Sylph fut amusé de la réaction de Maelicia :
"Mais oui, bien sur ! Vous pourrez monté si vous voulez, au fait, arètons de nous vouvoyez, on se connaît depuis pas mal de temps maintenant, et je n'ai que 22 ans , en age humain, et puis c'est plus amical de se tutoyer non ?"
Sylph commençait à s'inquiéter aussi que Brise ne revenait pas, mais le connaisant, il ne lui était rien arrivé, ou rien de grave, du moins, Sylph l'espérait .
0
[rp] Skingrad
Débuté par
MarioPunch
, 20 déc. 2006 - 18:13
196 réponses à ce sujet
#177
Darkhammer
Posté 28 mai 2007 - 19:24
Brise avait été très affecté par tout ce qui s'était dit autour de lui, toute ces histoires lui avait ramené le triste souvenir de sa vie ces dernières années, elle avait d'ailleur pris un onuveau tournant il y a peu grâce à ses amis. Tant de temps perdu à boire, à festoyer... Pourquoi otut cela? Pour oublier? Oublier quoi? Sa douce Célia? Oublier ses tort... Il avait tout perdu au cours des années... Lorsque Sylph quitta à son tour l'auberge, laissant Brise dans ses sombres pensées, un vieil ivrogne s'approcha de lui
"Et alors mon gars? On dirait bien que tes amis t'ont abandonné, tu ne devrais pas rester avec des gens ainsi, ils ne comprennent pas les gens comme toi et moi, comme nous tous ici… Ils ne savent pas ce qu'on a enduré, tu sais de quoi je parle… Briséadius CoeudAnge… »
L'impérial revint d'un coup à lui sur ces derniers mots, se retournant vers l'homme qui se dressait auprès de lui, il dit :
« Que… Comment connaissez-vous mon nom ? Qui êtes vous ? Parlez ! »
L'homme s'assis auprès de lui et commanda un verre d'hydromel, puis repris :
« Mon nom n'a pas d'importance, enfin, aujourd'hui il n'en a plus… Je t'ai reconnu au premier regard, tu n'as pas changer depuis tout ce temps… Tu a déjà pensé à y retourner ? »
Brise était déconcerté :
« A y retourner ? Mais de quoi parlez vous… A moin que… »
On apporta le verre d'hydromel au vieil homme qui but une gorgée en toute hâte avant de reprendre:
« Ca y est, tu commence à comprendre, je parle effectivement de ton village… Pour répondre à ta première question, oui il a bel et bien été incendié, mais il a été rebattit… Bien que ce ne sont plus les même personne qui y habite, sur la place du village, une statue a été érigée, histoire qu'on se souviennent d'eux… Une simple statue pour tant de mort… »
Brise réfléchit un instant :
« Mais oui vous étiez un des gardes du village, vous étiez un bon ami à mon oncle. Que faites-vous ici ? »
L'homme rebut une gorgée à sa chope :
« La même chose que la plupar des personne qui orne cette auberge, j'oublie… Mais là n'est pas la question, je savais que tu était partit dans les province de Cyrodil, mais j'ignorait où tu te trouvait, voilà quelques années que j'espère t'y croiser. J'ai quelque chose à te remettre, j'ai même deux chose à te remettre un peu moin plaisante… »
Le vieil homme fouilla dans son sac et en sortit une collier auquel était rattaché une pendentif en crystal. Brise sentit son cœur devenir soudainement lourd, sa gorge se noué.
« Je…Je… C'était… Je lui avait… Offert… Comment ?»
L'homme fourra le collier dans les mains de Brise, puis se dressant sur ses deux jambes, envoya son poingt en plein dans le visage de l'impériale qui en tombit de sa chaise :
« Ca c'était la deuxième chose, peu après ton départ ma fille eu le cœur brisé, pas un seul message, pas un signe de vie, elle se laissa dépérir… Lorsque… Le village fut attaquer, je la défendit corps et âme, mais j'était déjà trop vieux, plus assez aguerrit, je survécu avec quelque autre survivant, ma fille ne fut pas de ceux-là. Sur son lit de mort, grâvement blessée, elle me confia ce collier et me demanda de te retrouver afin de te le remettre… Maintenant relève toi et sort d'ici, va rejoindre cette brétonne, et cette fois ! Cette fois ne gâche pas tout pour tes histoires personnelles… »
Brise se redressa tant bien que mal, puis enfila le collier, salua le vieil homme, puis paya ses consomations, avant de quitter « l'hôtel des deux sœur »… Un orage faisait rage, Brise se hâta de retourner à « l'auberge du Weald Occidentale. »
Il arriva devant l'auberge, les yeux rougit par sa propre culpabilité. Il s'approcha de ses amis sans mots dire.
"Et alors mon gars? On dirait bien que tes amis t'ont abandonné, tu ne devrais pas rester avec des gens ainsi, ils ne comprennent pas les gens comme toi et moi, comme nous tous ici… Ils ne savent pas ce qu'on a enduré, tu sais de quoi je parle… Briséadius CoeudAnge… »
L'impérial revint d'un coup à lui sur ces derniers mots, se retournant vers l'homme qui se dressait auprès de lui, il dit :
« Que… Comment connaissez-vous mon nom ? Qui êtes vous ? Parlez ! »
L'homme s'assis auprès de lui et commanda un verre d'hydromel, puis repris :
« Mon nom n'a pas d'importance, enfin, aujourd'hui il n'en a plus… Je t'ai reconnu au premier regard, tu n'as pas changer depuis tout ce temps… Tu a déjà pensé à y retourner ? »
Brise était déconcerté :
« A y retourner ? Mais de quoi parlez vous… A moin que… »
On apporta le verre d'hydromel au vieil homme qui but une gorgée en toute hâte avant de reprendre:
« Ca y est, tu commence à comprendre, je parle effectivement de ton village… Pour répondre à ta première question, oui il a bel et bien été incendié, mais il a été rebattit… Bien que ce ne sont plus les même personne qui y habite, sur la place du village, une statue a été érigée, histoire qu'on se souviennent d'eux… Une simple statue pour tant de mort… »
Brise réfléchit un instant :
« Mais oui vous étiez un des gardes du village, vous étiez un bon ami à mon oncle. Que faites-vous ici ? »
L'homme rebut une gorgée à sa chope :
« La même chose que la plupar des personne qui orne cette auberge, j'oublie… Mais là n'est pas la question, je savais que tu était partit dans les province de Cyrodil, mais j'ignorait où tu te trouvait, voilà quelques années que j'espère t'y croiser. J'ai quelque chose à te remettre, j'ai même deux chose à te remettre un peu moin plaisante… »
Le vieil homme fouilla dans son sac et en sortit une collier auquel était rattaché une pendentif en crystal. Brise sentit son cœur devenir soudainement lourd, sa gorge se noué.
« Je…Je… C'était… Je lui avait… Offert… Comment ?»
L'homme fourra le collier dans les mains de Brise, puis se dressant sur ses deux jambes, envoya son poingt en plein dans le visage de l'impériale qui en tombit de sa chaise :
« Ca c'était la deuxième chose, peu après ton départ ma fille eu le cœur brisé, pas un seul message, pas un signe de vie, elle se laissa dépérir… Lorsque… Le village fut attaquer, je la défendit corps et âme, mais j'était déjà trop vieux, plus assez aguerrit, je survécu avec quelque autre survivant, ma fille ne fut pas de ceux-là. Sur son lit de mort, grâvement blessée, elle me confia ce collier et me demanda de te retrouver afin de te le remettre… Maintenant relève toi et sort d'ici, va rejoindre cette brétonne, et cette fois ! Cette fois ne gâche pas tout pour tes histoires personnelles… »
Brise se redressa tant bien que mal, puis enfila le collier, salua le vieil homme, puis paya ses consomations, avant de quitter « l'hôtel des deux sœur »… Un orage faisait rage, Brise se hâta de retourner à « l'auberge du Weald Occidentale. »
Il arriva devant l'auberge, les yeux rougit par sa propre culpabilité. Il s'approcha de ses amis sans mots dire.
Modifié par wilfd, 28 mai 2007 - 19:30.
#178
Ryukan
Posté 28 mai 2007 - 19:35
Brise arriva, les yeux rouges et l'ai triste, ainsi qu'une joue rougie, par ce qui semblait un coup de poing :
"Brise, tu t'es battu avec le capitaine ? si c'est le cas, bah on ferait mieux de partir ! Mais je ne pense pas que ce soit ça n'est ce pas ? tu ferais mieux de t'expliquer avec Maelicia elle était inquiète pour toi Brise et ca fait d'ailleurs maintenant deux heures, a peu pres, qu'elle t'attendait !"
"Brise, tu t'es battu avec le capitaine ? si c'est le cas, bah on ferait mieux de partir ! Mais je ne pense pas que ce soit ça n'est ce pas ? tu ferais mieux de t'expliquer avec Maelicia elle était inquiète pour toi Brise et ca fait d'ailleurs maintenant deux heures, a peu pres, qu'elle t'attendait !"
#179
Daimyo Tai Shi
Posté 28 mai 2007 - 19:43
"Et si vous trouvez Briséadius, dîtes lui que son cheval est prêt et qu'Aewin l'accompagnera".
Aewin se tourna vers Maelicia, incrédule, la bouche entrouverte. Incompréhensible. Elle n'avait pas dû tout comprendre au premier abord. Ne trouvant aucune réponse valable, elle se contenta de refermer la bouche, et de saluer Sonia, la nouvelle venue, une elfe, et son compagnon.
La conversation se poursuivit, et Aewin patienta et observa attentivement les réactions de Maelicia, étrange d'un seul coup... Puis Briseadius arriva, sous la pluie.
