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[I] Une nouvelle épopée


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6 réponses à ce sujet

#1 Lord Mortim

Lord Mortim

    Spontanément magique


Posté 06 octobre 2002 - 06:42

...Dans les chateaux et les chaumières
Le mystérieux itinérant
Par jour d'été ou nuit d'hiver
S'en vient joyeux au gré du vent...

L'histoire se répète... du moins c'est ce qu'ils disent...

Mais lorsque sur les terres de Vvardenfell se levèrent les vents de cendres, lorsque les anciennes prophéties refirent surface et que les dieux eux-même se mirent à craindre l'avenir, personne n'aurait pu prévoir d'où viendrait le salut...ou la tourmente...

Il arriva d'au delà les mers intérieurs, il franchit les océans de brumes, marcha au sein des tempêtes avec pour seul bagage une vieille toge fripée charriée par les vents et recouvrant un visage sans identité.

"...tu seras la lettre écrite dans l'incertitude..."

Pour lui, il n'y avait pas de chemin, ou plutôt, il était le chemin. Silhouette indistincte marchant vers un ailleurs indicible formé de ses propres rêves, il parcourait le monde de villes en villages et apportait sa modeste contribution au grand conte. Parfois il apportait son aide aux nécessiteux, parfois, il laissait derrière lui des vies brisées. Il suivait un plan que lui seul semblait comprendre, et lorsqu'on lui posait la question, il aimait à répondre que "dans cette vaste mélodie funèbre qu'est l'existence, il était l'accord improvisé".

Arrogant il était, et grandiloquent sans aucun doute, mais plus que tout, il cultivait une passion sans borne pour ceux que les dieux avaient oublier. Il se plaisait à considérer la vie comme un livre ouvert, et lui aimait faire des ratures dans la marge. Sa destinée, il l'écrivait lui même à grand coup de superlatifs et de réthorique à faire pâlir les scribes personnels de l'empereur.

Et lorsqu'il parvint enfin sur les rivages de Vvardenfell, il posa pied à terre et respira l'air frais des terres septentrionnales. Le parfum de l'inconnu avait une fragrance délicieuse. Il partit à la conquête de ce nouveau monde et après avoir debarqué à Seyda Nyhin, commença son périple par le village de Pélagiad où il fit une première rencontre...
Sans doute il fut un temps, appelé l'âge d'or,
Où l'homme pour son Dieu n'avait que la Nature,
Et coulait une vie aussi douce que pure...
Pour le sage éclairé, ce temps existe encore.

Sylvain Maréchal, Dieu et les prêtres

#2 Lord Mortim

Lord Mortim

    Spontanément magique


Posté 15 octobre 2002 - 17:59

Le Messager

Quelques pas sur le gravier dans un froufrou de toge usée par le voyage, et l'itinérant s'arreta devant un petit coffre en bois verni. Une main qui s'élèva lentement dans les airs, quelques paroles obscures prononçées dans la langue ancienne, et le petit coffre se mit soudainement à sautiller, comme pris de hocquet. Le couvercle s'ouvrit dans un claquement sonore et de petites figurines de bois bondirent sur le sol. Un cercle tracé dans l'air du bout des doigt, et une musique sortie de nul part emplit l'air d'une gigue endiablée dont les échos survolèrent toute la place. Les figurines, qui représentaient des personnages imaginaires de différent folklores se mirent à danser au rythme de la musique festive. L'itinérant releva son capuchon et fit face aux quelques bambins et passants curieux attirés là par cet étrange numéro. Un sourire confiant se dessina sur son visage.

Pélagiad, en ce jour resplendissant de l'année 427 de la troisième ère, ressemblait à n'importe quelle autre village occidental heureux et sans histoire. L'itinérant était arrivé le jour même, et très vite, ses vétements frippés et son air d'ailleurs avaient attiré les regards, ce qui lui facilitait grandement la tâche. Une fois que suffisamment de monde fut ammassé devant ses figurines, il prit la parole.

-"Approchez brave peuple de Pélagiad ! Venez entendre les plus grandes épopées de notre ère et des autres ! Venez écouter la légende des exaltés, ces héros que l'histoire n'a pas juger bon de retenir !"

