139 réponses à ce sujet

[Timalk-Ae]

Aëana, une torche à la main, alla à la rencontre des trois dunmers en marchant sur la surface de l'eau nauséabonde.
- J'ai retrouvé ma bourse, ainsi que deux autres qui ne m'appartiennent pas. Il faudra les remettre aux gardes en même temps que lui et tout l'or qu'il porte à sa ceinture, afin qu'ils rendent tout cet argent à leurs propriétaires.
Elle regarda Kyuketsuki et Salizar prendre le voleur par les bras et ajouta :
- Je vous suis reconnaissante de m'avoir aidé. Je peux vous récompenser, mais je n'ai pas grand chose...

Modifié par Alkhazar, 23 février 2006 - 22:02.

[Shadow she-wolf]

Tout en marchant Malicia dit à Gnaeus:
- Vous voulez une auberge de bonne qualité a part celle du quartier Rédoran? j'ai bien peur de vous décevoir, dans les deux canton de Olms et Delyn n'en sont pas pourvu, les Telvannis ne voudrons pas de nous, celle du quartier étranger...vous avez pus voir son état, certes ce n'est pas très cher là-bas et chez les Hlaalus, le cercle n'est pas des plus fréquentable, remplis de voleurs et d'escrocs...je vous laisse décider, finit-elle au moment ils sont arrivé a l'étage supérieur du canton de St Delyn

Modifié par Shadow she-wolf, 23 février 2006 - 22:10.

[Salizar d'Ombrelune]

Salizar se glissa prestement derrière le voleur pour le désarmer et lui fit une clé de bras qui devait lui laisser un souvenir cuisant jusqu'à la fin de son incarcération. Ils l'amenèrent à un ordonnateur qui se chargea des "formalités". Alors qu'il partait, Salizar glissa à l'oreille du voleur
Au fait, j'espère que ma poussière de cendre ne t'a pas trop amoché, la pire chose que tu aurais pu attraper était un gros rhume...
Le voleur devint tout rouge et tenta de se précipiter vers Salizar, mais fut retenu par le garde. Salizar se mit juste en face de lui, à 3 cm de son visage et lui chuchota
Bonne vacances...

Puis il se retourna vers Aëana
Pour toute récompense, je souhaiterai que vous nous accompagniez à l'auberge et que vous nous racontiez ce que vous êtes venue faire ici, si cela ne vous dérange pas. Je répondrai bien sûr à vos question si vous aimez les histoires autant que moi. Kyuketsuki, ça ne sert à rien de les chercher cette nuit. Il y a trop d'auberges et de lieux possibles dans tout Vivec pour pouvoir les retrouver, hélas....

Modifié par Salizar d'Ombrelune, 23 février 2006 - 22:11.

[Timalk-Ae]

Aëana retrouva son sourire habituel et, tout en rangeant soigneusement sa bourse au fond de sa sacoche, répondit :
- A votre guise, je vous dois bien cela. Et puis je serais ravie d'en savoir un peu plus sur vous. Sachez cependant que mon histoire n'a rien de bien extraordinaire. Il me serait même aisé de vous la résumer en quelques phrases. Je ne suis tout de même pas contre un petit verre et un brin de discussion. Mais je ne connais pas Vivec. Si vous connaissez une taverne sympathique, je vous suis... Oh, et je paie la tournée !

Modifié par Alkhazar, 23 février 2006 - 22:20.

[Not Quite Dead]

« Dans ce cas, je ne me montrerais pas trop difficile. Même si le luxe est agréable de temps à autre, je ne tiens pas à grever mon budget qui est, vous avez pu le constater, assez modeste. Eviter la crasse me suffira. »

S'appuyant sur la rambarde de pierre, il observa un instant la Cité qu'éclairait un soleil descendant déjà à l'horizon. On pouvait deviner dans le ciel, à l'Est, la pâle Secunda. Il se retourna vers la jeune fille et lui demanda:

« Et vous-même, où résidez-vous? Si c'est dans une auberge, je pourrais prendre une chambre dans le même établissement: cela nous éviterait de perdre du temps à nous courir après par la suite. Si vous avez votre propre demeure, c'est différent. S'il y a un jeune homme, ma présence risquerait de lui déplaire ou de faire jaser vos voisins. »

L'Impérial hocha la tête:

« Dans ce dernier cas de figure, l'auberge la plus proche de votre demeure ferait parfaitement l'affaire. La faible distance nous permettrait de nous voir aisément pour régler les détails afférent à notre affaire tout en préservant votre intimité. »

Modifié par Not Quite Dead, 23 février 2006 - 22:23.