Aewin donna un discret coup de coude à son amie brétonne, et souffla :
"Inutile de me faire un dessin. Prenez votre courage à deux mains et allez discuter dans votre coin, je m'occupe du reste."
Se tournant vers les autres, elle poursuivit :
"J'aimerais passer à la Guilde des Mages avant de partir. Ca ne prendra pas longtemps, mais pourriez-vous m'accompagner Kimey, vous connaissez le chemin je crois ? Oh, et si vous voulez venir aussi Sonia, pour vous assurer que je ne vous pique pas votre apprenti magicien, je n'y verrai pas d'inconvénient bien sûr... ajouta-t-elle avec un sourire."
Sylph serait assez intelligent pour laisser les deux tourtereaux ensembles le temps qu'il faudrait...
Aewin se tourna vers Maelicia, incrédule, la bouche entrouverte. Incompréhensible. Elle n'avait pas dû tout comprendre au premier abord. Ne trouvant aucune réponse valable, elle se contenta de refermer la bouche, et de saluer Sonia, la nouvelle venue, une elfe, et son compagnon.
La conversation se poursuivit, et Aewin patienta et observa attentivement les réactions de Maelicia, étrange d'un seul coup... Puis Briseadius arriva, sous la pluie.
Aewin donna un discret coup de coude à son amie brétonne, et souffla :
"Inutile de me faire un dessin. Prenez votre courage à deux mains et allez discuter dans votre coin, je m'occupe du reste."
Se tournant vers les autres, elle poursuivit :
"J'aimerais passer à la Guilde des Mages avant de partir. Ca ne prendra pas longtemps, mais pourriez-vous m'accompagner Kimey, vous connaissez le chemin je crois ? Oh, et si vous voulez venir aussi Sonia, pour vous assurer que je ne vous pique pas votre apprenti magicien, je n'y verrai pas d'inconvénient bien sûr... ajouta-t-elle avec un sourire."
Sylph serait assez intelligent pour laisser les deux tourtereaux ensembles le temps qu'il faudrait...
Modifié par Daimyo Tai Shi, 28 mai 2007 - 23:41.
#180
Ryukan
Posté 28 mai 2007 - 19:49
Sylph comprit tout de suite les intentions d'Aewin, il lui fit un clin d'oeil et déclara :
"Ca tombe bien, je devais justement allait y faire un tour, donc je n'ai qu'a vous accompagner apres tout, ce ne sera pas long non plus, juste une petite broutille, on se rejoint ici dans un quart d'heure vingt minutes ? Je dois aussi me racheter quelques potions de mana, et après ce sera bon !"
Heureusement que ses compagnons, pour le cas, Brise et Maelicia, ne semblait pas se rappeller qu'il s'était déja refait un stock a Chorrol et qu'il n'en avait pas utiliser, mais apparement, le mensonge semblait prendre et tout s'annoncer bien pour les deux tourtereaux, c'est si, romantique !
"Ca tombe bien, je devais justement allait y faire un tour, donc je n'ai qu'a vous accompagner apres tout, ce ne sera pas long non plus, juste une petite broutille, on se rejoint ici dans un quart d'heure vingt minutes ? Je dois aussi me racheter quelques potions de mana, et après ce sera bon !"
Heureusement que ses compagnons, pour le cas, Brise et Maelicia, ne semblait pas se rappeller qu'il s'était déja refait un stock a Chorrol et qu'il n'en avait pas utiliser, mais apparement, le mensonge semblait prendre et tout s'annoncer bien pour les deux tourtereaux, c'est si, romantique !
#181
Trias
Posté 28 mai 2007 - 20:17
Arg. Ils étaient tous de mèche! Ils n'avaient manifestement pas l'intention de la laisser bouder dans son coin, et Aewin tirait les ficelles du complot! M'enfin, peut-être valait-il mieux une bonne prise de bec, bien frontale, plutôt qu'une guerre larvée...
La pluie tombait toujours aux alentours, comme si le temps lui même s'était décidé à vider son trop plein de ressentiment sur le monde...
La bretonne regarda Briséadius. Manifestement il avait dû pleurer. Ou alors, prendre des coups. Fallait-il que la tirade du capitaine l'ait affecté à ce point, ou était-ce autre chose? Maelicia le regarda, avec une moue pincée, puis voyant que les autres s'éloignaient vers la guilde des mages, prit la parole.
Alors, vous vous remettez aux rixes de tavernes maintenant monsieur Danselame? Tu t'es remis aux joies de la boisson avec la garde skingradaise? Elle soupira et reprit calmement.
Brise, quelque part y'a un type qui n'a rien fait pour mériter son sort et qui risque de se faire étriper par des brigands. Plus le temps passe, moins on a de chances de le retrouver vivant.
Elle le regarda dans les yeux. Elle ne plaisantait plus.
Briséadius, ca fait plus de DEUX HEURES qu'on t'attend sous la pluie, aux écuries pour qu'on parte secourrir ce type. Deux heures. Largement de quoi interroger quelqu'un. Largement de quoi liquider quelqu'un. Alors, si on arrive un jour jusqu'à ces truands, et qu'on ne retrouve de Tederwen que son cadavre, ce sera TA FAUTE!!
L'étudiante commençait à perdre le contrôle d'elle même. La pluie, l'attente de brise mais aussi de Kimey et de Sonia, l'humiliation de l'auberge, son ressentiment de petite fille mal dans sa peau, et surtout toutes ces histoires de meurtres et d'assassins qui semblaient les précéder se cumulèrent pour se déverser en une fois : sur l'infortuné Briséadius. Maelicia en pleurait presque, et criait son amertume à la face du guerrier.
Ca te suffit pas qu'on finisse avec ce sillage de trucidés partout sur notre chemin? Ca te suffit pas qu'on se soit arraché les cheveux pour sauver des voleurs et qu'on les retrouve baignant dans leur sang? Ca te suffit pas qu'on aie fini avec tous ces cadavres de types en noir dérrière nous? CA TE SUFFIT PAS, BRISE? IL TE FAUT UN CADAVRE D'INNOCENT EN PLUS POUR TA COLLECTION? C'EST CA?
Elle se retourna pour cacher ses lames. Toutes ces morts l'affectaient profondément. Elle n'était pas une tueuse, juste une étudiante!! Et voilà qu'un innocent, vieux et mage de surcroît risquait d'y passer et qu'ils traînaient dans les bars? A déguster ce foutu hydromel et à se battre? Elle n'en pouvait plus, voilà tout.
Les passants commençaient à se retourner dans la rue, voyant cette rousse magicienne vociférer sur un guerrier qui la dépassait de deux têtes. Les gardes ralentirent le pas...
La pluie tombait toujours aux alentours, comme si le temps lui même s'était décidé à vider son trop plein de ressentiment sur le monde...
La bretonne regarda Briséadius. Manifestement il avait dû pleurer. Ou alors, prendre des coups. Fallait-il que la tirade du capitaine l'ait affecté à ce point, ou était-ce autre chose? Maelicia le regarda, avec une moue pincée, puis voyant que les autres s'éloignaient vers la guilde des mages, prit la parole.
Alors, vous vous remettez aux rixes de tavernes maintenant monsieur Danselame? Tu t'es remis aux joies de la boisson avec la garde skingradaise? Elle soupira et reprit calmement.
Brise, quelque part y'a un type qui n'a rien fait pour mériter son sort et qui risque de se faire étriper par des brigands. Plus le temps passe, moins on a de chances de le retrouver vivant.
Elle le regarda dans les yeux. Elle ne plaisantait plus.
Briséadius, ca fait plus de DEUX HEURES qu'on t'attend sous la pluie, aux écuries pour qu'on parte secourrir ce type. Deux heures. Largement de quoi interroger quelqu'un. Largement de quoi liquider quelqu'un. Alors, si on arrive un jour jusqu'à ces truands, et qu'on ne retrouve de Tederwen que son cadavre, ce sera TA FAUTE!!
L'étudiante commençait à perdre le contrôle d'elle même. La pluie, l'attente de brise mais aussi de Kimey et de Sonia, l'humiliation de l'auberge, son ressentiment de petite fille mal dans sa peau, et surtout toutes ces histoires de meurtres et d'assassins qui semblaient les précéder se cumulèrent pour se déverser en une fois : sur l'infortuné Briséadius. Maelicia en pleurait presque, et criait son amertume à la face du guerrier.
Ca te suffit pas qu'on finisse avec ce sillage de trucidés partout sur notre chemin? Ca te suffit pas qu'on se soit arraché les cheveux pour sauver des voleurs et qu'on les retrouve baignant dans leur sang? Ca te suffit pas qu'on aie fini avec tous ces cadavres de types en noir dérrière nous? CA TE SUFFIT PAS, BRISE? IL TE FAUT UN CADAVRE D'INNOCENT EN PLUS POUR TA COLLECTION? C'EST CA?
Elle se retourna pour cacher ses lames. Toutes ces morts l'affectaient profondément. Elle n'était pas une tueuse, juste une étudiante!! Et voilà qu'un innocent, vieux et mage de surcroît risquait d'y passer et qu'ils traînaient dans les bars? A déguster ce foutu hydromel et à se battre? Elle n'en pouvait plus, voilà tout.
Les passants commençaient à se retourner dans la rue, voyant cette rousse magicienne vociférer sur un guerrier qui la dépassait de deux têtes. Les gardes ralentirent le pas...
Modifié par Trias, 28 mai 2007 - 20:31.
