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[Tim]

[i]Le bateau était amarré cette nuit là, dans un petit port aux abords de Lonsanglot.
Trois prisonniers, à faire réinsérer dans la société.
Le bateau partirait demain, au petit jour, quand les trois seront à bord.
En attendant le capitaine prenait du bon temps à la taverne des docks et expliquait une dernière fois le but de leur prochain voyage à son équipage.
De grands gaillards à la mine patibulaire, aux cheveux hirsutes, et à l'oeil inexpressif.
Le seul qui se démarquait encore fut la nouvelle recrue: "Colm", "Colm" tout court.
Il eu sans doute un vrai nom mais celui ci devait être trop honteux pour qu'il puisse être dévoilé au publique.
Colm était en contraste total avec les hommes du bateau, Un vingtaine d'année,des bras maigres, une coupe raide, caché sous un bandeau écarlate.


Les premiers rayons du soleil arrivèrent enfin. Le capitaine Simelon les avait attendu la pipe à la bouche.
Comme convenu: trois prisonnier embarquèrent : Un homme au crâne rasé, un jeune au regard perdu sur la mer qui selon son accoutrement aurait pus être aventurier , et un dernier, elfe des bois portant une multitude d'anneaux aux deux oreilles.
Le spectacle était assez insolite

Ils furent laissés sur le pont pendant que l'embarcation appareillait.
Les marins courrait partout, chacun suivant ses directives, ils remontèrent l'ancre, reprirent les amarres, et déployèrent les voiles.
Colm aux allures nonchalantes se tenait prés de Simelon qui passait en revu les prisonniers maintenant enchaînés au pont.
Simelon commença ce qu'il appelait "sa taxe", il commença par l'elfe, malgré les protestations de ce dernier, il lui ottant tous ses anneaux qu'il plaça dans une petite caisse que portait son employé, il pris aussi ses bottes.
Puis, vint le tour du chauve qui se vit dépouillé de ses attourts, sa ceinture et d'une dent en or, arraché par le poing du marin le plus imposant.
Le temps de stopper l'hémorragie le bateau pris de l'allure et la côte disparut bientôt sous l'horizon.
Puis vint le tour du jeune, Simelon l'observa de la tête aux pieds.
Des bottes trouées, une robe de mage dont les manches brûlées s’accordait avec le col déchiré.
Il lui demanda de lever les bras, ce qu'il fit aussitôt sans dire un mot. Déçu le capitaine fouillât les poches du mage qui demeura interdit et fini par trouver de quoi le satisfaire.
Un pipe et son tabac, deux pierres précieuses, de la monnaie, et une dague, en soulevant un pan de la robe il découvrit une épée courte.
Arborant un sourire triomphant il fit quelques moulinets à la barbe de l'aventurier qui ne dit rien mais commença à le fixer intensément.

Colm eu un rire sonore quand il refermât la caisse feignant de coincer le nez du garçon qui changea peu à peu d'humeur.
Simélon prit la parole:
"VOUS ETES PRISONNIERS, VOUS NE REPRENDREZ VOTRE STATUT DE CITOYENS QU'UNE FOIS VOS PIEDS SUR LE SOL DE L'ILE, MORROWIND EST VOTRE DESTINATION ET JE NE VEUX ENTENDRE PERSONNES JUSQU'A NOTRE ARRIVEE. QUAND A CES OBJETS (il désigna la caisse) ILS NE VOUS APPARTIENNENT PLUS DESORMAIS, SI VOUS DEVEZ REVENIR DANS LA SOCIETE COMMENCEZ PAR ME PAYER VOTRE VOYAGE"

L'homme en robe du mage tira violement sur ses chaînes, qui le retenèrent à quelque centimètres du visage du capitaine.
Celui si se mit a rire de plus belle
"Tout doux gamin, ici tu es sur mon bateau, et je te ferais respecter les lois" il le prit par le col "Que veut tu ? Tu veux ton argent? Ta pipe? Ton épée? Un gosse ne devrait pas avoir à fumer ou à jouer avec les armes"
Il dégagea son emprise, le repoussant en arrière, le jeune homme tomba sur le dos, mais se releva de plus belle, forçant un petit peu plus sur les chaînes, le capitaine le frappa de sa grosse main et l'envoya une seconde fois valser sur le sol.
Colm s'approcha, prenant bien soin de lui écraser les doigts, l'homme grimaça mais n'émis aucun son.
_"Et bien?.....t'perdu ta langue....vermine...l'capt' yt' cause... réponds!"
_"Colm du calme! Je m'en vais mater cet imbécile. Gamin nous arriverons dans le port de Seyda nihyn dans deux jours, suivant les escales que nous ferons.
Pendant toute la traversée, tu demeureras sur le mat de la proue, debout, en équilibre. Si tu tombes, tu choisiras ton sort, soit je te laisse à la mer, soit tu rejoins tes camarades. Mais si tu gardes le pied sur ce mat, je m'engage à te rendre tes effets.
Les marins souriaient, il connaissaient leur capitaine sur le bout des doigts et ne comptait plus le nombre de tête brûlée qu'ils eurent perdu de cette façon, victimes d'une glissade sur le bois mouillé par la pluie.
"QU'ONT LUI ENLEVE SES FERS"
Deux brutes s'exécutèrent et empoignèrent les bras de l'homme pour le redresser. Il adressa un regard haineux à Simelon et se dirigea silencieusement vers l'avant de l'embarcation.......... [A suivre]

