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[H] Les faits divers de Tol


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#1 Tolsadum

Tolsadum

Posté 21 août 2004 - 06:10

Ce matin là il faisait chaud. Bien que la veille il avait plue de quoi remplir un puits ou une fosse à Guar. Je me souvenait que j’avais plusieurs affaires en cours et bien entendus les poches toujours aussi vides. Normal quand ont dépense tout en femmes et en flin.
Je me levais péniblement, fit craquer mes os, enchâssais ma lame dans mon fourreau et enfilais ma peau de bête. Après un rinçage de bouche dans une petite marre et quelques besoins corporels je me mis enfin en route.

Ha oui, Pélagiad. J’aime bien cette petite bourgade champêtre moi, ça me rappelle… Rien en fait, j’ais une gueule de bois, mal a l’estomac et une furieuse envie de cogner un crâne avec mon crâne.
Je longeais nerveusement la petite route de terre qui menais vers Pélagiad n’oubliant jamais de lever le nez car je me souvenait des assauts incessants des braillards et ont ne savait jamais quand une de ces bestioles vous tombais sur le râble pour vous picorer le tête.
J’atteignis la ville et en fit le tour, pas trop émerveillé faut dire vus que la seule chose susceptible de m’émerveiller serait une elfe des bois en sous vêtements susurrant mon nom en caressant mes muscles. Après avoir fais les caisses, disons les poubelles pour mieux coller à la situation qu’était la mienne, je pus manger un morceaux. Bon, mes affaires… Ha oui… C’est la que tout devient compliqué, parce que je suis plutôt du genre à me sortir des situations seulement a coup d’épées et de poings le cas échéant.

L’armurerie de Pélagiad, j’entre lentement en me grattent le ventre plein, zieute mollement les articles proposés et décide de sympathiser avec le taulier.
- Bien le bonjour Rougegarde, désirez vous un articles précis ou une information quelconque ?
- Heu, bonjour l’amis (ma mains se dirige subtilement vers le comptoir), vous avez une bien belle boutique dite moi l’amis.
- Monsieur est trop aimable. Effectivement, vous ne trouverez pas de meilleur matériel à 10 lieux à la ronde (ma mains tente de voler la dague sur le comptoir).
- Vous m’en direz tant. C’est vôtre amis la type patibulaire là-bas ? (ma mains fourre la dague dans ma poche).
- Non bien sure que non, c’est un garde, ils assurent la protections des biens des gens.
- N’est ce pas, je ...

Le garde se tourne vers moi, dégaine son épée.
- Vous avez l’intention de payer cet article n’est ce pas ?
- Fichtre, mais de quoi parler vous donc mon bon monsieur ?
- Cette dague dans vôtre poche là, elle ne vous appartient pas puisque vous venez de la voler.
- Quoi, hurla la marchand.
- Cette dague, mais vous êtes malade mon bon monsieur.
- Bon, payez 10 septims rubis sur l’ongle ou je me verrais forcer de vous envoyez en prison et tous vos bien vous seront bien sur confisqué.
Le marchand n’eut pas le temps de dire ce qu’il voulais dire, ont ne le sauras jamais, je dégainais mon épée et le décapitais. Le garde se jeta sur moi, et un échange violent s’ensuivit. Nous détruisîmes presque la moitié de la boutique. Il essaya de me trancher la jambe droite mais j’esquiva son coup, fit une roulade et lui perça le ventre.

- C’est malin, Tol, maintenant ils vont êtres à t’est trousses, me murmurant à moi même.
Je sortis rapidement de la boutique non sans avoir voler tout ce que je pouvais voler puis m’échappais par derrière. J’escaladais la petite barrière et couru jusqu’à plus soif vers une plantation. Un peu calmé, je décidais de vérifier mon butin.
- Vous voulez un peu d’eau mon bon monssssieur ?
- Hein ?
- Vous sssemblez essssouflé ?
- Heu !
Coup d’œil à gauche, puis à droite. En face de moi ce dressait un Argonien ou une Argonienne, je ne savait jamais avec ces créatures. Il était planté là, au milieu du champs ou j’avais piétiné ses plantations, ou plus probable celle de son maître. Et il me regardais avait ses yeux de merlan frits avec dans les mains une cruche d’eau.
- Hé ben c’est pas de refus mon bon monss, mon bon Argonien.
- Monsssieur est trop bon. Pas comme le maître.
Je bus goulûment, essuya ma bouche d’un revers de manche  et lui rendis sa cruche vide accompagné d’un tape sur l’épaule. Il regarda mon fatras au sol, et puis mon visage, j’était noir m’est avis que je devais être pourpre après la course que je venais d’endurer.
- Heim, (tousse, tousse), dit moi, mon bon Argonien, quel est donc ton nom ?
- Je m’appelle Hushibama !
- Ha, moi c’est Tol, comme Tolsadum. Content de te connaître l’amis (accompagné d’une tape sur l’épaule).
- L’étranger peut-il libérer Hushibama ?
- Bien sure mon pote, (accompagné d’une tape sur l’épaule), je vais régler ça fissa mais avant faut que je refourgue tout ça tu comprend ?
- Hushibama c’est comment revendre tout ça, me dit-il avec se qui ressemblait peut-être à un sourire.
- Hé bien tope là l’amis.
Et il topa. Nous mîmes un plan sur pied pour le sortir de cette plantation sans se faire voir. D’abord récupérer cette satané clef pour lui retirer ses fers, ensuite, tout voler bien sur et après, ma fois s’enfuirent ensemble vers une cachette afin de refaire le point (oui, je réagis très lentement ces temps-ci, il me faut un délais pour faire plus ou moins le point, selon les points en cours. Chaque points doit êtres abordés avec soins et une fois qu’ils ont été étudiés ils peuvent faire l’objet de l’exécution de l’action qui à été définis par ce même point. Pourquoi croyez vous que je finisse souvent en prison ?).