#182
Albi
Posté 28 mai 2007 - 21:42
Après leur balade en amoureux raté à cause d'un orag Kimey se vit proposer par Aewin de l'accompagner à la guilde des mages,il accepta et proposant à Sonia de venir il dit à Aewin:
-"Si ce n'est pas indiscret Aewin....Que voulez-vous faire à la guilde des mages?"
Sur ce il se dirigea vers la guilde des mages d'une humeur massacrante à cause d'un orage qui avait gaché à Kimey un des seuls moments qu'il avait seul à seul avec Sonia.....
-"Si ce n'est pas indiscret Aewin....Que voulez-vous faire à la guilde des mages?"
Sur ce il se dirigea vers la guilde des mages d'une humeur massacrante à cause d'un orage qui avait gaché à Kimey un des seuls moments qu'il avait seul à seul avec Sonia.....
#183
Darkhammer
Posté 28 mai 2007 - 22:54
"Que sais-tu de tout ca... Que sais-tu des remort... Tu a toujours vécu simplement, et tu commence seulement à entrevoir dans quel monde nous vivons... La spirale infernale... La spirale macabre de la vie... Chaque être est destinée à retourné à la terre... Mais généralement cela arrive trop tôt... Tu te tracasse pour une vie... Et tu a bien raison... Chaque vie à sa valeur, mais pour sauvegarder la notre, nous sommes parfois obliger de l'ôter à d'autres... C'est ainsi que fonctionne ce monde funeste dans lequel nous vivons... Chaque jour nous somme destiné à répété les même geste, que ce soit du simple paysan qui cultivera ses terres toute sa vie, ou du guerrier qui passera sa vie à ôter la vie à d'autre êtres vivants... Mais est-ce vraiment mal? La notioin de bien et de mal ne regarde que celui qui la considère... Le bien et le mal n'existe pas, tout n'est qu'une question de point de vue... Qu'elle est le tien? Epargner la vie d'autruit, même si ceux-ci t'aurait volontié massacré s'ils l'avaient pu... Aider ton prochain? "
Brise pris en main le pendantif, respirant un bon coup il reprit:
"Dans la vie on est seul, dans la vie on ne peut compter que sur sois-même... Je n'en ai que trop souvent eu la preuve... Si par malheur tu viens à t'attacher à quelqu'un, la vie te l'arrachera tôt ou tard... Mais en réalité je viens seulement de comprendre... Chaque instant passé avec ces personne compte, car c'est une fois que c'est trop tard qu'on se rend compte de nos erreurs... Si j'ai passé autant de temps à l'auberge, c'est parceque... Une des personnes qui se trouvait à l'auberge n'était autre que le père de la définte Célia..."
Brise partit sur des larmes de culpabilité:
"Je... Jusqu'au dernier moment elle m'a attendu... Elle ne m'avais jamais oublié et maintenant c'est trop tard! J'ai tout gaché... J'ai gaché entièrement ma vie sur un coup de tête! Tout ca pour quoi? Pour un peu de gloire? Pour démontré ma valeur face à une horde de gobelins? Pour massacrer un par un les brigants qui se dresseront sur mon chemins? "
Brise recula d'un pas...
"Je... Je vais à l'écurie... Tu dira aux autres que je les y attend..."
Brise tourna le dos à Maelicia hésitant à partir ainsi comme un voleur sans demander son reste...
Brise pris en main le pendantif, respirant un bon coup il reprit:
"Dans la vie on est seul, dans la vie on ne peut compter que sur sois-même... Je n'en ai que trop souvent eu la preuve... Si par malheur tu viens à t'attacher à quelqu'un, la vie te l'arrachera tôt ou tard... Mais en réalité je viens seulement de comprendre... Chaque instant passé avec ces personne compte, car c'est une fois que c'est trop tard qu'on se rend compte de nos erreurs... Si j'ai passé autant de temps à l'auberge, c'est parceque... Une des personnes qui se trouvait à l'auberge n'était autre que le père de la définte Célia..."
Brise partit sur des larmes de culpabilité:
"Je... Jusqu'au dernier moment elle m'a attendu... Elle ne m'avais jamais oublié et maintenant c'est trop tard! J'ai tout gaché... J'ai gaché entièrement ma vie sur un coup de tête! Tout ca pour quoi? Pour un peu de gloire? Pour démontré ma valeur face à une horde de gobelins? Pour massacrer un par un les brigants qui se dresseront sur mon chemins? "
Brise recula d'un pas...
"Je... Je vais à l'écurie... Tu dira aux autres que je les y attend..."
Brise tourna le dos à Maelicia hésitant à partir ainsi comme un voleur sans demander son reste...
#184
Daimyo Tai Shi
Posté 28 mai 2007 - 23:41
Pendant ce temps, plus loin dans les rues skingardaises, le reste du groupe est sur le chemin de la Guilde des Mages... Au beau milieu du trajet, Kimey se tourna vers Aewin :
"Si ce n'est pas indiscret Aewin....Que voulez-vous faire à la guilde des mages?
- Eh bien... Rien de particulier en fait, répondit l'étudiante avec un sourire malicieux. Mais il fallait bien laisser le temps à nos deux tourtereaux de se rabibocher... Maelicia avait l'air mal tout à l'heure à l'écurie. Et après sa scène pour le voyage, je veux dire lorsqu'elle a décidé sans préavis de me coller sur le cheval de son impérial chéri, j'ai commencé à entrevoir la chose. A mon avis, mieux vaut leur laisser le temps d'un aller-retour à la Guilde des Mages pour discuter tranquillement. Enfin, j'espère ne pas avoir mal perçu les choses... D'autant que je ne sais même pas pourquoi elle avait l'air si tendue tout à l'heure... Sa mine s'assombrit. Kimey, pourquoi avez-vous pris autant de temps, par un temps si mauvais ? De même, j'espère que toute cette histoire sera vite réglée. J'aimerais bien qu'on puisse se mettre en route au plus vite. Mon espoir de voir mon maître en vie est revenu depuis mon arrivée ici, mais vu le temps qu'il nous faut pour nous mettre en selle, on ne sera pas parti que la bande sera déjà à Bravil..."
Elle respira profondément. Elle ne pouvait supporter ce retard, cette attente. Elle se sentait à la fois rassurée et angoissée. Elle leva la tête, regardant une fois encore le ciel pluvieux, ténébreux. Une vive lumière au loin, suivie d'un formidable coup de tonnerre la ramena à la réalité.
"Profitons-en pour nous acheter le nécessaire pour le voyage. Moi je n'ai plus un septim en poche, mais je vais vendre quelques petites choses histoire de remplir quelque peu ma bourse. J'espère aussi que quelqu'un a pensé à prendre des vivres pour le voyage, sinon on va avoir quelques problèmes..."
Aewin commençait à se demander quand allait se profiler cette fichue porte. Skingrad était-elle donc si grande ? Elle n'en revenait pas, cela dépassait de loin la taille des villes en Hauteroche...
Le groupe continua son trajet, passant devant une pancarte indiquant "Marchands Coloviens"... Peut-être qu'au bout de cette rue...
"Si ce n'est pas indiscret Aewin....Que voulez-vous faire à la guilde des mages?
- Eh bien... Rien de particulier en fait, répondit l'étudiante avec un sourire malicieux. Mais il fallait bien laisser le temps à nos deux tourtereaux de se rabibocher... Maelicia avait l'air mal tout à l'heure à l'écurie. Et après sa scène pour le voyage, je veux dire lorsqu'elle a décidé sans préavis de me coller sur le cheval de son impérial chéri, j'ai commencé à entrevoir la chose. A mon avis, mieux vaut leur laisser le temps d'un aller-retour à la Guilde des Mages pour discuter tranquillement. Enfin, j'espère ne pas avoir mal perçu les choses... D'autant que je ne sais même pas pourquoi elle avait l'air si tendue tout à l'heure... Sa mine s'assombrit. Kimey, pourquoi avez-vous pris autant de temps, par un temps si mauvais ? De même, j'espère que toute cette histoire sera vite réglée. J'aimerais bien qu'on puisse se mettre en route au plus vite. Mon espoir de voir mon maître en vie est revenu depuis mon arrivée ici, mais vu le temps qu'il nous faut pour nous mettre en selle, on ne sera pas parti que la bande sera déjà à Bravil..."
Elle respira profondément. Elle ne pouvait supporter ce retard, cette attente. Elle se sentait à la fois rassurée et angoissée. Elle leva la tête, regardant une fois encore le ciel pluvieux, ténébreux. Une vive lumière au loin, suivie d'un formidable coup de tonnerre la ramena à la réalité.
"Profitons-en pour nous acheter le nécessaire pour le voyage. Moi je n'ai plus un septim en poche, mais je vais vendre quelques petites choses histoire de remplir quelque peu ma bourse. J'espère aussi que quelqu'un a pensé à prendre des vivres pour le voyage, sinon on va avoir quelques problèmes..."
Aewin commençait à se demander quand allait se profiler cette fichue porte. Skingrad était-elle donc si grande ? Elle n'en revenait pas, cela dépassait de loin la taille des villes en Hauteroche...
Le groupe continua son trajet, passant devant une pancarte indiquant "Marchands Coloviens"... Peut-être qu'au bout de cette rue...
#185
Shoulden
Posté 29 mai 2007 - 00:30
*Une fois que Brise n'est plus là, Maelicia peux sentir une présence derrière elle. A peine se retourne t-elle, qu'elle aperçois la même silhouette que celle qui la fixait avant. Puis l'homme se met a parler d'une voix viril*
Les remords...
Les remords ne sont qu'égoïsme, il pense a lui au fait qu'il aurait voulu la sauvé, qu'il serais heureux aujourd'hui.
