107 réponses à ce sujet

[Benji]

Aujourd’hui, c’est l’affolement général au Bureau des Taxes et du Recensement et dans tout Seyda Neen : le capitaine des gardes des la petit garnison du village  vient de recevoir un message de Coeurébène annonçant l’arrivée d’un bateau-prison aujourd’hui avec dizaines de détenus à libérer. Toute la population de la petite bourgade est en émoi et se massent sur les berges de la Mer Intérieur derrière la barrière des bâtiments officiels.

Ca y est, ils arrivent. Le bateau accostent et les ex-prisonnier sortent un par un de l’écoutille du navire. Tous les peuples de Tamriel y sont représenté : des braves Brétons aux fiers Aldmers en passant par les Impériaux et Khajits. Ce sont tous des détenus politiques que l’empereur à décidé de libérer ou des accusés innocenté. Dans le ciel, un Tigre-dragon tourne autour de la foule visiblement à la recherche de quelqu’un. Il tourbillonne encore quelque minute avant de filer comme le vent vers les montagnes de Pélagiad. Les nouveaux hommes et femmes libres ressortent enfin du Bureau des Taxes et du Recensement et se promènent dans le bourg.

Un grand Bréton d’une vingtaine d’année sort de la foule et se dirige vers l’auberge d’Arrile seul marchand de matériel et de sorts du village. En s’éloignant de la masse humaine compressé devant la bâtisse, il est bousculé par un vieil Dunmer ivre qui l’apostrophe :
- Eh… Tu pou pou pourrais faire at at attention, taulard !
Et, sur cette insulte, sort une dague et se jette sur le Bréton. Avant d’avoir pu le toucher, il est paralysé, et brûlé par des sort lancé à une vitesse folle. Le mage finit par lui retirée toutes forces et à l’amener au capitaine.
- J’ai été agressé par cette homme, officier, dit-il avant de se tourner vers la foule agglutiné autour du deuxième spectacle de la journée.
-Je suis Naerlind, mage de guerre quiconque m’attaquera subira le même sort que cet ivrogne !
Avant de retourner vers sa destination initiale.

[Tim]

Sur une solide branche d'un arbre pres du phare, un jeune homme dont les traits vous sont encore familiers tendait sa pipe à son diablotin.
le bouchon flottant s'enfonçait brusquement dans les lymbes aquatiques, entrainant vivement sa ligne dans le fond.
Encore une onde brusque dans le filin, et il se contraine a se lever, se penchant en arriere pour conserver son équilibre.
Serrant le dans, fronçant les sourcil, sous les encouragmeent de iro, il tira rapidement sa canne à peche fesant jaillire de la surface un poison d'une douzaine de livres.
L'animal, bataillait encore a l'air libre, mais Tim en était sur, il finirait dans son estomac ce soir...

Alors que son maître relançait sa ligne, le familier leva une oreille, courrut jusqu'au fief de l'arbre, et lui annonçat la venue d'un bateau.
_"Ce sont eux?"
_"..."
_"Maître?"
_"...sans doute"

Tim leva les yeux vers le tigre dragon, tirra sur sa pipe et se souvint de la fin de la guerre contre les vampire.
se frottant une cicatrice au front.
{~~Dans la capitale de l'île, la bataille fit rage cette nuit là, Le dieu vivec en personne était dortit du temple, alors que certain s'affairait à évacuer la populace aidés par les ordonateurs et l'ordre du dragon d'or, Tim se trouvait sur le toit du temple, dessinant divers symbole sur un plan de la ville, a chaque dessin achevé, eclaire, ou boules de feu s'effondrait avec fraquats a l'endroit correspondant.
Il voyait les autres se battre vaillement, immyran sur sa monture, executant un grand ballet aérien, pourchassé et pourchassant quelques goulles aillées.
Il n'avait vu Sol ni mérénor depuis longtemps. A vrai Iro lui raconta cette histoire du retour de Harobed, mais il n'eurent encore aucunes nouvelle.
Par contre il rencontra un falmer, et un nain tout deux vaillant dans la bataille, au coté de laurent distillant sort et sortilege, près de lord Mortimus enlevant l'agressivitée de ses ennemis a grand coup de charme incroyablement héstétiques.
Au milieu de se chaos pouvait on rencontrer alcar lui même, ainsi que Raphsteim, takaeda,Finrod, et cymael.Le tout aidé par la guilde des voleur, des mages, et des gerrier , en comtant evidemment les 3 maisons
La suite il ne s'en souvaint que tres vaguement, iro lui avait raconté que le sortilege qu'il executait avait sans doute entravé sa vigilence, et quelques horreures putréfiées l'avait assomé et jeté dans le vide, du haut du toit.

Il se reveillant dans la guilde des mages de seyda nihyn, avec le visage inquiet de iro au dessus de sa face.
il lui expliqua aussi que les autres était partis, Vivec envoyant des troupes à longsanglot , sous la demande d'Almalexia qui voyait arriver les dernieres troupes vampires. Il avait embarqué dans le bateau emenant ordonateurs et imperiaux, en direction de la cité. ~~}

Lui il était resté ici, pendant 6 mois, sans s'inquieter du sort de ses anciens compagnons., il les savait assez fort, pour trouver eux même le chemin du retour, a vrai dire il s'en moquait éperduement...
Curieux de nature, il était plus intéréssait de savoir, pourquoi il revenait à bord d'un bateau de prisonniers, peut etre avait il provoqué quelques troubles supplementaires dans la ville de la déesse...