Le conteur baissa la voix, qui se fit comme un chuchotement tout en étant assez forte pour être entendue dans toute la place.

- "... ces héros que les dieux ont juger préférable d'oublier !"

Il s'ensuivit un choeur de "oh" où se mélait outrage et excitation, mais le conteur avait l'art d'attiser les esprits tout en captivant les sens, aussi reprit-il de plus belle.

-" N'avez vous jamais réver de voir avec les yeux d'un Dieu ? Ne vous êtes vous jamais demander comment les seigneurs de l'au-delà nous contemplent, du haut de leur tour d'ivoire ? Non ? Eh bien, laissez moi vous guider... voici l'entrée secrète..."

Le conteur narra alors l'histoire de ces personnages d'antan, histoire où il n'était question ni de fée, ni de dragons, ni de chevaliers, ni de magiciens et encore moins de troll. En réalité, c'était une histoire bien banale que peu de conteurs se vanteraient d'avoir dans leur répértoire. Elle racontait la vie ordinaire d'un menier qui ne possèdait rien d'autres que son moulin et sa bonne humeur. Et pourtant, l'auditorat fut litteralement captivé. Le temps avait cessé d'exister, comme si le soleil, curieux, s'était arreté dans sa course pour écouter lui aussi ce merveilleux conte.

Lorsqu'il eut fini, les passants eurent l'impression diffuse d'émerger d'un rêve. L'itinérant récolta quelques pièces offertes de bon coeur. Mais alors que la foule se dissipait, il remarqua qu'un étrange personnage restait debout devant lui. C'était un homme de haute stature, d'une soixantaine d'année, dont l'épaisse barbe grise manquait cruellement de soins. Il était vétu d'une simple robe, à la manière des magiciens, bien qu'il n'avait rien d'une personne de magie. Il regardait le conteur de ses yeux bienveillant et marqués par les années, et attendit patiemment que celui-ci ait fini de ranger ses affaires, puis il s'approcha de lui.

- "Ce fut une très belle histoire, jeune itinérant, vous avez très certainement un don inestimable."

- "Je vous remercie, fit le conteur, mais je n'y suis pour rien."

- "Voilà une bien singulière réponse, répondit calmement l'inconnu, et comment donc cela se pourrait-il ?"

- "Je ne suis qu'un messager. J'observe la vie des gens, puis je la couche sur papier et dans ma mémoire. Et comme un chien fidèle aide un aveugle à trouver sa canne, je rapporte aux gens le merveilleux qui leur appartiens et qu'ils n'ont pas su voir par eux-même."

Une lueur brilla soudainement dans les yeux du vieil homme, comme s'il avait enfin trouver quelque chose qu'il aurait chercher une vie durant.

- "Je comprends, fit-il simplement. Et bien messager, peut être me permettrez vous de vous offrir le couvert ? Le patron de l'auberge est un de mes bons amis. Oh, milles excuses, je ne me suis pas présenté, mon nom est Férégol, j'habite à quelques lieues de ce village, mais nous aurons tous le loisir de parler autour de deux assiettes et d'un pichet de bière."

- "J'accepte avec plaisir, gentil Férégol, répondit le conteur dans un sourire. Mon nom est Anthariel, et je suis enchanté de faire votre connaissance."

Férégol rendit son sourire au conteur, et ils se dirigèrent tous les deux à travers le petit sentier de pierre qui menait à l'auberge du mi-chemin. Ce jour allait marquer le début d'une formidable amitié, que même les terribles événements qui se préparaient alors ne purent jamais briser...
Sans doute il fut un temps, appelé l'âge d'or,
Où l'homme pour son Dieu n'avait que la Nature,
Et coulait une vie aussi douce que pure...
Pour le sage éclairé, ce temps existe encore.

Sylvain Maréchal, Dieu et les prêtres

#3 Lord Mortim

Lord Mortim

    Spontanément magique


Posté 05 novembre 2002 - 18:05

L'Histoire du Conteur

Férégol dit au revoir au Conteur alors que celui-ci marchait déjà sur le petit sentier menant à Balmora. Ils avaient discuter toute la nuit autour d'une table de l'auberge du mi_chemin dans l'atmosphère épaissie par le tabac à pipe de Férégol.

