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[H] Morrowind, Le Livre


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6 réponses à ce sujet

#1 Roi Nérévar

Roi Nérévar

    Perceval


Posté 21 novembre 2009 - 13:00

 

Présentation,

Chers amis Wiwilandais, il y a quelque temps de ca, je commencais l'histoire de Mistarat hero Rougegarde qui aller devenir Nérévarine. Aprés avoir perdu (betement) mes écris dans le train je fus fort dépité et peu enclin a recommencer mon oeuvre, 150 pages dans l'os sa fait toujours mal... Fin, bref ! Je reprends donc l'histoire a ces débuts, et je vous invites a commenter mon récit sans équivoques puisques je suis la pour sa. Et le fait de compter mes fautes d'orthographes ne changera rien.
J'ai décidé de jouer 1-2h par soir et de vous compter mes aventures le matin venue. Sauf pour le Dimanche et Lundi, jour ou je ne peut pas me connecter, mais, promis, je vous pondrais un gros récit le mardi matin.
Et maintenant place a l'art de la lettre...

Mais attention ENORME SPOILER !!!!

Morrowind, le Livre
Par Roi Nérévar

Prologue :

"Tout histoire est précédé d'une prophétie. Mais il n'y a pas d'histoire sans heros" Zurin Arctus

Pendant la fin de la troisieme de Tamriel, un ancien prisonnier, néé de parent inconnu fut envoyer en Morrowind ignorant le role qu'il allait y jouer.

Chapitre 1 : L'Elue

_"Réveillez-vous, réveillez-vous ! Aaaah, voila.Nous nous somme arrêté, je crois que ils vont nous libérer. Il faut dire que même la tempête de la nuit dernière n'a pas réussie a vous réveiller.
L'elfe noir qui se tenait devant moi m'était inconnu, nous avions du le prendre en route. L'énorme balafre qui fendait son visage témoigné de son ancien passé de bagnard et l'oeuil qui lui manquer semblait être éteins depuis plusieurs années.
_Cela fait trois jours que je dors ainsi ? lui demandais-je.
_Et oui... Mais chute, voila le garde !
_Suivais moi, ordonnât-il, c'est ici que vous décendez."
Je le suivi sans grand enthousiasme, il faut dire que la mer et moi on avait jamais vraiment était amis et que ses remous me donnais mal au cœur. Sur le pont je rencontrais un autre garde Rougegarde qui semblé amuser a ma vue."C'est ici que l'on a besoin de vous, décendais voir le garde là bas, il vous indiquera la marche à suivre".
Je ne pris même pas la peine de regarder le magnifiques paysage qui s'étendais autour de moi, jeu tord car a ma droite se tenais l'imposante cité de Vivec, en face un magnifiques volcan faisais lieu et place de centre pour l'ile.


Le garde en question me demanda de quel conrté je venais, je lui répondis que si il était assez myope pour ne pas voir ma peau brune il ferait mieux de prendre sa retraite. Peut être est-ce pour ca qu'il m'aboya dessus

J'entrais ans un bureau éclairé par quelque bougie, sur les mur des toiles montrant un assassin en pleine action faisais froid dans le dos. Un homme homme assez agé se tenait devant moi, il m'interpela :
"_Mistarat ? me demanda-t-il
_Lui même.
_Bien avant de vous libérer j'ai besoin de consigner quelque info que que seul vous pouvais me donner.
_Et de quoi s'agit-il ?"
S'en suivi une longue demi heure ou je donnais a mon interlocuteur toute les informations dont il avait besoin. Il me demanda de choisir quels était mes compétences et je lui répondis que j'éxélais dans l'art de l'épée ainsi que dans celui de l'arc, je me sentais le plus a l'aise avec une armure lourde et que je maitrisais bien la magie de Guérison et de Destruction. Le bouclier était ma parade favorites et que je maitrisé bien toute sorte d'arme (hache, lance, armure intermédiaire et armes contondantes), il fut bien surpris par ce que je venais de lui dire, me dévisagea un moment puis apposa son seau sur le papier officiel. Ensuite je devais rencontrer le Capitaine Sellus Gravius.
L'homme en question étais recouvert d'une armure de paladin, doré, cuivré elle semblé miroité a mes yeux en disant, viens me prendre, viens me cherché... Mais ma raison fut plus forte et je discuté un moment avec l'homme. J'avais apparaement recu un ordre de l'empereur mais je ne pouvais le lire... Même sil me concernés, pour en savoir davantage je devais me mettre au service d'un certain Caius Cosades.

Je sorti du bureau du capitaine pour me retrouver au cœur d'une petite bourgade, Seyda Neen. C'est un village de l'empire où on lieu les débarquement de marchandise impériale. Il est situé a la frontiere des marais du Sud de Vvarfendel. En parlant de marais, y a un gars un peu "bete" (pour rester poli) qui c'est écraser a quelque mettre de moi alors que je balader, il a fait :"AAAAAAAAAA-spraouach-aaaarrrrrgh" puis il est mort . Lorsque j'ai lu son journal, je pourrai surement le revendre un bon prix a un libraire vu la qualité du papier , je me suis rendu compte que cette imbécile avait juger bon de créé un parchemin permettant de voler. Le problème est que le sort est trop court et si on calcule mal son coup on s'écrase comme m... Bref, ce n'est pas intéressante, a par le fait que il avait une bonne lame et une chouette robe.

Je m'arrêtais a la sorti de Seyda Neen dans une base de bandit, pas sur, qui se nommé Addamasartus où je tué trois bandits, découvris trois esclave que je libéré aussitôt, trouvais trois bon objet : un Dai-Katana en acier, des jambières en fers, et un bel anneau; et puis, finalement, je m'y reposer trois heures.

Suite a sa je commencer mon voyage vers Balmora.

En route je m'arrêtais dans quelque lieux (Tombeau De la famille Andrano, Mannammu et Ulummusa) ou jetué et pillé tout ce que je rencontré en chemin.

Suite de quoi je découvris une charmante bourgade qui se nommé Pélégiade. Un homme agé et sale m'interpella : "Et toi l'aventurier va donc donc voir ailleurs si j'y suis, c*****d d'étranger". Mais il ne fut pas le seul... J'avais était mis au courant de l'accueil légendaire des Dunmers mais la... C'était vraiment fort. Il faut soudoyer les marchand pour obtenir des bons prix ! Fin bref je m'en tirai avec une toute belle armure entiere, sauf les bottes, d'acier.

Fort de mes nouvelles acquisition je me lancés vers Balmora ou m'attendais ce fameux Caius Cosades.

Fin 1er Partie.

Modifié par Roi Nérévar, 13 septembre 2010 - 17:21.


#2 Roi Nérévar

Roi Nérévar

    Perceval


Posté 24 novembre 2009 - 09:05



Deuxième partie

Après avoir marché quelque temps je me retrouvé dans ladite ville. Balmora est une ville au construction de style Hlallu (une des grandes maisons Dunmers de Morrowind, il y a en trois : Hlallu, Rédoran, Telvanni).

Et là commença la joie de tout bons aventuriers ! Après chaque rentré glorieuse : la vente et l'achat de toute sorte de chose parfois inutile, parfois utile...

Après avoir admiré la bétise financiere des marchands de la bourgade je commençais a penser a Caius Cosades, je n'avais pas envie de le voir. Cela faisais bientôt 4 ans que je recevais des ordres en prison, j'avais autres chose a faire que de m'embêter avec ce gugusse. Je décidais donc de commencer un petit voyage dans l'ile, histoire de me faire des richesse et de m'octroyer le droit a quelques belles armes. J'ai toujours adoré la pratique de la lame longue et de l'arc. L'une me permet de me sortir de situations périlleuse et l'autre me permet de les éviter. Or leur pratique est très contre verser dans un prison mais maintenant que je possédais un Dai-Katana je pouvais enfin reprendre les exercices de mon ancien maitres d'armes, en apprendre d'autre et les exercer sur les bandits ou toute créatures agressives qui se présente a ma lame. L'arc un peu moins, pour la chasse peut être...

Le problème avec le fait de faire des courses c'est que au bout d'un moment on a plus d'argent. J'avais repéré une maison de bourgeois qui semblé toujours fermé a clef. Grasse au pouvoir de la clef de la tour je pouvais tout ouvrir, enfin presque, et la s'était sur une porte de maison (le nombre de fois que je me suis évadé de prison comme ca...). Le raisonnement était simple : rentré, pillé, sortir. Je rentrais, je pillais, le hic c'est que au moment où j'allais sortir je vis étendus sur le ventre un homme en belle tenue : "Mr ? Mr ? Vous vous sentez bien ? ". La lame d'argent planté dans son torse répondis clairement a ma question : il était mort. Un juron peu racontable sorti de ma bouche... Quel merdier !!! Si je sortais de cette maison et que quelqu'un m'apercevais tout le monde rallieraient le meurtre a moi ce qui pouvez sérieusement portais préjudice a ma vie, dans un style cour terme... Il fallait sortir par le toit . Les escaliers de la maison m'amenèrent a une pièce de transition. Le cœur battant la chamade je courais vers la porte du toit. Je n'entendis les sanglot qu'au dernier moment... Ceux d'une femme... C'était peut être elle la meurtrière ? Si je la tuais puis que j'annonçais au gardes ce que j'avais fait je serait surement plus enclin a m'en sortir que si je sortais par les toit ! Je m'élançais dans un seul élan vers la porte d'une chambre. J'ouvris la porte avec fracas et criais d'une vois forte et pleine de courage : "Halte là meurtrière ! Voici ton juge ! Que le mort te soit douce !". Mais elle ne bougea pas d'un cils, toujours pleurante. Je ne pouvais me résoudre a tuer un adversaire désarmer, c'était trop de déshonneur :

_"Vas-tu te battre ? Ou préfère tu mourir en lâche ! dis-je avec tout l'accent romanesque que je pouvais y mettre.

_Je ne suis que la servante de l'homme étendus dans le salon... Sniff, que me voulez-vous? Est-ce la maitresse Hlallu qui vous envoie ? Si non laisser moi seul je vous prie."

A ces mots je la regardais bêtement et rengainais mon arme dans mon fourreau dorsale.

_"Mais... Que c'est-il passé ici ? (j'avais vraiment l'air abruti avec des pans de porte encore coincer dans mes bottes).

_Mon maitre, Ralen Hallo, était en train de jouer du luth lorsque un dunmer au cheveux rouge avec une hache dwemer a fait interruption dans la pièce, c'est jeté sur mon maitre et la terrassé d'un coup de dague. Sniff, je n'aie rien pus faire... Sniff, sniff. L'assassin ma regardé un moment puis c'est enfui.

_Alors je vous vengerais ! Je trouverais l'assassin de votre maitre, soyez-en sur !"

Sur ce je sauté hors du toit de la maison, m'explosé la cheville sur le sol dallé de Balmora et partais dans la direction du Manoir Hlallu : il me fallait plus de précision sur l'affaire. Une femme âgée me reçu et me confirma le meurtre, elle était même prête a payer si justice était rendu. Après cette entrevue j'allais au dehors, je fis toute les auberges et tavernes de Balmora. C'est au Club du Conseil que j'eus enfin une information. Un dunmer se tenait a l'entré, il vendait tout sorte de chose et ses cheveux, rouges sang, correspondais parfaitement a la description donné. Je m'approchais de l'homme en question :

_"Bonsoir visiteur que puis-je faire pour vous ? me dit-il dans un sourire radieux.

_Connaissiez-vous Rallen Halo ? Un dunmer mort. La description de l'assassin correspond en tout point a la votre.

_Simple coïncidences. Il y a beaucoup d'homme avec des cheveux rouge par ici. Pour l'information l'on raconte que c'est Neuf-Orteils l'assassin, et son sourire radieux ne disparu pas a ma plus grandes exaspération.

Je ressortis de l'auberge convaincu de la culpabilité du dunmer. Je me rendis tout de même chez Neufs-Orteils car il avait le bénéfice du doute mais j'étais quand même un peu énervé : la porte pâtit de mon fulgurant pied.

_"Neuf-Orteils, assassin, je t'attends, viens te battre si tu en a le courage ! hurlais-je dans la maisonnée.

_Sa va, sa va. Passss la peine de geuler aussi fortssss. J'arrive, dit un petit être tapis dans la pénombre."

Ma stupeur fut a son comble lorsque je découvris un Argonien, sorte de lézard doué d'intelligence.

_"Mais qui êtes-vous ?

_Neufs-Orteils, sang-chaud. Vu votre intrussssion j'imagine que vous avez du entendre parlé desssss rumeurs qui coure aux sujet de mon présumé assasssssina. Si vous êtes asssssez au courant de l'affaire vous devez savoir que, du fait de ma ssssseul racccce, je suis entièrement innoççççant.

_Euh... Oui... Pardonnez-mois je vous pris. Je m'en retourne au véritable assassin."

J'allais partir lorsque l'Argonien m'interpella :

_"Au fait, sssssans-écailles, Caius Cosadesssss vous attends toujours.

_Comment le savez vous ?

_Je vous en possssse des quesssstion ?

_Non pourquoi ?

_Alors faitessss en autant, dit-il en claquant la porte de sa maison."

J'étais TRES ENERVE... Je me rendis aussitôt au Club du Conseil, le dunmer y était toujours :

_Vous m'avez menti ! Et maintenant vous allez mourrir : battez-vous !

_Plait-il ?

_Neufs-Orteils était un Argonien, la description parle d'un dunmer au cheveux rouge ! Vous êtes le seul dans tout Balmora qui correspondez de plus seul vous portais cette arme dwemer et l'armure d'ossement vous accuse sans distinction !

_Il y a surement erreur, je vous le répètes : l'assassin est Neufs-Ort...

Il avait fait tombé la goutte d'eaux qui fait déborder l'amphore, je n'en pouvez plus, tant pis pour les conséquences. D'un geste large et souple je sortais ma lame de son fourreau, fendais l'air d'un coup sec, un gicle de sang tapissa le mur et la la tête du dunmer se détacha de son corps. Je la rattrapais avant quels n'atteigne le sol. Le corps sans vie de l'assassin tomba a genoux puis s'écroula dans un bruit : il était mort.

Les membres du club avait surement tout entendus car ils montèrent tous. Le sang sur mon Dai-Katana d'acier et la tete de mon adversaire dans la main montrait parfaitement ce qui venait de ce passer. Bizarrement aucun d'eux ne m'attaqua, peut être est-ce là la cause de ce regard si particulier qui m'anime lorsque je suis en colère, un colère sourde et violente. Je sortais de cette auberges dans un état second, marchais au milieu de Balmora, tête dans la main. Les badaud accourait derrière mais je ne les voyait pas. Je me dirigeais vers la maison de Ralen Halo, entré dans la demeure, toujours lame en main je défonçais la porte de la chambre de la servante :

_Est-ce là la tete du criminel ? demandais-je haut et fort.

_ HIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!

_EST-CE LÀ LA TÊTE DE L'ASSASSIN ? redemandais-je, plus fort cette fois ci.

_Euh... Oui.