[hrp] pour ceux qui on vu mon message "en cours" , je sais je suis lent, mais j'écoutait la radion et bossait sur VPDLJ ^^

Modifié par Tim, 20 avril 2004 - 10:13.

[Sebalsvatur]

Dans une grotte perdue au fin fond du Mont Ecarlate, se trouve un vampire des cendres, Dagoth Sebalsvatur. Il semble pensif.
Il se souvient de la grande bataille qu'il a mené 6 mois plus tôt à Vivec. Il se souvient des visages terrifiés des guerriers de Vivec qui combattait ses troupes composées des élites de la 6e maison...
Mais il se souvient aussi de la formidable défaite que lui ont infligé les toupes de Vivec. Il a du fuire de la Cité, remontant toute l'ile jusqu'au mont Ecarlate.
Il avait très peur, peur de la réaction de Dagoth Ur face à cette défaite immense qui réduisait de moitié les effectifs de la 6e Maison.
Mais il devait le lui annoncer. Il prit la direction de la forteresse de Dagoth Ur.
Dagoth Ur l'attendait...
Depuis il est releguer à un grade bien inférieur au sein de la 6e maison. Il doit maintenant s'occuper du "recrutement" de nouveau disciples.
Il reflechit... il cherche l'endroit propice au recrutement des nouveaux "disciples".
Puis en cherchant dans les entrailles de sa mémoire, il se souvient. Il se souvient d'un petit village de pêcheurs sur la Côte de la Mélancolie, où lui même est arrivé 10 ans plus tôt, déporté de sa terre natal par l'Empereur. Ce village est Seyda Neen. Les âmes des nouveaux déportés sont faibles et aisaiment corruptible ! Dagoth Ur sera fier de son travail...
Il décide de s'y rendre lui même sous les traits de son apparence première pour ne pas être reconnu...

Le lendemain soir, un voyageur inconnu ,portant une grande robe noire encapuchonnée, arrive dans le petit village de pecheur de Seyda Neen et attire sur lui tout les regards des badauts. Il prend la direction de l'auberge d'Arrile.
Il pousse la lourde porte de l'auberge, s'avance et lance à Arrile :
- Aubergiste ! Apporte-moi de la mazte et un bout de viande de chien ! Dèpeche toi !
- Bien,... bien noble étranger, répondit Arrile
L'étrenger, toujours encapuchonné, mangea son maigre repas et demanda à l’aubergiste :
- As tu une chambre de libre, aubergiste ?
- Non, un jeune mage de guerre breton, nommé Naerlind, venant juste d’arriver par bateau la loue déjà…
- Umph… , se n’est pas grave…
L’etranger tendit à Arrile une lourde bourse contenant au moins 200 septimes et dit :
- Tiens ! et garde la monnaie…
- Mer…Merci étranger !
Arrile était très surpris, 200 septimes pour un bout de viande et de la mazte !
L’étranger sortit de l’auberge d’un pas lourd. Où ira-t-il dormir ce soir ?
Il prit la direction d’une caverne de voleur près de l’echassier des marais, et y entra, s’assis près du feu. Il se souvient quand il était jeune il les avait tués ces voleurs !
Il enleva son manteau, et decouvrit ainsi son visage. C’est un Adlmer. Il s’alongea sur le matelas et s’endormit profondément…

Modifié par Sebalsvatur, 25 avril 2004 - 11:23.

[Laurent]

Une nouvelle foit s'ouvrit la porte du bureau des taxes de Seyda Nihyn. Une fort agitation régnait en ville et beaucoups essayaient de voire ce qui ce passait à l'intérieur, mais la différence de luminositée entre extérieur et intérieur et la crace sur les vitres rendait celà très difficile. Il y eut quelques cris et aprè un cours moment, un Bréton fut éjècté par la porte en vole plané et vint attérir au milieu de la rue, ses affaires derrière lui avant que la porte ne se referm brutalement

Aïe...

L'homme se releva, rammassa ses quelques livres, sa bourse, et sa dague en fer et remis ses chaussures qu'il avait perdu au vole

Veuillez m'excuser... Dans quelle dirrection se trouve l'auberge la plus proche ?

[Benji]

