vraiment s'installer il me surpris en attaquant a gauche, il para mon coup, entrelaça mon épée, la fit volait et dans un geste large et brutal me planta sa hache d'armes dans l'épaules. Mon sang gicla sur tout son corps : il avait touché mon artère. Je tombais a la renverse, sous le choc de l'attaque. Mon épée loin de moi et encore plus loin de mes espérance de vie s'était retrouvé de l'autre coté de la salle, la mort semblait bien s'amuser... C'est marrant comme le sang humain va bien avec les intonation de la pièce pensai-je dans un dernier hoquet de sang. C'est fous les pensais qui vous traverse l'esprit dans ce genre de cas. Le drémora se rua sur moi... Il glissa, tomba et finalement jura. Alors qu'il maugréé en se relevant je m'était rapproché de l'épée, sa garde, a quelque centimètre de mes doigts, semblait me nargué. Le Seigneur drémora se rapprocha encore en rigolant un peu moins. Il leva sa hache d'armes vers le ciel, mes doigts cherché désespérément la garde de la lame d'ébonite, il me toisa un dernière fois du regard et planta sans remord son arme dans mon poumon droit. C'est a ce moment la que j'attrapai enfin mon épée. Il s'était baissé, j'en profitais pour tranché net la liaisons entre ses pensé et ses actes. La tête roula a mes pieds et le corps sans pensé se releva, fit quelque pas et glissa dans mon sang. Dans un gros bruit de métal chauffé a blanc et d'eau chaude il disparu en cendre avant d'avoir touché le sol.
Mon état empirant de seconde en seconde il fallait vite trouvé une solutions a mon espérances de vie réduites. Le sang remplissait mes poumons et je commençais a me noyer. Dans un hoquet de douleur je me relevé et titubé vers l'autel ou j'avais aperçu une gemme magique, elle était vachement belle et donc devait valoir un bon prix. La gemme dans la poche j'utilisai un parchemins d'Intervention Divine pour me téléporté vers le soins le plus proche (le temple en fait). J'avais du mal a lire le daedrique mais la les lignes semblait dansait.
La téléportation faites je me retrouvé devant le temple de Vivec, du moins c'est ce que je crois. Je m'écroulai sur les marches du temple, le froid de la pierre me rappela le froid de la lame qui m'avait transpercée, j'entendis juste un voix féminine dire « Vite, il est blessé » et les ténèbres m'enveloppèrent.