Je l'attrapais sans faire plus de cérémonie et la conduisait en face, dans le Manoir Hllalu. Un attroupement c'était formé devant la maison mais les gens s'écartèrent prudemment de mon passage. Un garde eu quand même le courage de s'avancer :

_Euh... Mr, vous étés accusé de... meurtre, vous préférez payez ou...

_PLUS TARD !!! répondis-je exaspéré.

_Très bien, très bien, ça peu... attendre.

Je m'avançais vers la maitresse du manoir : lançais la tête du meurtrier vers la bonne femme :

_Voici la servante qui attestera du fait qu'il s'agit de l'assassin de Ralen Halo. J'exige d'être payer !

_Bien voici votre du, mais je vous en pris calmez-vous.

Et je reçu 1000 drakes, somme plus qu'importante. Lorsque je ressorti, la lame dans le fourreau les gardes retrouvèrent soudain courage, m'encerclèrent et l'un deux posa une lame nu et froide sur mon cou :

_"Vous avez été reconnu coupable de meurtre enver la personne de... comment il s'appelle déjà ?... On s'en fout ! Soit vous payez soit vous allé en prison soit vous vous battez, ainsi le veut la loi des Tribuns".

_Je paye..."et je restitué toute la somme que j'avais gagné au garde.

_Cela suffit-il ? demandais-je

_Oui Mistarat, vous etes libre.

Après avoir passé la nuit chez Dame Nature (je préfère le calme naturel a la continuelle agitation d'une auberge) je m'en retourné a Balmora. Je décidais de retourné voir Niléno Dorvayn, la maitresse Hlallu pour connaitre les dessous de cette affaire et ce qui avez bien pus provoqué une telle folie. Alors que j'allais en parler a la vielle femme, elle me reconnu, me hélas et me dit : "J'ai appris ce matin que vous aviez tués le meurtrier de Ralen Halo, voici donc la somme qui vous reviens de droit". Et elle me redonna les 1000 drakes . Un peu étonné je la dévisageais un moment :

_Et bien quoi, qu'il y a-t-il ? demanda-t-elle.

_Vous m'avez déjà donné cette somme hier Madame. Je ne puis l'accepté a nouveaux, par contre j'étais venu quérir des information sur Ralen Hlaalo (il était temps que je me souvienne de son véritables nom), en fait je...

_Vous me prenais pour une folle ? Je me souviens parfaitement de ce que je fais et vous prie, que dis-je, ordonne d'accepté cette somme !

_Euh, Oui d'accord. Merci quand même .Au revoir.

_Au revoir impertinent ! Mais pourquoi étiez vous venu ? Vous êtes qui d'ailleurs ? Veuillez sortir !

Je compris immédiatement le problème en question et me sauvais précipitamment. La pauvre femme perdais la tête et personne n'osait lui avouer, un simple sortilège de vie cérébrale suffirait mais cela, je m'en souciais guère, 1000po a dépenser... Quels somme ! Comment allais-je la dépenser ?

Il y avait un endroit ou je voulais absolument allé, une serie de haute construction que j'avais aperçu lors de mon arrivé a Seyda Niin, on m'avait dis que ces constructions s'appelaient "Vivec"...

Fin Deuxième Partie.


Modifié par redolegna, 24 novembre 2009 - 11:56.


#3 Roi Nérévar

Roi Nérévar

    Perceval


Posté 27 novembre 2009 - 10:58

Troisième Partie :

  

Lorsque j'étais arrivé a Seyda Niin j'avais aperçu une sorte de grosse blatte, me demandant a quoi cela pouvait bien servir j'en avait rapidement fait abstraction au profit d'un magicien qui volait mal, ensuite a Balmora j'avais vue le même insecte, d'à peu prés 8 m de haut sur 5 de large, cette charmante créatures semblé être le moyen de locomotion local. Comme je n'avais pas envie d'utiliser mes pieds pour me rendre a Vivec je décidais d'utiliser ce moyen peu orthodoxe.

  

Pour y accéder on doit monté un haut promontoire qui permet d'arrivé a hauteur de l'animal, là un homme (souvent un dunmer en fait) vous propose une suite de destination a certain prix, souvent peu élevé. Je demandé a mon "cornac" de n'emmener a Vivec, il aquiesa d'un signe de tête et me proposa de "monter a bord" si je puis dire car en fait on s'assoie dans le corps de l'animal dans le sens propre du terme. On pourrai penser l'endroit humide mais pas du tout, c'est a la fois dur et chaud, un peu comme du grès au Soleil. Le guide m'appris que les Échassier de Marais, le nom local du gros insecte, était un herbivore primitif qui naquis de la main supposé d'un mage un peu bête et qui voulait se déplacer plus vite que a cheval. Il avait eu alors l'idée de faire grossir une blatte commune de marais en pensant que il pourrait monté sur son dos. Bien sur cela ne marcha pas mais l'espèce proliféra sur toute la surface de Vvarfendell et un jour un caravanier eu l'idée de placé des sortes de manette au niveau du système nerveux de la bestiole pour pouvoir la commander. Le système fut un succé puis plus tard on se rendit compte que le dos de ces créatures était creusable puisqu'il n'y avait aucun organe vitaux en dessous. On fit donc des sièges pour les passagé et ainsi le commerce de ces créatures devint chose courante, et l'animal est si  gros qu'il peut nourrir une famille entière pendant un an, a condition de savoir conserver la viande, bien sur. Les tribus Dunmers reculée les utilises comme demeure car leur carapace est très isolante. Suite a des éruptions volcanique l'espèce entière fut exterminé par les laves. Maintenant il n'en reste que deux ou trois qui font les voyages pour les marchandises et les voyageurs. Lorsque je lui demandais pourquoi il ne les fessaient pas se reproduire il me répondit que tout ces animaux sont immortel, que aucune maladie ne peut les atteindre, seul les hommes pouvaient les tuer et ces créatures furent protégé par Vivec  avec un sort impressionnant qui empêche toute attaque, si elle commençait a ce reproduire c'était tout l'avenir de Tamriel qui ce joué. Lorsque je luis demandé qui était ce « Vivec » il me regarda un moment : « Touriste ! », puis recommença a actionner ces manettes.

  

La beauté du paysage fut saisissante, les pas de l'échassier était si espacés que j'avais l'impression que nous avancions par petit bon de 10 m. Au loin je distingué les immense bâtiment qui m'avait déjà étonné à Seyda Niin, de plus il semblait y en avoir plusieurs. Comme je n'avais jamais vu de si haute construction depuis mon arrivé j'en conclu que cela devait être le capitale. Nous marchions sur le chemin que j'avais emprunté auparavant pour me rendre à Balmora. Il n'y a que d'en haut que on peut distinguer la beauté du paysage environnant. La mer c'est incurvée dans le bras crée par la ville de Vivec et a ainsi fait naitre un lac salé, puis elle c'est retirée. Sa dimension va de la  fin de  la Faille de l'Ouest jusqu'à Pélégiad. Il y a alors un chemin qui permet de traversé le promontoire entre la Mer et le lac on peut ainsi rejoindre l'autre coté de la cote.

  

La somme que je possédais me permis de faire pas mal d'achat, en autre pas mal de flèche, un bon arc d'ossement qui avait l'air bien meurtrier et  surtout un casque absolument magnifique, ciselais comme des ailes, en argent impérial. Comme j'avais aussi vendu pas mal d'article il me rester pas mal de drakes. Je décidais de flâner un peu en me baladant dans le capitale. J'en profité pour harceler les gardes sur ce lieu et ainsi j'appris deux trois petite chose intéressante.

  

Vivec est en fait le nom de l'un des trois Dieux ou Tribuns de Morrowind, Il y a Vivec, Almalexia et Sotha Sil. Chaqu'un possède sa ville. Almalexia est a Lonsanglot, capitale de Vvarfendel et Vivec est a Vivec ce que Sotha Sil leurs villes éponymes. Vivec est divisé en canton qui sont eux même séparé en trois étages : égout, marchand et finalement le somment de la bâtisse. Il y a un canton par chaque Grandes Maisons soit  trois, un canton pour les étranger, où se mêle commerce, boutique et Guilde(avant que Morrowind ne devienne province de l'empire, seul le canton étranger était autoriser pour tous et le reste de la ville était inaccessible), deux canton résidentiels : St Olms et St Delyn, puis il y a le canton du temple surmonté par une sorte de Lune artificiel où sont emprisonné les hérétiques (un autre nom pour ennemis du pouvoir...) et finalement il y a le palais résidentiels de Vivec qui est complètement inaccessible, sauf si il veut vous rencontrer ce qui est chose rare. Ah ! Et j'allais oublié l'Arène lieux où tout le monde peut ce battre mutuellement et ce, dans la meilleur des bonnes humeurs.

  

Il y a un système de déplacement par barques qui n'est pas cher mais qui ne dessert pas tout les constructions. Je l'utilisait pour me rendre dans le Quartiers Hlaalu, sans motif particuliers juste parce que je cherché un enchanteur, pour en chanté un anneau avec un pouvoir de Intervention Divine, cela me permettrais de revenir en ville rapidement pour pouvoir éviter les longues marches du retour. Et c'est justement dans le Quartiers Haalu que j'en trouvais un. C'était un homme âgé, un Nordiques assurément, il portais une robe verte, du style vieux mais propre et encore utilisable. Je rentrais dans la boutique :

_Bonsoir enchanteur je cherche a enchanter un objet, comment dois-je mis prendre ? lui demandais-je.

_ « Bonjour jeune homme, il vous faut trois chose : l'objet que vous voulez enchanté, une âme et une certaine somme d'argent pour réunir les deux et crée un artéfact magique.

_Une ame ?

_Sa provenance n'a aucune importance, évité quand même les êtres doué intelligence, mais plus la créatures et plus elle aura de la puissance.  

_Et pour enchanté cet anneau en Intervention divine ?

_Cela doit faire 12000 drakes, a peu prés.

_Mais c'est excessivement cher !

_Non pas vraiment, c'est même peu pour un enchantement. »

  

Un peu dégouté par mes 300 drakes j'allais repartir lorsque je me dis que peut être cet enchanteur possédé des parchemins de sort, sorte de papier a usage unique qui permet de lancer un sort sans pertes de magie.

_Vous avez quoi en parchemins ?

_O un peu de tout, j'en ais d'Intervention Divine si ca vous intéresse, j'ais aussi des sorts de destruction, appels de Sainte Doré...

_Sainte Doré ? Qu'est-ce que c'est ?

_Vous êtes nouveau ici vous... Les Saintes Dorés sont des serviteurs de Shéoghorat, le dieu daedriques de la folie.

_Je croyais que il n'y avait que Trois Dieux ici ? Un quatrième ?

_Oh non, ca n'a rien  a voir. Il y a les trois Tribuns, qui sont en fait les anciens généraux de Nérévar et les dieux Daedriques qui sont les créateurs de se monde. Je n'ais envie de tout vous raconté, allé demandé a un libraire un livre sur le sujet.

_A... Bon d'accord. Je vais vous prendre les Interventions Divines et la Sainte Doré.

_Ca fait 400 drakes s'il vous plait.

_J'ai aussi des objets magiques si sa vous intéresse.

_Je suis preneur ! »

  

Après 1h de marchandage je parvins enfin a estriqué au viel homme tout les parchemins que je voulais acheter. Une idée me vint alors, une idée qui s 'avéra être la pire des idiotie que je n'avais jamais commise : « Si je peux invoquer une Sainte Doré, peut être puis-je lui prendre son âme, c'est a tenter. ». Aussitôt penser, aussitôt appliquer, je me préparé a lancé le sort d'invocation et lorsque le vendeur me vit me mettre en place il fut un peu en colères :

_ « Qu'est ce que vous faites ? Arrêtez immédiatement !

_Je veux juste invoqué la Sainte Doré et capturé son âme.

_Imbéciles, il vous faut la tué et je n'ais pas envie d'y passer aussi !

_Et alors ? Caché vous si vous avez peur !, elle ne doit pas être bien méchante cette Sainte Doré, disons que le premier des deux qui est mort réserve un place dans l'Arhétius pour l'autre.

_Je ne veux pas mourir moi...

_Cessai de gémir, je dois me concentrer. »

  

Je posais mes mains sur le parchemins et y vit une drôle d'inscription : « VOIS ET ADMIRE » ce qui, bien sur, ne voulais absolument rien dire pour moi. L'enchanteur c'était caché sous sa table et semblé terrorisé par la scène en cours en grelotant sous son bureau.

_ « Euh Comment je fais en fait ?

_Et vous croyez que je vais vous le dire ?

_Écouté je vous en prie, je veut juste capturer son âme, je gère entièrement la situation, je suis bien armé, bien protégé, tout va bien ce passé.

_C'est bien ca qui m'inquiète... Vous étés nullement capable de combattre cette créature, arrête sa.

_Je vous est acheté ces parchemins, vous êtes obligé de me dire comment il fonctionne !

_Par l'ALMSILVI je vais y passé... Il faut que vous lisiez la phrase qui est inscrite sur le parchemins, la c'est écris : Vois et Admire.  

_Mais ca n'a rien a voir !  

_Là n'est pas la question, ce qui compte c'est que les mots soit lu pour activer le parchemins ».

  

Je me préparer un moment mentalement puis je lu la phrase écrite sur le parchemins : « Vois et Admire » dis-je dans un accent qui ne voulez rien dire mais même si ca ne sonné pas ca semblé avoir activé le bout de papier qui ce changea en cendre sous mes doigts.  

  

Dans un bruit de sussions apparut une silhouette de femme, et soudain elle apparut entièrement. J'étais stupéfé, une femme a la peau et armure doré se tenait devant moi, son casque possédé deux ailes et sa beauté et aussi grande que cruelle, elle portait au coté un fourreau que je n'avais jamais vu, tout vert avec des éclats. Je lancais aussitôt le sort d'Avale-gemme de Fphygis ce qui eu un sacré effet de surprise sur la Sainte Doré qui me regarda un moment et dit :

_ « QUE PUIS-JE POUR VOUS MAITRE ?, ce qui ne voulez rien dire pour moi

_Crever sa te dit ? Répondis-je dans le plus grande ignorance

_QUOI ?




