Aller au contenu


[h] Alcar Le Damné


  • Veuillez vous connecter pour répondre
1 réponse à ce sujet

#1 Alcar

Alcar

    Architecte en tas de pierres necromant, imperial et albinos


Posté 31 août 2003 - 00:10

Partie 1

Quittant mon hôte, avec encore ses indications fraîchement inscrit dans mon esprit, je sortis de son palais regardant une dernière fois cet endroit avant de repartir à l'aventure. Comme à son habitude le destin semble des plus complexe avant même qu'on ne l'aperçoive. Le Baron m'avait promis que des récompenses, moi qui depuis que je ère dans les mondes n'espèrent plus rentrer chez moi. Il m'a parlé de temps de chose dans ses énigmes, d'un autre que moi que je devais retrouver. Il n'était pas moi, mais nos destins se ressemblaient, tout comme celui d'Elric mon cousin. Champion pour une éternité, que cela veux dire dans la bouche d'un être qui à une infinité de vision, de perception et d'existence. Ce baron m?avait rendu plein d'espoir et d'envie que je n'en ai eu cette dernière année! J'allais enfin en finir avec Arioch, le duc des enfers. Moi le prince à qui on avait refusé le trône pour laisser monté mon cousin qui bien que puissant, n'avait jamais été fait pour çà ! Tout à changer si vite, la chute d'Imrryr, Je suis seul voyageant dans le multivers à la recherche de ma cité de mon empire. La lumière diaphane des trois Lune de ce monde que je ne connaissais qu'à peine se faisais obscurité, et avant que la morosité ne me reprenne, je sentis le sang des Dragons qui sommeillait dans mon coeur s'échauffer et prendre possession de mon corps. Moi le Melnibonéen, le Nécromancien, Le sorcier, Le démon qui terrorisait tout humain rien qu?en laissant mon regard pourpre se glisser sur lui, je redevenais comme mes ancêtres, un Dragon.

Je tendis mes ailes, sentant tout leur ramures me peser, mais avec dans un bond je quittais déjà le sol et m'élança au dessus de la cité où nombre de mortel ne su la chance que je ne fus plus le même! Le ciel noir m'attendait, un ciel sans nuage, sans étoile, sans couleur. D'un coup d'aile je me dirigeais vers une porte que seul mes yeux de Dragon pouvaient percevoir. Une fente ou je me glissait en sentant le froid des l'enfers glisser sur moi. Mes écailles protégeait mon corps où mon sang chaud comme toujours lorsque je repart au combat me nourrissait jusqu'à saouler mon esprit. Du givre se collait à moi, mais à force de battre mes lourdes ailes, je finis par laissé derrière moi, dans le néant. Je vis comme le Baron m'avait indiqué une tour avec encore autour d'elle un amoncellement de cadavre qui nourrissait les vers. Puis une forme de lumière qu'on pourrait prendre pour un amas d'étoile mais qui n'étais en faite qu'un magicien qui avait perdu son dernier combat en libérant ici son dernier sortilège.

Je passais bientôt au dessus d'un long plateau où je vis des temples et des temples à perte de vue. Ma destination ne devait pas être loin. Car bientôt une seconde tour. Qui semblait humaine, tellement elle était massive lourde et peu élancé, rien de comparable avec celle de ma cité, celle d'Imrryr. Un port au bord de ce morceau de monde semblait attendre un navire désespérément. Le plus naturellement je m'en approchais. Arrivant sur la jeté qui s'avançait vers le néant, je calma le sans qui était en moi, pour reprendre ma forme Melnibonéene. A peine avais je atteint la porte que je vis au loin la voile d?un navire comme il y en à dans le multivers. Simple, défraîchit, avec sur le visage de ceux que l'on trouve à bord la certitude que leur voyage n'aurais jamais de fin dans la paix. Trois personne sortirent de l'auberge qui servait de relais, me saluant, sans se demander d'où je sortais, il s'affairèrent à fixer le bateau jusqu'à ce que le bastingage soit au bord du quai. Je rentrais dans le relais, laissant croire que c'était le navire qui m'avait porté là. Et commanda de quoi nourrire un régiment, laissais quelques Louis d'or que je gardais d'un voyage dans un monde d'humain, où les femmes étaient belles et facile. Prenant tout un sac, je me dirigeais vers l'étrange embarcation. Le capitaine, semblait attendre ma visite et me salua. Je lui remis le sac contenant des vivres et deux bouteilles de vin aux épices que je gardais pour ce genre de voyage. Il prit le tout et sans rien demander m'invita à le rejoindre sur le pont. Je n'avais que peu de bagage, si on omet les deux lames noires et chantante pendu sur mon dos. Lorsque l'une murmura lorsque mes pas m'approcha de lui, il devint d'un ton plus blafard, et dans son visage livide on pouvait sentir l'angoisse et la peur. D'un sourire amer je passais devant lui et descendis aux cabines. Les équipage que l'on rencontrais dans le multivers était prisonnier des bateaux et ne se permettaient de descendre à terre. Attendant leurs fins qui ne venaient pas. Ils s'étaient perdu dans une tempête d'où ils n'auraient jamais du sortir vivant et prenaient ce coup du sors, comme à cadeau pour prolonger leur vie un peu plus...