Après avoir passé sa première nuit de sommeil dans un vrai lit depuis plusieurs mois, Naerlind descendit prendre un repas chez Arrile. Quand il arriva au comptoir, celui-ci comptait un bourse de pièces d’or d’un air réjoui :
« - Les affaires ont l’air de bien marché, Arrile !
- Oh oui, monseigneur, un drôle de client vient de me payer 200po pour du Mazte et de la viande de chien ! Tiens, justement, il voulait votre chambre, mais je lui ai refuser. Vous comptez rester longtemps ?
- Le temps qu’il faudra pour amasser un peu d’argent et prendre contact avec des amis de feu mon maître, Benji…
- Benji ? Un bien drôle de nom ! Attendez, ce n’était pas le chef de ces mercenaires espions de Balmora ?
- Si, il rentrait de mission depuis Caldéra quand une troupe nombreuse de vampires et de liches l’ont assaillie. On a retrouvé 13 vampires et 18 liches morts autour de son cadavre, il a du se battre jusqu’à la mort, et les assaillants devaient être nombreux.
- Je n’ai jamais entendus parler de çà, mais c’était une tel période de trouble… Heureusement, Seyda Neen a été épargné. Vous voulez mangez quelque chose ?
- C’est pour ça que j’étais descendu. Met moi un peu de Shein et du crabe.
- Tout de suite sir !
- Qu’as tu comme lame longue et armure lourde en dessous de, voyons voir… disons pas plus de 120 pièces d’or ?
- Eh bien, dit-il en servant le repas, j’ai une claymore en acier en parfait état ainsi que quelque pièce d’armures également en acier. Je vous met le repas, le claymore et une cuirasse du plus dur acier de Tamriel pour 140 pièces d’or. Je suis perdant, mais vous m‘avez racontez des histoires de magie et de combat, et j’adore cela. J’aurais tant voulu être un guerrier… Cela vous intéresse ?
- Je comptais garder cette argent pour l’échassier, mais pour 130, je prend, il faut que je m’arme. Vous ne sauriez pas où trouver du travail ici ? J’ai besoin d’argent.
- Bon, allez, marché conclu, mais c’est bien parce que c’est vous… Allez vous promenez dans le village, vous trouverez certainement du boulot. Voici votre équipement.
- Et voici votre argent !
- Merci, bonne journée !

Naerlind se tenait maintenant sur la place du village, à la recherche de ses compagnons d’infortune ou d’un employeur, quand un diablotin passa devant lui sans l’insulter, chose rare et bizarre qui montrait qu’il devait être domestiqué.
Le mage de guerre n’ayant rien de mieux à faire, se mit donc à le suivre, se qui le conduisit jusqu'à un arbre à l’écart du village, près du phare de Seyda Neen.
Sur une branche maîtresse du vénérable représentant du règne végétale, se tenait un jeune homme, habillé comme un mage, à coté du quelle était assis les diablotin. Il resta un moment à les regarder en se souvenant d’une phrase que son maître avait prononcé en décrivant ses compagnons « Tim et Iro, son diablotin était inséparable ».
  « -Holà, maître pécheur ! Seriez vous Tim, LE Tim, le magicien de la guilde de la magie ?
- Oui, en effet
- Je suis Naerlind, j’étais l’élève de feu Benji et…
- Feu ? Serait-il mort ?
- Oui, hélas, il nous a quitté, peu avant le départ pour Lonsanglot, alors qu’il revenait en hâte vers Vivec, il fut attaqué près de Caldéra. On a retrouvé les cadavres de 13 vampires et 18 liches autour de son corps. Quand on a retrouvé les cadavres, des nuages d’électricité flottaient encore en l’air et tous les alentours était brûlé ou gelé selon les endroits. Les assaillant devait être très nombreux pour résister à tous ces sorts. Je pense que ce devait être les restes de l’armée qui avait attaqué Balmora qui remontaient vers le Mont Ecarlate. Quand à moi, je reviens de Longsanglot où j’ai passé un quelques jours, puis 5 mois et demi dans les luxueux bateaux-prisons de sa très aimable majesté l’Empereur de tous Tamriel.
- Que faisiez vous dans un bateau-prison ? Vous et vos compagnons étiez pourtant partis pour libérez la ville ?
Oui, mais après avoir éliminé tous les ennemis, des gobelins par milliers sont sortis des égouts et ont massacré la moitié de la population et une grande partis de mes camarades avant que nous puissions réagir. Nous les avons suivit et éliminé, mais l’un d’entre eux à parlé, et il s’est avéré que c’était le Roi de Morrowind lui même qui les avaient fais entraîné en secret. Une partis de mes compagnons et moi même, avons pris le palais d’assaut et pénétrés dans la salle du trône, mais le lâche a fui, nous laissant entre les mains de ses gardes d’élites. Il en arrivait de tous les cotés,  du palais, ils étaient cinq fois plus nombreux que nous, et nous nous sommes rendus pour éviter un bain de sang, et, nous voilà… Certains de ceux partis de Vivec ne nous ont pas suivis dans le palais, peut-être rentreront-ils par d’autres moyens, ou peut-être sont- il déjà rentrés…

[Tim]

Tim trouvant a cet individu une voix un peu forte, pour que les poissons daignent s'occuper de son hameçon,retira sa ligne de l'eau, et commençeat à ranger le materiel.
Debout sur sa branche, il toisa l'homme, se demandant pourquoi toute personne sur cette île avais tendance a lui trouver des airs de grands magiciens. Lui qui n'était qu'apprentit.

"Non! Aucun de mes compagnons partis pour la ville d'Almalexia ne se retrouvat devant moi avant vous."

Donnant au diablotin la caisse contenant son materiel, il pris le poisson a bout de bras, et se laissa tomber sur le sol trois metres plus bas.
Iro se contententa de leviter legerement pour rejoindre le plancher des vaches.
Tim se mit en chemin, croisant son ex-interlocuteur sans le regarder, avançeant vers le batiment isolé de Seyda nihyn, une immense tour, a l'architecture tordue, dont la charpente semblait reposer sur un arbre qui persait de son branche les épais murs de l'edifice.