Peut être la femme qu'il connaissais est mieux morte blessé que ravagé par des hommes si elle avait continué a vivre.
Et pendant qu'il se prélasse au coin du feu en pensant a sa personne. Il fait souffrir. Mais aveuglé par sa propre souffrance il ne prête d'attention a rien d'autre.
Tel est la vérité...
*Un éclair déchire le ciel et aveugle Maelicia. Une fois le flash lumineux estompé, l'homme n'est déjà plus là, partis sans un bruit*
Les remords...
Les remords ne sont qu'égoïsme, il pense a lui au fait qu'il aurait voulu la sauvé, qu'il serais heureux aujourd'hui.
Peut être la femme qu'il connaissais est mieux morte blessé que ravagé par des hommes si elle avait continué a vivre.
Et pendant qu'il se prélasse au coin du feu en pensant a sa personne. Il fait souffrir. Mais aveuglé par sa propre souffrance il ne prête d'attention a rien d'autre.
Tel est la vérité...
*Un éclair déchire le ciel et aveugle Maelicia. Une fois le flash lumineux estompé, l'homme n'est déjà plus là, partis sans un bruit*
#186
Albi
Posté 29 mai 2007 - 06:18
Aewin et Kimey se arrivèrent à la guilde des mages,celui-ci salua tous le monde et indiqua à Aewin où se trouvait l'alchimiste,il sassit sur une chaise et attendit que Aewin finisse......
#187
Trias
Posté 29 mai 2007 - 07:22
"Je... Jusqu'au dernier moment elle m'a attendu... Elle ne m'avais jamais oublié et maintenant c'est trop tard! J'ai tout gaché... J'ai gaché entièrement ma vie sur un coup de tête! Tout ca pour quoi? Pour un peu de gloire? Pour démontré ma valeur face à une horde de gobelins? Pour massacrer un par un les brigants qui se dresseront sur mon chemin? "
Briséadius s'était ouvert devant elle, le flot d'amertume que son amie venait de déverser vers lui étant enfin venu à bout du rempart qu'il avait dréssé entre ses souvenirs et l'instant présent. La bretonne comprenait mieux à présent les accés d'inexplicable mélancolie dont souffrait le guerrier. Il était déja victime de la culpabilité, inutile qu'elle en rajoute avec sa propre rancoeur. Laquelle rancoeur provenait de la peur qu'elle avait d'elle même, le souvenir de la quasi-euthanasie qu'elle avait prodiguée à Illuvanar la heurtant douleureusement. Et c'était ce dernier, la source de ses ennuis : comment éviterait'elle de sombrer dans un océan de destruction alors que sa puissance allait sans cesse croissant?
Peu importe, pour le moment Briséadius était bléssé intérieurement, et elle ne le laisserait pas sans assistance. Lui s'était ouvert à elle au moins. Elle s'approcha du guerrier qui lui tournait le dos, hésitant toujours à partir, et lui prit la main, en lui murmurant de douces paroles.
"Brise, je suis désolée, je n'aurai pas dû te mettre tout ça sur le dos, mais il fallait que ça explose sur quelqu'un, et en ce moment je tire à vue." Elle eut un léger sourire. "Ecoute, je comprends que tu éprouves de la culpabilité envers cette femme, mais je suis sûr qu'elle ne voudrait pas te voir déchiré ainsi à l'heure qu'il est. Tu as peur de ton passé, moi j'ai peur de mon futur. Est-ce que tu penses qu'on peut s'aider... à ne plus avoir peur?"
Elle lui prit la main, et y déposa un baiser de ses douces lèvres, n'osant pas regarder directement l'homme qui se tenait en face d'elle. Elle regarda ensuite son visage, malgré les larmes qu'ils avaient tous deux versées et reprit.
"Bon maintenant, va à l'écurie, je t'y rejoindrai. Autrement on va finir par plus relever de la cruche et de l'éponge que de l'équipe de sauvetage!"
"Je... Je vais à l'écurie... Tu diras aux autres que je les y attends..."répondit-il simplement, visiblement secoué. Elle le laissa partir, plongée dans ses pensées. Elle pouvait aider cet homme. L'observant s'éloigner, elle songea qu'il faudrait poursuivre cette conversation... mais plus tard. Maintenant, ils avaient à faire.
Maelicia vit alors l'un des esprits qui se mouvaient aux alentours se rapprocher brutalement. Elle se retourna d'un coup, apercevant la même silhouette que celle qui la fixait avant. Un homme. Lequel parla d'une voix grave.
"Les remords...
Les remords ne sont qu'égoïsme, il pense a lui au fait qu'il aurait voulu la sauvé, qu'il serais heureux aujourd'hui.
Peut être la femme qu'il connaissais est mieux morte blessé que ravagé par des hommes si elle avait continué a vivre.
Et pendant qu'il se prélasse au coin du feu en pensant a sa personne. Il fait souffrir. Mais aveuglé par sa propre souffrance il ne prête d'attention a rien d'autre.
Telle est la vérité..."
Il n'avait pas tort songea t'elle, mais pouvait-on vraiment le reprocher à brise?
L'homme disparut une nouvelle fois avant qu'elle ne puisse répondre. Sauf que cette fois, sa dectection de vie faisait qu'elle pouvait le localiser en fait très clairement, ressentant le moindre de ses rapides déplacements, maintenant qu'elle avait vu son esprit. Elle n'avait pas besoin de ses yeux pour ce genre de choses. Le jeter à terre d'une impulsion télékinésique puis le dominer pour savoir ce qu'il faisait? Pourquoi faire: il n'était visiblement pas hostile. Il profitait simplement de sa rapidité pour l'observer, pour jouer avec elle comme un chat s'amuse avec une souris. Eh bien la souris allait lui demander de frapper aux portes la prochaine fois.
Il n'était pas encore trop loin, mais ne bougeait plus, comme s'il avait repris son observation. Elle sentit qu'il allait reprendre sa route, et l'immobilisa deux petites secondes de sa télékinésie.
"Là d'où je viens on dit d'abord BONJOUR et on se présente!" hurla t'elle, avec ses mains en porte-voix, ignorant s'il l'avait entendue ou non.
Après quoi son courage s'évanouit et elle se précipita vers les écuries, sur les pas de l'impérial.
Briséadius s'était ouvert devant elle, le flot d'amertume que son amie venait de déverser vers lui étant enfin venu à bout du rempart qu'il avait dréssé entre ses souvenirs et l'instant présent. La bretonne comprenait mieux à présent les accés d'inexplicable mélancolie dont souffrait le guerrier. Il était déja victime de la culpabilité, inutile qu'elle en rajoute avec sa propre rancoeur. Laquelle rancoeur provenait de la peur qu'elle avait d'elle même, le souvenir de la quasi-euthanasie qu'elle avait prodiguée à Illuvanar la heurtant douleureusement. Et c'était ce dernier, la source de ses ennuis : comment éviterait'elle de sombrer dans un océan de destruction alors que sa puissance allait sans cesse croissant?
Peu importe, pour le moment Briséadius était bléssé intérieurement, et elle ne le laisserait pas sans assistance. Lui s'était ouvert à elle au moins. Elle s'approcha du guerrier qui lui tournait le dos, hésitant toujours à partir, et lui prit la main, en lui murmurant de douces paroles.
"Brise, je suis désolée, je n'aurai pas dû te mettre tout ça sur le dos, mais il fallait que ça explose sur quelqu'un, et en ce moment je tire à vue." Elle eut un léger sourire. "Ecoute, je comprends que tu éprouves de la culpabilité envers cette femme, mais je suis sûr qu'elle ne voudrait pas te voir déchiré ainsi à l'heure qu'il est. Tu as peur de ton passé, moi j'ai peur de mon futur. Est-ce que tu penses qu'on peut s'aider... à ne plus avoir peur?"
Elle lui prit la main, et y déposa un baiser de ses douces lèvres, n'osant pas regarder directement l'homme qui se tenait en face d'elle. Elle regarda ensuite son visage, malgré les larmes qu'ils avaient tous deux versées et reprit.
"Bon maintenant, va à l'écurie, je t'y rejoindrai. Autrement on va finir par plus relever de la cruche et de l'éponge que de l'équipe de sauvetage!"
"Je... Je vais à l'écurie... Tu diras aux autres que je les y attends..."répondit-il simplement, visiblement secoué. Elle le laissa partir, plongée dans ses pensées. Elle pouvait aider cet homme. L'observant s'éloigner, elle songea qu'il faudrait poursuivre cette conversation... mais plus tard. Maintenant, ils avaient à faire.
Maelicia vit alors l'un des esprits qui se mouvaient aux alentours se rapprocher brutalement. Elle se retourna d'un coup, apercevant la même silhouette que celle qui la fixait avant. Un homme. Lequel parla d'une voix grave.
"Les remords...
Les remords ne sont qu'égoïsme, il pense a lui au fait qu'il aurait voulu la sauvé, qu'il serais heureux aujourd'hui.
Peut être la femme qu'il connaissais est mieux morte blessé que ravagé par des hommes si elle avait continué a vivre.
Et pendant qu'il se prélasse au coin du feu en pensant a sa personne. Il fait souffrir. Mais aveuglé par sa propre souffrance il ne prête d'attention a rien d'autre.
Telle est la vérité..."
Il n'avait pas tort songea t'elle, mais pouvait-on vraiment le reprocher à brise?
