J'ai éliminé cet aventurier sans grande difficulté, mais je suis inquiet par cette pierre qui vient de bloquer le passage du retour.
Par les Divins, je ne comprends pas, tout semblait être normal, et soudain je me suis retrouvé dans ces immenses couloirs en enfilade. En quelques instants je me suis totalement perdu...
QU'EST-CE QUI SE PASSE ?! Je tournais en rond quand je suis tombé sur ce groupe d'aventuriers, le combat a été rude, mais j'en suis venu à bout, ils gardaient la porte d'un endroit étrange...
J'ai cru que j'avançais, mais non, un cul de sac, une des portes est bloquée, l'autre m'a amené à un dortoir, j'y ai trouvé de précieux objets, mais ça ne m'aidera pas à sortir !
... Mais quel est cet endroit, ces immenses couloirs vides se ressemblent tous... je ne sais plus où j'en suis !
... Comme je le craignais, je tourne en rond ! Je suis repassé devant ces maudites bottes, je n'ose les prendre, de peur de déclencher un terrible piège...
... Mais enfin, par quel esprit malade ces souterrains ont-ils été engendrés ? Je n'y comprends plus rien !
... La folie me guette, je ... AHHH ! Non, ce n'était rien, un simple courant d'air. Et cette brume par endroits...
... Je pense avoir percé au moins un des mystères de ces souterrains... lorsque je m'approche de certaines alcôves avec des bougies, je sens un léger vertige et tout autour de moi est comme.. secoué.
Mais qui est le tordu qui se joue de moi ainsi ?? Qu'il se montre ! Je sens sa présence, comme s'il hantait les murs...
... Les murs de pierre craquent parfois, comme s'ils me menaçaient de quelque chose, ou est-ce un avertissement ?... Je ne sais pas, je ne sais plus, il faut que je trouve une issue, cet endroit me fait perdre la raison peu à peu ; ces longs couloirs me narguent...
... Je suis à nouveau passé devant une masse d'ébonite. A côté brûle une bougie posée sur un crâne, brr c'est sinistre...
... Mis à part les cadavres des aventuriers qui m'ont attaqués (je repasse de plus en plus souvent devant) et ces tuyaux dans le Kalopheburon, toujours aucune trace de Gus Efeilsen, où est-il donc passé ? J'ai du rater quelque chose...
...Ces souterrains me rendent fou ! Je tourne toujours en rond, je n'avance pas ! Julianos me vienne en aide et me fasse trouver le bon chemin !...
... Je n'ai plus conscience du temps dans cette obscurité (mis à part ces bougies qui ne semblent jamais vouloir s'éteindre) j'ai l'impression d'être ici depuis une éternité, j'ai peur d'épuiser mes réserves de nourriture...
... Que signifient ces parchemins que je trouve parfois posés sur ces tablettes de pierre ? J'ai l'impression qu'ils se trouvent à des points indéfinissables.
Que veut dire ce « GPS » ; s'agirait-il du Grand Placement Supervisé, ce projet de localisation magique sur lequel les chercheurs de l'Université Arcanes planchent depuis des années ?
Toujours est-il que je n'en saisis pas la signification... G ; D ; et même un D7 une fois, qu'est ce que cela peut bien signifier ?
Je suis retourné dans le Kalopheburon ; j'espérais que mes pérégrinations dans le labyrinthe auraient permis de débloquer la porte scellée, mais non, rien ne s'ouvre !
Me voilà de retour dans la toute première salle du labyrinthe, je ne sais pas comment j'y suis arrivé ; tous ces enfilements se ressemblent tant ! Il faudrait que je tente de me représenter mentalement l'organisation du labyrinthe, mais je n'y parviens pas, il y a tant d'embranchements ...
... Mes marques et rappels me sont inutiles, je les confonds toutes et je ne me rappelle plus laquelle j'ai posé où. Lorsque je tente de me téléporter, je ne reconnais même pas l'endroit où j'arrive. Il faut que je trouve autre chose...