Il en ouvrit la porte, actionnant par megarde le mecanisme de l'anti-représentant son tout premier contact avec la guilde des mages, le crane haut perché commença son discours hargneux envers l'aprentit, jusqua se qu'il prenne un coup de poisson, enrayant quelque peu la voix grésillante.
Iro tirait la langue au morbide automate, qui lui répondait d'un regard noir de l'interieur de ses orbites vides.

Il descendirent au premier sous sol, rejoignant la cuisine ou il découperent leur prochain repas.
Le poisson était assez gros, mais cela n'avait rien rien d'éttonant par rapport au temps mis à le debuscer et sortir des eaux.
Un autre aprentit fit irruption, apportant son diné, quelque brin de riz de sel. Voyant l'air alleché de se dernier vis a vis du butin de peche, Tim fut contraint non sans un soupir a en partager un morceau.
L'odeur appetissante remontat bientot par le feu, et il remercia les dieu qu'il n'y eu que tres peu de perssone en la battise a cette heure ci, cela ferait toujours plus à manger pour lui.

Apres s'etre rassasié, il monta au premier etage, la biblihoteque ressemblait plus que jamais à un champ de bataille. il finit tout de meme par trouver l'ouvrage qu'il l'interessait, parmis tout une serie d'encyclopédie sur la faune de tamriel.
Il acceda au chapitre concernant les lemures, et appris le rééle procedé pour les éliminer, comprenant pourquoi il y eu 6 mois, sont adversaire s'était relevé dans son dos.
Tim s'étirat, laissant a son familer le loisir de feuilleter l'ouvrage, il vit en quelque seconde, l'image d'un guars, d'un scrib, d'un daedra, et d'un kwama.
Il alluma finalement une seconde fois sa pipe.

_"Hep! Jeune homme!"
_"..."
Il tourna la tete calmemant, s'apercevant qu'il n'avait pas encore reperée la biblihotequaire, une rougegarde, lui indiquant clairement la fenetre de son large geste.

_"..."

Il se leva et attegnit la petite ouverture, evacuant la fumée à l'exterieur.

[Laurent]

Le Brétonien se redressa lorsque le soleil fut assez haut pour percer jusque dans la ruelle où il avait passé la nuit dans un tas de foin frais (dont il n'avait d'ailleurs aucune idée de ce qu'il pouvait faire là oubien à qui il pouvait appartenir) Il n'avait pas dormis, mais ça n'avait aucune importance, car comme toujours il était en pleine forme. Il fit l'inventaire de ses biens rapidement. Il avait ses habits, sa dague, deux livres de magie et d'alchimie et les bourses des gardes et du capitaine du bureau des taxes qu'il avait prit le temps de leur "emprunter" alors qu'ils le jetaient dehors. Il avait attendut toute la soirèe et la nuit dans le but de retrouver en ville quelques uns de ses compagnons d'infortune et de commencer sa nouvelle vie avec eux, mais il n'avait guerre vu que le pauvre Jiub fuyant la ville dès que les gardes l'avaient relâchés. Il sortit donc le fameux papier que lui avait remis son frère lorsqu'il l'avait vu juste avant d'être sortit de sa prison impériale

Très cher frêre bla bla bla... Morrowind bla bla bla... Guilde de magie de Seyda Nihyn et Tour impériale de Balmora...

Il releva la tête et observa dans l'allignement de laruelle, derrière l'horizon de toîts de la ville côtière la tour des mages dont l'architecte devait sûrement être un Khajit prticulièrement amoureux du sucre de lune et du skouma

Bon bin y'a plus qu'à...

Il lui fallait pour commencer se trouver d'autres vêtements un peu plus reluisants que ceux-ci si possible et peut être aussi un brin de toilette. Il se rendit donc en toute logique chez Arrile qu'il réussit sans mal à embrouiller avec ses histoires et son raisonement fort peu logique. Il s'en tira donc avec des habits propres, des chaussures, une robe et des gants en bon état pour seulement deux malheureuses drakes

Veuillez m'excuser, quel est le chemin le plus court pour aller à la tour des mages ?

-Par là !

Le bosmer venait de lui indiquer la dirrection de la tour des mages, chose qu'il connaissait déjà. Il en déduit qu'il suffisait de contourner les maisons ou voire même de les traverser. Arrivé de l'autre côté du village, il se retrouva face à un ponton lui même face à un autre ponton, les deux écartés d'au moins 20 mètres. Il se pancha un peu et en observant bien pû se rendre conte que quelques feuilles mortes et un peu de terre probablement laissées par des chaussures lévitaient à 2 mètres au dessus de l'eau. Il en déduisit qu'un passage invisible existait et s'avança. Il posa prudemment le pied dans le vide, mais quelque chose l'empêcha de descendre jusque dans l'eau et un petit grincement se fit entendre

Une passerelle invisible, je m'en doutais !

Il s'avança et lorsqu'il eût fait quelques mètres, le sol se déroba sous ses pieds dans un grand craquement et il finit à l'eau... Il en déduisit que même invisible, une planche de bois pouvait toujours casser...