[Shadow she-wolf]

Un sourire amusé apparue sur le visage de la bretonne et elle lui répondit:

- L'auberge la plus proche de chez moi? Très bien, si vous voulez, on devra traverser le quart de l'ile... en fait, j'habite encore chez ma mère, dans la cité impériale du nom de Caldera, qui se situe à la limite du territoire Rédoran, tout comme vous je ne suis arrivé que ce matin dans cette cité, je comptais me reposer au manoir vide de St Olms....mais comme cet endroit ne semble plus si sur que ça je vais l'éviter. Comme vous ne voulez pas aller chez les Rédoran et que je préfèrerais éviter la taverne du quartier étranger pour question d'hygiène il ne nous reste plus que le cercle Hlaalus...venez, on va réserver une chambre, mais soyez sur vos garde une fois entré dans le cercle.

Modifié par Shadow she-wolf, 23 février 2006 - 22:59.

[Templatre]

Echtelion descendis de l'échassier. Il avait mal a l'estomac du voyage, le bateau ne l'avait pas déjà arrangé, mais la il avait faili ressortir tripes et boyaux sur le conducteur. Mais il était enfin arrivé.

-Vous v'la a Vivec mon gars. Bonne chance pour la suite.

-Ou peut on trouver un endroit pour avoir un boulot ?

-Aller voir dans le quartier des étrangers, vous devriez trouver quelque chose la bas.

-Merci bien.

Décidé a trouver quelque chose, il se mit en route vers le quartier des étrangers. Il n'avait jamais vu autant de monde dans un seul endroit et se trouvait par la même occasion perdu dans la masse. Pas moyen d'aborder une personne pour lui demander un renseignement.

-S'il vous plait madame .... Monsieur ??

Personne ne l'entendait, mais la signalisation etait quand même présente et il arriva finalement a trouver une auberge tout en haut du quartier des étrangers. Quand il entra, il trouve que ce soit dedans ou dehors, il y avait autant de monde. il se dirigea vers le tenancier.

-Patron, il vous reste un endroit pour dormir ?

-Ca s'peut, faut voir si tu as ce qu'il faut.

-Si vous parlez d'argent, j'en ai.

-Alors je dois pouvoir te trouver une chambre.

-Je cherche aussi un boulot, je suis menuisier.

-Trouvera pas de boulot avec ça, on ne cherche que des soldats par ici ... escorte par la, protection par ici.

-Ca tombe bien, je suis aussi un peu mercenaire sur les bords ... voyer ... pour payer un logis ou de la nourriture.

-Ouais, mais j'ai pas de boulot pour toi, regarde en ville pour voir. Bon, tu as la chambre 8, tache de t'en souvenir. Pose tes affaires dedans, v'la la clef.

-Merci M'sieur.

Echtelion alla poser ses affaires dans la chambres, un petite pièces sans pretentions mais au moins on dort au sec ici, et la pitance n'a pas l'air mauvaise. Une bonne chose. Il décida de suivre les conseils du tenancier et d'aller voir en ville s'il ne pouvait pas trouver un boulot, mais sans armes et sans armure, il faisait un bien piètre mercenaire. Il n'inspirait pas vraiment confiance pour une escorte.

-Trouver une armure va etre dur ... pas de quoi m'en acheter une. Bon, trouver un travail ou l'habit ne fais pas le moine.

Ainsi résolu, Echtelion alla chercher un travail dans les divers quartiers de la ville, enfin pour commencer celui a coté. La ville etant très grande.

Modifié par Lancelot, 23 février 2006 - 23:13.

[Salizar d'Ombrelune]

Salizar répondit au sourire d' Aëana et dit à elle et à son compagnon :
Je pense que l'auberge la plus fréquentable pour nous est le Cercle de la Craie Noire. Les hlaalus sont les "moins pires" personnes à lesquelle s'adresser, et en outre j'ai quelques...amis là-bas, vous n'avez rien à craindre pour vos possessions. Vous pourrez dormir sur vos deux oreilles. Mais gardez les grandes, on entend toute sortes de choses, et une petite partie d'entre elle sont vraies...