... Je viens de frôler la mort. Je me suis aventuré dans une ramification que je n'avais pas encore remarquée, malheureusement elle était piégée. Je n'ai eu que le temps d'apercevoir une pièce d'armure qui scintillait, aussitôt une nué de flèche m'est arrivé dessus en vrombissant. Par miracle ma tête n'a pas été touchée, mais plusieurs flèches se sont fichées dans mon torse, une est passée tout près du cœur. Mes jambes se sont dérobées mas cela m'a permit d'échapper à la salve suivante. Ma vue s'obscurcissait lorsque je suis parvenu à jeter le sort qui a bloqué l'hémorragie. Je me suis servi de toute ma magie restante pour retirer les dards qui s'étaient plantés dans le thorax. J'ai ensuite utilisé tous les parchemins dont je disposais pour panser mes plaies, et j'ai utilisé ma seule potion pour stopper le poison que contenaient les flèches. Je n'ai plus assez de magie pour m'éclairer désormais ; et je n'ai pas emporté de torches. Je vais devoir continuer mon exploration dans le noir, ma situation est critique.
Enfin ! Je reprends mon avancée dans le Kalopheburon ; j'avais sans doute raison de penser qu'il n'y avait rien à tirer du labyrinthe. Je viens de trouver la façon d'ouvrir une nouvelle porte; Se pourrait-il que je m'en sorte, finalement ?
La porte que j'ai déverrouillé mène vers une nouvelle salle, bourrée de provisions liquides ; je suis au moins sûr de ne pas mourir de soif avant longtemps... Une feuille d'inventaire parle de « Nutella », serait-ce cette pâte ultra nutritive à base de noisette conçue par l'empire pour pouvoir faire tenir debout un légionnaire pendant trois jours avec des doses dérisoires ? De toute façon il semblerait qu'il n'y en ait plus...
... Il y avait encore un des instruments cachés pour continuer, je commence à comprendre le fonctionnement de ces souterrains finalement.
... Je suis tombé sur un extrait du journal de Gus, au fond d'une galerie ; c'était un cul-de-sac et ils sont abandonnée les fouilles dans cette zone ! C'est impensable ! Il n'y a donc rien à tirer de cet endroit ?
Je suis arrivé, je ne sais comment, dans un espace qui devait servir de lieu de détente des ouvriers de Gus, mais où sont-ils donc passés ?
J'ai pu renouveler mon stock de nourriture, c'est une bonne chose, j'ai aussi trouvé un ustensile grinçant, je me demande ce qu'il ouvre ?
... J'ai trouvé la pièce, un écriteau sur la porte annonce « salle des maquettes », cela ressemble à un bureau que Gus se serait aménagé ici, il y a d'étranges machines qui m'intriguent, mais plus encore, je suis intéressé par cette « génosphère » qui flotte à quelques pieds au dessus du sol, à quoi peut elle bien servir, et pourquoi Efeilsen la mentionne t'elle dans son journal ? Je n'ose pas la déplacer, mais ça pourrait bien intéresser l'Université Arcanes, je vais faire quelques schémas.
ENFIN ! Après une période estimée à 2 jours à errer dans le labyrinthe je suis parvenu à reprendre ma progression. Comme je le soupçonnais, un système caché permettant de continuer sur trouvait bien dans la salle des maquettes, je ne comprends pas comment il a pu m'échapper si longtemps, peu importe, maintenant je vais pouvoir poursuivre vers cette « salle du Kalopheburon » !
Incroyable Je ... Je, c'est.... je ne trouve pas les mots, c'est indescriptible, cette incroyable boule de feu qui flotte au dessus de l'étrange entrelacs de tubes. Tout ici n'est qu'un modèle en vrai grandeur de ce que j'ai pu voir dans la salle des maquettes. Je n'avais jamais cru que ce genre de chose était possible à grande échelle. Je peine à comprendre le livre laissé par Efeilsen, il emploie constamment un jargon totalement abscons. Je n'ose le prendre pour le faire examiner à l'Université.