[Duncan Imrryran]

Rêve-de-la-Cité  trouvait le temps long à bord du bateau. Les formalités étaient longues et les gardes ne semblaient pas décidés à les abréger. Prenant son mal en patience il regardait les prisonniers débarquer et s’engouffrer dans le bureau des douanes. Un par un ils étaient libérés dans la petite cour du village dunmer. L’argonien se dirigea vers le capitaine qui attendait la fin pour essayer de passer le temps :

- Bonjour, vous savez pourquoi l’Empire libère autant de prisonniers par ici ? Ils ne semblent pas être des natifs du coin.
- Moi je ne suis sûr de rien, j’ai des ordres, c’est tout. Comme j’ai eu l’ordre de vous embarquer à bord du bateau j’ai l’ordre de libérer les prisonniers sur cette île dans ce village pourri. Ca fait des années que je fais ça et on ne m’a jamais donné d’explication. Toutefois je peut penser. E après quelque temps je me dis que le but de l’Empereur est colonial. En libérant ici tous ces étrangers il peuple Morrowind de gens plus favorable à l’Empire.
- Il y aurait donc de la rébellion parmi les elfes noirs ? Ne sont-ils pas soumis comme nous tous à l’autorité de Cyrodil ?
- Ben non en fait Morrowind est une province spéciale. Savez-vous que les elfes noirs prétendent être gouvernés par leurs dieux encore vivants ? Ils ont même des villes où ils sont sensés séjourner parmi nous autres mortels. Et à cause de ça ils sont gouvernés par leur propre police. D’ailleurs leur politique est tout bonnement incompréhensible, ils ont tant d’organisations qui s’entrecroisent… Enfin bon, moi je ne fais que livrer les prisonniers. Une fois débarqué vous aurez tout le temps de vous renseigner à ce sujet.
- Mais cette province appartient tout de même à l’empire non ?
- C’est purement formel. Il y a bien quelques garnisons mais elles ne s’aventurent pas trop dans les terres loin de leurs forts. Voyez-vous je ne reste jamais bien longtemps sur cette île, les autochtones aux grandes oreilles sont plutôt inamicaux avec les étrangers.
Le marin regarde alors son interlocuteur et en paraît légèrement confus. Ceci dit sans vouloir vous offenser bien entendu. Je pense que vous comprendrez mieux une fois là-bas. Savez-vous qu’ils pratiquent toujours l’esclavage à grande échelle ? Ils ont des centaines de vos congénères à leur service.
- Je ne le sais que trop bien. C’est la grande plaie du Marais Sombre. Mais cette tradition est en voie de s’arrêter non ? C’est ce que disent les dernières rumeurs. Le duc de Vvardenfell y aurait mis le hola.
-Possible… possible…. Quoi qu’avec ces diables de dunmers on ne sait jamais trop à quoi s’en tenir. Tiens, je crois que c’est votre tour.

Le capitaine rougegarde montrant du doigt le garde qui se dirigeait vers Rêve-de-la-Cité. L’argonien alla à sa rencontre après avoir salué sont compagnon de voyage et répondit aux questions préliminaires que le garde lui posa. Puis il se fit escorter jusque dans la bâtisse aux pierres fatiguées. Une fois à l’intérieur un vieil homme l’apostropha, le maître des lieux sûrement. Ils du répondre à quelques questions relatives à son état-civil puis fut interrogé sur les raisons de son voyage.

- Je suis là pour retrouver mon frère, il a disparu il y a peu du Marais Noir et tout laisse à penser qu’il est sur cette île. Probablement aux mains d’un esclavagiste.

En disant ces mots il savait bien que c’était faux, les Drens n’auraient jamais enlevé si discrètement un seul argonien dans le village. Ils auraient capturé tous les membres de la famille au moins, et n’auraient pas fait disparaître son frère dans la nuit sans laisser de traces. Non, ce n’étaient pas des esclavagistes qui auraient pu faire ça.

Ce mensonge ne l’empêcha toutefois pas de remplir toutes les formalités nécessaires. Son armure d’ossements n’était pas assez chère pour lui causer des taxes et sa bourse était vide. Il n’avait rien à déclarer et fut rapidement libéré de ces obligations désagréables. Il aurait bien débarqué à Coeurébène avec la Compagnie de l’Empire Oriental mais le prix de la traversée l’avait rapidement dissuader, il avait du se contenter de se servir de quelques relations pour obtenir une place de passager sur la bateau-prison impérial. Il avait bien tenté de prendre contact avec des contrebandiers mais ils ne semblaient guère apprécier les argoniens.

Une fois dans la cour son regard s’attarda quelques instants sur le paysage autour de lui. Il vit avec amusement un jeune bosmer jouer avec un anneau brillant en courant autour d’un vieux tronc à moitié immergé dans la boue. Mais ce qui l’attira réellement se dressait un peu plus loin : la Guilde des Mages de Seyda Nihyn. C’était là qu’il devait se rendre. Il y trouverait probablement quelque aide. Il se dirigea vers la tour séance tenante.

Devant la porte basse un mage semblait se débattre dans la boue verdâtre du marais. Rêve-de-la-Cité l’aida à se relever.

- Bonjour, je suis Rêve-de-la-Cité. Je cherche des mages et vous emblez en être un, pourrions-nous discuter à l’intérieur ?