Arrivée en contre bas, je trouvais une table assez grande avec deux ou trois aventuriers. L'un d'eux crut bon de vouloir disconvenir de ma présence. Et lorsque à force de mot, voyant que lui seul semblait vouloir se battre, il prit son épée qui était à ses côté pour se jeter sur moi. Sans l'ombre d'un doute et pour ne pas effrayer les autres voyageur, je sortis une Dague de ma ceinture, et il n'u qu'une vision rapide des runes rougissante qui palpitait dessus avant de sentir son corps prisonnier du feu qu'elle couvait. Son arme tomba à terre, ses yeux me regardaient. Il aurait voulus se retirer de la lame, mais il ne pouvait pas s'y soustraire et sa vie s'écoulait de lui, me donnant que plus de force. Il eut été un temps ou je l'aurais fais chanter de cette grave et profonde que fond les mourrant pendant les heures où on les travails avant d?en finir avec eux pour les remercier de leur chant mélodieux. Mais l'endroit n'était pas adéquat, et la cohabitation avec les humains m'avait changer au point que j'y prenais moins de plaisir. Juste avant que la lame se soient satisfait de sa vie, je la retirais et il s'effondra sur le sol inerte mais vivant. Deux marins le sortir de là et le jetèrent sur le quai avant que les amarres soient lâchées.

Peu de conversation, sauf avec un guerrier qui devait être paladin ou quelques chose comme çà, dans sa vie antérieur qu'il disait. Je ne sais si il parlait dans une seule et même vie, ou dans une autre. Il semblait perdu, ne sachant que faire et où aller. Le bateau tangua sur des flots, preuve que l'on avait atteint un des mondes. Je sentis l'odeur de la mer, celle des poissons, et plus loin l'odeur d'une végétation luxuriant, Moi et le Paladin, étions arrivé. Le bateau mouilla non loin de la côte et une barque fus descendus à l'eau. Un marin nous porta ainsi jusqu'au rivage où non loin des tours que seuls des nains aurait la gaucherie de construire se montrait. Le Paladin me dis que nous étions arrivé à Tamriel sur l'île de Morrowind. La barque repartais vers le bateau et nous, nous nous dirigeâmes vers la cité de DagonFel. J'avais hâte de connaître mieux cet endroit, je ne le connaissais qu'à peine, mais il avait su me conquérir. Rien que cette odeur d'herbe et ses arbres en fleur. Difficile à croire que je sois là pour trouver un être comme moi afin de tuer Arioch, Duc des enfers?

Alcar Hear Elric Yrkoon de Melnibonée
Tuer n'est pas jouer, mais mourrir c'est plus jouer !