Sans en attendre d'avantage je saisissais ma lame d'acier, la fessais glisser de son fourreau et frapper entre l'épaule et le cou dans un mouvement de haut vers le bas en diagonal. Il se passa deux chose, la première ne correspond a rien car ma lame la traversa de part en part sans rencontré la moindre résistance ce qui posais un léger ennui : elle n'était pas de ce monde donc les matériaux « normal » ne pouvez la toucher, la deuxième fut que la sainte doré compris que j'attentais a sa vie et sorti alors l'une des plus belle chose qu'il m'est était donné de voir : une épée en émeraude, elle m'attaqua aussitôt, le coup fut portait a mon épaule et je n'eus le temps d'esquivé, la lame pénétra mon armure comme du beurre et sectionna un parti de mon bras, le sang gicla et toute la pièce fut maculé de ce sang, mon sang. Alors je compris que seul le Ragner, sorte de pouvoir, pouvait me sauvé. Ce sort, ancestral, permet a nous les Rougegardes de nous transformé en guerriers redoutables, la force, la volonté, tout est décuplé pour nous permettre de libérer un formidable énergie. Je sorti mon arbalète et tirai trois carreau entre les deux yeux de la créatures qui plus agiles, les para de sont bouclier. Je tirai pratiquement tout ma réserve de flèche sur elle, car elles était en argent ce qui pouvez semble-il blessai ce genre de créatures. Dans une ultime lutte, elle se jeta sur moi, je tombé en arrière et vit une arme verte se dirigé très rapidement sur mon ventre, je ne pus l'évité et dans un cri horrible je senti la lame pénétré mes chairs, la douleurs était indescriptible elle fut si forte que dans un réflexe de crispation je tirai un carreau, la saint doré poussa elle aussi un cri de douleur, le carreau l'avait atteinte. Il me fallait vite un lame, qu'importe, quelque chose pour l 'achevé, dans notre chute nous avions défoncé la porte de la chambre de l'enchanteur, sur une étagère il y avait tout sorte d'objet, flèche, couteau mais surtout une dague, dans le même matériaux que la lame de la guerrière. Je la pris sans hésité et la planté dans son dos, elle poussa un nouveau cri , plus déchirant cette fois si, quelque chose d'horrible a vous percer les tympans et le cœur puis elle disparu...

  

L'âme fut belle et bien capturé dans l'amulette, ma blessure perdait énormément de sang, je bus une potion de vie et en déposait quelque goutte sur la plaie qui se referma d'un seul coup. Le viel homme c'était évanouie. J'en profité pour lui piqué sa dague, qui a mon avis valait un sacré prix, j'attachais le fourreau a ma cheville, en cas de besoin puis j'entrepris de soigner le vieil homme. Je le déposais sur son lit, prononcés quelque sort et le laisser se reposer.

  

Fin 3ieme Partie

Modifié par redolegna, 27 novembre 2009 - 11:49.
Pas de signature dans les fils [H]


#4 Roi Nérévar

Roi Nérévar

    Perceval


Posté 29 décembre 2009 - 16:03

4ième Partie




(cette partie est dédié a  marmotte milka  qui ma redonné envie d'écrire, spécial dédicaces)

  

   Ma cuirasse d'acier et mon épaulières gauche ne valais plus rien, l'une avait un gros trou qui n'offrait aucune protection sauf a l'honneur, la deuxième était trop entaillé pour une quelconque protection. Mes combats devenant de plus en plus violent il me fallait une meilleurs protection.

  C'est a Caldera que je trouvé mon bonheur : une armure, enfin la cuirasse, « d'argent de garde du duc ».C'est une cuirasse en argent finement ciselais qui offre une bien meilleurs protection que l'acier, hélas je ne trouvé aucune épaulières dans le même matériaux.  




Pour en revenir a Caldéra c'est une ville de colonie de l'Empire. Le château de Caldéra abrite une garnison de soldat qui servent de renfort en cas d'attaque de la cote ouest. Ils sont bête, ignare mais très respectueux de la loi : 50 drakes pour avoir fracturé 10 portes. Il est vrai que j'étais un peu fauché mais bon... Dans mes différentes pérégrination je trouvé un manoir, le manoir Ghorak, un lieu étranges ou vivait cinq orque. Très aimable sauf qu'il faut arrivé a comprendre ce qu'ils disent une sorte de « MghffgsGrognakpascontangrphmsfpasvouloirparlétoi », fin bref. J'y rencontrais une drôle de créature, Rampant, un espèce de petit lutin avec de grande oreilles qui pousse des cris strident. Lorsque je questionné un des occupant orque sur « Rampant » il me répondit :« Pasconnaitre le moche animalss lui ici, lui resté » (très instructif d'ailleurs)... Rampant était en fait un marchand qui acheté « Tout » (de la babioles a la magnifique robe enchanté en passant par les armes). Tout les jours il avait 5000 drakes a offrir a des vendeurs, une véritable pépite après tout ce que j'avais galéré avec les marchands, a vendre de très bon objet a des prix minables... ou  contre des flèches...




  Rampant était très courtois, assez « féodales » je dois dire. A la fois calculateur et toujours embrouiller dans ces compte. Son apparences corporel était du a un mauvais sort d 'après lui. Comme son commerce était trop lucratif un sorcier le métamorphosa en galopins, créatures qui, selon ces dires, sont les serviteurs de Boethia, le dieu daedriques de la guerre. Je n'avais rien a lui vendre mais lui promis que si j'avais quelque chose d'intéressant je m'adresserais d'abord a lui.




Je me ravitaillé en flèche, carreau et autre sort, anneau (invisibilité, rappel qui est très efficaces lorsqu'on ne possède pas le sort de marque, boule de feu) et aussi trois magnifiques robes, l'une était bleu avec des inscriptions en daedriques qui permettent de protégé son porteur, une rouge-or simplement belle mais très criardes et finalement une mauve enchanté. Après tout ces achat je repartie vers Vivec car j'avais aperçu au loin une ruines rouge sang qui m'avais fort intrigués.




Le voyage se passa sous une pluie battante qui caché tout les alentour, c'est donc les vêtement complètement trempé que je rentré a nouveau dans la grande cité de Vivec. Comme le soir arrivé je décidé d'aller me reposé dans une auberge, celle du Cercle de la nation elfique. Je pris un verre avec un elfe du nom de Nalasa, un dunmer. J'en profitais pour en connaître un peu plus sur son peuple :




_ «  Oh vous savez, pratiquement tout les dunmers sont racistes même envers les membres de leurs même espèce. Tout ce qui n'est pas née chez eux ne mérites considération et encore je ne parle pas de l'esclavage des « sous-être » comme ils les appellent.

_Sous-êtres ? Qu'est-ce que cela signifie ? Et si je me souviens bien vous êtes encore la seul provinces a pratiqué l'esclavage ?  

_Les sous-être sont les races des Argonien, des Kajhiites , enfin , d'après les intégristes. Et oui nous somme encore la seul provinces a pratiqués l'esclavages. Hélas...

_Ah aussi je n'aie vue aucun enfant. Est-ce normal ?

_Le fléau a rendu homme et femme stériles, le pire des  effets de ce poison a mon avis. Les enfants restant sont soit partit, soit mort, soit devenue adulte... C'est une bien triste époque que nous vivons la... Et dire qu'il y en a qui croit au retour du Nérévarine.

_Nérévarine... est-ce une façon de désigné Nérévar ? (Je l'avais lu dans un livre quelque temps auparavant).

_En quelque sorte, en fait ca ce nom désigne sa réincarnation. Mais je suis étonné que un Rougegarde soit aussi cultivé sur notre histoire.  

_Oh je suis juste un aventurier curieux de la contrées que je visite, c'est tout ».




Après avoir discuté quelque minute nous nous quittâmes. La nuit ce passa très bien même si quelque moustiques un peu zélé furent assez sot pour s'approchaient de moi. Le lendemain tout le monde s'enfuyait en me voyant croyant que j'avais attrapés un maladie inconnu tellement j'étaie recouverts de boutons. Un sort de charme eu vite fait d'arranger sa mais je n'en possédé pas. Je passait donc tout la journée avec un copain pas sympa nommé démangeaisons inopportune (toujours au mauvais endroit en plus).




Après avoir pris le repas de midi / petit déjeuner (je suis un peu flémar le matin) j'enfilais toute les pièces de mon armure, passait anneau et collier utile autour de mes doigt et de mon cou et finalement revêtais la robe mauve. Ainsi bardé je ressemblais a un grand seigneur parti combattre a la guerre. Je réparé mon Daï-katana, aiguisé sa lame, rafistolé mon arc et me mis en marche vers les étranges ruines...




10 minute plus tard j'étaie devant, elle sont situé a l'est de Vivec, face a la mer. De prés sa ressemble plus a un enchevêtrement abscons plutôt qu'a une ancienne ville. La pierre, ou du moins les blocs de pierre qui avait servit a construire cette édifices était d'un rouge sang, l'on avait presque l'impression que les murs dégouliner de ce liquide rouge. Le soir arrivant donnait a cette macabre construction des air de lieu maléfique ou seul les fous irresponsable s'aventure... Maintenant que j'y repense il est vrai que j'étais vraiment stupide rentré dedans, enfin presque.  




J'arrivai devant une porte très stylisé,je croi qu'il y était inscrit  « Ald Sotha », il y avait aussi  une sorte de grosse araignée posé sur sa toile gravé dans la pierre. Je mis un certain temps a trouver un moyen d'ouverture, je compris finalement qu'il fallait poser sa main sur l'araignée et dire « Ouvre Toi » (3h plus tard en fait). Dans un grave bruit de pierre contre pierre les « toiles » de l'araignée se séparèrent et s'ouvrir, un peu a la façon d'une fleur.




Je descendais quelque marche avant de me retrouvé devant un premier choix : a droite ou a gauche. Je prix  droite, comme j'entendais des voies au loin je bandé mon arc d'ossement avec une flèche d'argent, il faut dire que le Sainte doré m'avais laissé un cuisant souvenir en forme rectangulaire au milieu du ventre a cause d'une erreur de jugement de matériaux donc je me méfiais . L'arc prêt a tiré je descendais prudemment les marches une a une dans un silence personnel a entendre mon propre cœur battre les seconde. J'aperçus enfin une salle qui fessai a peu prés 15 mètre sur 20. Un homme se tenais la, de dos. Une entière armure d'ossement lui recouvrais le corps. Et c'est la que mon esprit chevaleresque prit le dessus... Je ne voulais pas tuer un innocent, même si le lieu était peu recommandable vue la teinte des murs. Il semblais parlais tout seul... Je ne savais que faire... Tirer et risqué d'ôter le vie a un civil ou faire du bien au bon coté des chose de ce monde. Le dilemme trop compliqué me fis avoir une idée : hélé ledit sujet. Je le sifflet brièvement, l'homme me vis et dis « A mort chien ! ». Je n'avais pas besoin de plus de commentaire pour me faire une idée des intentions de mon ennemi. Je décoché une flèche, l'homme évita le projectile en se décalant d'un bon que même la vivacité de mes yeux n'avait pus suivre et une femme apparu, non par magie, je ne l'avais simplement pas vue derrière le gaillard. Le flèche grise se planta net dans l'omoplate de la femme qui poussa un cris des douleur. L'homme la regarda s'effondrer puis se retourna vers moi. Il dégaina une épée d'acier et dans un hurlement sauvage se rua sur moi, je dégainé mon dai-katana juste a temps pour contré son attaque, le bruit lame contre lame émis un hurlement strident, la démence de mon adversaire était clairement montré par la bave qui sortait de sa bouche... Il poussait de toute ses force pour me faire tombé et ainsi m'achevai. Je me laissé tombé, dégainer la dague de verre attaché a mon pied et la planté d'un geste sec et brutale dans la poitrine de l'homme.  Le sang gicla dans tout les sens autour de moi... il était mort.  




La femme se releva, s'arracha le projectile de son épaule et se rua a elle aussi sur moi. Les murs de la salle rouge retentir a nouveau de cette étrange vacarme qu'est celui de la haine meurtrière, des bruits de tintement de lame, des cris, des râlement, des injures, du sang qui gicle et finalement la mort qui s'invite... elle était morte.  




Je fessais tournoyé mon arme, la nettoyant du sang qui en coulait puis la rangeais dans son fourreau dorsal. Les deux combat m'avait considérablement meurtri et les deux potions de soins que je bus ne furent pas assez puissante pour me rafistoler entièrement. Je ramassais mon arc et me dirigé vers la salle opposé, celle de gauche.  




Seul deux torche éclairèrent ma lente marche, les parti mes armures s'entrechoquant tué sans ménagement le silence environnant qui pesait tout de meme sur ma peur. Je revis a nouveau l'escalier s'étendre devant mes pieds, sombre et lugubre, un peu comme les marches qui mène a une tombe pensai-je en souriant. Je dégainer a nouveau mon arc et encoché une nouvelle flèche. J'arrivais dans la même salle que la précédente a la différences prés que il n'y avait qu'une femme a l'intérieur. Elle portais un étrange bouclier, noir et or, de forme circulaire avec une garde au sommet. Elle était aussi de dos... Au diable les élans chevaleresque pensai-je, je ne vais pas a nouveau sauvegardé mon honneur au risque de perdre ma vie et je tiré ma flèche. A tout ceux qui lise ces lignes je voudrais vous parler du mots « miracles » car c'est ce qu'il c'est passé : un miracle. Elle s'est retourné d'un bon et a paré le trait avec son bouclier et c'est même pas que la flèche c'est planté dedans, non non non, elle a ricoché dessus. Je n'avais jamais vue pareil réflexe ni pareil défense. D'ailleurs, en parlant de défense, elle n'en portait aucune autre. Elle simplement vêtu, une femme nordique apparemment. Elle explosa de rire en voyant mon visage déconfit par sa prouesse : « Alors Rougegarde ? On a peur de la Mort ? Hahaha, viens donc te mesuré a moi au corps a corps au lieu de perdre inutilement des flèches ». Son habilité au combat était certainement plus élevé que moi mais je n'allais surement pas reculé, je fit appelle au Ragnard et c'est dans un hurlement de guerrier Rougegarde que je me rué vers mon adversaire. Je ressorti mon épée de son fourreau et la brandissait au dessus de moi pour avoir plus de force. J'avais prévu le coup suivant : mettre toute ma force dans le premier coup qui serait surement paré puis, lorsqu'elle serait déséquilibré par la violence du choque, lui tranché la carotide. Je frappé vite et fort sur le bouclier qu'elle brandissait mais il eu un imprévue, deux en fait : ma lame c'est brisé sur l'épaisse défense et la nordique est tombé, en arrière, n'hésitant pas l'ombre d'un instant je planté le reste de mon défunt dai-katana d'acier dans le cœur sans protection de la demoiselle. Elle mourut sur le coup sans douleur, du moins je l'espère.  




J'avais maintenant un magnifique bouclier a ma disposition, apparemment très solide et très lourd mais parfaitement équilibré. Cette équilibre et cette beauté me fessais fortement penser a un grand objet de valeur vu que je n'avais jamais rien vu de semblable durant ma vie. A la joie de cette magnifique défense vint s'ajouter le tristesse d'avoir perdu une lame de bonne qualité. Je m'entrepris de déposais ici les fragments de mon épée, un peu en signe de respect et d'hommage à cette si bonne compagne.




Il fallait absolument que je me repose, histoire de me guérir un peu. Il existe sur Tamriel une sorte de « sommeil magique » qui permet a toute personne de se réparer physiquement et moralement de sorte que, même après une sérieuse blessure, on peut tout guérir. Il y a tout de même un hic : lors de se sommeil spécial on est très vulnérable car on ne peut se réveillé ni bouger, ainsi si quelqu'un ou quelque chose vous veut du mal il ou elle n'a qu'a vous tués, vous ne pourrai rien faire. Ainsi certain magicien mette un protection magique autour d'eux pour évité que leurs sommeil bienfaiteur ne se transforme en sommeil éternel. La période de repos est défini par notre endurance.  