L'homme disparut une nouvelle fois avant qu'elle ne puisse répondre. Sauf que cette fois, sa dectection de vie faisait qu'elle pouvait le localiser en fait très clairement, ressentant le moindre de ses rapides déplacements, maintenant qu'elle avait vu son esprit. Elle n'avait pas besoin de ses yeux pour ce genre de choses. Le jeter à terre d'une impulsion télékinésique puis le dominer pour savoir ce qu'il faisait? Pourquoi faire: il n'était visiblement pas hostile. Il profitait simplement de sa rapidité pour l'observer, pour jouer avec elle comme un chat s'amuse avec une souris. Eh bien la souris allait lui demander de frapper aux portes la prochaine fois.
Il n'était pas encore trop loin, mais ne bougeait plus, comme s'il avait repris son observation. Elle sentit qu'il allait reprendre sa route, et l'immobilisa deux petites secondes de sa télékinésie.
"Là d'où je viens on dit d'abord BONJOUR et on se présente!" hurla t'elle, avec ses mains en porte-voix, ignorant s'il l'avait entendue ou non.
Après quoi son courage s'évanouit et elle se précipita vers les écuries, sur les pas de l'impérial.
Modifié par Trias, 29 mai 2007 - 10:37.
#188
Ryukan
Posté 29 mai 2007 - 11:29
Ils arrivèrent à la guilde des mages, Aewin en avait manifestement marre de marcher dans Skingrad, ce qui amusa Sylph, ils rentrèrent et Kimey indiqua à Aewin ou était l'alchimiste et celle ci déclara qu'elle n'avait pas d'argent et qu'elle allé vendre des objets .
Sylph observa un instant sa bourse, elle était pleine de septims a craquer, il n'en avait utiliser que peu, il en sorti deux cents et dit à la brétonne :
"Tiens, Aewin, je n'en ai pas besoin et je ne les utiliserais pas, alors, si tu veux bien accepter, il lui posa les septims dans les mains, S'il il y'en a trop, garde la monnaie, j'en ai encore bien assez, et aucune utilité, et a ce que j'ai pu comprendre, tu en avais besoin non ?"
Sur ces derniers mots, il lui adressa un léger sourrire .
Sylph observa un instant sa bourse, elle était pleine de septims a craquer, il n'en avait utiliser que peu, il en sorti deux cents et dit à la brétonne :
"Tiens, Aewin, je n'en ai pas besoin et je ne les utiliserais pas, alors, si tu veux bien accepter, il lui posa les septims dans les mains, S'il il y'en a trop, garde la monnaie, j'en ai encore bien assez, et aucune utilité, et a ce que j'ai pu comprendre, tu en avais besoin non ?"
Sur ces derniers mots, il lui adressa un léger sourrire .
#189
Daimyo Tai Shi
Posté 29 mai 2007 - 12:53
Enfin arrivés ! Aewin ouvrit la porte et entra dans la Guilde, le temps peu engageant au dehors précipitant un peu ce mouvement somme toute banal.
Une fois entrés, Kimey lui indiqua où se trouvait l'alchimiste et alla s'installer dans un coin. Sylph s'approcha de la brétonne, et lui annonça :
"Tiens, Aewin, je n'en ai pas besoin et je ne les utiliserais pas, alors, si tu veux bien accepter..."
Il lui posa les septims dans les mains, ne lui laissant pas le temps d'élaborer d'autre réponse qu'ouvrir et refermer la bouche.
"S'il il y'en a trop, garde la monnaie, j'en ai encore bien assez, et aucune utilité, et a ce que j'ai pu comprendre, tu en avais besoin non ?", ajouta-t-il avec un sourire.
Aewin n'en revenait pas. Cet Elfe était décidément un bien étrange individu. Etrange, mystérieux, mais très sympathique. Elle fixa ses yeux azurés, mais savait qu'elle ne pouvait simplement dire merci et prendre l'or sans rien donner en échange. Elle le gratifia d'un sourire.
"Sylph... Merci, c'est très gentil mais... Bon, écoute, faisons comme ça alors. J'accepte ton or, mais à la seule condition que tu acceptes aussi quelque chose de ma part."
Elle fouilla dans l'une des poches intérieures de sa robe, et en tira une petite fiole en apparence banale, contenant un liquide verdâtre et assez visqueux.
"C'est une petite fiole de poison. Ca ne vaut sans doute pas tes 200 septims, mais elle te sera bien plus utile qu'à moi. Je l'avais concocté avec mon maître il y a de ça quelques mois. Elle permet de paralyser temporairement sa cible. Je pense que tu sauras en faire bon usage... Elle marqua une courte pause. Bon, et bien du coup je n'ai pas besoin de vendre mes potions de soins, mieux vaut qu'on les garde pour le trajet, ça peut toujours servir. Je vais faire un tour quand même, attendez-moi..."
A ces mots, elle tourna les talons et alla voir l'alchimiste. Elle observa les différents ingrédients proposés, mais ne trouva rien qui ne soit réellement à son goût. Sur le chemin pour revenir avec ses amis, Aewin se fit arrêter par un mage.
"L'avez-vous trouvé ? lui demanda-t-il, hagard.
- Je vous demande pardon ? répondit poliment la brétonne.
- L'avez-vous ? Il me le faut..."
A ces mots, il partit d'un pas pressé et quitta la Guilde. Aewin le regarda s'éloigner, sans comprendre. Elle entra dans la salle d'où il était sorti pour lui parler. C'était un grand bureau, avec de hauts rayonnages, une table basse et quelques chaises, et un plan de travail. De grandes tentures étaient tendues aux murs, et la salle était ornée d'un magnifique tapis rond représentant un oeil entouré d'un pentacle.
Sur le plan de travail, Aewin vit un livre à l'aspect étrange. De la Manipulation Mentale était indiqué sur la couverture. Elle feuilleta l'ouvrage, et observa un instant les rayonnages. Diverses oeuvres y étaient entreposées, toutes plus intéressantes les unes que les autres. Elle se perdit en contemplation pendant quelques minutes.
"Associée ! tonna une voix masculine derrière elle. Que faites-vous ici ?"
Aewin fit volte-face. Un homme en robe noire était sur le pas de la porte, les bras croisés, adossé dans l'encadrement.
"Je ne suis pas associée de votre Guilde, mage, répondit la brétonne. J'ai rencontré ce type bizarre, et j'ai vu cette salle. Je suis désolée de vous avoir dérangé et si c'est la cas...
- Vous ne me dérangez pas, mon enfant, la coupa l'homme en noir. J'apprécie juste qu'on me demande la permission avant d'entrer dans mon bureau et d'y fouiller mes affaires. Vous souhaitez entrer dans la Guilde ?
- Non, j'étudie la Magie hors de la Guilde, et mon seul désir vis-à-vis de votre organisation, c'est d'entretenir de bonnes relations avec ses membres. Quel est cet ouvrage ? dit-elle en pointant un volume poussiéreux intitulé Des Arcanes de la Magie Mineure.
- Oh, ça... Un vieil ouvrage sur les différents liens entre la Magie Arcanique et la Magie Mineure. Avec quelques astuces pour formuler des sorts en Arcanes. Prenez-le si vous voulez, je n'en ai plus l'utilité depuis longtemps. Il y a pas mal de temps que j'ai abandonné l'idée de maîtriser toutes ces formes étranges de Magie. En d'autres termes, j'ai dû me spécialiser, ajouta-t-il d'un air triste. Il est impossible de tout comprendre dans notre exercice, croyez-moi... Si vous repassez par ici, n'hésitez pas à venir me voir, jeune fille. J'aimerais savoir ce que vous avez pensé de cet ouvrage, et j'aime à savoir que mon aide est parfois utile à quelqu'un, pas comme cette peau-de-galopin qui dirige notre Guilde locale et qui passe son temps à lire sans se préoccuper de la formation de nos successeurs...
- Merci... fut la seule réponse qu'Aewin trouva.
- Je vous en prie, maintenant, veuillez me laisser reprendre possession de mon bureau, j'ai à faire, mon enfant. Revenez quand vous voulez, mais demandez avant d'entrer la prochaine fois, c'est tout ce que je vous demande... ajouta-t-il avec un sourire."
Aewin sortit de la salle, serrant son précieux livre contre elle, et retourna voir ses amis.
"Kimey, j'ai fini ce que j'avais à faire ici, nous devrions rejoindre les autres maintenant, et nous mettre en route avant qu'il ne soit trop tard..."
Une fois entrés, Kimey lui indiqua où se trouvait l'alchimiste et alla s'installer dans un coin. Sylph s'approcha de la brétonne, et lui annonça :
"Tiens, Aewin, je n'en ai pas besoin et je ne les utiliserais pas, alors, si tu veux bien accepter..."
Il lui posa les septims dans les mains, ne lui laissant pas le temps d'élaborer d'autre réponse qu'ouvrir et refermer la bouche.
"S'il il y'en a trop, garde la monnaie, j'en ai encore bien assez, et aucune utilité, et a ce que j'ai pu comprendre, tu en avais besoin non ?", ajouta-t-il avec un sourire.
Aewin n'en revenait pas. Cet Elfe était décidément un bien étrange individu. Etrange, mystérieux, mais très sympathique. Elle fixa ses yeux azurés, mais savait qu'elle ne pouvait simplement dire merci et prendre l'or sans rien donner en échange. Elle le gratifia d'un sourire.
"Sylph... Merci, c'est très gentil mais... Bon, écoute, faisons comme ça alors. J'accepte ton or, mais à la seule condition que tu acceptes aussi quelque chose de ma part."
Elle fouilla dans l'une des poches intérieures de sa robe, et en tira une petite fiole en apparence banale, contenant un liquide verdâtre et assez visqueux.
