(Chapitre 1 : le message)
Le capitaine Rugain était dans sa tente, dehors, il neigait dru.
On y voiyait pas à dix mètres.
Rugain tentait de se réchauffer près du foyer central de sa tente.
Il repensait à sa femme qu'il avait laissé la-bas à Cambay.
Il arrivait presque à la voir, la toucher, il lui aurrait fallut être riche et s'en aller d'ici pour pouvoir la rejoindre.
Soudain, un ci le fit sortir de sa torpeur, c'était la voix de son second.
- Capitaine, on à trouvé quelque chose de bizard en creusant le puit....
Rugain se leva et mit son casque.
-Cesse de hurler....
-mais capitaine, je crois qu'on à trouvé de l'or...
-une pépite?
-non, plutot une sculpture...
- amenez moi ca dans ma tente.
Le second disparut et environ quinze minutes plus tard, une statue en or poser sur un brancard et porter par six hommes arriva dans la tente du capitaine.
Le capitaine fit signe à ces homme de déposer la statue sur la table.
Les soldats s'exécutèrent, puis sortirerent rapidement.
La statue semblait très lourde, car la table de chêne grincait de la planche jusqu'au pieds.
Rugain observa de plus près la statue, elle était comme l'avait prédit Médusard.
On aurrait dit qu'un homme avait été recouvert d'or en fusion mais que la chaleur n'avait pas altérer sa morphologie, comme bloqué dans un moule d'or.
Le capitaine frissona de joie à l'idée que cette or le rendrait riche.
En y regardant de plus près, on pouvait voir que cette statue semblait tenir un objet contre elle.
C'était ce que voulait Médusard, il ne voulait que la dague que la statue tenait blotit contre elle.
Médusard n'avait que faire de l'or, il était déja riche de toute facon.
Le capitaine entreprit de toucher la staute lorsque le second l'interrompit d'un murmure....
- Capitaine, c'est l'or du roi, n'est-ce pas?
Le capitaine sentit toute l'avidité du second qui voulait la statue pour lui seul, il lui sauta dessus et envoya valdinguer le second sur la table qui céda sous le poid du second et de la statue....
Lorsqu'il voulu se relever, le second sentit une violente douleur dans le bras.
En tombant il avait accrocher la dague que tenait la statue.
Le Capitaine horrifié vit que son second se transformait lui aussi en or alors que l'autre statue semblait connaitre l'effet inverse.
Peu à peu le corps d'un homme sans vie se découvrait.
Le capitaine s'approchat du cadavre, les vétements de la statue à présent dépourvu d'or semblait se se transforem en poussière alors que la chair se mit elle aussi à pourrir jusqu'a ce que le corp ne se transforme en un tas de cende.
Au milieu du tas de cendre, la dague semblait avoir survécu.
Rugain voulu la saisir mais une violente douleur l'en empécha.
Le second n'était pas complètement paralisé et avait planté une lance dans le dos du capitaine qui s'écroula en émettant un gémissement rauque.
L'or ne l'avait pas encore recouvert, le second hurlait, il pouvait sentire ces entrailles se durcir, ses os, et sa peau.
Il voulu crié mais sa langue était déja transformé.
Il voulu pleurer mais déja ses larmes était de la couleur de l'or.
La dernière chose qu'il vut, fut six soldats se disputant pour savoir qui aurrait la statue, l'un deux fut bousculer et tomba dans le foyer central de la tente, ces vétement brulait et en courrant il propagea le feu à d'autre tente.
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(H) La cinquième phalanges
Débuté par
Le Fléau
, 18 oct. 2004 - 13:13
2 réponses à ce sujet
#1
Le Fléau
Posté 18 octobre 2004 - 13:13
Mourir en héros c'est mourir quant même.....
Les tuto c'est comme le choco, t'y a gouté une fois tu peut plus t'en passer...
Les tuto c'est comme le choco, t'y a gouté une fois tu peut plus t'en passer...
#2
Le Fléau
Posté 18 octobre 2004 - 13:24
Josch était de garde le long de la palissade et vu dans son camp qu'une incendie se propageait.
Il courrut vers les marche pour aider à maitriser l'incendie, mais il s'étonna de voir que les soldats s'entre tuait sans raison apparente.
Il se précipita vers le pigonnier et pris un pigeon au hazard le relachant avec une bague rouge.
Lorsqu'il sortit, l'incendie léchait déja la pallissade.
Josch prit sa hache et la lanca vers la fenètre du pigonnier.
