Notre première visite a été pour le logement des gardes de la ville, où nous avons entendu l'un d'eux narrer à qui voulait bien l'entendre son histoire de flèche dans le genou. L'animal sait-il qu'il est moqué jusqu'aux confins de Tamriel, et peut-être même au delà ?
Nous avons ensuite fait le tour de la ville, découvrant les principaux bâtiment, avant de terminer la nuit à la maison des Compagnons, noble institution où je compte bien me faire admettre, l'entrée dans ce genre de confrérie étant synonyme d'aventures, de prestige et de gains divers.
Au petit matin, nous avons fait une visite au temple et à quelques commerces avant de nous rendre à Fort Dragon pour rencontrer le Jarl et son intendant, rapport à la prime à toucher pour les brigands de Valtheim.
Le Jarl de Blancherive est un fier nordique, un authentique chef à la voix forte, la carrure brutale et la prise de décision rapide. Il m'a plu.
Son mage d'intérieur Farengar me demandant d'aller quérir une pierre de dragon dans les ruines du tertre des chutes tourmentées, il ne fut pas peu surpris de me voir la lui remettre immédiatement. Cela n'a pas peu contribué à me poser en aventurier aguerri aux yeux de ce pâle caniche prétentieux. Doit pas souvent respirer l'air du dehors celui là.
Notre discussion a été interrompue par un garde essouflé, revenant de toute la force de ses couardes jambes, avertir le Jarl qu'il avait vu un dragon tourner dans le ciel, au-dessus de la tour de guet ouest. Ordre nous fut donné de nous y rendre, sa chef de troupe, un détachement soldatesque et moi-même. Je fis mine de les suivre, mais m'éclipsais promptement à la sortie du palais. Les dragons, ça va, merci, je connais. Et puis j'ai mieux à faire pour le moment que de contempler une (grosse) bestiole faire des ronds dans l'azur bordecielien.
J'ai préféré visiter la nécropole, où j'ai détruit deux vieux squelettes gelés travaillés par le ver.
Nous avons ensuite fait le tour de la ville, découvrant les principaux bâtiment, avant de terminer la nuit à la maison des Compagnons, noble institution où je compte bien me faire admettre, l'entrée dans ce genre de confrérie étant synonyme d'aventures, de prestige et de gains divers.
Au petit matin, nous avons fait une visite au temple et à quelques commerces avant de nous rendre à Fort Dragon pour rencontrer le Jarl et son intendant, rapport à la prime à toucher pour les brigands de Valtheim.
Le Jarl de Blancherive est un fier nordique, un authentique chef à la voix forte, la carrure brutale et la prise de décision rapide. Il m'a plu.
Son mage d'intérieur Farengar me demandant d'aller quérir une pierre de dragon dans les ruines du tertre des chutes tourmentées, il ne fut pas peu surpris de me voir la lui remettre immédiatement. Cela n'a pas peu contribué à me poser en aventurier aguerri aux yeux de ce pâle caniche prétentieux. Doit pas souvent respirer l'air du dehors celui là.
Notre discussion a été interrompue par un garde essouflé, revenant de toute la force de ses couardes jambes, avertir le Jarl qu'il avait vu un dragon tourner dans le ciel, au-dessus de la tour de guet ouest. Ordre nous fut donné de nous y rendre, sa chef de troupe, un détachement soldatesque et moi-même. Je fis mine de les suivre, mais m'éclipsais promptement à la sortie du palais. Les dragons, ça va, merci, je connais. Et puis j'ai mieux à faire pour le moment que de contempler une (grosse) bestiole faire des ronds dans l'azur bordecielien.
J'ai préféré visiter la nécropole, où j'ai détruit deux vieux squelettes gelés travaillés par le ver.