J'ai aussi trouvé un numéro de Tamriel Gala sur le bureau à côté du Kalopheburon, je ne savais pas que cette feuille de chou publiait encore – il me semblait que le Courrier du Cheval Noir avait tout racheté. Bah, c'est sans importance. A côté j'ai aussi trouvé un manuel sur le four à soleils, probablement écrit par Gus, l'homme semble ne pas manquer d'un certain humour...
En continuant j'ai trouvé une nouvelle salle verrouillée (comme toujours), une inscription gravée sur le linteau de pierre indique « Emnet la Naine », étrange, serais-je enfin en train de me rapprocher de Gus et de son équipe ? Tout le laisse à penser. En attendant il va falloir que je poursuive par autre part...
J'ai découvert une nouvelle salle, immense, à l'atmosphère fort chaleureuse; un peu trop même... Un autre livre d'Efeilsen m'indique que c'est dû à une expérience ratée. Je prends le risque d'aller voir cela de plus près.
Effectivement, le soleil est toujours là, flottant devant un double escalier. Dois-je continuer par là ? Au risque de m'irradier j'ai continué. Constat à double tranchant : c'est un cul-de-sac, encore une fois, mais j'y ai trouvé quelque chose d'intéressant.
Comme je le pensais, cela m'a ouvert la porte d'Emnet la Naine ; je commence à m'habituer aux visions merveilleuses (ou tout du moins étranges) mais cette nouvelle pièce me fait froid dans le dos. A des centaines de pieds sous la surface. Les habitants sont extrêmement accueillants et agréables, rien a voir avec les brutes rencontrées dans le labyrinthe, ces cornichons ne faisaient certainement pas partie de l'équipe de Gus.
La Chef (au propre comme au figuré) m'a indiqué que je devrais trouver quelque part une clef permettant d'accéder au reste du souterrain, je l'ai trouvé sans difficulté, il faut dire que je commence à savoir qu'il faut fouiller partout. Un petit parchemin est attaché à la clef, il y est inscrit « Bucolique Espoir », drôle de nom...
Je suis entré dans la nouvelle salle ; quel spectacle stupéfiant! Bucolique prend tout son sens, mais comment est-ce possible ici? Sous terre?. Ces soleils sont tout bonnement stupéfiants !
Sur une nouvelle porte il est profondément gravé dans le bois « Les Marches du Trépas », voilà qui n'est guère rassurant. Ce souterrain n'a-t-il pas de fin ?
Je parviens à avancer relativement vite dans ce nouveau labyrinthe, est-ce parce qu'il est plus simple, ou mon sens de l'orientation s'est il aiguisé ?
Je déteste tout de même ces sinistres couloirs à l'éclairage malsain, je n'ose pas utiliser trop rapidement la magie que j'ai récupérée lors de ma brève halte à Emnet la Naine en jetant un sort de lumière.
Mais enfin, qu'est ce que ça veut dire ? Après les fléchettes empoisonnées, un bassin de lave ! La porte est au-delà est bloquée, il y a une feuille sur une des stèles avec ces mystérieuses poignées - il doit y en avoir une qui débloque le passage, mais comment choisir ? Je ne souhaite pas me brûler vif...
Je n'avais pas le choix, je suis allé prendre la note ; comme je le pensais il n'y avait pas profond de lave, j'ai bien fait de laisser mes chaussures sur le bord.
Mes pieds sont couverts de cloques, j'ai par chance, trouvé un coffre avec des onguents...
La note est une énigme qui indique comment s'y prendre. Je n'y comprends rien Il faut que je réfléchisse, le texte en est obscur mais en le lisant attentivement il indique bien quoi faire....