[Cymael]

D’un pas léger, Cymael arpentait l’auberge du village, observant minutieusement les différents objets posés sur les étagères. Arrile l’observait avec suspicion lorsqu’elle s’adressa à lui d’une voix douce :

Combien pour ce tanto ?

L’homme eu l’air surpris ; puis il prit l’arme entre les mains et annonça son prix. L’elfe paya docilement, salua l’aubergiste et partit en direction de l’étang, le sourire aux lèvres

Modifié par Cymael, 24 avril 2004 - 17:28.

[Laurent]

Après être sorti de l'eau, s'être débarassé de sa robe et avoir changé de vêtements (il en avait encore "emprunté" à Arrile), le brétonien vérifia que ça barbe naissante ne parraissait pas trop désordonnée et frappa à la porte

...

Rien ne se passa. Il attendit un moment et refrappa plusieurs fois, mais personne ne vint lui ouvrire. Il en vint à se demander s'il n'était pas de bon ton en Vvardenfell d'entrer soit même dans un bâtiment lorsque l'on veut y faire quelque chose. Il empoigna la poignée de la porte et la tourna doucement. Il pût sentir au début une petite résistance de la serrure, mais dans un petit claquement sec, la pression se relacha et la porte pivota lentement sur ses gonds. Une partie seulement des bougies étaient allumèes à l'intérieur et le ménage n'avait pas dû être fait depuis fort longtemps... Le bréton entra confiant et ferma la porte derrière lui. A la flaque de liquide visqueux à ses pieds, il comprit que la résistance de la poignée à tourner ne venait pas du manque de graisse, mais d'une sécuritée ou d'un piège qui avait scédé, trop vieux et mal entretenu

Veuillez m'excuser... Y'a-t-il quelqu'un ?

L'endroit semblait désert à première vue, mais en écoutant bien, on entendait deux mages discuter à l'étage quelques bruits familiers de laboratoires d'alchimie. Deux diablotins passèrent à toutes vitesses en portants un plateau d'herbes et d'ingrédients à leur(s) maître(s) en dirrection de l'étage

Oheh !

Comme personne ne répondait, le bréton descida d'aller trouver les occupants de la tour de lui même. En se baladant, il finit par entendre un bruit de frottement provenant de derrière une porte, sûrement une plume glissant sur un parchemin. Un bruit plus fort, apparemment celui d'une chaise que l'on écart retentit et des bruits de pas s'éloignants s'en suivirent. Descidé à ne pas laisser s'échaper ce potentiel interlocuteur, il se lança à sa poursuite. Il arriva donc dans ce qui semblait être la bibliothèque de la tour et ne vit qu'une ombre disparaître entre deux rangées d'étagères. Impressioné par autant de livres, il avança en regardant dans tous les sens. Il ne semblait y avoir pas plus de deux exemplaires de chaque livre et un seul pour certains même. Même la bibliothèque familiale dont les 3/4 appartenait à son frère parraissait minuscule à côté de ce dédale de lecture. Manquant de s'égarer dans ce labyrinthe, il finit par arriver à un espace où une table sur la quelle s'entassaient de nombreux livres accueillait un mage et son diablotin à ce moment. L'homme, la pipe à la bouche et son compagnon semblaient aspirés dans leur ouvrage

Euh... Veuillez m'excuser monsieur...

[Enixos]

L'homme qui venait de descendre du bateau était fort étrange, il n'était pas découvert comme les autres mais portait une cape et un capuchon. Encore plus surprenant, il sortait alors que la nuit était déjà bien avancé. Il longa la renpe, posa le pied à terre puis, disparu.

[Dirichlet]

Le navire amenant le groupe de soldats envoyés à la demande de Lancelot vint au mouillage près de Seyda Nihyn. Un émissaire muni d'un message à l'attention de Livio et Lancio monta dans une chaloupe et et rama vers le bord... la brume tombait sur la zone marécageuse des îles ascadiennes...

Dans les touffes de brouillard surgit l'éperon d'un galion de guerre surmonté d'une tête de loup tous crocs dehors. Ce dernier coupa la route du navire peu de temps après que la chaloupe ait accosté. Le pavillon de la maison Hlaalu combiné avec un étendard noir représentant une tête de loup fut hissé, et une horde de grappins furent lancés sur le navire de transport.

Des pontons d'abordage furent placés sur le côté et le galion s'arrima au navire, avant de jeter l'ancre.
Un groupe d'hommes d'arme se massa sur le pont, menés par un impérial au sourire franc et au visage agréable. L'homme portait une armure lourde, une masse et un pavois. Il fit le signe de paix et monta à bord du navire de transport.

Messieurs, je suis le Capitaine de ce navire, mes loups m'appelle Père Loup, ou père Ossian. Vous avez pénétré dans la zone maritime de Vvardenfell sous l'autorité du duc Dren... votre navire va devoir être fouillé, car l'entrée d'armes, de troupes et de marchandises, aussi bien que la sortie sont réglementées ici...

Le capitaine attendit que celui du navire de transport lui donne son consentement.