"C'est une petite fiole de poison. Ca ne vaut sans doute pas tes 200 septims, mais elle te sera bien plus utile qu'à moi. Je l'avais concocté avec mon maître il y a de ça quelques mois. Elle permet de paralyser temporairement sa cible. Je pense que tu sauras en faire bon usage... Elle marqua une courte pause. Bon, et bien du coup je n'ai pas besoin de vendre mes potions de soins, mieux vaut qu'on les garde pour le trajet, ça peut toujours servir. Je vais faire un tour quand même, attendez-moi..."
A ces mots, elle tourna les talons et alla voir l'alchimiste. Elle observa les différents ingrédients proposés, mais ne trouva rien qui ne soit réellement à son goût. Sur le chemin pour revenir avec ses amis, Aewin se fit arrêter par un mage.
"L'avez-vous trouvé ? lui demanda-t-il, hagard.
- Je vous demande pardon ? répondit poliment la brétonne.
- L'avez-vous ? Il me le faut..."
A ces mots, il partit d'un pas pressé et quitta la Guilde. Aewin le regarda s'éloigner, sans comprendre. Elle entra dans la salle d'où il était sorti pour lui parler. C'était un grand bureau, avec de hauts rayonnages, une table basse et quelques chaises, et un plan de travail. De grandes tentures étaient tendues aux murs, et la salle était ornée d'un magnifique tapis rond représentant un oeil entouré d'un pentacle.
Sur le plan de travail, Aewin vit un livre à l'aspect étrange. De la Manipulation Mentale était indiqué sur la couverture. Elle feuilleta l'ouvrage, et observa un instant les rayonnages. Diverses oeuvres y étaient entreposées, toutes plus intéressantes les unes que les autres. Elle se perdit en contemplation pendant quelques minutes.
"Associée ! tonna une voix masculine derrière elle. Que faites-vous ici ?"
Aewin fit volte-face. Un homme en robe noire était sur le pas de la porte, les bras croisés, adossé dans l'encadrement.
"Je ne suis pas associée de votre Guilde, mage, répondit la brétonne. J'ai rencontré ce type bizarre, et j'ai vu cette salle. Je suis désolée de vous avoir dérangé et si c'est la cas...
- Vous ne me dérangez pas, mon enfant, la coupa l'homme en noir. J'apprécie juste qu'on me demande la permission avant d'entrer dans mon bureau et d'y fouiller mes affaires. Vous souhaitez entrer dans la Guilde ?
- Non, j'étudie la Magie hors de la Guilde, et mon seul désir vis-à-vis de votre organisation, c'est d'entretenir de bonnes relations avec ses membres. Quel est cet ouvrage ? dit-elle en pointant un volume poussiéreux intitulé Des Arcanes de la Magie Mineure.
- Oh, ça... Un vieil ouvrage sur les différents liens entre la Magie Arcanique et la Magie Mineure. Avec quelques astuces pour formuler des sorts en Arcanes. Prenez-le si vous voulez, je n'en ai plus l'utilité depuis longtemps. Il y a pas mal de temps que j'ai abandonné l'idée de maîtriser toutes ces formes étranges de Magie. En d'autres termes, j'ai dû me spécialiser, ajouta-t-il d'un air triste. Il est impossible de tout comprendre dans notre exercice, croyez-moi... Si vous repassez par ici, n'hésitez pas à venir me voir, jeune fille. J'aimerais savoir ce que vous avez pensé de cet ouvrage, et j'aime à savoir que mon aide est parfois utile à quelqu'un, pas comme cette peau-de-galopin qui dirige notre Guilde locale et qui passe son temps à lire sans se préoccuper de la formation de nos successeurs...
- Merci... fut la seule réponse qu'Aewin trouva.
- Je vous en prie, maintenant, veuillez me laisser reprendre possession de mon bureau, j'ai à faire, mon enfant. Revenez quand vous voulez, mais demandez avant d'entrer la prochaine fois, c'est tout ce que je vous demande... ajouta-t-il avec un sourire."
Aewin sortit de la salle, serrant son précieux livre contre elle, et retourna voir ses amis.
"Kimey, j'ai fini ce que j'avais à faire ici, nous devrions rejoindre les autres maintenant, et nous mettre en route avant qu'il ne soit trop tard..."
#190
Ryukan
Posté 29 mai 2007 - 14:26
Aewin accepta les septims de Sylph, et lui dit :
"Sylph... Merci, c'est très gentil mais... Bon, écoute, faisons comme ça alors. J'accepte ton or, mais à la seule condition que tu acceptes aussi quelque chose de ma part."Elle fouillat dans sa sacoche et en sorti une fiole :
C'est une petite fiole de poison. Ca ne vaut sans doute pas tes 200 septims, mais elle te sera bien plus utile qu'à moi. Je l'avais concocté avec mon maître il y a de ça quelques mois. Elle permet de paralyser temporairement sa cible. Je pense que tu sauras en faire bon usage...
"Merci, c'est vrai que j'utilise assez souvent des poisons au combat, et celui ci me semble fort utile je te remerci beaucoup, mais tu sais, tu n'étais pas obligé, ce n'est q'un peu d'or que je t'ai offert, c''est trois fois rien, mais bon, merci quand même, je pense qu'il me sera utile si nous serons obligés de nous battre contre les bandits qui ont enlevés ton maître !"
Sylph se sentit géné, il ne recevait pas souvent de cadeaux, mais celui ci lui fit tout de même plaisir, Il observa un instant la fiole de poison, celle ci était verte, et semblait visqueuse, elle avait l'air bien préparée et prouvé qu'un maitre avait participer a sa création.
Aewin dit :
"Bon, et bien du coup je n'ai pas besoin de vendre mes potions de soins, mieux vaut qu'on les garde pour le trajet, ça peut toujours servir. Je vais faire un tour quand même, attendez-moi..."
"A toute à l'heure"
Aewin partit et Sylph alla parler avec Kimey.
"Sylph... Merci, c'est très gentil mais... Bon, écoute, faisons comme ça alors. J'accepte ton or, mais à la seule condition que tu acceptes aussi quelque chose de ma part."Elle fouillat dans sa sacoche et en sorti une fiole :
C'est une petite fiole de poison. Ca ne vaut sans doute pas tes 200 septims, mais elle te sera bien plus utile qu'à moi. Je l'avais concocté avec mon maître il y a de ça quelques mois. Elle permet de paralyser temporairement sa cible. Je pense que tu sauras en faire bon usage...
"Merci, c'est vrai que j'utilise assez souvent des poisons au combat, et celui ci me semble fort utile je te remerci beaucoup, mais tu sais, tu n'étais pas obligé, ce n'est q'un peu d'or que je t'ai offert, c''est trois fois rien, mais bon, merci quand même, je pense qu'il me sera utile si nous serons obligés de nous battre contre les bandits qui ont enlevés ton maître !"
Sylph se sentit géné, il ne recevait pas souvent de cadeaux, mais celui ci lui fit tout de même plaisir, Il observa un instant la fiole de poison, celle ci était verte, et semblait visqueuse, elle avait l'air bien préparée et prouvé qu'un maitre avait participer a sa création.
Aewin dit :
"Bon, et bien du coup je n'ai pas besoin de vendre mes potions de soins, mieux vaut qu'on les garde pour le trajet, ça peut toujours servir. Je vais faire un tour quand même, attendez-moi..."
"A toute à l'heure"
Aewin partit et Sylph alla parler avec Kimey.
#191
Trias
Posté 29 mai 2007 - 15:03
La bretonne courait à en perdre haleine à travers les rues de Skingrad. Quelle imbécile elle faisait! Y'avait un type qui était au moins deux fois plus rapide qui apparaissait et disparaissait comme il le voulait, et elle ne trouvait rien de mieux à faire que de le provoquer alors qu'il faisait mine de partir... Pfff...
Elle prit une rue de direction opposée à l'écurie, puis deux autres perpendiculaire, dans l'espoir de semer son poursuivant si poursuivant il y avait. La jeune mage fit encore un détour, puis ralentit sa course et reprit son souffle. Elle était relativement sportive pour une magicienne, et la course représentait parfois un précieux moyen de fuite, lorsque ladite activité devenait nécessaire.
La vision des esprits de la populace autour d'elle commençait à lui donner la nausée, et elle interrompit donc le sortilège, revenant à ses facultés visuelles ordinaires. Pourquoi cet individu s'amusait-il ainsi à lui foutre la trouille puis à lui servir un discours sur l'un de ses amis? Qu'est-ce qui pouvait bien y avoir d'aussi intéressant à observer une jeune fille lambda dans son genre?
Maelicia reprit sa marche d'un pas rapide, en direction de l'écurie cette fois, et laissa une fois de plus errer ses pensées. Sa visite à skingrad devenait de plus en plus perturbante. Elle ne connaissait pas Bravil, mais éspérait au moins que ce serait un lieu plus fréquentable. L'avenir prouverait qu'elle se trompait lamentablement sur ce point.
Elle arriva sur place quelques minutes plus tard. Briséadius était déja sur place, et elle le rejoignit, son visage affichant un sourire réconfortant. Les autres finiraient certainement par arriver, d'une minute à l'autre, ce qui leur permettrait enfin d'aller seccourir cet infortuné de Tederwen...
Elle prit une rue de direction opposée à l'écurie, puis deux autres perpendiculaire, dans l'espoir de semer son poursuivant si poursuivant il y avait. La jeune mage fit encore un détour, puis ralentit sa course et reprit son souffle. Elle était relativement sportive pour une magicienne, et la course représentait parfois un précieux moyen de fuite, lorsque ladite activité devenait nécessaire.