NON ! Ce n'est aucune des deux poignées que je me suis risqué à activer; mais quoi alors ? C'est à rien y comprendre ! Et comment diantre cette lave peut elle se maintenir en fusion, il n'y a pas de faux soleil ici ! Quelque chose m'échappe.
Eurêka ; j'ai trouvé ! Le mur s'est bien ouvert, il y a des cercueils dans le couloir ; rien d'engageant....
Étrange endroit ; il flotte une brume bleutée et les couloirs sont glacials ; il y a un bureau, avec une note de la main de Dorempé ; approcherais-je enfin ?
Deux gloutons m'ont attaqués, ils étaient énormes ; mais je suis tout de même parvenu à les éliminer.
Voilà que ça recommence, une série de portes : elles sont toutes bloquées, et une partie du couloir est piégée, le seul levier que j'ai trouvé n'ouvre RIEN !
j'ai enfin trouvé ce qu'il fallait toucher pour débloquer la grille menant vers un nouveau couloir, la porte du fond est bloquée, elle aussi ; le levier destiné à l'ouvrir serait grippé, d'après la note de Dorempé que j'ai trouvée.
Impossible de réparer ce leviers ; mais comment faire alors, réfléchissons une nouvelle fois…ça y est j'ai trouvé la solution.
Me voilà maintenant dans le salon privé de Perlhenor ; il y a une statue (apparemment à son effigie) entourée de leviers ; certainement une nouvelle sécurité...
La tablette au pied de la statue parle de chapitres, je me demande ce que cela signifie... si je veux progresser il me faut trouver la solution, mais quel levier bouger ? Un pense-bête retrouvé là me met sur la piste et voilà le problème résolu.
J'ai réussi à débloquer le système de la statue, ce n'était pas si dur finalement... la salle suivante s'appelle « salle d'op ' », évidemment il fallait trouver comment l'ouvrir mais c'est fait. A peine ai-je eu le temps d'entrer qu'un spectre m'attaque ; j'en suis venu à bout, non sans peine, grâce à mes boules de feu. Charmant accueil...
La salle d'opération est une salle d'opérations un peu particulières ; quelques documents de Dorempé assez intéressants, pas mal de matériel médical... J'ai vidé la pharmacie (dont j'ai trouvé la clef dans le salon) pour me remettre d'aplomb.
Je suis retourné dans le couloir principal, voir ce que j'avais ouvert avec la statue (j'ai trouvé une clef, une de plus, je ne sais pas à quoi elle sert, je verrais bien). C'est la porte du Gigantomachia (quelque chose d'imprononçable) qui est maintenant béante.
La salle est étrange, emplie de statues de dieux ; tandis qu'au milieu deux daedras semblent combattre. Une note indique comment je suis censé parvenir à ouvrir la « salle des minotaures » ; où se trouverait un des précieux objets du trésor de Perlhenor. La note parle de connaissance et de logique ; peut être une référence au Divin dont c'est le domaine...
Oui, c'est bien cela ; avec l'aide du Divin de la connaissance j'ai trouvé le livre...
Je m'interroge sur le premier mot, « l'absent », j'ai l'impression que le livre évoque toutes les divinités de la salle sauf le dieu-dragon du temps, serait-ce ça la réponse ?
Oui, j'ai triomphé de la porte, la salle des minotaures s'est ouverte.
J'ai pu ouvrir la vitrine avec cette clef trouvée auparavant. Cet « élixir des Dieux » semble tout ce qu'il y a de plus ordinaire, mais je n'ose le goûter, je le garde par de vers moi ; mon ami Sinderion pourra certainement m'en dire plus...
Je suis de nouveau bloqué ! Les leviers de la salle ne fonctionnent plus ! Il y a peut être un autre moyen d'ouvrir la porte du corridor maudit, mais je ne trouve rien !
Allons bon, c'est incroyable, cela doit faire une journée que je suis bloqué ici ; rien à faire, ces leviers sont bloqués et je n'arrive pas à les faire bouger d'un pouce.