Modifié par Salizar d'Ombrelune, 23 février 2006 - 23:03.

[Kyuketsuki]

Et revoilà nos 3 nouveaux amis en marche pour le canton hlaalu. Un pas devant l'autre bref une marche normale bien que préssée, que ce soit par présentiment ou simplement pour boire plus vite un coup.

-  Et bien quel beau couché de soleil , dit Salizar .

-  Je m'en passerai volontier, ce soleil rasant me grille les pupilles, se plaignit Kyuketsuki. Il fouilla dans sa poche et sorti deux ronds noircis de verre montés sur un fil de fer, qu'il accrocha a ses oreilles pointues et posa sur son nez fin.
J'apelle ceci des "binoculaires" commenta-t-il.

Il traverserent un pont , marcherent jusqu'a un angle et traverserent un autre pont, monterent dans le couloir pentu qui menait au l'entrée des complexes.

Salizar ouvrit la porte.

-  Hé bien, que de monde à cette heure ci, commenta Aëana.

En effet la foule était danse et Salizar , sortant un couteau de sa manche, en toute furtivité , les passants de leur bourses delestai.
Kyuketsuki ouvrit la porte du cercle a la volée,  et rendit son regard interogateur a qui lui en adressa un.

-  Allons nous asseoire dans le fond, desfois que nos amis arriveraient, d'ailleur heureusement qu'ils n'y sont pas, n'est-ce pas Kyuketsuki? Toujours besoin de faire impression...

Ils prirent une table, 2 verres (pas Kyuketsuki bien sur) et se mirent a attendre....

Modifié par argomut, 23 février 2006 - 23:32.

[Timalk-Ae]

Aëana, quelque peu refroidie par ce qu'elle avait entrevu, les bourses "empruntées" aux passants, plongeait le nez dans sa choppe de jus de baies dès qu'on lui adressait un regard, et ne souffla mot.
Elle venait de passer l'après-midi avec ces deux-là à arrêter un voleur, et elle découvre... où plutôt les faits lui confirment... que l'un de ses bienfaiteurs est aussi un voleur ! Elle aura appris plus en une seule journée à Morrowind qu'en une année à Hauteroche !

Modifié par Alkhazar, 23 février 2006 - 23:39.

[Not Quite Dead]

« J'imaginais que vous habitiez Vivec. » répondit simplement Gnaeus sans se fâcher de la boutade de la jeune Bretonne. « Le Cercle fera notre affaire. »

Il suivit la Bretonne jusqu'à l'auberge sans desserrer les dents.

Sous l'enseigne du Cercle de la Craie Noire, avant d'entrer, il lui glissa finalement à l'oreille: « Je croyais également que l'Ordre était votre seule famille. Vous voyez: il m'arrive de me tromper. »

Malicia se retourna vers lui. Son visage était impénétrable. Il lui fit signe d'entrer, non sans s'être assuré que sa bourse était toujours là où il l'avait laissé. Il comptait bien qu'elle y reste jusqu'à la fin de la soirée.

Modifié par Not Quite Dead, 23 février 2006 - 23:44.

[Kyuketsuki]

Kyuketsuki observait un homme apparament saoul au comptoir qui ecoutait en fait deux hommes parlant a coté tandis que d'un autre oeil il fixai Aëana.

-  Ne vous etonnez pas de decouvrir plusieurs facettes de personnalité et apprenez que les apparances sont souvent trompeuses.

Aëana releva la regard vers L'elf qui lui parlait

- Salizar est peut-etre un voleur mais il a un bon fond et n'est pas fourbe. Et chacun de ses forfaits est le resultat d'un entrainement difficile.

Modifié par argomut, 24 février 2006 - 00:15.

[Timalk-Ae]

Aëana fut complètement estomaquée par la tirade du dunmer. Elle ne voyait pas d'où il sortait cela ni où il voulait en venir.
- Et ?
Elle baissa le ton mais garda son air courroucé.
- Votre petite explication ne justifie pas le vol de toutes ces bourses. Comment pouvez-vous arrêter un voleur, le remettre aux gardes, puis voler les passants comme ce même voleur ? Ou plutôt, comment pouvez-vous vous regardez dans une glace après cela ? Que faites-vous de cet argent ? Pourquoi ne pas le gagner honnêtement plutôt que de priver ceux qui ont travaillé pour l'obtenir ?