Celui-ci s'était révélé être un magicien original vivant seul à quelques lieues de là. Ils avaient beaucoup parler mais Férégol avait la sensation diffuse de connaître encore moins le conteur qu'avant leur rencontre. Et alors que celui-ci s'éloignait, il lui sembla qu'il redevenait l'inconnu sans identité qui était arrivé au village le jour d'avant.

En réalité, la seule preuve tangible de leur rencontre était ce parchemin qu'il tenait dans la main et que lui avait donner l'itinérant lorsque Férégol lui avait poser des questions sur son histoire.

..."Tout ce qui me restes d'elle est ce vieux conte pour enfant dont je ne me rappeles plus la provenance. Tenez, je vous l'offres, il ne me vaut plus rien..."

De retour chez lui, Férégol déroula le parchemin et lut l'histoire du conteur...




Il était une fois un jeune garçon malicieux qui passait son temps à raconter des histoires, à toute heure de la journée il racontait à qui voulait bien l'entendre les contes naissant de sa débordante imagination. A ses amis, ses parents, sa grande soeur, ses poupées de chiffons, sa petite souris nommée Sisi, son grand-père qui venait une fois par mois, et même parfois à Jacques le marchand de légumes quand il avait le temps pour l'écouter. Ce petit garçon aimait tellement les histoires que tout les jours, il se levait à l'aurore, avalait en vitesse son bol de lait, et se dépêchait d'aider son père à entretenir la ferme pour avoir le temps de marcher jusqu'en ville où il écoutait les conteurs ambulants sur la place du marché. Il adorait tellement les contes qu'il ne pensait qu'à ça, tout le temps, de l'aurore au crépuscule, et même du crépuscule à l'aurore, tant et si bien que son travail à la ferme n'était pas toujours bien fait.

Et un jour, son pauvre père, qui en avait assez de refaire les travaux de son fils, lui dit :
"Anthariel, mon enfant, il est temps que nous parlions, tu es maintenant un grand garçon et j'ai besoin de toi à la ferme. Maintenant que tu es devenu grand, tu dois abandonner tes histoires et te consacrer à ton travail, car c'est celui-ci qui fera vivre tes enfants."

Alors Anthariel se mit à travailler dur, très dur, et se consacra aux travaux des champs, il voulait tellement faire plaisir à son père qu'il n'allait même plus en ville pour voir les conteurs. Mais il avait beau faire des efforts, il n'était décidément pas doué pour les travaux manuels.

A l'âge de sept ans, Anthariel voulut apprendre à lire, et ses parents qui étaient inquiets pour l'avenir de leur enfant décidèrent de le mettre dans un monastère où il pourrait avoir le gîte et le couvert tout en apprenant à lire et à écrire. C'est ainsi que Anthariel quitta ses parents et devint moine.

Pendant plusieurs années Anthariel fut instruit et devint érudit, il apprenait vite et adorait la lecture, et lorsqu'il eut fini de lire tous les livres de ses tuteurs, il voulut à son tour écrire. Alors il commença à écrire des histoires, et bientôt il finit par passer tout son temps devant ses parchemins, plume à la main, et comme il ne pouvait écrire que le soir, il dormait très peu, et devint malade, mais il s'en moquait, il voulait continuer à écrire des histoires.

Et un jour, son tuteur, qui s'inquiétait de la santé de son apprenti, lui dit :
" Frère Anthariel, mon disciple, il est temps que nous parlions, tu es maintenant aussi érudit que mon apprentissage a pu te le permettre. Maintenant que tu es moine pleinement ordonné, tu dois abandonner tes histoires et te consacrer au chemin du très haut, car c'est celui-ci qui te sauvera lors de son jugement. "

Mais l'amour des histoires était gravé en Anthariel aussi profondément que l'ignorance dans le coeur des hommes, et il ne put s'en défaire, alors il fut rejeté, et erra longtemps de villes en villages, menant une vie de mendicité. Et pourtant, jamais il ne s'apitoyait sur son sort, il était libre et cette vie était un moyen formidable d'apprendre, de connaître de nouvelles histoires.