Il s'éllanca vers l'échelle mais celle-ci brulait déja, un seul solution était envisagable, sauter. Il enjemba la pallissade et au momment de s'élancer vers l'extérieur pour fuir fut victime d'une flèche qui se planta dans sa jambe, il se laisa glisser le long de la pallissade vers l'extérieur et s'écrasa lourdement sur le sol.
Il voulut s'éloigner de la pallissade, mais il semblait être accoché à quelque chose.
Ce n'était plus la flèche qui le faisait souffir, mais un piquet en bois censé enpéché les assaillant de rentrer dans le camp, ca jambe avait été lacérer jusqu'à l'os.
Il regarda sa jambe qui pendait de manière anormale à coté de lui et il comprit que la mort viendrait rapidement.
Il courrut vers les marche pour aider à maitriser l'incendie, mais il s'étonna de voir que les soldats s'entre tuait sans raison apparente.
Il se précipita vers le pigonnier et pris un pigeon au hazard le relachant avec une bague rouge.
Lorsqu'il sortit, l'incendie léchait déja la pallissade.
Josch prit sa hache et la lanca vers la fenètre du pigonnier.
Il s'éllanca vers l'échelle mais celle-ci brulait déja, un seul solution était envisagable, sauter. Il enjemba la pallissade et au momment de s'élancer vers l'extérieur pour fuir fut victime d'une flèche qui se planta dans sa jambe, il se laisa glisser le long de la pallissade vers l'extérieur et s'écrasa lourdement sur le sol.
Il voulut s'éloigner de la pallissade, mais il semblait être accoché à quelque chose.
Ce n'était plus la flèche qui le faisait souffir, mais un piquet en bois censé enpéché les assaillant de rentrer dans le camp, ca jambe avait été lacérer jusqu'à l'os.
Il regarda sa jambe qui pendait de manière anormale à coté de lui et il comprit que la mort viendrait rapidement.
Mourir en héros c'est mourir quant même.....
Les tuto c'est comme le choco, t'y a gouté une fois tu peut plus t'en passer...
Les tuto c'est comme le choco, t'y a gouté une fois tu peut plus t'en passer...
#3
Le Fléau
Posté 19 octobre 2004 - 17:18
Le Fléau, le 18.10.2004 à 13:13, dit :
(Chapitre 1 : le message)
Le capitaine Rugain était dans sa tente, dehors, il neigait dru.
On y voiyait pas à dix mètres.
Rugain tentait de se réchauffer près du foyer central de sa tente.
Il repensait à sa femme qu'il avait laissé la-bas à Cambay.
Il arrivait presque à la voir, la toucher, il lui aurrait fallut être riche et s'en aller d'ici pour pouvoir la rejoindre.
Soudain, un cri le fit sortir de sa torpeur, c'était la voix de son second.
- Capitaine, on à trouvé quelque chose de bizard en creusant le puit....
Rugain se leva et mit son casque.
-Cesse de hurler....
-mais capitaine, je crois qu'on à trouvé de l'or...
-une pépite?
-non, plutot une sculpture...
- amenez moi ca dans ma tente.
Le second disparut et environ quinze minutes plus tard, une statue en or poser sur un brancard et porter par six hommes arriva dans la tente du capitaine.
Le capitaine fit signe à ces homme de déposer la statue sur la table.
Les soldats s'exécutèrent, puis sortirerent rapidement.
La statue semblait très lourde, car la table de chêne grincait de la planche jusqu'au pieds.
Rugain observa de plus près la statue, elle était comme l'avait prédit Médusard.
On aurrait dit qu'un homme avait été recouvert d'or en fusion mais que la chaleur n'avait pas altérer sa morphologie, comme bloqué dans un moule d'or.
Le capitaine frissona de joie à l'idée que cette or le rendrait riche.
En y regardant de plus près, on pouvait voir que cette statue semblait tenir un objet contre elle.
C'était ce que voulait Médusard, il ne voulait que la dague que la statue tenait blotit contre elle.
Médusard n'avait que faire de l'or, il était déja riche de toute facon.
Le capitaine entreprit de toucher la staute lorsque le second l'interrompit d'un murmure....
- Capitaine, c'est l'or du roi, n'est-ce pas?
Le capitaine sentit toute l'avidité du second qui voulait la statue pour lui seul, il lui sauta dessus et envoya valdinguer le second sur la table qui céda sous le poid du second et de la statue....
Lorsqu'il voulu se relever, le second sentit une violente douleur dans le bras.
En tombant il avait accrocher la dague que tenait la statue.
Le Capitaine horrifié vit que son second se transformait lui aussi en or alors que l'autre statue semblait connaitre l'effet inverse.
Peu à peu le corps d'un homme sans vie se découvrait.