La vision des esprits de la populace autour d'elle commençait à lui donner la nausée, et elle interrompit donc le sortilège, revenant à ses facultés visuelles ordinaires. Pourquoi cet individu s'amusait-il ainsi à lui foutre la trouille puis à lui servir un discours sur l'un de ses amis? Qu'est-ce qui pouvait bien y avoir d'aussi intéressant à observer une jeune fille lambda dans son genre?
Maelicia reprit sa marche d'un pas rapide, en direction de l'écurie cette fois, et laissa une fois de plus errer ses pensées. Sa visite à skingrad devenait de plus en plus perturbante. Elle ne connaissait pas Bravil, mais éspérait au moins que ce serait un lieu plus fréquentable. L'avenir prouverait qu'elle se trompait lamentablement sur ce point.
Elle arriva sur place quelques minutes plus tard. Briséadius était déja sur place, et elle le rejoignit, son visage affichant un sourire réconfortant. Les autres finiraient certainement par arriver, d'une minute à l'autre, ce qui leur permettrait enfin d'aller seccourir cet infortuné de Tederwen...
#192
Shoulden
Posté 29 mai 2007 - 17:28
*L'homme enveloppé de sa cape noir observe la scène depuis les toits de Skingrad, sans dire un mot, restant là, a regarder*
#193
Darkhammer
Posté 29 mai 2007 - 17:52
Brise entendit quelqu'un arriver dans son dos, au bruit du pas mal assuré et très sonore, il n'eu pas de mal à reconnaître celle-ci:
"Je... Je te prie de m'excuser Maelicia, je me suis un peu emporter tout à l'heure, disons que ce n'était qu'un coup d'éclaire..."
Brise se retourna et s'approcha de celle-ci, il la pris dans ses bras avant de déposer un doux baisé sur les lèvres de celle-ci. Il ajouta ensuite avec un sourrire ironique:
"Hum, une fois à Bravil il faudra que tu te fasse seché, ta robe est de nouveau moulante!"
Brise éclatat de rire.
"Je doute par contre que si on passe le nuit à Bravil, ce qui est certain d'ailleur. Je ne pourrai éberger tout le monde chez moi, mais par contre, toi je saurais t'éberger. Je te rassure, j'ai bien entendu une petite chambre d'ami, car j'immagine que tu as toujours des apréhension en ce qui concerte la coéxistance nocturne, je me trompe?"
Brise se remit à rire.
"Je... Je te prie de m'excuser Maelicia, je me suis un peu emporter tout à l'heure, disons que ce n'était qu'un coup d'éclaire..."
Brise se retourna et s'approcha de celle-ci, il la pris dans ses bras avant de déposer un doux baisé sur les lèvres de celle-ci. Il ajouta ensuite avec un sourrire ironique:
"Hum, une fois à Bravil il faudra que tu te fasse seché, ta robe est de nouveau moulante!"
Brise éclatat de rire.
"Je doute par contre que si on passe le nuit à Bravil, ce qui est certain d'ailleur. Je ne pourrai éberger tout le monde chez moi, mais par contre, toi je saurais t'éberger. Je te rassure, j'ai bien entendu une petite chambre d'ami, car j'immagine que tu as toujours des apréhension en ce qui concerte la coéxistance nocturne, je me trompe?"
Brise se remit à rire.
#194
Trias
Posté 29 mai 2007 - 19:02
Le guerrier l'entendit arriver plus qu'il ne la vit. Il faudrait vraiment qu'elle s'achète des chaussures plus silencieuses...
"Je... Je te prie de m'excuser Maelicia, je me suis un peu emporter tout à l'heure, disons que ce n'était qu'un coup d'éclair..."
"N'en parlons plus. Ou plutôt si : la prochaine fois que je voudrais t'agresser je ferai en sorte de porter un bandeau sur le visage pour que tu puisses me voir de loin et m''éviter" lui répondit celle ci en pouffant, oubliant sa peur et sa colère passées.
"Hum, une fois à Bravil il faudra que tu te fasse seché, ta robe est de nouveau moulante!"
"Hein, quoi, comment ça moulante?"fit son interlocutrice en jetant un coup d'oeil alarmé à sa robe détrempée. Et le pire c'est qu'il exagérait à peine. Bien que fort peu adepte des concours du type "tuniques mouillées" qui avaient lieu dans les sphères les plus dépravées de Cyrodiil, si ça s'aggravait cela risquait de devenir compromettant. La petite bretonne se demanda soudain si c'était bien à cause de sa voix que les passants s'étaient retournés...
Elle rabattit sa cape plus largement, de manière à pallier aux suggestions éventuelles de sa robe, et fixa Briséadius avec une moue pincée.
"Y'avait autre chose ou c'est tout? "
Brise éclatat de rire, au grand dépit de l'étudiante en magie qui rosit légèrement.
"Je doute par contre que si on passe le nuit à Bravil, ce qui est certain d'ailleur. Je ne pourrai éberger tout le monde chez moi, mais par contre, toi je saurais t'éberger. Je te rassure, j'ai bien entendu une petite chambre d'ami, car j'immagine que tu as toujours des apréhension en ce qui concerte la coéxistance nocturne, je me trompe?"
Elle allait se venger. Elle s'appuya sur une poutre de l'écurie, et jeta d'un air espiègle un coup d'oeil à la fierté de son viril compagnon:
"En effet, j'apréhende. J'ai beaucoup d'imagination, et je crains d'être déçue par les dimensions de la réalité"
Et tandis qu'ils attendaient leurs amis pour le départ, ce ne furent pas les éclats de rires de Briséadius qui résonnèrent après cette pique...
"Je... Je te prie de m'excuser Maelicia, je me suis un peu emporter tout à l'heure, disons que ce n'était qu'un coup d'éclair..."
"N'en parlons plus. Ou plutôt si : la prochaine fois que je voudrais t'agresser je ferai en sorte de porter un bandeau sur le visage pour que tu puisses me voir de loin et m''éviter" lui répondit celle ci en pouffant, oubliant sa peur et sa colère passées.
"Hum, une fois à Bravil il faudra que tu te fasse seché, ta robe est de nouveau moulante!"
"Hein, quoi, comment ça moulante?"fit son interlocutrice en jetant un coup d'oeil alarmé à sa robe détrempée. Et le pire c'est qu'il exagérait à peine. Bien que fort peu adepte des concours du type "tuniques mouillées" qui avaient lieu dans les sphères les plus dépravées de Cyrodiil, si ça s'aggravait cela risquait de devenir compromettant. La petite bretonne se demanda soudain si c'était bien à cause de sa voix que les passants s'étaient retournés...
Elle rabattit sa cape plus largement, de manière à pallier aux suggestions éventuelles de sa robe, et fixa Briséadius avec une moue pincée.
"Y'avait autre chose ou c'est tout? "
Brise éclatat de rire, au grand dépit de l'étudiante en magie qui rosit légèrement.
"Je doute par contre que si on passe le nuit à Bravil, ce qui est certain d'ailleur. Je ne pourrai éberger tout le monde chez moi, mais par contre, toi je saurais t'éberger. Je te rassure, j'ai bien entendu une petite chambre d'ami, car j'immagine que tu as toujours des apréhension en ce qui concerte la coéxistance nocturne, je me trompe?"
Elle allait se venger. Elle s'appuya sur une poutre de l'écurie, et jeta d'un air espiègle un coup d'oeil à la fierté de son viril compagnon:
"En effet, j'apréhende. J'ai beaucoup d'imagination, et je crains d'être déçue par les dimensions de la réalité"
Et tandis qu'ils attendaient leurs amis pour le départ, ce ne furent pas les éclats de rires de Briséadius qui résonnèrent après cette pique...
Modifié par Trias, 29 mai 2007 - 19:04.
#195
Ryukan
Posté 29 mai 2007 - 19:17
Aewin revint et le petit groupe a la guilde attendi encore un peu, au bout de plusieurs minutes a parler, rigoler et à passer le temps, Sylph déclara :
"Je pense qu'il ont finits, ca fait deja pas mal de temps, on ferrait mieux de retourner les voirs non ? Et puis, le plus tôt on partira et le mieux ce sera ! J'y vais, je pars devant !"
Il regarda dans ses affaires s'il n'avait rien perdu, vérifia et conclu qu'il avait tout. Il salua les membres de la guilde, se dirigea vers la lourde porte et l'ouvrit .
Le ciel était encore sombre, il pleuvait encore ce qui rendit Sylph heureux, il avança un peu dans la rue vers la porte, il devait encore marcher dans toute la ville !
Au bout de quelques minutes, il put apercevoir l'auberge d'auparavant, et comme les deux tourtereaux n'étaient plus la, il conclut qu'il était partis aux écuries .
Il continua son chemin, et quand il aperçut les portes de la ville menant aux écuries, il aperçut une silouhette, il crut la reconnaître, il l'avait déjà rencontré deux ans auparavant, puis l'avait quitté, quand celle ci constata que Sylph l'observait elle parti en courant .
"Ca ne peut pas être lui , pourquoi lui ? il a déjà fait assez de peine !" pensa Sylph
Sur ces dernières pensées, Sylph eu les larmes aux yeux, tandi qu'une de celle ci coula le long de sa joue. Il resta un moment, perdu dans ses pensées, a pleurer sur quelque chose, qui manifestement lui faisait très mal, et dont il cherché a oublier l'existance .
Il reprit sa route aux bouts de quelques instants, sortit de la ville et arriva aux écuries.
Il fit un signe de tête aux deux tourteraux, ceux ci avaient peut etre remarqué les yeux plus claires de Sylph, dus aux larmes qu'il avaient pleurées .