Après trois bonne heure je m'éveillai de mon lit de fortune posé a même le sol pour me préparer a continué mon exploration. Je n'avais aucune épée valable de se nom autour de moi, seul mon arc d'ossement valait encore le coup mais il était déjà ébréché et fêlé a plusieurs endroit... Ainsi seule la dague de verre pouvait me sauvé la vie dans cette endroit maudit. Je remis mon armure d'argent, mes jambières d'acier et les bottes qui complète. Épaulières, bracelet et casque finir d'achevé ma protection. Finalement empoignée le beaux bouclier noir et or que j'avais récemment acquis. Ainsi bardé je repris ma descente vers les profondeurs.




J'arrivais a une autre salle ou un autre femme était de dos. Elle se tenait devant un autel ou était posais toute sorte de chose, coffre bijou, or, drakes, et j'en passe, il avait même un crane avec une arme rouge planté dedans. J'encochais ma flèches, visais et décoché mon trait. La flèche se planta dans un bruit mat dans la tète de l'elfe qui s'écroula comme un poupée sans fil. Je me jetais sans autre considération, vers le trésor que j'avais vue, je pris tout ce que je voyais, un tantôt était planté dans un crane où deux pièce antique fessais office d'yeux. L'arme, d'un rouge noir me rappelé étrangement les mur qui m'entourai,  son tranchant était exceptionnel, je crois qu'elle aurait pu coupé un cheveu dans le sens de la longueur, son poids aussi était exceptionnel, aussi lourd que mon dai-katana. Je n'avais jamais vue pareil travail, a la fois ciselais et grossier c'était surement une des plus belles lame que je n'avais jamais vue. Le manche était incrustait de quatre pierre rouge, d'une beauté envoutante et maudite a la fois. La garde était faite de deux croc qui entourait une tête de dragon et de la gueule de la bête sortait la lame du tanto, une flamme y était même dessinée dans la même pierre que les joyaux incrustait dans le manche.  J'avais déjà était fortement étonné par ma dague mais la je dois avoué que les bras m'en tombais.  




La guerrière en avait une elle aussi, je me remercier personnellement de l'avoir tué de façon aussi lâche car si elle m'avais attaqué avec cette épée j'aurais surement trépassé. L'honneur ou la vie, il faut choisir... Je rangeais les deux tantos a mes chevilles, sauf que au moment de marché je fut durement rappelé a la loi de la gravité, il est vrai que avec 6 kilos accroché a chaque pied, on a un peut plus de mal a marché et encore plus de mal a courir, j'accrochai donc les deux lames sur mes flanc de façon a me garantir un utilisation rapide et sure. Comme mon bouclier m'aurais vraiment trop encombré dans cette situation je me l'attaché dans le dos contre le carquois. Ainsi paré je ressemblé plus a un assassin qu'a un guerrier mais mes plaque d'acier ne permettaient que peut d'agilité.




Je me dirigé vers la salle qui fessais face a celle où je me trouvé. Une femme d'age mur semblé dormir, je n'était pas en position de force sans mon Dai-katana mais je décidé quand même de la réveillé car il y avait une porte au milieu des deux salles rouges et je me demandais quelles ennemi pouvais bien m'y attendre. Je m'approchai le plus discrètement de la femme et au moment où j'étais a porté je me jetai sur elle, posais la lame nu de mon tanto sur son coup.




« _Réveillez-vous, allez !  

_Mais qui êtes-vous ? Non ! Ne me tuez pas. Son regard terrorisé vérifié la véracité de ses dires et ces yeux ne lâché pas la lame rouge.

_Je ne vous tuerez pas, restez tranquilles !

_Alors que voulez vous de moi ?

_Qu'y a t-il derrière cette porte la bas ? »




Alors elle me raconta tout, il y avait un Seigneur Drémora, être que je ne connaissais pas ainsi que une grande sorcière quelle nomma Llandrale Varam. Elle m'appris que une épée d'ébonite se trouvé sur l'autel du lieu si j'étai en danger. Je lui répondis sèchement que je pouvais très bien me débrouiller.

Je dégainer mes deux couteau devant la porte froide et rouge des souterrains de Ald Sotha. Je pris aussi un parchemins d'appel d'atronache de feu, créatures qui m'étais totalement inconnu, mais qui semblé être d'une grande utilité puisque je l'avais trouvé devant le premier autel. Comme je ne connaissais pas encore bien le daedriques (la langue inscrite sur le parchemins pour l'activé) je répété ce que m'avais dis l'enchanteur. Apparu alors une immense bete de feu, de  flamme et de fer.  Un etre incroyable, sans yeux se tenais la devant moi... En fait « Atronach » devait signifié « élémentaire » car la créatures, non la flamme en fait, ne mouvait que par le feu et la flamme, sa vie ne semblé n'être que explosion et brulure. Son corps était assez incertain du fait que les flammes dansait sans cesse et ces yeux de flamme ne cessait de me regardais avec un regard de braise si je puis dire...  




L'invocation s'étant, pour l'instant, bien passée je me préparer physiquement et moralement a entrer  

dans la dernière salle des antiques ruines d'Ald Sotha. L'élémentaire de feu se tenait derrière moi, je sentais son souffle très chaud derrière ma nuque. J'eus alors une brillante idée, j'allais faire entrer l'atronach dans la salle et moi je resterai derrière la porte, ainsi ma vie serai moi en danger que si je précipité dans la bataille a corps perdu. J'ouvris précipitamment la porte et pousser l'élémentaire a l'intérieur, les 60 secondes passai vite (duré du sort imparti) et je n'avais pas envie de gaspiller un parchemin pour rien. Le métal de mon gantelet fondit et me brula la main, erreur stupide de ma par d'avoir oubli se détaille : le feu sa brule, en plus ma main droite, celle qui tenait mon épée. Je poussé un cri de douleur et la Dunmer qui se tenait se tourna brusquement vers moi, ses mains s'agitant je compris qu'elle préparé une incantation, trop tard... je fut projeté en arrière sur un bonne dizaine de mettre, l'atronach compris que l'on attentais a ma vie, il commença un drôle d'incantation en mettant sa main vers le ciel, la fit redescendre vers ces pieds et lança une ENORME BOULE DE FEU. Type douloureuse si l'on est sur sa trajectoire.  Et se fut la magicienne qui se trouvait sur sa trajectoire, elle eu mal et moi aussi car, étant dans le périmètre de la sphère enflammé je fut a nouveau projeté de plusieurs mettre, 10+10=20 mètre de la porte avec un sérieux mal de crane. La douleur, atroce, m'assomma net. Pendant une dizaine de minute le noir total m'embua, ce temps passé je me réveillé avec un bras carbonisé sur le ventre... Un réveille plutôt cuit je dois dire, la dunmer devait être morte, du moins je l'espere pour elle... Avançant vers la porte je découvris une jambe, et d'autre partit du corps... Elle était morte.




J'arrivai alors dans un immense grotte avec le même style de construction que dans tout le reste du temple. Je dis temple car il y avait la, posait sur un autel de pierre une immense statut d'un dieux que je ne connaissais pas, ou du moins pas encore. Il semblai chauve, portait un pagne qui lui recouvrai l'entre jambe. Il arborai une immense hache d'arme, et la pose qu'il arborais arboré fesais penser que sa hache pouvais tué le premier venu sur l'autel... Curieux et ignorant je approchais justement de l'autel en question. Et c'est la que je vis l'épée d'ébonite dont m'avait parlée la dormeuse,  une lame faite dans le même matériaux que mon bouclier. Il semblerait que ce soit un matériaux d'exception, la lame était  un peu moins tranchante que le tanto mais beaucoup plus Dai-Katana, une lame d'exception, mais un peu courte et beaucoup trop lourde, quoique que parfaitement équilibré, comme le bouclier. Ma nouvelle acquisition me fit complètement oublié le monde extérieur et je ne fis pas attention a l'ombre qui s'avançait vers moi, enfin, disons plutôt que elle apparaissait  devant moi, et c'est seulement lorsque ma nouvelle épée devint plus sombre que je compris que quelque chose de pas normal ce passait : j'entendais deux respiration, l'une venait de moi et l'autre...




C'est a ce moment la que j'entendis un drôle de langue, la même qui servait a lire les parchemins. Une langue deadriques, signe que j'étais en très mauvaise position. Une énorme détonation suivi cette réflexion, je fus projeté vers le mur qui me faisait face a une vitesse que le corps humain n'avait jamais était prévu pour être supporté. Je m'éclatai au sens propre du terme sur le mur. Le craquement que je ressentis dans la jambe et la douleur qui s'ensuivit m'avertirent que ma jambe droite était cassé.

    Je tombé sur le sol froid et rouge. Des lumières inconnu vinrent danser devant mes yeux et le temps que mes yeux s'accoutume enfin au choc je sentis des flammes dansait sur tout le long de mon corps, une douleur atroce s'en suivit et les larmes me montèrent au yeux... S'en était trop... j'allais mourir. C'est alors que je vis l'auteur de mon arrêt de mort. Une immense créature de 2 mètres de haut se tenais la, son visage, aussi rouge que les murs, avait deux cornes, ses mains était recouvertes d'une étranges armures qui semblait être dans la même matières que mes tantos elle était d'ailleurs étrangement stylisé, a la fois partout et nul par elle semblait être d'un poids incommensurable vue la façon dont l'être semblait se mouvoir. C'est alors que je me souvins de son nom : un Seigneur Drémora. La femme de l'autre pièce m'avait prévenu. Il semblait être tout sauf bon et ses yeux aussi rouge noir que les pièces de son armures ne reflété que cruauté et malveillance. Sentant mes force défaillir je lançais le Ragnard, les flammes cessèrent tout attaque, la peau se  rematérialisa la ou elle avait était brulé ou coupé, ma main droite, toujours prise dans le métal fondu ne pouvait toujours pas me servir mais je me sentait mieux et c'est cela qui compté. J'enfilai aussi rapidement que je pus le bouclier sur mon bras droit et je déplacé le fourreau de la lame d'ébonite sur ma droite ainsi je pourrais attaqué avec la main gauche. Elle était certes moins forte et moins habile que la droite mais elle suffisait largement pour sauvé sa peau. Le seigneur drémora semblait, quant a lui, tout a fait a son aise. Il arborait une hache d'arme dwemer.  




« _Voleur, tu a volé mon maitre, ta mort lavera l'affront que tu viens de faire ! cette voix sortit de nul par me glaça d'effroi, elle était tellement belle et semblait si perfide, un peu comme un magnifique fruit empoisonné dans lequel on mord a pleine dent.

_Je ne l'ais pas volé, de quoi parlais vous ?

_Et menteur en plus. En garde pleutre, la mort t'attend. »




Et le combat commença.  




Ma mal-habilité fut vite décelé par la créature maléfiques car il attaqué toujours du coté ou je ne pouvais me défendre,  son arme rebondissait toujours sur mon bouclier, parade, attaque, parade, attaque, le combat n'en finissait pas... La fatigue commencée a se faire sentir, l'un comme l'autre étions épuisait, nos coups était de plus en plus prévisible et de moins en mois efficaces et dans la salle rouge s'entrechoquaient nos deux armes, des cris, des râlement, des injures, tout fusait...

Alors que la monotonie commencé a vraiment s'installer il me surpris en attaquant a gauche, il para mon coup, entrelaça mon épée, la fit volait et dans un geste large et brutal me planta sa hache d'armes dans l'épaules. Mon sang gicla sur tout son corps : il avait touché mon artère. Je tombais a la renverse, sous le choc de l'attaque. Mon épée loin de moi et encore plus loin de mes espérance de vie s'était retrouvé de l'autre coté de la salle, la mort semblait bien s'amuser... C'est marrant comme le sang humain va bien avec les intonation de la pièce pensai-je dans un dernier hoquet de sang. C'est fous les pensais qui vous traverse l'esprit dans ce genre de cas. Le drémora se rua sur moi... Il glissa, tomba et finalement jura. Alors qu'il maugréé en se relevant je m'était rapproché de l'épée, sa garde, a quelque centimètre de mes doigts, semblait me nargué. Le Seigneur drémora se rapprocha encore en rigolant un peu moins. Il leva sa hache d'armes vers le ciel, mes doigts cherché désespérément la garde de la lame d'ébonite, il me toisa un dernière fois du regard et planta sans remord son arme dans mon poumon droit. C'est a ce moment la que j'attrapai enfin mon épée. Il s'était baissé, j'en profitais pour tranché net la liaisons entre ses pensé et ses actes. La tête roula a mes pieds et le corps sans pensé se releva, fit quelque pas et glissa dans mon sang. Dans un gros bruit de métal chauffé a blanc et d'eau chaude il disparu en cendre avant d'avoir touché le sol.  




Mon état empirant de seconde en seconde il fallait vite trouvé une solutions a mon espérances de vie réduites. Le sang remplissait mes poumons et je commençais a me noyer. Dans un hoquet de douleur je me relevé et titubé vers l'autel ou j'avais aperçu une gemme magique, elle était vachement belle et donc devait valoir un bon prix. La gemme dans la poche j'utilisai un parchemins d'Intervention Divine pour me téléporté vers le soins le plus proche (le temple en fait). J'avais du mal a lire le daedrique mais la les lignes semblait dansait.

   La téléportation faites je me retrouvé devant le temple de Vivec, du moins c'est ce que je crois. Je m'écroulai sur les marches du temple, le froid de la pierre me rappela le froid de la lame qui m'avait transpercée, j'entendis juste un voix féminine dire « Vite, il est blessé » et les ténèbres m'enveloppèrent.

#5 Roi Nérévar

Roi Nérévar

    Perceval


Posté 01 mai 2010 - 16:04

Partie 5 Chap 1 l'Elue.




(Cette partie est dédicacé a Kira qui ma permis de pouvoir apprécié mes musiques en jouant a Morrowind)




Je m'éveillais faible mais guéri, la hache d'arme m'avais laissé un sanglant souvenir et le fait que je soit encore en vie m'étonna. Mon seul souvenir, la seul image qui me resté de ce mauvais périple était le visage plein de haine du drémora. La pièce ou on m'avais logé était une chambre de temple. Ma main était a nouveau entierement biologiques et mon poumon semblé fonctionait a merveilles. Il semblait que ce fut les pretre du temple de Vivec qui m'avait soigné. Posais sur un meuble de bois sombre, telle une épée sacré, ma derniere aquisition troner. Le bouclier et mes pieces d'armure avait était soigneusement poli, néttoyé, graisser et réparé. L'immense balafre métalic que je devais avoir sur la partie arriere de la cuirasse avait disparu, un travail de maitre... Mais je n'en su pas plus sur mes hotes, un garde indoril me pria de bien vouloir quitter les lieux puisque je n'était pas le seul blessés.