#2 Alcar

Alcar

    Architecte en tas de pierres necromant, imperial et albinos


Posté 31 août 2003 - 00:22

Partie 2

« Monseigneur, malgré votre noblesse, je ne saurais trop vous méfié, car ici les étrangers ne sont pas bienvenu ! »
« Je me doute, mais çà ne changera rien à mes habitudes? »
« Je ne sais ce que vous chercher, mais certainement aventure, moi je rentre afin de retrouver au contraire le calme de mon logis. »
« Est ce une cité Naine ? », le Paladin, bien que courtois au demeurant se crus obligé d'esquissr un sourire à sa face cassée ! Mais d'un oeil réprobateur, je lui fis comprendre que nous avions pas élevés de Dragon ensemble ! Il finit par se reprendre pleinement et continua...
« Je ne suis pas encore arrivé mais à Dagon Fel, je devrais trouver un bateau me ramenant à l'île principale. De là j'irais jusque chez moi à Caldera et si c'est votre route également, je suis prêt à vous guider au moins jusque là ... »
« Bonne idée, Brave. Qu?allons nous trouver à cette Dagon Fel ? », il semblait pas comprendre que j'attendais de lui quelques renseignement, avant d'arriver avec mes deux épées en évidence ! Ce qui était certain, c'est que les lames semblaient se trouver dans un monde où leur créateur avait encore quelques puissance... Alors que j'écoutais le chuintement de mes Espadons, il finit par me répondre?
« Seigneur, Dagon Fel, est habité de ces gens du Nord, qui ressemble au humain, mais qui sont bien plus aguerrit qu'eux au combat. Ils sont nobles de geste et sans avoir de grande vertu, ne sont pas genre à chercher querelle. N'étant pas une race indigène, il cherche plutôt à rester en bon terme avec tout le monde. Ils sont bon compagnon et on quelques bon forgeron... Nous trouverons aussi certainement bien d'autre race, et je vous expliquerais autant que possible qui sont tous ceux qui peuple ce domaine. Vous verez rien qu'un restant par ici vous verrez bien des choses et bien des gens différents. Les Dunmers qui vous ressemblerais un peu, bien que moins grand que vous, sont des elfes punis des Dieux. Pour avoir tué leurs héros. »
« Leurs Héros ? », peut être tenais je là, un quelconque indice pour me guider dans ce monde encore inconnu ...
« Oui, Un roi je crois, enfin quelques chose comme çà. Lord Nérévar, ils les avaient mené avec l'aide d'une Deadra, enfin d'un démon, nommé Azura à vaincre leur ennemi, mais ils semble qu'il est été abandonné sur le champ de bataille, à moins que l'un de ces généraux ou tout les trois à la fois ? L'ai tout simplement fais disparaître. Sa protectrice selon la légende fut si furieuse, que tout le peuple Elfe qui habitait sur cette île furent damnés et depuis ils ont la peau noir de la nuit et les yeux rouges des enfers ! Mais bon comme il adore de toute façon des Dieux Payens, j'imagine qu'ils ne sont pas si différents des Elfes noirs que j'ai rencontré dans d'autre monde! »
J'en restais perplexe ! J'étais bien habitué à tant de chose. Le Nérévar était il mort ou juste disparu ?
« Lord Nérévar dites vous ? Il à disparus ? »
« Pour être clair, il est mort peu de temps après la bataille. Mais Azura à promit qu'il reviendrait sauver son peuple des griffes des trois Généraux qui se prennent pour des Dieux depuis cet époque! Légende à Légende, j'ai bien franchis des mondes pour juste quelques noms évocateur, La Graal, Les Dragons? Et même Tanelorn ! », je n'allais pas lui dire que le Graal était une coupe que mon cousin avait trouvé dans un monde d'humain ou que j'étais un demi-Dragon ! Et alors qu'il rentrait chez lui y retrouver une tranquillité apparemment mérité, devais je lui dire que j'avais séjourné à Tanelorn ! Il ne faut pas faire souffrir ces espèces inférieurs avec des questions que seul ceux qui vivent des siècles on le temps d'appréhender!
« Vous savez, je suis rentré ici, parce que jusque dans le Multivers on sais qu'un Démon à reprit pied ici. Et j'espère quelques part que le Nérévar va revenir, il serait temps, que chaque chose revienne à sa place... Alors que je me perdais en conjoncture, je surpris le regard du Paladin, qui détaillait mon armure?
« D'où sors votre armure mon seigneur.. ? De quel monde provient elle.. ? »
« Des enfers, des enfers? », comme il blêmi à l'idée que je puis être un de ces démons qui voyage à travers les mondes pour porter le chaos avec eux...
« Ces Armures sont confectionner par mon peuple. Avec des matériaux que je ne saurait vous expliquer », était-ce la peine de lui dire, que mon armure était fabriquée avec des pierres les plus dur, des mues de nos Dragons, et des restes de Démon vaincu? Que chaque partie de cette carapace renfermait l'âme de démon lier à nous. Il est vrai que depuis que je voyage, je comprend mieux pourquoi l'on fait peur à ses gens. Et heureusement qu'ils ne nous connaisse pas?
« Par Dieu et par l'âme des Septims, y a dix ans de cela je vous aurais pris pour un de ces démons que j'ai chercher et pourfendu dans bien des endroits. Et aujourd?hui je me sens presque fiere d'être à vos côtés et je dois dire, que si mon retour me donnais quelques craintes, voyager avec vous me rassure... »
« Une seule chose, n'approchez jamais de moi lorsque je combat avec ces épées (que je désignais derrière moi), et ne les approchez jamais si elles sont au sol... »
« Certainement mon seigneur. J'y prendrais bien garde. De toute façon je vous avoue que je ne les aime guère! », nous repartons enfin franchissant quelques rochers, nous arrivons devant une tour et juste en contre bas, une ville, enfin un village en bois, quelques maison en dur, un bateau, frêle esquifs. Quelques grands humains, qui devaient être ces Nordiques, allaient et venaient. Rien de bien terrible en faite. J'espérais un peu plus de civilisation. Mais cela était bien mieux...
« Je vais me renseigner au bateau Sir, voir quand est le prochain départ pour Vvandenfell. »
Le capitaine, avait apparemment pas envie de partir trop vite, mais donnant quelques piécettes, cela c'est fort facilement arranger. Il ne prit pas trop attention à mon apparence et rien que cela me donna quelques satisfaction. La mer était d'huile Il nous donna rendez vous pour dans deux heures, ou il appareillerait pour une ville appelé 'Khuul'...

Suite au prochain épisode, enfin l'île se découvrira sous mes pieds...

Alcar de Melnibonée
Tuer n'est pas jouer, mais mourrir c'est plus jouer !




0 utilisateur(s) li(sen)t ce sujet

0 membre(s), 0 invité(s), 0 utilisateur(s) anonyme(s)