Modifié par Alkhazar, 24 février 2006 - 00:05.

[Salizar d'Ombrelune]

Oh vous savez, mademoiselle, je ne me considère pas comme un voleur, mais plutot comme un guide dans l'école de la vie. Par exemple, la dernière personne à laquelle j'ai emprunté sa bourse. Il portait une alliance au doigt, signe qu'il était marié. Et il se dirigeait vers l'auberge pour y boire un coup. En l'empêchant de rentrer ce soir à minuit, je viens de donner un temps de sursis à son mariage, en même temps qu'une leçon de prudence. Vous voyez cet homme là-bas, qui surveille sa bourse d'un oeil tout en écoutant, il est vigilant, il a compris la leçon, peut-être s'est il déja fait vol... il s'arrêta soudain, reconnaissant l'Impérial rencontré plus tôt l'après-midi.

Il chuchota à ses deux compagnons
Mon Dieu, ce hasard...c'est l'homme que nous cherchons. Ne nous faisons pas remarquer et installons nous à une table à l'écart. Ne croisez son regard sous aucun prétexte, à part Dame Äeanna qu'il ne connaît pas. Hmm, mademoiselle, après ce que vous venez d'entendre, vous devez me considerer comme une sinistre crapule...Mais je vous assure que j'ai des circonstances qui me permettent d'agir comme cela en toute honnêteté, et je vous les conterai volontier. Après, ce sera à vous de décider si vous me croyez ou non.

Modifié par Salizar d'Ombrelune, 24 février 2006 - 00:09.

[Timalk-Ae]

Ils se déplacèrent discrètement et Aëana put reprendre la parole :
- Je ne vous vois pas comme une sinistre crapule mais vous n'êtes pas tout à fait honnête. Vous n'allez pas me dire que chacun de vos larcins et médité et juste tout de même ? Je ne vous dénnoncerai pas aux gardes car j'ai une dette envers vous, mais par pitié, ne volez plus rien en ma compagnie.
Elle observa l'impérial en plissant les yeux.
- Dites m'en plus sur lui, et pourquoi vous le recherchiez... Si vous voulez bien. Maintenant que je suis ici...

[hj] vais me coucher, avancez pas trop trop sans moi sivouplé merciii ^^ )

Modifié par Alkhazar, 24 février 2006 - 00:20.

[Salizar d'Ombrelune]

Je suis vraiment navré que cela vous gêne, je vous promet de me tenir tranquille à l'avenir. Enfin, comme vous avez dû le remarquer, je ne vole pas les bourses, je me contente d'emprunter quelques piécettes, histoire de ne pas perdre la main. Bref, l'impérial et la bretonne qui l'accompagne semblent être sur une mission mystérieuse, et comme la curiosité nous ronge, et que le mystère nous attire, nous avons décidé d'en savoir plus. Nous nous sommes croisé par hasard et avons décidé de nous associer malgré nos différences. Mais je vous assure que je ne suis pas une mauvaise fréquentation, quand on me connaît. J'ai juste une manière un peu plus désinvolte de voir les choses...

Modifié par Salizar d'Ombrelune, 24 février 2006 - 00:39.

[Kyuketsuki]

-  En fait je les ai surpris dans le manoir abandonné ou je medite,explique Kyuketsuki, et j'aime a savoir le fin mot d'une veritée que j'entrevoi a peine. Je les ai vus se donner un parchemin et quand j'ai été a leur rencontre je les ai invité pour qu'ils me fassent part de leurs aventures et ils m'ont faussé compagnie ce qui m'a fort couroussé. Voilà donc pourquoi je veux les retrouver. De plus la femme a l'air sympathique bien que l'homme le soit moins. Ils avaient croisé Salizar que je rencontrai par chance et nous nous sommes donné comme defi de les retrouver.

[Shadow she-wolf]

La bretonne et l'impérial pénétrèrent dans le cercle, un véritable capharnaüm s'offrit a leur oreilles, ils s'approchèrent du comptoir et Malicia s'adressa a l'aubergiste:

-Bonjour, auriez vous des chambres de libres?