Je repris l'échassier des marais pour me rendre a Balmora et de la je parti a pied vers Caldéra histoire de vendre tout ce que j'avais récupéré. Un éclaireur kwama eu le malheur de s'approché un peu trop de moi et il devint mon diner, j'ai toujours préféré dormir a la belle étoiles, les auberges c'est bon pour se faire voler et, deplus, le ciel était déjà clairsemé de nombreuse étoile.




La nuit se passa bien et mon sommeil fut réparateur. Je me remis en marche vers la cité et c'est sous le soleil levant que je la découvris, les pierres de Caldéra reflété toute les nuances de l'astre, la fraicheur matinal fessais briller les dalles au sol et l'entré avec deux tours me fessais pensais a ce que raconté les anciennes légendes : Aréthius. L'aubergistes vidé ses déchets dans la rue, le forgeron, un nordique avec un tatouage sur la figure, battait l'acier sur l'enclume, un garde me dis bonjour et je lui répondis poliment. Il est vrai qu'aprés une tel épopé des descriptions comme celle si peuvent paraître un peu niaise mais je dois vous avouez que le retour a la civilisation me fis un bien fous, a Balmora je n'avais vue personne mais ici j'assistais a la naissance d'une petite bourgade et les odeurs qui l'accompagne, les arômes, les fleurs... Mon extase fut vite arête par une citadine qui m'appris que, a part le fait que je sois heureux, il fallait qu'elle passe. La vielle femme passa devant moi en maugréant que « elle s'en passerait bien de ces foutu aventurier qui sont aussi polie que des crabes de vases ».




Aprés avoir contemplé la cité il fallait que je contemple « monnétairement » ce que j'avais trouvais et comme Rampant semblé très content de mes acquisitions il me paya un fort bon prix. Il m'appris que les tantos rouge-sang était dans un métal très spécial et très cher : le daedriques ; d'après lui c'était les drémora qui avait mis au point cette facon de faconnais leur armes, il sacrifié l'un deux afin d'en extraire le sang, il fesais en meme temp chauffé de l'ébonite...

_ « Qu'est-ce que l'ébonite ? demandais-je.

_ C'est un métal qui est concu grace une pierre : l'ébene, un peu comme le verre a pars que ce dernier est fondu a partir du minerai de verre. L'ébonite est a la fois lourde et tranchante, plus encore que le verre, l'épée et le bouclier que vous porté sont dans ce matériaux (je commencais a comprendre pourquoi mon Dai-Katana d'acier c'était brisé). Ainsi l'ébonite et le sang son mélangé ce qui la rend encore plus tranchante, dure et souple a la fois, elle prend aussi cette couleur rouge ensuite les armes sont stylisé . »




J'étais pétrifié d'horruer, commen pouvais t'on a ce point aimé le mal et la guerre au point de sacrifié l'un de ses congénère ? La lame rouge tomba de mes mains et se planta comme dans du beurre dans le planché. Rampant la ramassa.




« _ Moi, comme vous le savez je ne peut vous l'acheté pour plus de 5000 et comme je vois que vous aussi pas de truc de valeur a mon avis il va vous falloir attendre 4 jour.

_Sa me vas très bien répondis-je prés a tout pour me débarassé de l'objet.

_Vous savez que ce genre de truc est unique sur la terre de Morrowind ? A ce prix la vous vous faites arnaqué ! Moi sa m'arange mais j'aurais peur de vous laisé.

_Azura en soit loué, arnaqué moi, sur ce coup la, sa me dérange pas .




Vue le temp qu 'il allait falloir a Rampant je décidais de partir en « aventure » histoire de pas trop m'ennnuyé. J'acheté quelque potion, quelque parchemin et me mis en route. Je voulais un peu découvrir le pays, d'autre ville et paysage que Caldéra, Balmora ou Vivec. C'est a Vivec que je trouvé mon bonheur : une embarcation qui faisait le trajet entre Vivec et une ville qui m'était totalement inconnu, Tel Branora.

  Un trajet sympathique, il pleuvait tout le temp et le capitaine jurer a chaque goutte mais se fut un moyen d'apprendre la plupart des insultes de Morrowind (inécrivible ici). La pluie s'arretta en meme temp que mon voyage ce qui eu le don de m'énervé passivement mais le jeu en valait la chandelle. Je découvrit une cité des plus étrange ou une espece d'immense champignion servait d'habitation a toute une populasse, une beauté époustouflante, couleur et forme harmonieuse se draissait sur un Soleil couchant. La ville, posait sur un ilot de 1km², semblé etre un château de sable. On voyait parfaitement Vivec à l'Ouest elle aussi resplendissait. Je voulait absolument découvrir cette cité, je payé une chambre a l'auberges du coin et m'assoupit rapidement.




  Le lendemain matin je m'évaiyais tardivement en bailliant, un plateau d'œuf de kwama et de chair de crabe attendais mon appétit, vraiment les gens d'ici savait etre accueillant. Je m'habilliait en chantant et sorti de l'auberge, je demandais a l'aubergiste si je pouvais laissé mes affaires chez lui ce qu'il m'accorda en rigolant.




  Oh toi petit matin

Oh toi Soleil levant

Devant vous je me lève en baillant

Et j'espere une jolie...




« Je ne veut pas connaître la suite ! » Un garde me surpris en plein élant de composition improvisé. Je me tut honteusement, quand meme une petite chanson na jamais fait de mal a quelqu'un...




  Je voulu me laver mais la ville ne possédait pas ce genre de service, la mer ferais bien l'affaire. Au dehors de la bourgade il y avait un Tombeau, la porte d'entré indiqué en lettre d'or « Tombeau Ancestral des Arano » mais je n'avais pas envie de profanais ce lieu pour trois piece d'or et deux babioles. Je me remis donc en marche vers l'océan et aprés une petite colline peuplé d'arbre et de crabe des vases je vis ce derniers. Il semblait me dire « Viens te baignait tu à l'air si sale » et le sable chaud disait « Repose toi, prend ton temp, il fait beau, je suis chaud, la vue est belle, viens t'allonger ». Je me déshabillais et me jeté avec joie dans l'eau salé.

  Au bout d'une heure de planche et de flemmardise intense, alors que je me tourné sous l'eau j'apercu, a quelque mettre une porte de tombeau, meme style que le précédent, a part que les lettres doré, veillit par le temp, n'apparaissait plus suele un parti de l'inscription était encore visible « tral Béran ». Je remontait pensif... Si le tombeau était caché cela devait signifié que il y avait d'important trésor dedans, une famille riche ne prendrait pas le risque de laisser une pareille oportunité aau voleur, non décidemment il fallait que j'y rentre, déjà que le fait de l'avoir découvert relevais du miracle je n'allais pas en plus laisser passer une telle occasion.

  Je couru a moitié nue jusqu'à Tel Branora, sautais dans ma chambre et récupérais quelque potion, mon bouclier, mon arc, des fleches et mon épée d'ébonite. Le garde qui m'avait déjà surpris a chanté une chanson lubrique fut encore plus déconcerté. Je sauté a nouveau dans l'eau, le poids de l'épée et du bouclier m'entrainèrent mais je réussi quand même a rentré dans la catacombes.

  

  Un froid glacial m'assayis soudain un peu comme si on avait soufflé tout chaleur. Seule de maigre chandelle semblait combattre l'obscurité ambiante et les murmures d'outre-tombe venait autour de moi, tel des esprits froid en quetes de chaleur vivante... Un galopin m'attendais là, il me bondit dessus ce qui eu l'effet pour moi d'une apparition très rapide. J'eus a peine le temps de dresser mon bouclier que la créautres c'était déjà jetai sur moi en poussant des cris affreusement aigu. Mais il avait etre très rapide il n'en était pas moin petit, il se faufilla dans mon dos avant que j'eus le temps de comprendre quoique ce soit, m'attrapa la tete. La seule chose que je fit pour évité qu'il me torde le cou (au sens littéral du therme) c'est de lui tombait dessus, et il avait beau etre fort, il fut quand meme sensible à mon poids. Immobilisait au sol par la gravitait l'animal se débattait avec violence, je me retourné brusquement sur moi meme et lui pointait l'épée large sous le menton : « Si tu bouge t'est mort ! » la créature semblait avoir compris ce que je disais, elle ne bougeait plus en me regardant avec ses petits yeux noirs. Alors je me détendit, grave erreur ! Elle voulu saisir mon épée, pour la retourné contre moi maiS je fut plus rapide et lui rentrai d'un geste brusque la lame sous le menton. Le galopin convulsa un moment, puis dans un cri terrible mourut.

  

  Je n'avais absolument pas envie de recommençais la même expérience, ce genre de tuerie gratuite c'était pas vraiment mon fort mais l'époque où je vivais et le métier que je pratiqué m'y obligait un peu. J'encochais une fleche d'argent et me mis a explorer le niveau. Une porte, fermé par la rouille, semblé m'indiqué de faire demi-tour. Je défoncé cette derniere a coup d'épée. Non mais ! Et aprés avoir défracté une deuxième porte j'arrivé sur un pont qui enjambé un chemin de lave surement sorti d'un quelconque couloir de lave (pour les ignorants Vvarfendel est une ile volcanique). Une chaleur soudaine me pris au visage et la fumé me fit tousser. J'apercu une silhouette derrière le rocher, rouge la silhouette un peu comme... l'atronache de Feu que j'avais lancé sur cette sorciere a Ald Sotha. Autant le fait de d'en avoir eu un pour allié m'avait déjà bien amoché, qu'est ce que sa devait etre en ennemi, je n'oser l'imaginer. Il fallait agire vite, calmement surtout, la surprise serait mon atout. Mon arc et ma fleche, toujour dans mes mains était bien en place, je n'avait meme pas a bouger... Lentement je me déplacer sur la gauche pour mieux voir la créature, a nul moment je n'eu l'idée d'arrété la l'exploration et de retourné vers ma plage, l'appât du gain surement, du moins j'aime a me le répété car sinon les gens pense que je suis fou. La corde de mon arc d'ossement se tira dans un léger bruit de craquement, calmement je levai l'arc, surtout ne pas faire de bruit, puis, dans un chuintement léger, la fleche disparu dans la fumé en direction de la silhouette rouge... Un leger effet aérodynamique accompagna sa trajectoire et la fumé se dissipa un cour instant ce qui fit que je me retrouvé nez a nez avec le daedras... Un face a face enflammé je dois dire... Ma fleche d'argent, belle dans sa position (c'est une affaire de goût après tout) se tenait au milieu de son... torse... si on peut considéré que ce genre de truc a un torse. La créature semblé peu enjoué a ma vue et la fleche semblé l'avoir bléssé, un liquide, un peu comme du fer en fusion, coulait de son cœur. Son visage, très sombre exprimer une colère dont je n'avait jamais vue, ni songé a voir un jour. Sa haine me fit palir... Mais c'est sans un grognement qu'il se mis a charger vers moi, je n'eus pas le temps de saisir mon bouclier ce qui me sauva la vie, il me lanca dans la piece avec un force que je ne connais chez aucun mortel. Le vol, long, se termina brutalement sur les dalles d'une grande salle et sur le dos, le bouclier, très bien placé, crissa dans une gerbe d'étincelle. La créatures se jeta sur moi dans un grognement. Son extrême vivacité mon cloua sur place, je n'est eu pas le temps de réagir, il m'attrapa au cou (j'ai encore la marque de la brulure) :







« _Meure petit mortel insignifiant »

_ Pardon ?! »




  Je voulais bien être insulté, bafoué, trahi mais la... Une poussé d'adrénaline, d'énervement et de rage poussa en moi, non le ragnard, quelque chose de plus primaire. J'attrapai a mon tour le cou de l'atronach (« Douleurland, bonjour que puis-je faire pour vous ? Voulez vous un ticket ? Non merci je passe juste quelque minute et aprés je m'évanouis), ma main, pour la deuxième fois complétement brulée. Les larmes douleurs me vinrent aux yeux mais l'atronach semblé bien s'amusé. Je réussi finalement a me libéré aprés avoir poussé comme un fou sur mes pieds pour me dépêtrer. J'attrapé mon épée a la volé et asséné a mon adversaire un coup avec toute la force qui me resté, je le touché au bras, « Raaaah ne vas-tu jamais mourir ? » ignorant ces insultes je le laissé titubé dans la salle et en profité pour récupéré mon bouclier qui n'avait gardé aucune trace du vol. J'en profité pour soigné ma main et mon cou avec une des potions qu'il me resté. La créature se retourna vers moi, son regard me fixa avec une tel intensité que je ne puis m'en soustraire aprés quelque minute a nous fixé ainsi dans un silence de mort il s'élança vers, moi aussi, je vis qu'il prépaé un sort de boule de feu et soudain ce fus le choc, dans un gerbe d'étincelle, de feu et de sang nous nous percutâmes... Avec mon boulier je fis pivots autour de son corps et plantais mon épée dans son flan. Elle devint aussitôt brulante et intouchable, le la ressorti précipitamment dans un bruit de vapeur. Le monstre tomba a genou, se tenant le coté, il essaya de dire quelque chose mais je ne lui laissé pas le temp de finir et tranché net son cou ou du moins ce qu'il devait l'être. Une gerbe de fer ou de pierre fondu explosa dans toute la pièce, l'atronach de feu s'écroula sans vie a mes pieds.




  Aprés avoir vaincu mon adversaire je regardé enfin la piece ouy je me trouvé. C'était une grotte avec un escaliers de style hlaalu, en pierre de sable, qui montait vers un autel de mort, endroit où l'on met les cendres de toute la famille pour qu'il reste uni dans la mort et là, posé prestement, se tenait majestuesement une épée de verre, une vrai ! Sa longue lame était faite de verre et la garde était aussi en verre mais il semblé avoir était mélangé avec un autre métal. L'émerveillement qui devait ce lire sur mon visage était bien contrasté avec le combat que je venais de mener. Elle était tellement lisse que, malqré le manque de lumiere ambiante je voyé quand meme mon visage noir se reflété dedans. Le fourreau posé a coté était aussi en verre, une inscription dessus indiquait « Lame enchanté de Béran », enchanté de quoi ? Il n'y avait aucune trace d'un quelconque enchantement, pourtant elle luisant comme le font les objets magique. J'empoignais l'arme et le fourreau, elle était bien plus légere que mon épée large d'ébonite et bien plus tranchante, il n'y avait pas a cherché, ce serait ma nouvelle lame.




  Je me reposais quelque instant au pied de l'escaliers et aprés avoir regardé chaque couture de l'arme je me remis en marche. Lorsque soudain j'entendis une voie :




« _Hum, hum.

_ Qui va la ? Montrer-vous !

_Je croit que je vais avoir du mal a me montrer jeune homme.

_ Dans ce cas que voulez-vous ?

_L'objet que tu porte nous appartient, rend-nous le ou soit maudit a jamais.

_ Mais qui etes vous ?

_ Je suis Andrus Béran, patriarche de la famille...

_... des Béran, et bien messieur j'en suis fort désolé mais je suis sur que cette arme me sera plus utile a moi qu'a vous.

_ Comment ose tu jeune fou. Cette arme est vielle de 200 ans, tu ne peut la prendre ainsi, a ta guise.