C'est insensé, voilà sans doute 2 jours (selon mon estomac) que je campe dans le salon de Perlhenor et que je fouille le Gigantomachina. Je ne trouve rien.
J'en ai assez de ce foutu souterrain totalement improbable ! Pourquoi Perlhenor est il venu s'enterrer ainsi dans le nord ? Et comment cet endroit peut il être aussi vaste ? J'ai l'impression que le réseau de galeries occupe l'ensemble des montagnes de Jerall !
Ça y est, j'ai enfin trouvé ! il faut avoir l'esprit tordu pour avoir installé le mécanisme d'ouverture ainsi...
Le corridor maudit est ouvert, il y a d'étranges racines rougeâtres qui l'envahissent,... le jardinier ne vient pas souvent on dirait…
Je suis parvenu à traverser le corridor et dans le reste du couloir j'ai trouvé de nouveaux équipements laissés par Dorempé. Il y a aussi une note, qui s'indigne de l'état d'abandon du lieu et des plantes qui y poussent comme de l'herbe folle.
Des squelettes, AHHH, si je m'attendais à ça...; j'ai été totalement pris par surprise ; pas eux, ces abominations n'existent que pour se battre...
Ils étaient peu nombreux, par chance j'ai pu en éliminer deux avant qu'ils n'aient le temps d'invoquer leurs semblables ; un boule de foudre dans les cervicales est du meilleur effet. Mais j'ai eu moins de chance avec les suivants, des archers, ils ont esquivés mes sorts et je m'en suis tiré avec une flèche dans l'épaule droite...
L'arracher a été horrible...
Par chance j'ai pu me servir des potions laissées par Dorempé pour me faire un cataplasme, je ne devrais pas garder une cicatrice trop importante. Mais je ne pourrais pas me servir de mon bras droit pendant les prochains jours.
j'espère qu'Efeilsen est en vie, lui, mais je n'en ai vu nulle trace...
J'ai trouvé une nouvelle partie du journal de Perlhenor, il y parle d'une salle dont l'accès est codé par le nom... d'un ennemi des elfes ; le livre parles de l'Ouest Colovien, ce détail a déclenché un déclic ; C'est facile, ça me rappelle mes cours de théologie à l'Université...
J'ai composé le code dont parlait le journal, la salle des gardiens éternels devrait être ouverte... et franchit la porte Julianos,
J'ai déverrouillé la grille qui donne accès aux tombeaux ; les tombeaux sont devant moi...
Par Auri-el ! Je ... il n'y a pas de mots pour ce que je viens de voir ! Le tombeau, il est gardé par une vieille demoiselle, acariâtre comme le sont les vieilles filles, Pourtant elle n'attaque pas. Dans la crainte de provoquer sa colère je n'ose toucher aux armes incroyables qui se trouvent sur les 4 tombes...
Une nouvelle manipulation et voilà qu'apparaît un livre.
Perlhenor semble s'y essayer au registre élégiaque... il se défend bien dans ce domaine...
Il y a une nouvelle énigme, je n'en saisi pas le sens.
On dirait une prophétie, ou quelque chose de ce genre...
Je ... que se passe t'il ? J'ai comme des vertiges, la salle semble tanguer... je ne comprends pas ce qui se passe. Je me sens affreusement mal... Je viens de vomir, et j'ai l'esprit un peu plus clair, je peux à nouveau tenir une plume sans trembler. Pourquoi ?
Si je ne sort pas très vite d'ici je serais en danger de mort...
Je n'ai plus rien à perdre, si il y a une sortie ; elle passe forcement par cette salle.
J'ai réussi à ouvrir la porte ! J'étais désespéré, j'ai heurté du poing, au hasard, une des noms gravé dans le bois de la porte. Je ne sais plus lequel. La porte est ouverte. J'ai le poing en sang, criblé d'éclis de bois... Aucune importance, il faut que j'avance...
