28 réponses à ce sujet

[Not Quite Dead]

A pu? Fini? Dommage...

[Benji]

je vais essayé de continuer d'ici quelque jour mais pour l'instant, je finis les péripétie d'un légionnaires brétons

[lady negus]

Oulà ca fait longtemps là que personne n'a répondu, je trouvai le résultat bien pourtant, assez homogene (ce qui est surprenant...)

Je n'ai aucun talent d'écrivain moi, mais je vais quand même me lancer histoire de dire. Espérons que ca va faire remonter tout ceci et que les gens vont suivre.

Citation

1. Parier sur son isolement pour me présenter comme un pélerin afin de le mettre en confiance, tout ignorant qu'il doit être de ma tête mise à prix?

Moi dans un temple… C’est là qu’on voit que la situation est vraiment grave… Jamais je n’y aurai mis les pieds si je ne risquai pas de me faire arrêter à chaque instant, surtout depuis la mort de ces fichus argoniens.
Bon, ça doit être par ici… je ne savais pas les temples si grand, il y a au moins une dizaine de portes par ici. Soit il aime le luxe, soit il a beaucoup de gardes à porté de main.
Espérons qu’ils dorment profondément et n’ont pas appris la nouvelle de ma mise à prix…

Laquelle vais-je donc choisir ?
Amstram Gram… Oh et puis zut je n’ai pas le temps, celle ci.
Allant pour l’ouvrir j’entends des ronflements dignes d’un ogrim enrhumé. Je me dis qu’un prêtre seul ne doit pas faire autant de bruit, et il n’y a que les gardes en grand nombre pour faire autant de bruit. Je m’approche de la suivante et il n’en sort aucun bruit.


1. Je tente ma chance avec cette porte.
2. Je me dis qu’un prêtre ça doit quand même faire un peu de bruit en dormant et tente une  autre porte.
3. Je me dis que je tuerai bien les gardes à cotés comme ça si « j’aide » le prêtre à parler au moins ils ne me dérangeront pas…



Désolée pour le manque de longeur ainsi que la qualité mais c'est mon premier écrit.

[Elundel Ainaromen]

Une très bonne idée, cette histoire à ralonge. Et surtout, c'est agréable de voir les enrichissements que ça apporte à un scénario... Bon je me lance.

Citation

1. Je tente ma chance avec cette porte.

Avec mille précautions, j'entrebaillai la porte qui par chance ne grinça pas. Jetant un bref coup d'oeil, je compris que la pièce en question n'avait rien à voir avec une chambre de prêtre. De par ses dimensions, ce qui se trouvait en face de moi correspondait plus à une remise qu'à une chambre. Sans bruit, je me glissais à l'interieur de la salle. J'avais vu juste : plusieurs caisses étaient entassées contre le mur, deux jonchaient ouvertes sur le sol. Ne voulant pas risquer d'ameuter les gardes, je me penchai pour examiner leur contenu.

A ma grande stupeur, je vis que la première était remplie d'affiches sur lesquelles se tenait mon visage, remarquablement bien reproduit. Comment diable avaient-ils pu me représenter sans erreur ? Sûrement lorsque j'étais dans la maison des plaisirs terrestres, mais cela me semblait trop improbable. Une chose étais sûre, c'était que je ne pouvais désormais compter sur un quelconque anonymat : mon idée d'approcher en me présentant comme un simple pélerin était réduite à néant. De plus, avec le montant de la prime qui figurait en dessous de mon nom, jétais assuré de voir débarquer une dizaine de chasseurs de primes où que j'aille... Mais après tout, ça ne changeait pas grand chose à ce que je venais de vivre.

Je tournai ma tête pour voir ce que contenait la deuxième : elle était remplie de bouteilles de Shein. "Vraiment des hypocrites, ces prêtres, pensais-je". Sans raison apparente, j'en ramassai une, avec la ferme impression que cela allait m'être utile. Je pris également une dague qui trainait par terre.

J'étais maintenant de retour dans le long couloir, toujours silencieux. Avec une discrétion que je ne me connaissais pas (essayez donc d'être discret avec une armure lourde), je m'avançai vers une autre porte, derrière laquelle j'entendais de faibles ronflements. "Bingo, pensais-je, je tiens mon prêtre..."

Découpant un pan de ma cape avec ma dague, je roulai celui-ci en boule et, débouchant ma boutielle de Shein, je l'en imbibai en prenant garde de ne pas en faire couler par terre. Dans le silence le plus complet, je me glissai dans la chambre. "Encore un peu et je vais finir pas ressembler à un Kajit, songeais-je."

Le prêtre était là, allongé sur un luxueux lit. Je m'approchai et le réveillai d'un petit geste.
- Que...
Je ne lui laissai pas le temps de finir sa phrase. D'un geste vif, je lui fourrai l'étoffe dans la bouche, afin de l'empècher momentanément de parler, et lui collai de mon autre main ma dague sous la gorge.
- Un geste, un cri, et tu es mort. Je vais te poser des questions, contente-toi d'y répondre... si tu tiens à la vie.
J'otai le chiffon de sa bouche, avec la ferme volonté de commencer mon interrogatoire...

[1] Le prêtre hurle, et je lui tranche la gorge, mais les gardes débarquent.
[2] Il ne connait rien à mon histoire, mais me donne un endroit où je pourrais en apprendre plus. Je l'assome et je sors.
[3] Il me donne les renseignement demandés.

Voila, au suivant maintenant. Félicitations à tous ceux qui ont déja écrit, et bonne chance aux suivants.

Modifié par Elundel Ainaromen, 25 juillet 2005 - 13:53.