[finrod]

( HRP le retour enfin !! )

Assis dans les ponts inférieurs du navire, Finrolf  vérifiait et razngeait ses possessions. On venait de le prévenir que le bateau avait accosté a Seyda Nihyn et il etait a la fois exité et un peu anxieux de découvrir ces terres. Et plutot soulagé de quitter ce bateau  qui semblait transporter des soldats ou des gardes et dont il avait réussi, non sans difficultés, a convaincr le capitaine de le laisser monter a bord.  Il n'avait eu  que peu de contacts avait les autres " passagers", surtout du au fait qu'il supportait assez mal le voyage en mer...

Un bruit sourd retenti dans le navire comme si quelque chose de volumineux avait heurté la coque puis des bruits secs comme des coups de fer contre le bois, et  pas, et une voix masculine inconnue dont il ne descerna pas ce qu'il disait.

Il se leva, intrigué, pris ses affaires, toutes ses affaires, et quitta sa cabine....

[Evildeadmeat]

Affiche placardée à l' entrée du Bureau des Taxes et du Recensement

Citation

PEUPLE VVARDENFELLIEN

OYEZ, OYEZ,

PAR DECISION IMPERIALE, LE COUVRE FEU IMPOSE A CALDERA SOUS L' AUTORITE DES PALADINS DU DRAGON D' OR A ETE LEVE CE JOUR CI. LES FORCES IMPERIALES ONT DONC QUITTE CALDERA EN APPLICATION DE CETTE DECISION APPROUVEE PAR L' EMPEREUR EN PERSONNE. LA VIE CALDERIENNE PEUT DONC REPRENDRE SON COURS NORMALEMENT, SANS RESTRICTIONS A L' ENTREE OU A LA SORTIE DE LA VILLE.

OYEZ,OYEZ

[finrod]

Finrolf arriva sur le pont supérieur,  regarda un peu la brume autour de lui et distingua les raisons des bruits qu'il avait précédemment entendu. Il regarda un instant le navire accosté, la cote, Seyda Nhyn, puis son regard fut attiré par un impérial en armure lourde qui discutait avec le capitaine du navire. Intrigué Finrolf s'approcha en essayant d'etre discret,pour écouter la conversation et tenter de savoir ce qui se passait. Alors qu'il arrivait vers l'impérial, ce dernier l'interpella.

hé ! toi là!

Modifié par finrod, 31 juillet 2004 - 19:01.

[Templatre]

Lancelot arriva a Seyda Nihin, en prevision de l'arrive prochaine d'un bateau amenant les troupes de son royaume. Il chercha donc une auberge pour attendre le bateau en espeant que ce ne serait pas bien long. il demanda ou trouver une auberge dans ce vilage :


-vous pouvez aller a l'auberge d Arrile si vous voulez, elle n'est pas bien loin
-Merci, j'y vais de ce pas

Apres avoir discuter avec le legionnaire, il entra en ville et se mis a la recherche de cette auberge, qu'il trouva, il decida d'y rentrer et de demander a l'aubergiste s'il pouvait l'heberger a une date indeterminer:

-c'est tout a fais possible mon cher monsieur, qu'en on a de l'argent, on a de la place

-bien, je vais vous prendre une chambre.

Lancelot s'installa donc dans l'auberge, pour attendre le navire

Modifié par Lancelot, 02 août 2004 - 15:21.

[finrod]

L'impérial, ayant reconnu un de ses compatriotes, et,  ayant reconnu la noblesse de ce dernier laissa partir Finrolf sans problème. Le chevalier débarqua enfin sur l'ile de Vvardenfell. Il inspira un grand coup, regarda les quelques maisons autour de lui, vit un petit elfe des bois passer. Il décida finalement de se rendre à l'auberge d'Arrile [HRP c'est l'auberge de Seyda Nhyn] afin de boire un coup car le voyage l'avait plutot épuisé.

Alors qu'il poussait la port de celle ci il se trouva nez a nez avec un humain un peu plus grand que lui, et dont les cheveux blond dépassait du casque.

Salutation à vousFit Finrolf Auriez vous quelques instants a m'accorder ?

[Dirichlet]

Ossian attendait toujours la réponse de l'équipage à sa question

HJ: lancelot, c'est à vous ...

[Templatre]

la missive l'informant de l'arrive des renforts promis a l'Ordre du Dragon d'Or avait dis que le navire ne tarderait pas, il l'esperait sincerement, il lui tarder d'en decoudre avec quelque chose qui en ressemblait pas trop a un humain.
pour s'occuper, il decida de maintenir en etat son armure, epee, car les embrunts de la mer corode vite tout ce qui se compose d'acier.

Il avait vu un navire arriver en meme temps que lui est passe dans le batiment attenant au quai, il pensa que ce devait etre une sorte de douane qui controler l'arrive des voyageurs. Il espera que l'arrive de troupes ne posserait pas de probleme, etant donne que ces troupes venez comme mercenaire.Il lui sembla reconnaitre un visage familier sur le bateau et se rendit compte que c etait Tar Minastir, sont amis de longue date.Il le vit discuter avec un homme sur le bateau qui l'avait accoster, juste apres, il vit les hommes du bateau qui porte une bannierre avec un loup monte a bord, il pensa donc que Tar Palantir lui avait donne l'autorisation de monter a bord.Ainsi le bateau etait la, voila pourquoi il avait vu des imperaux montes a bord, vu le nombre d'homme et la quantite de materiel, ils allaient en avoir pour la journee.