L'aubergiste les regarda avec surprise, un couple qui a une différence d'âge aussi grande est vraiment....peu commune, mais elle acquiesça tout de même de la tête.

-Bien, en avez vous une avec deux lits, séparés par des cadrans?

Quelque peux rassurée, l'aubergiste leur donna une clé et leur dit:

-Voila, chambre cinq, ça vous fait  quinze pièces d'or s'il vous plait

Malicia lui donna les pièces d'or et prit la clé, ensuite elle commanda de quoi manger et boire, puis ils se tournèrent vers la sale: un grand nombre de personnes étaient déjà ivres mortes, et bizarrement la plupart des personnes encore sobre avaient les poches bien remplies, un véritable paradis pour les voleurs. Et ils se mirent a la recherche d'un table de libre; deux dunmers cadavériques, la bouche grande ouverte, de la bave en coulait, a coté d'eux une dizaines de bouteilles d'alcool, la moitié étaient vide, sur la table suivante, un humain très brusque essayait de vendre un objet a une toute jeune kajiite qui semblait plus terrorisée qu'autre chose, et enfin une table libre, ils y prirent place, sur la table de coté se trouvais deux dunmers qui leur tournaient le dos et une humaine qui semblait légèrement perdue.

Modifié par Shadow she-wolf, 24 février 2006 - 10:41.

[Kyuketsuki]

Kyuketsuki contemplait la scène d'apocalypse que lui offrait le cercle. il se retourna et ses yeux se posèrent sur la tête a 3/4 retournée de l'imperial. Il sursauta, se fit petit sur sa chaise et donna un petit coup de coude a salizar.

-   Sali, retourne toi tres doucement.

Il s'executa, lui aussi sursauta. Et s'enfonça sur sa chaise.

-  Mmmm.... certes. Que faire.

[Not Quite Dead]

« Très... pittoresque. » commenta Gnaeus en embrassant la salle du regard. Il n'avait pas beaucoup aimé la manière dont la patronne du Cercle l'avait tout d'abord dévisagé, avec ce mélange d'incrédulité et de dégoût.

Après avoir remis à la petite Kahjiit une ceinture ocre légèrement luisante, le Rougegarde s'approcha de leur table, avec un large sourire.

« Ah! L'Amour! » commença-t-il avec un clin d'oeil lubrique à Malicia. Posant son sac sans plus de cérémonie sur la table et commençant à farfouiller à l'intérieur, il poursuivit du même ton empressé « Une chance, mes bons amis, que Marvolo, la Providence des Amants soit passé par ici ce soir! J'ai tout ce que Monsieur a pu malencontreusement... » (nouveau clin d'oeil) « ...oublier d'offrir à Mademoiselle. Fleurs séchées, amulette porte-bonheur, parfum telvanni, ou toge cyrodiiléenne (la dernière mode, de la pure soie, divine au toucher), ainsi que...
- Vous faites erreur. Nous n'avons besoin de rien. » fit Gnaeus en se tournant vers l'importun, les lèvres pincées.

Le camelot ne se laissa pas désarçonner pour autant.

« Je vois que Monsieur est connaisseur. Dans ce cas je peux lui proposer cette poudre aux vertus... »

Regard glacial.

« ... ou alors cette potion qui décuplera son endurance et... »

Les yeux bruns du vétéran allèrent de ceux du Rougegarde à sa propre main, invitant l'intru à s'y intéresser également. Celle-ci avait mis à profit son petit discours pour glisser sous la table et se porter à proximité de la garde de son épée. En changeant de position, il s'était également légèrement décalé par rapport à la table afin de pouvoir dégainer d'un geste tout en se levant, si besoin était. Lorsque les yeux de la soit-disante Providence des Amants se posèrent sur le fourreau, d'une pression du pouce, Gnaeus fit sortir glisser son épée de quelques centimètres hors du fourreau.

Marvolo émit un rire nerveux et regarda alentour.

« Vous n'oseriez pas... »

L'Impérial leva un sourcil. Le Rougegarde déglutit.

« Bien. Je vais... je crois que quelqu'un... » Son fourbis réintégra en quelques instants son havresac et il se dirigea d'un pas vif vers le trio de la table voisine, en quête de clients moins irritables.