"Je pense qu'il ont finits, ca fait deja pas mal de temps, on ferrait mieux de retourner les voirs non ? Et puis, le plus tôt on partira et le mieux ce sera ! J'y vais, je pars devant !"
Il regarda dans ses affaires s'il n'avait rien perdu, vérifia et conclu qu'il avait tout. Il salua les membres de la guilde, se dirigea vers la lourde porte et l'ouvrit .
Le ciel était encore sombre, il pleuvait encore ce qui rendit Sylph heureux, il avança un peu dans la rue vers la porte, il devait encore marcher dans toute la ville !
Au bout de quelques minutes, il put apercevoir l'auberge d'auparavant, et comme les deux tourtereaux n'étaient plus la, il conclut qu'il était partis aux écuries .
Il continua son chemin, et quand il aperçut les portes de la ville menant aux écuries, il aperçut une silouhette, il crut la reconnaître, il l'avait déjà rencontré deux ans auparavant, puis l'avait quitté, quand celle ci constata que Sylph l'observait elle parti en courant .
"Ca ne peut pas être lui , pourquoi lui ? il a déjà fait assez de peine !" pensa Sylph
Sur ces dernières pensées, Sylph eu les larmes aux yeux, tandi qu'une de celle ci coula le long de sa joue. Il resta un moment, perdu dans ses pensées, a pleurer sur quelque chose, qui manifestement lui faisait très mal, et dont il cherché a oublier l'existance .
Il reprit sa route aux bouts de quelques instants, sortit de la ville et arriva aux écuries.
Il fit un signe de tête aux deux tourteraux, ceux ci avaient peut etre remarqué les yeux plus claires de Sylph, dus aux larmes qu'il avaient pleurées .
Modifié par Ryukan, 29 mai 2007 - 19:18.
#196
Daimyo Tai Shi
Posté 29 mai 2007 - 20:05
"Je pense qu'il ont finits, annonça Sylph, ca fait deja pas mal de temps, on ferrait mieux de retourner les voirs non ? Et puis, le plus tôt on partira et le mieux ce sera ! J'y vais, je pars devant !"
Aewin le regarda s'éloigner dans l'obscurité de la nuit. Se tournant vers les autres, elle ajouta :
"Je vais faire de même. Vous ne devriez pas traîner, tous les deux. Nos deux tourtereaux sont sans doute prêts à partir, et rabibochés avec ça, j'espère..."
A ces mots, elle tourna les talons et partit en direction de l'écurie, comme convenu plus tôt. Enfin, l'heure du départ avait sonné. Il était temps. Elle s'inquiétait de plus en plus du devenir de Terdewen, mais gardait l'espoir de le sauver de ses agresseurs. Elle repensa à la scène, à l'enlèvement... Pourquoi une telle sauvagerie ? Quel intérêt ? Son maître avait-il touché à quelque chose qu'il n'aurait pas dû toucher ? Etait-ce le simple fait d'un malencontreux hasard ?
Aewin revint à la réalité, et se rendit compte qu'elle était presque arrivée. Elle ne voyait pas ses compagnons, et se demanda si les autres l'avaient suivie (sans doute, mais il faisait sombre, et elle avait pensé pendant tout le trajet)...
Pénétrant dans l'écurie, elle retira son capuchon, et déclara avec un grand sourire, à la vue de Maelicia et Brise :
"Ca y est les amoureux, vous êtes rabibochés ?"
Elle les observa l'un après l'autre, et aperçut Sylph au fond, en train d'harnacher sa monture. Il paraissait comme mis à l'écart, comme si quelque chose n'allait pas avec les deux autres. Aewin laissa cela pour plus tard, elle aurait sans doute l'occasion de lui parler pendant le voyage. Puis elle reprit :
"Nous devrions y aller. Il est plus que temps, et nous ne pourrons pas nous reposer cette nuit. Les bandits auront sûrement campé cette nuit, pour se reposer et préparer la suite de leur voyage de demain. Si nous partons maintenant, nous avons peut-être encore la possibilité de leur tomber dessus pendant leur sommeil, ou au moins de les rattraper. Tout le monde est prêt à partir ? demanda-t-elle. Avons-nous les vivres nécessaires au voyage d'ailleurs ?"
Aewin le regarda s'éloigner dans l'obscurité de la nuit. Se tournant vers les autres, elle ajouta :
"Je vais faire de même. Vous ne devriez pas traîner, tous les deux. Nos deux tourtereaux sont sans doute prêts à partir, et rabibochés avec ça, j'espère..."
A ces mots, elle tourna les talons et partit en direction de l'écurie, comme convenu plus tôt. Enfin, l'heure du départ avait sonné. Il était temps. Elle s'inquiétait de plus en plus du devenir de Terdewen, mais gardait l'espoir de le sauver de ses agresseurs. Elle repensa à la scène, à l'enlèvement... Pourquoi une telle sauvagerie ? Quel intérêt ? Son maître avait-il touché à quelque chose qu'il n'aurait pas dû toucher ? Etait-ce le simple fait d'un malencontreux hasard ?
Aewin revint à la réalité, et se rendit compte qu'elle était presque arrivée. Elle ne voyait pas ses compagnons, et se demanda si les autres l'avaient suivie (sans doute, mais il faisait sombre, et elle avait pensé pendant tout le trajet)...
Pénétrant dans l'écurie, elle retira son capuchon, et déclara avec un grand sourire, à la vue de Maelicia et Brise :
"Ca y est les amoureux, vous êtes rabibochés ?"
Elle les observa l'un après l'autre, et aperçut Sylph au fond, en train d'harnacher sa monture. Il paraissait comme mis à l'écart, comme si quelque chose n'allait pas avec les deux autres. Aewin laissa cela pour plus tard, elle aurait sans doute l'occasion de lui parler pendant le voyage. Puis elle reprit :
"Nous devrions y aller. Il est plus que temps, et nous ne pourrons pas nous reposer cette nuit. Les bandits auront sûrement campé cette nuit, pour se reposer et préparer la suite de leur voyage de demain. Si nous partons maintenant, nous avons peut-être encore la possibilité de leur tomber dessus pendant leur sommeil, ou au moins de les rattraper. Tout le monde est prêt à partir ? demanda-t-elle. Avons-nous les vivres nécessaires au voyage d'ailleurs ?"
#197
Trias
Posté 29 mai 2007 - 20:46
"Ca y est les amoureux, vous êtes rabibochés ?"
La bretonne se retourna, avec un sourire qui lui faisait deux fois le tour de la tête. Visiblement elle sortait d'une conversation on ne peut plus divertissante, mais elle ne souffla mot sur le thème exact de celle ci. Aewin leur suggèra de partir au plus vite, et Maelicia acquiesça, en lui expliquant également que les sacoches de leurs chevaux contenaient de quoi assumer le trajet du point de vue alimentaire.
Elle fit une courbette de marjordome devant la monture de Briséadius, que celui ci monta, puis en fit autant mais avec une technique plus sophistiquée cette fois : elle fit passer un large pan de sa cape par dessus le cheval, et sa jambe par dessous, limitant au maximum la révélation de ses bien construites gambettes.
En jetant un regard circulaire elle vit ses autres compagnons revenant de leurs derniers préparatifs urbains. Ils remontèrent chacun sur leurs montures respectives, Aewin partageant celle de Sylph, en croupe, tandis que Kimey et Sonia se réappropriaient chacun la leur.
Ils étaient prêts. Tederwen allait enfin pouvoir être secouru comme il se devait. Levant la main d'un geste ample, la petite bretonne lança la chevauchée:
"En avaaaant!"
s'écria-t'elle. La large manche de sa robe de son geste triomphal eût hélas pour effet secondaire d'effrayer le cheval de Briséadius, qui partit en trombe dans un hennissement de terreur. Les éclats de rire dérrière nos deux cavaliers leurs indiquèrent que le reste du groupe les suivait, emboitant le pas à cette magistrale mise en bouche.
Les six aventuriers s'élancèrent dans les immenses étendues du weald. Direction, Bravil.
La bretonne se retourna, avec un sourire qui lui faisait deux fois le tour de la tête. Visiblement elle sortait d'une conversation on ne peut plus divertissante, mais elle ne souffla mot sur le thème exact de celle ci. Aewin leur suggèra de partir au plus vite, et Maelicia acquiesça, en lui expliquant également que les sacoches de leurs chevaux contenaient de quoi assumer le trajet du point de vue alimentaire.
Elle fit une courbette de marjordome devant la monture de Briséadius, que celui ci monta, puis en fit autant mais avec une technique plus sophistiquée cette fois : elle fit passer un large pan de sa cape par dessus le cheval, et sa jambe par dessous, limitant au maximum la révélation de ses bien construites gambettes.
En jetant un regard circulaire elle vit ses autres compagnons revenant de leurs derniers préparatifs urbains. Ils remontèrent chacun sur leurs montures respectives, Aewin partageant celle de Sylph, en croupe, tandis que Kimey et Sonia se réappropriaient chacun la leur.
Ils étaient prêts. Tederwen allait enfin pouvoir être secouru comme il se devait. Levant la main d'un geste ample, la petite bretonne lança la chevauchée:
"En avaaaant!"
s'écria-t'elle. La large manche de sa robe de son geste triomphal eût hélas pour effet secondaire d'effrayer le cheval de Briséadius, qui partit en trombe dans un hennissement de terreur. Les éclats de rire dérrière nos deux cavaliers leurs indiquèrent que le reste du groupe les suivait, emboitant le pas à cette magistrale mise en bouche.
Les six aventuriers s'élancèrent dans les immenses étendues du weald. Direction, Bravil.
Modifié par Trias, 29 mai 2007 - 21:01.
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