Le capitaine s'approchat du cadavre, les vétements de la statue à présent dépourvu d'or semblait se se transforem en poussière alors que la chair se mit elle aussi à pourrir jusqu'a ce que le corp ne se transforme en un tas de cende.
Au milieu du tas de cendre, la dague semblait avoir survécu.
Rugain voulu la saisir mais une violente douleur l'en empécha.
Le second n'était pas complètement paralisé et avait planté une lance dans le dos du capitaine qui s'écroula en émettant un gémissement rauque.
L'or ne l'avait pas encore recouvert, le second hurlait, il pouvait sentire ces entrailles se durcir, ses os, et sa peau.
Il voulu crié mais sa langue était déja transformé.
Il voulu pleurer mais déja ses larmes était de la couleur de l'or.
La dernière chose qu'il vut, fut six soldats se disputant pour savoir qui aurrait la statue, l'un deux fut bousculer et tomba dans le foyer central de la tente, ces vétement brulait et en courrant il propagea le feu à d'autre tente.
Le capitaine Rugain était dans sa tente, dehors, il neigait dru.
On y voiyait pas à dix mètres.
Rugain tentait de se réchauffer près du foyer central de sa tente.
Il repensait à sa femme qu'il avait laissé la-bas à Cambay.
Il arrivait presque à la voir, la toucher, il lui aurrait fallut être riche et s'en aller d'ici pour pouvoir la rejoindre.
Soudain, un cri le fit sortir de sa torpeur, c'était la voix de son second.
- Capitaine, on à trouvé quelque chose de bizard en creusant le puit....
Rugain se leva et mit son casque.
-Cesse de hurler....
-mais capitaine, je crois qu'on à trouvé de l'or...
-une pépite?
-non, plutot une sculpture...
- amenez moi ca dans ma tente.
Le second disparut et environ quinze minutes plus tard, une statue en or poser sur un brancard et porter par six hommes arriva dans la tente du capitaine.
Le capitaine fit signe à ces homme de déposer la statue sur la table.
Les soldats s'exécutèrent, puis sortirerent rapidement.
La statue semblait très lourde, car la table de chêne grincait de la planche jusqu'au pieds.
Rugain observa de plus près la statue, elle était comme l'avait prédit Médusard.
On aurrait dit qu'un homme avait été recouvert d'or en fusion mais que la chaleur n'avait pas altérer sa morphologie, comme bloqué dans un moule d'or.
Le capitaine frissona de joie à l'idée que cette or le rendrait riche.
En y regardant de plus près, on pouvait voir que cette statue semblait tenir un objet contre elle.
C'était ce que voulait Médusard, il ne voulait que la dague que la statue tenait blotit contre elle.
Médusard n'avait que faire de l'or, il était déja riche de toute facon.
Le capitaine entreprit de toucher la staute lorsque le second l'interrompit d'un murmure....
- Capitaine, c'est l'or du roi, n'est-ce pas?
Le capitaine sentit toute l'avidité du second qui voulait la statue pour lui seul, il lui sauta dessus et envoya valdinguer le second sur la table qui céda sous le poid du second et de la statue....
Lorsqu'il voulu se relever, le second sentit une violente douleur dans le bras.
En tombant il avait accrocher la dague que tenait la statue.
Le Capitaine horrifié vit que son second se transformait lui aussi en or alors que l'autre statue semblait connaitre l'effet inverse.
Peu à peu le corps d'un homme sans vie se découvrait.
Le capitaine s'approchat du cadavre, les vétements de la statue à présent dépourvu d'or semblait se se transforem en poussière alors que la chair se mit elle aussi à pourrir jusqu'a ce que le corp ne se transforme en un tas de cende.
Au milieu du tas de cendre, la dague semblait avoir survécu.
Rugain voulu la saisir mais une violente douleur l'en empécha.
Le second n'était pas complètement paralisé et avait planté une lance dans le dos du capitaine qui s'écroula en émettant un gémissement rauque.
L'or ne l'avait pas encore recouvert, le second hurlait, il pouvait sentire ces entrailles se durcir, ses os, et sa peau.
Il voulu crié mais sa langue était déja transformé.
Il voulu pleurer mais déja ses larmes était de la couleur de l'or.
La dernière chose qu'il vut, fut six soldats se disputant pour savoir qui aurrait la statue, l'un deux fut bousculer et tomba dans le foyer central de la tente, ces vétement brulait et en courrant il propagea le feu à d'autre tente.
Mourir en héros c'est mourir quant même.....
Les tuto c'est comme le choco, t'y a gouté une fois tu peut plus t'en passer...
Les tuto c'est comme le choco, t'y a gouté une fois tu peut plus t'en passer...
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