Il était temps: la fille de salle leur apportait leur commande, une spécialité hlaalu qui semblait fort appétissante, bien que fortement épicée. Gnaeus régla immédiatement la serveuse et souhaita à sa comparse un bon appétit.

Modifié par Not Quite Dead, 24 février 2006 - 11:26.

[Salizar d'Ombrelune]

Damnation, nous voici encore dans une situation épineuse. Bon, je sens que nous allons nous depêcher d'aller dans notre chambre, prenons la plus éloignée de la chambre 5. Je suppose que Dame Aëana désire une chambre seule. Quant à nous, nous prendrons une chambre pour deux et ferons des tours de garde pour ne pas rater le départ de l'impérial. Au fait, Dame Aënna, seriez-vous interressée par le fait de mettre un peu de piquant dans votre vie et d'accompagner deux aventuriers ? Plus on est de fous, plus on rit, et les voyages sont toujours moins longs quand on est 3. Mais je ne vous impose pas notre présence, vous pouvez tout aussi bien passer une bonne nuit et garder le souvenir de ces deux dunmers que vous croisât un jour dans les rues de Vivec. Le choix est à vous
Il sourit à Äeana

Modifié par Salizar d'Ombrelune, 24 février 2006 - 11:58.

[Timalk-Ae]

Avant que le vendeur n'arrive à leur table, Aëana, qui avait vu la scène puisqu'elle était plus ou moins face à la table de Malicia et de Gnaeus, lui dit avec la tête haute et un sourire froid :
- Ne vous fatiguez pas, il n'y a pas d'amour à cette table, ni plus d'argent à dépenser que celui qui l'est déjà.
- C'est que vous n'avez pas vu ce...
Aëana perdit son sourire.
- D'accord...
Le vendeur se hâta de retourner vers la sortie en marmonnant dans sa barbe.
- Rgnnn 'reviendrais plus dans cette taverne, ils sont tous saouls ou cinglés ici rgnn.

- Bon. Lâcha Aëana avec détermination. D'après ce que vous m'avez dit... Rien ne justifie que vous vous méliez de leur vie ! Leurs petites histoires ne vous regardent en rien !
Elle réfléchit en balayant le bois de la table du regard.
- D'un autre côté, peut-être qu'ils manigancent quelque chose de grave... Dans ce cas il faut les arrêter... Donc... Je suis d'accord pour que l'on tente de se renseigner. Mais s'il s'avère que ce qu'ils font n'a rien de mal, alors nous n'agiront pas. C'est d'accord ?

Modifié par Alkhazar, 24 février 2006 - 11:46.

[Kyuketsuki]

-  Je crain que vous j'ayez pas saisi, dit Kyuketsuki. On ne sait ce qu'ils font, c'est juste la curiosité qui nous pousse à les suivre. Peu importe que ce qu'il font soit grave ou pas. Je veu savoir ce que contenait ce parchemin et dans quel but ils voulaient en parler secretement. Et pour couronner le tout, vivec m'ennuie, j'ai soif d'aventure. Et c'est encore plus palpitant si ne n'avons pas le droit de savoir ce qu'ils nous cachent.

Modifié par argomut, 24 février 2006 - 11:56.

[Timalk-Ae]

Aëana soupira, exaspérée.
- Oh malheur... Vous êtes irrécupérables... Bon. Je vais dormir. Réveillez-moi quand ils partiront.
Elle alla au comptoir, donna quelques pièces à l'aubergiste, et avant d'aller à sa chambre, articula silencieusement "chambre six" à l'adresse des deux dunmers.

Modifié par Alkhazar, 24 février 2006 - 12:03.

[Shadow she-wolf]

Malicia et Gnaeus mangèrent en silence, puis quand elle eu finit la bretonne ce leva, elle donna la clé a l'impérial et lui dit:
-Tenez, je vais faire mes "courses", je devrais revenir d'ici une heure environ.

Puis elle se dirigea vers la sortie, un bosmer ivre la saisit par le poignet, il ne reçu qu'en récompense une grosse gifle qui n'eu d'autre effet que de le faire lâcher prise et de tomber de son banc, puis elle sortit en direction de la guilde des mages et de chez le pauvre Ralen Tilvur qui se retrouvera le lendemain avec une partie de son stock manquant.

Modifié par Shadow she-wolf, 24 février 2006 - 12:56.