_ Oh si je le peux, et je vous le prouve en partant. Non mais c'est pas un petit tas de cendres magiques qui va me faire peur !

_ Tu n'a pas l'air de savoir ce que signifie le mot « maudit »...

_ Je n'ai pas peur de vos menaces, si j'ai réussi a avoir cette épée je la garde.

_ Tu n'a pas l'air de te rendre compte de la paersonne qui te parle, c'est moi qui est invoqué cette Atronach, je suis un des plus grand sorcier de mon époque alors ne soit pas insultant je te pris !

_Bon écouté je propose un échange : je vous laisse mon épée d'ébonite et je récupère la lame de verre, quant pensez-vous ?

_Sa me va, plante l'épée dans nos cendre, c'est de ces lameS que nous tirons notre souffle de vie.




  Je m'éxécuté sans bronché et planté l'épée large dans la fente qu'avait laissé la lame de verre. Aprés ces entrefaits je retourné a Tel Branora.
"Il n'y a pas d'histoire sans héros".

#6 Roi Nérévar

Roi Nérévar

    Perceval


Posté 17 mai 2010 - 15:23

Partie 6 chap 1 : l'élue




(N. d. A. : j'ai ici décris le passage de niveau, dite mois ce que vous en penser sur le sujet de commentaire, merci)




  La découverte de l'épée de verres magique m'émerveillai a chaque fois que je la regardé, sa finesse, sa légèreté sons tranchant... Tout était parfait. Et même si plus tard je découvrirai d'autre arme plus puissante j'ai toujours gardé cette lame a mes cotés. Elle était presque comme une élongation de mon bras... Une parfaite acquisition pensais-je en baladant sur les rives de l'ile de Tel Branora. J'avais déjà massacré 15 arbuste, 2 rat et trois braillard des falaises (charognard volant).




  J'avais aperçu au Nord une ruines daedriques depuis la cote et aprés un sort de ragnard (il permet de courir plus vite), quelque poisson et quelque braillard je me retrouvé face a l'édifice. Comme le précédent la pierre ocre sombre avais toujours cette air ténébreux. L'unique accé était gardé par un galopin qui me semblait etre plutot hostile. Discrètement j'encochai un flèche, mon arc d'ossement près a tiré crisser sous le bruit de la corde. La fleche alla se planter a 3m du galopin qui eu l'air surpris et trés énerver et si mit a pousser des petit cris strident. Il s'élanca vers moi sans la moindre appréhension ce qui lui valus un coup brutal entre les deux omoplate lorsqu'il passa devant moi. Il s'éfronda sans vie a mes pieds.




  Plus loin la porte avec toujours la meme araignée indiqué "Zaintiraris" écris en lettre rouge. Un peu énervé par le meme mécanisme d'ouverture j'entrai avec précipitation dans le sanctuaire ce qui eu pour effet de me faire tombé, roulé dans les escaliers, et me retrouvé au pied d'un colosse nordique qui semblé tout autant étonné de me voir que moi. Ne lui laissant pas le temp de terjiversé sur mon cas je le frappé sous la ceinture (oui je sais c'est bas), il s'écroula dans un cris. Mais je n'avais pas vue une magicienne derrière mon dos qui m'envoya une boule de foudre, la douleur, immense me cloua au sol. Cette mégère s'approcha de moi en rigolant pendant que je toussé du sang, elle m'avait bien touché : "Alors l'aventurier ? On veut joué au héros ? Tu n'en a meme pas l'envergure". Elle soigna le nordique pendant que j'essayais désespérément de bougé un membre mais rien ne répondais."Tien je te laisse lança t-elle au guerrier qui semblait bien amusé de me voir en si fâcheuse position. Et comme si cela ne suffisais pas a mon calvaire une troisième personne apparut de dérriere un mur, une orc avec une armure d'ossement et une grosse hache. De quoi faire une priere pensais-je.




  La magicienne une haut-Elfe s'approcha de moi pour m'otter l'arme que je tenais dans ma main au meme moment je ressenti a nouveau mes pieds et vue que je pouvais les bougées j'était a nouveau opérationnel. Une information dont je fis point par a l'elfe qui s'approcha de moi sans crainte :




_"Eh Tunenegore fait gaffe il est pas encore mort, lui lanca le nordique.

_T'inquiète ca fait souvent ca lorsque qu'il recoive une trop forte décharge, ils peuvent plus bouger pendant un certain temp".




  C'était le moment d'attaqué, je me redresser d'un coup et avec mon bouclier je la frappé a la tete, elle était encore retourné vers le guerrier en armure et le coup la fis se retourné vers moi mon épée l'attendais et elle s'empala dessus : "L'aventurier il vous emmerde !"lui répondis-je lorsque qu'elle lanca le dernier regard de sa vie sur mon épée planté au millieu de son thorax. "Tunengore ! L'enfoiré il la tué !" Le guerrier fous de rage se rua sur moi, me plaqua au sol tandis qu'avec son autre main il sorti sa lame de son fourreau, une lame de verre. Alors qu'il s'apprêtait a me la mettre entre les deux yeux j'attrapais ma dague et la lui plantais dans le dos. Il lacha sa lame de douleur et roula sur le coté en se tortiyant comme un vers il essayait désespérément de s'arracher la dague du dos mais n'y parvenais pas. A peine m'étais-je relevais que l'orc se jeta sur moi, mon bouclier et sa hache d'argent se rencontrairent avec la meme violence, elle fut désarmer :"Ne bouge plus, je préfère éviter les bains de sang alors par et ne te retourne pas si tu souhaite survivre sinon je n'hésiterai pas". Je n'ai eu qu'un grand sourire comme réponse. Soudain il y eu un reflet différent dans ces yeux, par réflexe je me jetais sur la droite, une femme en armure de fer avec une hache en argent frappa alors l'orc avec une force que j'avais rarement vue. L'orc perdit la tete... Elle vola au milieu de la piece en m'arrosant de sang. La femme qui venait juste de la terrasser était une petite elfe des bois. Elle eu l'air agars quelque seconde, j'allais la remercier lorsqu'elle hurla :"Burzob... NOOON !". Je compris l'horrible scene, elle voulait sauvé son ami et j'avais éviter le coup lui faisant ainsi commettre l'irréparable. Prudent je ressorti ma lame de son fourreau et menacé l'elfe :




"_Je ne vous veux pas de mal et tout celui que vous avez du faire a bien du etre compensé par le meurtre de votre propre main de votre ami, je vous laisse une chance de partir alors veuillez la saisir, j'ai fais coulé assez de sang pour aujourd'hui, je vous en prie, partez !

_Tu a raison Rougegarde, je vais partir . Ce que nous avons fait ici est impardonnable et finalement j'ai bien fait de tuer Burzob, quel est ton nom que je puisse dire a tout le monde quel justicié tu fait ? elle semblait si triste que je ne pus m'empêchais de ressentir de la pitié a l'égard de cette petite femme.

_Je me nomme Mistarat et ne recherche pas le gloire, je te demande simplement de repartir loin d'ici, refais ta vie."




  Sur mes mots elle lâcha la hache de l'orc et enleva une a une ces plaques d'acier puis elle se revetit d'une robe simple avant de quitter les lieux.




  La piece était maculé de sang, elle était assez grande, avec une immense statue au milieu, celle d'un vieux messieurs avec une barbe et une canne. Devant lui, posé sur un autel, ce dresser un pichet, un chandelier et une roche que je ne connaissait pas. La dernière expérience que j'avais eu d'objet voler dans ce genre d'endroit m'empecha de toucher au différent artefact poser la, il ne valait surement pas de se retrouver devant un seigneur Daedrique.




  Aprés avoir fait disparaitre les corps (il suffit de lancé dessus un faible sort mineur de feu pour qu'il disparaisse), aprés avoir graisser et réparer mon armure ainsi que mon épée et aprés avoir vider le contenue des coffres qui se trouver derriere la statue (quelque parchemin, potion) je me reposer un peu, les différent combat et le sort de foudre m'avait sérieusement affaiblie et j'avais sérieusement besoin de soin, un petit repos magique ferait l'affaire. Je récupérais la lame du guerrier nordique que je pourrais surement revendre un bon prix et me mis en route vers Balmora car il était temp que je rencontre Caius Cosades.




  Je repris le bateau puis, a Vivec, l'Echassier des marais. Je me dirigé vers Balmora lorsque j'apercu au loin et a nouveau le plus haut des monts de Morrowind, entouré d'une sorte de muraille bleu clair. Etonné et intéréssé je demandé au conducteur quelque renseignement :




"_ Dites-moi mon brave, comment ce rend-t-on sur le mont la-bas ?

_Il faut ce rendre à Ald'rhun puis vers la Porte des Ames, c'est la seule voie possible. Mais vous savez cet endroit est maudit, personne ne s'y rend a par les fous de l'empire qui recherche de l'ébonite. Sinon vous pouvez aussi y attrapé des maladies du Fléau, vous faire tuer ou encore capturé par des Réveurs...

_Des Rêveurs ?

_Des espèces de taré qui vénèrent la Sixieme Maison, celle des Dagoths. Mon cousin a déjà passé la frontière de la Porte des Ames, il n'en est jamais revenu. N'y aller pas et c'est un bon conseil.

_Je vais quand meme me rendre a Ald'rhun, lui rétorquais-je.

_Comme vous voulez, dit-il tout haut, pauvre con ! ajouta-t'il entre ces dents".




  Aprés avoir passé Balmora sur la crête ouest nous arrivâmes a Ald'rhun. Je n'avais rien vue de tel, une grande bourgade, deux tours en sable dur se dresser au devant de la ville, un immense dôme recouvrai la moitié de la surface de la ville quelque temps plus tard j'apprendrai qu'il s'agissait de la carapace d'un crabe géant venu mourir ici, qu'il avait ensuite était évidé puis habité. Le style général était simple et robuste, tous semblai aérodynamique par leur forme, le vent qui soufflé ici semblé expliqué en bonne partie cette étrange configuration. Sans cherché a en savoir plus je me mis en marche vers la Porte des Âmes et aprés un quart d'heure de marche je l'appercu enfin (je passe sous silence les quelques douzaine braillard que je du combattre). Sur tout le long du chemin j'avais suivi une muraille haut de 50 m fait d'une barrière magique d'un bleu très pur, limite comme le ciel. Il était absolument impossible de la traversé. La Porte des Ames était dans le meme style architectural que Ald'rhun. Deux entré, a droite et a gauche donné acces a deux dome qui se rejoigné au centre par un surplombement audessus d'une grille que l'on pouvait actionné depuis l'entré, comme une sorte de sas, il permettait de passer de l'autre coté de la muraille.




  Les mises en garde du caravanier m'avait sérieusement parler et je ne souhaiaisr pas ressorti de cette endroit les pieds devant, je n'avais surement pas le niveau. Lorsque je parle de "niveau" je parle d'un drôle de rêve qu'il m'arrive faire, parfois, lorsque j'ai appris beaucoup d'attaque, de mouvement etc...

Je reve que je me retrouve face a un vieux messieurs (un peu comme celui qui se trouvais a Sadrith Mora, le vielle homme me montre un tableau sur lequel je vois différente attribution : force, agilité, endurance, personnalité, chance, rapidité, intelligence et volonté. Ensuite il me montre trois piece que je doit posé a coté de chaque attribution, parfois elle on des multiplicateur parfois non, il semble que cela correspond a ce que j'apprend . Tout est-il que aprés ce drole de reve je me retrouve avec, justement, l'impression que il y a quelque chose de changé dans ma vie. Je les compte en "niveau" et en ce moment je suis de niveau 8.




  Je rentrais dans le dome de gauche, il y avait plein de monde, surtout des prêtres, des mages et des exalté (sorte de croisé sauf qu'eux travail pour le Temple, la religion de la région). Il y avait aussi beaucoup d'aventurier comme moi qui s'émerveillait devant mon équipement, d'autre qui me regardé de haut (cela portait une armure complète de verre). Tout une communauté, il y avait meme un libraire et un apothicaire. Tout ce monde rigolé et discuté, a l'étage supérieur je rencontré un garde de Vivec qui m'expliqua qu'il était tous ici pour combattre les différentes attaques du Fléau, des êtres ravagés par la peste ainsi que d'étrange humanoide les attaqué alors, il leur arrivé aussi de défendre des convois de mineur qui partai cherché du minerai d'ébonite dans les tréfonds des grottes du volcan.




  Je fis le tour du complexe il y avait une autre salle, plus haute mais plus petite, qui fessais office de lieu de prière avec des pretres qui vendait ÉNORMÉMENT de potion de guérison du fléau (je fis meme quelque provision) ainsi que des potion de soin et des potion de magie. Enfin je découvris un deuxieme complexe qui ressemblé en tout et pour tout au premier seule les gens qui se trouvais là avait changé. Puis ce fus le bonheur. Le vrai, le grand, le bon. Il se matérialisa sous la forme d'un marchand d'objet trouvé au cour des différentes quettes effectué sur le Mont Ecarlate. Il vendait un ecu d'ébonite ainsi que des épaulière dans le meme matériaux, un vrai trésort ! Moi qui posséder beaucoup d'objet de valeur je devais surement pouvoir acheté tout sa. Tout d'abord je graisser la pate du marchand en lui donnant 100 drakes et en lui disant que cela fessais un moment que je le voyer travaillé et que je le trouver formidable (mensonge grossier : depuis que je le regardé il n'avais rien vendu ni acheté) puis je partie 1h ou 2 histoire qu'il m'oublie un peu. Puis je revin pour commencer le marchandage.




_"Boujour marchand, je vous expose mon problème, comme vous pouvez le voir je possède déja un un beau bouclier mais il n'a pas une surface de protection bien étendu, auriez vous un objet similaire mais en plus grand ? bien sur je savais qu'il posséder un écu en ébonite ainsi que des épaulière mais il fallait obtenir un bon prix, Moi je possède un bouclier simple ainsi qu'une épée de verre, combien vaut l'écu ?

_L'écu vaut 29000 drakes, et meme si vous mette sympathique je ne peut rabaisser plus le prix, le bouclier que vous avez vaut 12000 drakes a la vente et je suis vraiment généreux et l'épé je peut vous la reprendre 10000 drakes ainsi cela vous fait un total de 22000 drakes, il manque 5000, vous avez de l'argent ?

_Je n'aurais pas assez, et ce n'était un mensonge pensais-je, comment faire ? Vous pouvez me faire un prix non ?

_Hélas j'ai des quotas limite et les prix que je vous ai proposer sont bien au dela de ces derniers, comprenais bien que si ces objets m'apartenais je vous les vendrait a ce prix la sans probleme mais il appartienne au temple. Je ne peut faire plus bas.

_C'est embêtant car meme en additionnant tout mes richesse je ne pourais avoir cette somme... la plupart de l'argent que je gagné grâce a Rampant partais dans des potions, des flèches, de la viande ou mes nuits d'autel, je n'avais plus que 1000 drakes, trop peu, meme avec d'autres acquisition.