Lancelot chercha donc une occupation pour le reste de la journee, mais il ne connaissait pas la region, et ne voulant pas se risquer en terrain inconnu, il perfera rester dans l'auberge ecouter les clients discuter entre eux.

Un homme se diriga vers lui et engagea la conversation, Lancelot trouva qu'il avait une bonne tete et se mis a discuter avec lui:
Salutation Finrolf, que puis pour vous?
Pour ma part, le navire a quai est rempli de frere, j'attend que la legion les autorises a debarquer, que puis je pour vous ??

Modifié par Lancelot, 04 août 2004 - 15:44.

[finrod]

[HRP je pense que tu t'adresses a moi vu que mon perso est dans la taverne ? si oui mon perso est FINROLF[/U]
Osssian c'est le capitaine du  navire qui abordé celui des renforts ( regarde les  posts avant) etil est dans le bateau... /hrp)

Finrolf invita l'homme a s'assoir et commanda deux boissons.

Et bien je viens de débarquer sur cette ile voyez vous, pourriez vous me mettre au courant ds derniers évènements ? Le serveur posa les boissons que Finrolf regarda avant de boir unh coup dans sa choppe De plus n'auriez vous pas idée de l'endroit où je pourrais rendre mon bras et mon épée utile, sans oublier mon marteau bien sur ! Fit'il en esquissant un regard vers sa taille.

Mais au fait ! je ne me suis même pas présenté ! C'est bien rude pour un Chevalier dinge de ce nom. Je suis Finrolf Belskald, Chevalier et il tendit sa main  a son vis-a-vis

[Templatre]

Lancelot lui serra la main, l'homme semblait etre de bone fois et une epee de plus de plus au service de l'ordre n'est jamais suffisant

Vous mettre au courant des derniers evenements, et bien en fait, je ne suis arriver ici il n'y a que peu de temps, tout ce que je peut vous dire c est que Caldera et passe presque sous le controle de L'Ordre du Dragon d'Or, ordre dont je depend en partie, mais des evenments plus precis, ca, a part le fait que la foreresse de L'Ordre est etait attaquer, mais a part ca, je vois pas vraiment que vous dire.

Lancelot etait desole pour le chevalier mais il ne possedait que tres peu d'informations. Il proposa a Finrolf Belskald de venir a caldera et d'entrer en tant que mercenaire dans l'Ordre du Dragon d'Or, Le seigneur Livio ayant besoin de bras.

[finrod]

Bon et bien merci de vos informations, je pense que j'aisserais de glaner plus dans les premiers temps.
Finrolf avala une gorgée, proposa de trinquer, ce qu'accepta Lancelot [HRP SI NON DIS LE ]

Je pense que je puis me joindre a vous, ne serais que de façon temporaire.
Au faite pourriez vous m'en dire plus sur l'implentation de cet Ordre de paladins sur l'Ile ? Y'a t'il nombre de créatures maléfiques ? Comment vont vos rangs ? et vos rapports avec la légion et l'Empire? Il sembla insister sur ce point Etes vous en bon termes et reconnus par eux ?

Il absorba une autre gorgée

[Dirichlet]

Le capitaine répondit au loup gris

- Nous sommes un navire transporteur, nous convoyons diverses marchandises, ainsi que 50 hommes de troupe à la demande de messire Lancelot.

-Ben voyons, cinquante hommes de troupe... quand on arrive à ce nombre c'est presque une invasion.

Le sourire du loup gris avait un rien de sarcastique

- Moi je n'envahis rien, je ne fait qu'amener des hommes à la demande de messire Lancelot.

-Où doit il réceptionner les troupes?

- Bah ici, à Seyda Nihyn, sur les docks.

-Très bien, je vais aller m'entretenir avec lui, d'ici là vous mouillerez ici, au large du port!

- Moi j'veux pas d'ennuis monsieur. Mais faites vite.

Ossian hocha la tête pour toute réponse et retourna sur son navire. C'est accompagné de son rougegarde de garde du corps qu'il prit une chaloupe pour se rendre aux docks

[Templatre]

Lancelot accepta avec joie de tringuer avec Finrolf
Au sujet des creatures malefiques, je n'ai pas eu le loisir d'en recnontrer mais je pense que ca ne saurait tarder, j'ai entendu dire qu'une patrouille de l'ordre avait etait aneanti par des gobelins, malgre une breve resistance du au surnombre de l'ennemi.

Quand a ses relations avec l'empire et la legion, nous sommes en bon terme, cela pourrait etre mieux mais on s'en accomode.

Si vous permetter je vais voir ou en est le control du bateau; peut etre on t'il fini qui sais, je revient dans 5 minutes.

Lancelot pris temporairement conge de Finrolf pour aller voir ou en etait le control du navire, il fut surpris de voir une barque avec 2 personnes a bord venir a quai, il espera qu'il n'y avait aucun probleme.

[Dirichlet]

Ossian débarqua le premier, suivi de son garde du corps. Ce dernier interrogea l'un des villageois afin de savoir s'il avait récement vu des étrangers. Dans une petite bourgade avec trois ou quatres maisons comme Seyda Nihyn, le tour fut rapidement énuméré... Ossian se dirigea donc vers l'auberge, suivi par le rougegarde