Et un jour Anthariel rencontra un magicien, pas un de ces amateurs de tour de passe-passe qui font disparaître des lapins pour gagner quelques sous, ni un de ses escrocs promettant la lune en échange d'une bourse bien remplie, encore moins un de ces devins sans scrupule se nourrissant des espoirs des pauvres gens, non, rien de tout cela, c'était un vrai magicien, vrai de vrai, aussi puissant et mystérieux que les mages de ses contes. Alors, Anthariel alla se laver à l'eau de la rivière, se fit propre, se présenta au magicien, et lui demanda de lui apprendre la magie.

-"Ha ! dit le magicien, pourquoi apprendrais-je l'art à un pauvre bougre comme toi ! Regarde-toi, tu empestes ! ta seule apparence est un affront pour mon regard ! Comment un misérable ver des rues pourrait apprendre la subtilité de la magie, j'imagine que tu ne sais même pas lire ! Allez va, ne me fais plus perdre mon temps ! "

-" Mais..., voulut répondre Anthariel, je sais lire et même écrire, voyez ceci est mon livre d'histoires et... ", mais le magicien ne lui laissa pas le temps de parler : "Hors de ma vue maraud !", et Anthariel s'en alla tout tristement son livre à la main. Mais Anthariel était bien plus têtu qu'une mule, et lorsqu'il fut hors de vue du magicien, il se dit que puisqu'il ne pouvait avoir de maître pour apprendre la magie, il apprendrait tout seul ! Et à l'aube, lorsque le magicien quitta la ville, Anthariel le suivit à bonne distance, passant plusieurs jours à observer son maître involontaire, imitant ses paroles et mimant maladroitement ses gestes.

La troisième nuit, alors que le magicien s'endormait une fois de plus près d'un feu de bois qui brûlait sans bois, l'apprenti-sorcier se glissa furtivement près des affaires du mage et en sortit son grimoire, il se mit près du feu et ouvrit avec excitation le livre de magie, mais le langage lui fut incompréhensible, il ne ressemblait pas à la langue vulgaire, et le pouvoir que rayonnaient les pages l'aveuglait. Soudain une ombre plana sur le jeune homme accroupi, le magicien s'était réveillé et il n'était pas content du tout.

-" Misérable imprudent, oser s'aventurer dans les affaires d'un mage sans y avoir été invité ! Tu vas payer pour ton crime ! "

-" Non, je vous en prie, ne me tuez pas !, dit Anthariel les yeux pleins de larmes, je voulais juste apprendre, je ne voulais pas vous voler, je le jure ! "

-" Apprendre ?, fit le mage interloqué, par la barbe de Tyr, tu es aussi têtu qu'un orc ! et deux fois plus stupide ! "

Et le mage vit le livre de contes d'Anthariel, " Qu'est-ce cela ? ", lui demanda-t-il

-" C'est mon livre d'histoire, messire, je le tiens depuis mes sept ans de mon tuteur Hargrimm au monastère "

Et quand le mage commença à lire les lignes, il vit que l'écriture avait du pouvoir, et que le jeune voleur qu'il avait devant lui possédait malgré lui un don inné pour l'art. Il ferma le livre, reprit son grimoire et dit : " Très bien, pour te racheter de ton délit, tu m'accompagneras jusqu'à Linsays, tu nourriras les chevaux et t'occuperas du campement, en échange je t'apprendrai deux ou trois tours, et lorsque nous arriverons à destination je te rendrai ta liberté. ", le ton du mage était ferme, et Anthariel fut heureux d'être épargné.

C'est ainsi que commença la vie de mage pour Anthariel, arrivé à Lynsais, il réussit grâce à ses aptitudes à se faire admettre à l'école de magie, où il devait payer ses études en travaux divers.

Mais encore une fois, le jeune conteur fut indiscipliné, l'amour des histoires ne l'avait pas quitter et il profitait des jours où il devait nettoyer la bibliothèque des apprentis pour lire tous les livres qu'il pouvait trouver. Combien de fois fut-il retrouvé endormi à coté d'un livre au petit matin, seule Azura pourrait le dire.