Bien, nous avions convenus que j’attaquerais tous les gardes de l’extérieur et aussi ceux de l’intérieur, en fait, j’attaquerais tous le monde tout seule vus que le bon Hushibama avait trop peur pour se prendre une coup d’épée, voir de hache, ce qui était compréhensible. Je décidais donc de garder 70% des butins parce que je prenais tous les risques. Il topa, et je me mis au boulot.

Ce fut sanglant et très difficile. Je n’ais pas été élevé dans la subtilité et n’en est pas profité pour l’apprendre. Les deux gardes des l’extérieur furent raides mort en quelques secondes d’un coup d’épée mais j’avais été sérieusement touché au bras droit et a la poitrine. Handicapé, j’entrais de force dans la baraque et fracassais mon épée sur le crâne, au combien séduisant, d’une Dunmer chichement vêtus. En entendant le bruit assourdissant de sons cris, deux Dunmers descendirent en trombe de l’étage.

Malédiction.

Ils m’encerclais rapidement, comme des serpent autour d’une branche abîmée. Celui de droite me lança une attaque fulgurante avec une petite dague de verre, j’esquivais le coup, et lui envoya un coup de coude sous le menton, il recula en ballottant des bras et alla s’écraser contre la commode. Celui de gauche en profita pour me lancer une sort.

Malédiction, j’étais paralysé.

L’autre revint à la charge et m’asséna un coup de sa dague dans le ventre. Au moment ou je sentais ma fin venir, je vis celui qui m’avais lancé un sort, tomber comme frappé par la foudre. Hushibama, se dirigea ensuite vers celui avec la dague de verre et dans un combat bestial il lui trancha la gorge.

- Hushibama, dit-je avec le sourire, je suis content de te voir.
- Hushibama être guerrier maintenant, grasssse à Tol, lança t-il tout fière.
- Ouais, dit moi Hushi, tu peut pas fouiller la baraque pour trouver quelque chose pour me déparalyser là ?
Hushibama ricana et entrepris de fouiller la maison. Après une heure il revint tout penaud en m’annonçant qu’il n’avait rien trouvé. Je restait donc paralysé deux heure de plus dans une position comique. Hushibama en profita pour me parler de son peuple, de ses dieux ainsi que ses frères et sœurs. Je fus émus. JE luis parlais de bière, de femmes, de chants guerriers et des épées que j'avais cassés sur pleins de crânes ainsi que de mes nombreux séjours aux cachots. Il fut émus.

- Hushi, je coirs que c’est bon.
- Tol libre? alors nous partirent loin d’içi.
- Ouais, ont se casse fissa. M’est avis que nos tête sont déjà mis à prix.
- Nous ssssavons ou allez pour par être recherché.
- Ha? dit-moi tout Hushi.
- Balmora, guilde des voleurs, avoir bons amis là-bas. Ssssssécurité.

Après avoir partagé le butin (je ne gardais pas 70% mais 50%, fifti-fifti après qu’ont est topé), et nous avons attendus la nuit pour nous rendre à Balmora. Hushibama pénétra le premier dans la guilde et après quelques heures, il revint avec du boulot. D’après lui, si nous faisions quelques menus boulots pour les patron de la guilde, il y avait possssibilité d’éffasssser les primes ssssur nos têtes. Ce qui me convenais parfaitement. Mais en attendent nous étions quand même recherchés, donc nous devions travailler sous couverts des ombres et discrètement. Hushibama s’occuperais du subtile et moi du cognage.

Nôtre premier job. C’était ça la liberté…




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