Je, haaaaaaa, ça reprend !
...
Ca, ahhh, ça a été plus long cette fois ça, il faut que je me dépêche... Je suis dans la salle au trésor, la caverne aux merveilles, mais lorsque j'ai voulu me saisir d'un de ces précieux artefacts il a glissé de mes mains tremblantes et moites, et s'est brisé en tombant. Juste brisé. Rien. Pas d'éclair.
Je viens de voir mon reflet dans un grand disque d'argent, je très pâle, tirant sur le verdâtre. J'ai très peur. Il y a un nouveau livre de Perlhenor, je vais le lire.
NOOOOON ! Tous ces objets, ils ... le livre dit que... non ! C'est impossible, je ne peux pas ! ... ….
Je sens que ... Une nouvelle crise approche, je dois sortir... vite ! vite !
Il y a un autre système d'ouverture, bien caché, mais plus assez pour moi... Je l'ai enclenché. Une nouvelle porte qui s'ouvre ... Où ?
Des migraines, des migraines atroces... Je sens mon pouls... battre dans ma tête... J'ai la vue brouillée... des larmes ? NON ! C'EST DU SANG !!
L'escalier, je dois remonter.... [Une longue ligne traverse le parchemin, comme si la plume avait glissée. Le bas du parchemin est couvert de gouttelettes de sang]
Voilà ; je n'étais, bien sûr, plus en état de continuer à écrire ; par chance j'ai conservé ces parchemins sur moi. Je me rappelle avoir péniblement remonté l'escalier, vomissant à plusieurs reprises. Arrivé en haut, je me suis traîné comme j'ai pu, probablement en rampant, vers le fond du couloir, vers la dernière porte qui était fermée. Elle était bien ouverte à ce moment là, une lueur bleue en jaillissait ; j'ai cru qu'il s'agissait du ciel du Cyrodiil, et porté par cet espoir je suis arrivé au seuil de la salle. Quand j'ai vu que c'était un portail, je me suis effondré de désespoir, convaincu que ces souterrains étaient une immense souricière destinée à piéger les aventuriers, et qu'ils ne finiraient jamais... Je ne sais pas pourquoi je me suis remis à ramper. L'instinct de survie peut être... Je me rappelle m'être agrippé de toutes les faibles forces qu'il me restait au pilier du portail.
Ensuite ce fut une sorte de tourbillon et j'ai senti de la neige sous moi. J'ai vu des lumières provenant de fenêtres éclairées toutes proches de moi. Constatant cela j'ai crié un appel à l'aide, une fois, ou deux, et je me suis évanoui.
Je me suis réveillé dans une chambre de la Guilde, à Bruma, deux jours après que les habitants d'Emnet m'aient retrouvé et conduit là-bas, m'a-t-on dit.
D'après l'alchimiste qui m'a administré ses remèdes –je ne me rappelle plus son nom ; le venin végétal qui m'avait terrassé est sécrété par des plantes noueuses qu'on rencontre souvent en Oblivion, normalement il n'est pas très virulent, mais cumulé à l'état de fatigue et de faim dans lequel je me trouvais, il a eu des effets désastreux...
Je suis presque complètement remit, et je compte poursuivre mon congé à Bruma. Je vous envoie tout de même, honorables Maîtres Mages, ce rapport, constitué de mes notes prises dans les sous sols des montagnes de Jerral et de mon récit sur les derniers événements.
Avec mes plus respectueuses salutations.
Antarès.
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D.A.D., le 29 avril 2013 - 21:21, dit :
)?
. pris à mon propre piège...
)
...
Pour ceux qui n'ont pas encore essayé, arrêtez-moi ce péché 
, Dieu vous en conjure!
, pour jeanlouis et son mod 
*termine sa séance d'auto-flagellation puis poursuit* 
), mais je n'arrive pas à ouvrir la salle du Kalopheburon