Et un jour, il fut convoqué dans le bureau du patriarche de l'école, et celui-ci lui dit :
" Anthariel, mon jeune apprenti, il est temps que nous parlions, ton destin t'a conduit jusqu'ici, et je crains aujourd'hui qu'il ne t'ait éloigné du chemin de la connaissance. Saches que, si tu veux réaliser ton aspiration à devenir mage, tu devras abandonner tes histoires pour enfants car ce ne sont pas elles qui t'apporteront sagesse et pouvoir. "

Et une fois de plus, Anthariel dut partir, le coeur lourd de questions sans réponses.

Alors qu'il marchait tristement dans les rues de Lynsais, il entendit une histoire narrée non loin de là par un conteur ambulant, l'histoire parlait d'un enfant malicieux passionné par les contes, tellement passionné qu'il passait son temps à chercher à satisfaire son appétit, tant et si bien qu'il en oublia sa propre existence, et vécu sa vie comme un rêve. L'histoire racontait aussi comment l'enfant rencontra un enchanteur maître de l'art du conte, comment le conteur lui apprit à colporter les rêves, et comment l'enfant devint lui-même conteur...

Alors que le conteur terminait son histoire, chacun des passants arrêtés là revinrent doucement à la réalité d'une place de marché emplie des cris des marchands vendant leurs étalages, d'odeur de viande grillé et de bruit de sabots. Les enfants assis autour du conteur étaient tout excités par l'histoire qu'il venaient d'entendre, et partirent en riant, pressés de raconter à leur tour le conte à leur parents. Une fois la foule dispersée, le conteur ramassa son chapeau et les quelques piécettes qui traînaient dedans. Il s'apprêta à partir quand un jeune garçon vint vers lui, le regard humide, le garçon lui tendit sans mot dire un livre qui avait souffert la marque du temps, l'enchanteur ouvrit le livre d'histoires, lu quelques lignes, et referma le grimoire. Ses yeux croisèrent ceux du jeune homme, et un sourire sincère se dessina sur ses lèvres. Il tendit alors la main à son nouvel apprenti, et ensemble, ils disparurent dans un éclat de lumière, laissant derrière eux une fine poussière lumineuse, sans qu'aucun passant ne s'en étonne.

C'est alors que le lecteur se réveille.
Sans doute il fut un temps, appelé l'âge d'or,
Où l'homme pour son Dieu n'avait que la Nature,
Et coulait une vie aussi douce que pure...
Pour le sage éclairé, ce temps existe encore.

Sylvain Maréchal, Dieu et les prêtres

#4 Gilbertus

Gilbertus

    Kalenbours


Posté 06 novembre 2002 - 11:48

encore, encore , encore  :lol:  :lol:  :P

Kalendaar un jour, Kalendaar toujours ...


#5 Tim

Tim

    Timinus


Posté 21 juin 2004 - 14:42

*tim qui s'est mit en tete de relir tout le rp, et toute les histoire qu'il a laissé passé; et bienil peut vous dire qu'il est pas decu*

*Sa seigneurie le prince du clan des bouffeurs de Yabon !
*Détenteur de la baffe d'or administrée par Gamall le 19/11/07

Epilost Graphisme et délires
PixelNoob Une Web-émission, sur les jeux video


#6 Not Quite Dead

Not Quite Dead

    Rincevent


Posté 22 juin 2004 - 11:09

Quel talent, ce lord! :rolleyes:

*Essuie une larme.*
« I was a soldier! I killed people!
- You were a doctor!
- I had bad days! »
John Watson, en train d'étrangler Sherlock Holmes, Sherlock - A Scandal in Belgravia (2012)
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Vous aussi rejoignez les Fervents Partisans de l'Immuabilité Avatarienne!
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VGM impénitent (était-il besoin de le préciser?)
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Paterfamilias niv.IV

#7 Baka

Baka

    Baka pas demander


Posté 22 juin 2004 - 11:47

J'ai l'impression d'avoir manqué un conteur talentueux... Nos chemins ne se sont même pas croisés. Ces histoires sont merveilleuses, j'ai l'impression de me replonger dans mes livres de contes. Bravo, même si tu n'es plus là pour lire ces mots.
Il y a seulement 10 sortes de personnes dans la vie, celles qui comprennent le binaire, et celles qui ne le comprennent pas.




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