_A ca m'embête je vois bien que vous en auriez 1000 fois plus besoin que plutot qu'il reste a moisir ici... Je ne sais pas moi... Vous avez pas des parchemins intéressants, des pieces magiques, des gemmes...

_...spirituelles ? Oui ! je venais juste de me souvenir de la sainte doré que j'avais emprisonner quelque temp auparavant, elle devait valoir un bon prix, Voila ce que j'ai, c'est une Sainte Doré, cela vous intérrésset-il ?

_Une Sainte Doré vous dites, bien sur ! Le temple est obligé d'accepté les âmes des différentes créatures daedriques. Cela évite qu'elle puisse ce remétarialiser dans notre monde aprés avoir était vaincu.

_Ah ben la c'est moi qui l'avait invoqué, pour l'emprisonner.

_C'est intéressant ca, intéressant et intelligent, un bon moyen de gagné de l'argent. Sa valeur est de 89000 drakes mais je puis l'accepter au dessus de 50000 drakes et encore je n'ai pas assez d'argent pour vous payez.

_Fessons un marché, dis-je avec un sourire au coin des lèvres... Je vous prend l'écu ainsi que les deux épaulières et tout votre or et je vous donne la gemme spiritruelle avec mes deux épaulières d'acier parce que je suis bon prince, quand pensez vous ?

_C'est honnetes ! Marché conclu ! A bientot j'espère.




  Je venais de faire la plus belle acquisition du monde... un caillou contre un écu et des épaulieres, le pied quoi ! Au niveau poid c'était un peu juste mais sa aller, je reparti avec cette magnifique acquisition et en plus j'avais garder mon ancien bouclier et l'épée de verre et des sous... je planais complètement et ne cessai de regardais l'écu, grand et noir, du meme style que le bouclier mais comme si on l'avais allogé il présenté une grande surface de protection (1m50) et était trés maniable meme si il offrait la meme résistance que le bouclier sa grande surface lui conféré un grand avantage.







  Au retour j'apercu a 1km une ruine daedrique mais pour l'instant je n'avais le temp, Caius devait vraiment m'attendre. J'arrivé a Ald'rhun sous un pluie battante, un garde rédoran (garde entierement recouvert d'une armure d'ossement) prenait l'eau devant la porte Est. Alors que je m'appochai de l'échassier un vieux mage m'apostropha et c'est dans un béguément atroce qu'il me parla :




_"Mess...messieurs ? Vous... vous, etes avanturiers ? J'ai bes...bes...besoin de vous.

_Qu'est ce que je peu faire pour vous ?, je n'avais vraiment pas envie de m'embêter


avec cette idiot, la question était purement poli, en plus a cause de toute cette cendre (elle recouvre les 2/3 de Vvrafendel) je m'enfoncais.

_J'ai construit une machine volante, un aérostat, voyez-vous. Une machine vraiment magnifique... enfin à mon avis. Construite avec de...euh, des pièces Dwemer trouvées à la... décharge et puis quelques... sorts de lévitation. Très malin. Une bonne idée, oui je sais ! J'ai même engagé une bande de...enfin, un équipage. Ils devaient voler si loin... vers le nord ! Loin... vers Solstheim ! Je les ai payés, et bien payés... Ils devaient localiser le euh... Tertre de Hrothmund et récupérer un euh... objet.

_Vous m'en voyez ravi dit donc, et cette foutu cendre dans mes pied, pour éviter de m'enfoncer je du me mettre pied nu au grand étonnement du viel homme.

_Vous vous sentez... sentez... bien ? me dit-il comme si il avait en face de lui un cloporte de 2m de haut, Oh, cette machine..., cet aérostat, est tellement belle. Le meilleur... la chose la plus ambitieuse que...enfin..c'était mon projet préféré. Et elle volait tellement...bien ! Enfin...elle volait et...euh...ça suffisait...hmmm... alors le fait de l'avoir perdu est... enfin vraiment... facheux.

_C'est super bien... a la pluie avait cesser, je nettoyé mes bottes avec une petite boule de feu histoire de faire tombé la poussière.

_En fait... plutôt... il était partie pour aller me chercher un objet... un artefact... une amulette en fait. Trés belle... oui... trés belle. Elle se trouve sous le Tertre de Hrothmund. Le Tertre de Hrothmund est une crypte. Il est dit que... enfin, le tertre est sous la surveillance d'un loup. Il y a une formation, voyez-vous. De la pierre, de la glace... en forme de loup, celui qui a tué Hrothmund ! On dit qu'il a été enterré sous les yeux d'un loup. Il n'est visible que depuis le ciel... ou... un engin volant. Voilà pourquoi je l'ai construit. Construire un aérostat, engager un équipage pour trouver le tertre et récupérer l'amulette, puis me la rapporter ! Un plan parfait, je croyais...

_Et je suis sensé faire quoi dans cette histoire ?.. j'était vraiment agacé a perdre mon temp...

_J'y...j'y viens. Ils devaient... m'apporter une amulette spéciale. Selon les légendes... Hrothmund était... euh... il avait plein d'amies, des femmes ! Il était laid pourtant... comme un troll ! Il possédait une babiole magique... qu'il portait. L'Amulette de Charme Contagieux. Selon les archives... il fut enterré avec. Voilà pourquoi j'ai construit cet aérostat et engagé un équipage. Je voulais... je dois récupérer cette amulette. Mais... aucune nouvelle... je suis inquiet... je crois que mon équipage a échoué.Et moi j'ai besoin de cette amulette... il y a cette fille. Et je me disais que l'amulette pourrait... me permettrait de... enfin vous comprenez...

_A ouai d'accord, tout ca pour une fille ? C'est vrai que vous etes pas gaté avec votre bégué... handicap, me rattrapais-je.

_Ont-ils dévié de cap en volant ? Ou peut-être... ont-ils trouvé l'amulette et... ils sont partis ! Rencontrer des femmes ! Aucune femme ne peut résister à un homme avec l'Amulette de Charme Contagieux... dans un aérostat, en plus ! Dites messieurs... ?

_Mistarat, répondis-je.

_Mistarat... Vous ne... loueriez pas vos services par hasard ? Je vous... paierai... largement... pour retrouver mon aérostat. J'ai besoin de savoir ce qu'il en est advenu. Simplement pour... être sûr. Et bien entendu... pour me rapporter l'amulette ! J'en ai besoin... pour la fille

_Oui pour la fille...

_Elle est si jolie... et seule ! Je suppose que j'aurais dû... partir... moi aussi. Mais... voler... par ce temps froid et peut-être.... des dangers ! Voilà ce que j'ai gagné à... avoir embauché quelqu'un d'autre.... pour faire ce boulot... enfin, cette expédition...

_Je veux bien aller voir de quoi il en retourne... mais pas tout de suite je dois d'abord aller a Balmora voir un ami.

_Oh... eh bien... c'est bon. Je comprends... Je... j'attends. Mistarat, avez-vous dit que vous m'aideriez ? C'est sup... je veux dire... c'est merveilleux ! Comme je l'ai dit, l'aérostat se dirigeait vers le nord, vers Solstheim... L'Amulette de Charme Contagieux est... enfin, est censée être à... dans le Tertre de Hrothmund. Sous la surveillance de la bête... le loup quoi. Mais vous devez... prononcer le nom du loup ! Pour pouvoir entrer ! Dites "Ondjage". Répondez mal et le tertre sera scellé... à jamais !

_Oui "ondjage", d'accord... je le ferais messieurs... ?

_Louis Beauchamp comme un champ beau... vous voyez ?

_Oui je voie. Aller aurevoir.

_Au...revoir Mistarat, revenais avec l'amulette... hein ?

_Oui l'amulette.




  Mais quel plaie ! J'était bien soulagé de m'en etre débarrassé. Bien sur que j'irai en Solshteim que je sais meme pas ou c'est... un coin au nord d'aprés ce qu'il a dit.




  Aprés deux heure sur le dos de l'échassier je me retrouvé a nouveau a Balmora, la nuit tomber et mo,n retard sur l'horaire était d'a peu près trois mois... Sa risqué de mal ce passé...

je me dirigé vers la maison de Caius Cosades, je retrouvé le paquet que m'avait donné le capitaine, un peu lourd, mais comme je ne devait pas l'ouvrir je préféré évité toute tentation. La maison de Caius se trouvé sur le flan est de Balmora. Une petite contruction de style Hlallu, la porte était au rez-de-chausser. J'entrais en frappant avec mon gant d'acier, une voie agé me dit d'entré et je m'exécutais :




_Bonjour je suis Mistarat, on ma dit de me rendre ici aprés ma libération sur le sol de Morrowind, quesque je peu faire pour vous ?

_VOUS AVEZ TROIS MOIS DE RETARD !!!!

_Euh... c'est a dire que j'ai voulu un peu profité de cette nouvelle liberté...

_Nouvelle liberté ? Si on vous a "libéré" c'est parce qu'on a besoin de vous. Vous etes sous les ordres de l'empereur lui meme, alors un peu de sérieux. Voyons le bon coté des chose au moin vous etes déja bien intégré vue votre armure et vos armes. Vous semblé avoir déja fait pas mal de mission ce qui vous désigne comme un aventurier, pour tout les voleurs, les contrebandier vous êtes considéré comme un ennemi. Par ordre de l'empeureur je dois vous accepté au Sein de l'Ordre des Lames, nous sommes les agents secret de l'empereur. Votre première mission consiste a rendre visite a Hasphat Antabolis a la guilde des guerriers. Il doit vous donné des informations sur le Nérévarine.

_Euh sa fait beaucoup d'info en une seule fois... Je vais y aller je peux laisser mes affaires ici ?

_Oui vous êtes ici chez vous. Posez vos affaires mais ne partez pas sans rien.




  Aprés avoir laissé mes affaires chez le vielle homme je me mis en marche vers la guilde.
"Il n'y a pas d'histoire sans héros".

#7 Roi Nérévar

Roi Nérévar

    Perceval


Posté 13 septembre 2010 - 16:26

(Ce fut un peu long mais finalement la voila... La partie 7!, je remercie Kafou pour son aide , sans lui je n'aurais pus poster ma nouvelle partie)

Je me rendis a la guilde des guerriers de Balmora, une maison dans le même style de construction que les autres, une pierre faite de sable fossilisé collé par un procédé magique. Les maçons ériges d'abord une fondation en pierre pure puis un mage vient posé l'intégralité de la maison, la lit de la rivière de Balmora avait surement du servir de base sableuse, enfin bref, c'est très isolant et très économique. Les mages peuvent se construire toute sorte de maison, aux depart d'un sort d'altération il peuvent rendre un arbre habitable en moins de deux jours. Les impériaux, très opposé a cette technique préfère construire a la mains leur fort et maison, Caldéra est dans ce style la. Ces différent style de construction définisse des régions entières d'après ce que j'avais pus voir.
La guilde était a deux niveaux, en haut une femme en armure d'ossement était assise devant un bureau, elle était très jeune et semblé très mal supporté les regard oblique que je ne pouvais m'empêcher de porté sur son beaux visage. Je lui demandais ou je pouvais trouver Hasphat elle me répondit très sèchement : « En tout cas pas dans mon décolleté », j'étais debout, elle était assise donc fatalement j'avais un vue très plongeante (je me demande si il est vraiment pertinent de relater tout cela...). Je détournais rageusement mon regard vers un magnifique mur d'un jaune gris parfait. Lisse et... fin bref je regardais ailleurs :

« -Au sous-sol obsédé ! Et vous avez de la chance que nous soyons un organisation légal sinoin je vous aurez déjà fait ravalé votre épée, me dit-elle.
-Je ne cherché pas a être impoli, je suis debout, vous êtes assise donc fatalement..., je me repris de justesse, je dois allais le voir, merci du renseignement .»

J'allais partir lorsque je me souvins de la véritables vocation de la guilde, faire du profit en défendant tout et n'importe quoi.

« -Y aurait-il un moyen de s'inscrire ?
-Où sa ? Ici ? Ouai y a un moyen, vous signez, vous tapez, point.
C'est beaux yeux verts me firent complètement oublié de quoi elle me parlait, machinalement je signais sur la feuille quelle me présentais.
-Et maintenant vous dégagez. Je veux pas vous revoir !

Quelle andouille ! Si la honte tuais je serai déjà mort... Je trouvais Hasphat un peu plus bas dans un salle d'entrainement, il était entrain d'embrasser langoureusement un jolie impérial lorsque j'entrais, et comme il ne semblais ne pas m'avoir entendu je frappais a la porte en toussant. Ils se repoussèrent mutuellement comme se qu'ils fessaient été défendu par une loi physique.
« -Ne m'en voulais pas, je suis Mistarat, envoyé par Caius. Vous êtes mon ordre de mission.
-Je sais, je sais, il poussa un soupir de soulagement (la femme aussi). Ne dites rien de ce que vous avez vue a Eydis, je vous en prie.
-Mais je n'ai rien vue, dis-je en faisant un clin d'œil. Par contre pour ma mission...
-Ne vous inquiétez pas, je ne vous demande pas un gros services en retour, je recherche un cube, pas n'importe qu'elle cube : le cube que je recherche a la taille d'un poing fermé, ou peut-être un tout petit peu plus. Il est fait d'un alliage à base de cuivre et sur l'un de ces côtés on voit un dessin circulaire et plusieurs symboles, tandis qu'un autre est marqué de lignes. Un petit cube, c'est tout ce que je demande.
-Et où je dois chercher ? Parce que vous savez Vvarfendell c'est grand.
-A Arkngthand, c'est à l'est d'ici, plein est.
-Qu'est-ce que vous pouvez me dire sur ces ruines ?
-Les vieilles ruines dwemers d'Arkngthand sont très étendues, à la surface comme sous terre. Prenez au sud, passez devant le port de l'échassier des marais, puis traversez les ponts de la rivière Odaï. Sur le panneau, bifurquez au nord, vers Caldéra. Tout de suite, un autre panneau indique Molag Mar. Prenez à droite et prenez la route montant vers le vieux pont dwemer jeté par-dessus le foyada Mamaea. L'entrée d'Arkngthand se trouve de l'autre côté, au sud du pont. Tournez la manivelle pour ouvrir la porte.
-Bien... Je me prépare et j'y vais.
-Si vous voulez il y a un coffre a l'entré de la guilde avec plein de chose utile, potion, flèche, enfin bref le bonheur quoi.
-Merci. »
Je remonter les quelques marches qui amené a la surface. Je m'étais souvent posez la question pourquoi construire en profondeur que en hauteur et finalement j'en suis arrivé a la conclusion suivant, c'était encore due au tempête de cendre et de sable, le fameux « Fléaux ». Il semblerai que ces tempêtes puissent abimais notoirement les construction ce qui pousse les gens a construire des maison en sous-sol plutôt qu'en hauteur mais je ne sue véritablement de quoi il en retournais.
Je me servie en potion de soin mais pas en fleche, je préféré en acheté au forgeron, les meilleurs que j'avais vue a ce jour venait de chez « Au rasoir ébréché ». J'y prenais des flèches et carreaux d'argent surtout a cause des esprit. L'épée de verres semblais pouvoir les attaquer mais un tire a l'arc permet toujours d'éviter d'être surpris.

C'est dans une des chambres de la guilde que je me préparer. Tout d'abord je rendis visite au forgeron, un rougegarde comme moi, je lui acheter quelque marteaux, il m'appris quelques rudiment en plus pour armurerie, comme bien frapper, et surtout repérer les signe de fatigue des pièce d'armure ou des armures. Il m'enseigna aussi un sort de destruction par le feu fort simple qui permettais de chauffé n'importe quelle matériaux. Meme maintenant je l'utilise encore. Aprés avoir disposer une table et une enclume je me mis au travail. Certes mon entretien a la graisse avez bien conserver mes possession mais il fallait quand même les réparer.
Avec une main je chauffé le métal, avec l'autre je frappais. Je commencé par tout les élément en acier, mes bottes et mon arbalète. Après mure réflexion sur ce qu'il fallait prendre et savoir laisser je décidé de revendre l'arbalète au forgeron rougegarde, l'arc et les flèche suffisait amplement. Les bottes n'avais besoin de rien . Ensuite je m'occupais des pièces en ébonites, bracelet droit, épaulières et écu. Pas grand chose a faire, juste quelque faille ou micro fêlure qui partais bien vite aprés chauffe. Ensuite le plus long : l'argent, casque, flèches et cuirasse complète. Je chauffé le casque, rabattais un peu les bords, refaisais la sphère du crane et finalement refroidissais tout. Ensuite il fallait trier les flèches, celle que je pouvais récupéré ou bazarder, ce fut long mais finalement mon carquois fut près. La cuirasse... ce fut fastidieux. D'abord tout démonté, ensuite analyser puis réparer, la parti haute avez beaucoup souffert, la centrale un peu moins et finalement celle d'en bas n'avez rien. Enfin, et finalement je me mis a travailler le verre, la dague et les deux épée. Pour celle qui était magiques ce fut un peu compliqué parce que le feu ne l'atteignais pas... Donc je dus faire le boulot « a froid », ce qui est compliqué a froid c'est que on risque de tout casser, heureusement et d'après ce que j'avais pus voir un objet magique est très difficilement cassable, enfin,... disons que il sera toujours maintenue par la magie mais si il est cassé on peu l'utiliser, les coté casser ce maintiennent ensemble mais pas avec assez de forces pour supporter un coup ou un choc. La dague ne coupés pratiquement plus (tout est relatif, je pouvais aisément tuer quelqu'un avec mais elle n'avais plus le même tranchant qu'avant). Un tour de meuleuse eu vite fait de le rendre a sa juste valeur. Je fis subir le même traitement au deux autres lames vertes. Et finalement je graissais le tout pour une parfaite glisse et pas de gène dans les mouvement. Les pièces d'armure dwemer (jambière et bracelet gauche) n'avais rien.
J'attachais la dague a mon pied gauche puis enfilais mes bottes, ensuite les deux jambières, et dans la foulé les deux bracelets. Enfin je revêtis la cuirasse du duc. Par dessus tout ceci je me mis une robe bleu azur qui grace a ces reflet magiques renvoyé une douce lumière bleu, je l'avais trouvais a Caldéra... Ensuite j'attachais mes deux épaulières. Aider par une grosse ceinture noire je plaçais les deux fourreau a mes deux coté. Au centre de ma taille je placé une bourse dans laquelle je rangeais toute mes potions et sur ma gauche, devant le fourreau, je plaçais une autre bourse tout mon attirail magique (rouleau, babioles, etc,...). Puis je mis le carquois et l'arc dans mon dos, en bandoulière. Finalement j'enfilais mon casque, rangeais tout les affaires qui restait (livres, bijou, robes, flèche en plus, marteau, etc,...) dans un sac en peau que je mis sur mon dos et plaçais mon écu sur mon avant-bras gauche. J'étais près a partir a l'aventure.
Je suivi les indications d'Hasphat, soit un grand détour au final. La verdure environnante de Balmora faisait ressortir les tours d'Arkngthand, au-dessus de la colline. Ce qui au début m'avais semblé être un gros détour était en fait le chemin le plus cour et très rapidement j'aperçus le pont dwemer qui enjamber une faille ou un chemin bien marqué de coulé de lave. Des deux coté je pouvais apercevoir le calme du matin rivaliser avec la violence des lieux : tout était noir-gris de cendres, ici et la des corps d'animaux mort calciné jonché la cendre que des Braillards affamés s'empresser de déchiqueter. Les arbres morts faisait office d'épouvantail inutile, parfois sortais, du sol ou d'une poussé rocheuse, un courant d'air très chaud qui démontrait qu'il y avait encore de la lave la-dessous, a quelque pied sous terre. Le Soleil matinal faisait parfaitement ressortir les enluminure des ruines. Les tours et autre décombres dwemer de grès dorés brillait avec force, un beaux contraste au séquelle laisser par le volcan. Et le pont semblé faire la liason entre ces deux monde, quoique dans les deux cas c'était des vies détruites, des cris, des râles... Les ruines en témoignais.
Sur le pont se tenais un homme assez âgé mais robuste, il devait avoir une cinquantaine d'années et vue ce qu'il étais entrain de faire je ne devais pas le considéré comme un ami. Il était entrain de s'occuper a gardé le pont sur lequel il faisait les cent pas en rond. Pris par un héroïsmes notable je me mis en charger en hurlant, il ne semblé pas bien méchant mais je n'avez pas envie de m'embêter.
L'homme me vis dès l'entré du pont, dans un rire de contentement aigu il se mis lui aussi a courir dans ma direction. Je n'avais pas encore sorti mon épée du fourreau, ce qui me permettais de me déplacé plus vite. Un autre avantage : la robe bleu caché efficacement mon armure ce qui empêché adversaire de voir ce que je portais réellement. Nous arrivâmes l'un sur l'autre avec violence, il avais sorti une épée de fer magiques avec laquelle il tenta de m'attaquer, faisant un écart au dernier moment je fis une roulade sur le sol et ,dans un beaux mouvement, me redresser avec l'élan. Avant qu'il n'est eu le temps de comprendre quoi que ce soit je lui avez tranché la carotide. Il se contenta de m'asperger de sang.
Le complexe dwemer était grand. de hautes tours pointu, un dome surmonter d'un cylindre, des salles éventrait et de vielles statuts, voilà tout ce qu'il restait de cette ville. Un peu plus loin, près d'une porte sphérique, se tenait percher une manivelle.
Le soir tombait, un soleil rouge se cachait a moitié derrière la montagne grise de cendre. Je voulais attendre la nuit pour explorer les souterrains. Je cachai mon sac d'affaires dans un coin et m'assis sur un pylône jaune qui dépasser du sol. On voyait dessus que mille mains avaient pris, au fur et a mesures des années, les feuille d'or.
Après un repas frugal et un petit feu pour faire cuire un rat je m'allongeais dans la cendre, l'avantage avec les vêtements magiques c'est qu'il ne se tache pas. Allongé ainsi j'observais le ciel...
Une beauté sans nom... Les étoiles, par millier, illuminé le ciel. Un grand astres fit alors son apparitions dans le ciel, plus grand que le soleil, cette objet sphériques était fait d'une matières comme la terre. On apercevais des nervures rouge, des cratères, des zones sableuse, bref comme se fut un autre Nirn mais en plus petit. Je n'avais aucune connaissances sur cette astres et décidé qu'a ma future visite chez un libraire je m'en occuperais.
L'objet passa rapidement dans le ciel et dès qu'il fut hors de mon champ de visions je me remis debout, près a entrer dans les souterrains.
La manivelle grinça, la porte racla et j'entrai...

Un silence profond et sourd m'accueillit, un peu comme lorsqu'on ouvre une très vielle pièce. Une sorte d'entité fessait planait un froid glacial que même les ouverture sur les conduit de lave souterrains ne pouvait réchauffer. Je ne rencontrer pas beaucoup de résistance. Mon niveau était bon et mes adversaire était peu entrainer ou peu équiper. Ce fut une autre histoire pour les gardiens des ruines, d'antiques créatures mécaniques qui fonctionner toute seule. Parmi eux des sphère-centurions, des gardes-vapeurs et des araignées mécaniques. Ces êtres sans âmes et sans pitié n'avait était créer que dans un seul et unique but : tuer tout les intrus, mais comment pouvait-on construire de tel abomination ? Les nains avait vraiment était un peuple étranges...

Ce n'est qu'au bout d'une longue course a travers les dédale dwemer que je découvris enfin le petit objet. Comme décris précédament par Hasphat c'était un cube doré mais pas en or massif. Plutôt de poids leger il tenait dans la mains.Grace a un sort d'intervention d'ALMSILVI je rentrai sans encombre a Balmora, le petite ville dormais encore, seul un garde armée d'une torche patrouillais en discutant avec lui-même.

Je rentrais dans la guilde, la casse-tete dwemer en mains, Hasphat fut un peu surpris de me voir arrivée si vite. Il me remercia et m'appris qu'il devrait avoir une clef a l'intérieur du cube. Il me donna aussi des notes concernant le culte de la Sixième Maison pour Caius.

Je parti aussitôt rendre visite a Caius. Le maitre-espion m'attendais avec un sourire en coin. Il m'invita a prendre un verre eu Huits Plats.Après avoir nettoyé ma robe j'enlevais mon armure et revêtit une autre robe d'un beaux rouge brodé d'or. Je mis quand même une épée a mon coté, a la coutume local. Nous marchâmes sous le soleil levant et âpres une petite minute dans les rues arrivèrent a l'auberge.

Les tables était en bois, les chaises aussi. La régente, une dunmers au visage émacier nous servie deux verres de sujamma, la boisson local.
- Bien, me dis Caius, nous allons pouvoir parler sérieusement.
- Ici ? Dans cette auberge, d'accord il n'y a personne a cette heure mais cela me paraît bien imprudent quand meme.
- Les gens savent qui je suis et aussi qu'ils n'ont pas interé a répéter ce qu'ils auraient pus entendre.
-Je vous fait confiance, de quoi voulez-vous discuter ?, j'en profiter pour me commander un petit déjeuner. L'aubergiste me précisa que on ne pouvez pas prendre mois de huit plats...
-Je vais vous confier une autre mission, vous devez aller a la guilde des mages, y rencontrer Sharn gra-Muzgob, une orc mage.
-C'est vrai qu'avec un nom pareil...
-Bref ! Vous allez lui demander des informations sur le Nérévarine et me les transmettre.

Je commençais à comprendre certaines choses. Plutôt que de payer ses informateurs, Caïus Cosadès échangeais des faveurs contre des informations. Et, en tant que nouvelle recrue dans l'organisation, c'est moi qui m'occupais des faveurs. Voilà une leçon d'humilité.

- J'v'ai encore faire le larbin, quoi ? Génial !
- Mistarat ! Dois-je vous rappeler notre arrangement ?! Vous avez était libéré par l'empereur en personne, vous n'êtes pas un homme un homme libre. Vous me devez obéissance !
- Je risque ma vie a chaque nouvelle mission ! Vous trouvez sa normal ?! Allez y vous même ! Je refuse de risquer ma vie pour faire vos course !
-Vous voyez dans quel état est le monde ? Le fléaux, les pestiférés, les maladies ? Tout ceci peut être arrangé mais il faut que vous m'aidiez.
-Ouai c'est ca...

Et puis finalement je me ravie, j'avais accepter de rentrer dans l'ordre des Lames je n'avais pas vraiment le choix. Et puis la missions de Caius n'avait pas était si difficile que ca.

-Et pour Sharn gra-Muzgob ?, repris-je tristement.
-Très maligne pour une Orque... Elle s'intéresse sans doute un peu trop aux arts des ténèbres, mais elle est rusée, ça oui. Elle s'inquiète toujours que le Temple finisse par décider de l'envoyer au bûcher. Et elle n'a pas tout à fait tort, si vous voulez mon avis.
-Je vais voir ce que je peux faire.
-Vous ne voulez pas dormir avant ? Vous n'avais pas dormis depuis deux jours.
-Je préfère dormir dans la nature, les chambres d'auberge c'est bon pour ce réveiller dévaliser ou ne pas se réveiller du tout. Merci mais très peu pour moi.

Je me dirigeais directement vers la guilde des mages et après une petite collation je découvris les lieux. Un escalier descendait sous le niveaux du sol et il semblé être le seul moyen d'accès je l'emprunter. Un escalier de deux étage quand même... La guilde était bien enfoncé sous le sol.
Il donnait sur une grande pièce carré de 25 sur 10 m où les différentes section était séparées par des paravent fait de toile et de bois. Dans un coin sombre, affairée sur une étagères je vis une orque. Elle portait une tunique simple fait d'une pince taillé dans un tissu gris, une grosse ceinture entourait sa taille et une coiffure tribale arborait son visage vert. Elle semblé âgée et c'est d'une voie rocailleuse qu'elle s'adressa a moi :

-Qu'est ce vous voulez le maraudeur ? Z'etes pas d'ici vous. On vous a jamais dit que il fallait pas rentré dans certain endroit ?
-Je viens de la part de Caius, j'imagine que vous êtes Sharn ?
-Pour vous ce sera madame gro-Muzgob ! Qu'est ce qu'il veut celui la ?
-Il souhaite que vous lui transmettiez des informations sur le Nérévarine.
-Ah, nous pourrons discuter de ce que désire Caïus... une fois que vous aurez accompli la petite course que je vais vous demandée.
-Qui consiste ?
-J'ai juste besoin du crâne de Llévule Andrano. Vous le trouverez dans le tombeau ancestral des Andrano. Mais attention à ne pas encourir la colère des gens du cru. Les Dunmers ont tout un tas de préjugés primitifs pour ce qui est de la nécromancie, et ils n'apprécient guère que l'on visite les tombes de leurs ancêtres sans y avoir été invité.Je sais que ce que je vous demande est dur mais je vous en prie, c'est important pour moi, très important.
-Bon... C'est où ?
-Le tombeau se trouve au sud de Pélagiad, à côté de la route, juste avant d'atteindre l'embranchement conduisant à Seyda Nihyn au sud-ouest et Vivec au sud-est. Vous aurez peut-être besoin d'une arme enchantée, car certains esprits sont immunisés contre les armes normales. Tenez, prenez cette vieille épée courte. Et peut-être que ces vieux parchemins pourront également vous servir.
-Merci mais en matière d'arme enchanter je suis équiper (je lui montrer l'épée de verre).
-Oh, je vois que monsieur est équiper.
-Il le faut bien dans ce vaste monde. Aller... J'y vais, si je ne suis pas de retour avant deux jours c'est que je me suis fait tuer. Adieu donc.
-Bel vision des choses... Au revoir Mistarat, faites attention a vous.

Sa voix se perdit dans les escaliers, sortant au-dehors je me dirigé vers la maison de Caius. Après mettre préparer je me mis en route vers le tombeaux

Modifié par Roi Nérévar, 13 septembre 2010 - 16:28.

"Il n'y a pas d'histoire sans héros".




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