[Tim]

Il ne dit mots...
Les seuls gestes qu'il fit, furent ceux d'une personne cherchant son équilibre...
L'ayant trouvé il se planta au bout de la flèche horizontale que formait le mat, pris appuis sur une armature d'acier et resta immobile, regardant l'horizons...
Il entendit les rires des marins tandis qu'ils emmenaient leur "prisonniers"

Quelques heures passèrent et sous l'oeil attentif du capitaine les paris furent ouverts.
Un jour?
Deux jours?
La mer était calme et la nuit finie par tomber, Simelon et ses hommes observaient leur butin cherchant le prix qu’ils en tireraient.
Les marins intéressés par l’or, les bijoux, ou encore les anneaux de l'elfe laissèrent leur supérieure à l'épée du jeune fou qui luttait maintenant pour ne pas rejoindre les fonds.
L’épée, était quelque peu ordinaire, la lame et la garde en argent conservaient quelque goutte de sang, vestige des victoires de son propriétaire.
Mais ce qui intrigua le capitaine fut un étrange pendentif, noué par un lacet autour de la croix que formait la garde, une petite dague, grossièrement taillé dans ce qui aurait semblé être du saphir mais qui possédait trop d'impuretés pour en être . Simelon du couper court à ses recherche sur la provenance d'une telle pierre quand le quart fit irruption.

_"CA..CAPITAINE!"
_"QUOI!!!" tonna-il
Trempé jusqu'au os l'homme finit difficilement.
_"I..IL FUME!"
Colm et les autres marins se levèrent, Simelon jeta un coup d'oeil à la caisse, effectivement la pipe et le tabac n'y était plus.

Tout les homme sortirent sur le pont, la pluie tombait à grosses gouttes
Il se reprochèrent de la proue, effectivement la silhouette immobile laissait échapper de la fumée de ce qui paraissait être sa bouche.

_Tu est fatigué?
Avant de répondre à son geôlier, le jeune homme toussa dans sa main avant de reprendre sa position initiale, il cala sa longue pipe entre ses canines et susurra l'affirmative comme si la question l'exaspérait.
_Où a tu eu ça? le ton du capitaine devenait de plus en plus bourru tandis qu'il désignait le bout de bois, récipient du tabac.
_Un ami me l’a rendue, il fait froid ce soir et j'ai besoin de cela pour réchauffer mon esprit
_UN AMI?! TU TE FOUS DE MOI!?
_Petit, longues oreilles, grands yeux, et longues dents. Si vous cherchez vous le verrez peut être.

Le capitaine émit un rire de hyène .
_GARCON! M’est d'avis que de la vermine traîne par ici, celui qui le trouve aura droit au reste du butin!

Les marin hurlèrent de joie et commencèrent les recherches, Simelon attrapa une corde et après s'être attaché, noua les pied du fumeur au tronc qui constituait la proue.
_"je ne te laisserais pas tomber à l'eau. Tu t'est condamné tout seul à tenir sur ce mat jusqu'a notre arrivée.

Il regarda les capitaine en biais, qui lui soutint le regard, la pluie dégoulinait du visage de l'homme qui dessina à présent un crâne avec la fumée de sa pipe.


[Re-a suivre]

[Tim]

Les voiles se gonflaient, la pluie tombait durement sur le visage du malchanceux voyageur

Simélon et ses homme était parti depuis longtemps et a en juger par l’inclinaison de la lune, l’aube avançait  presque.
Les jambes engourdis, le corps frissonnant, le jeune aventurier risqua un coup d’œil sur le pont.
Personne !
Le quart devait avoir lâché la barre depuis longtemps et s’être assoupit sur le sol, l’esprit embrumé par la vinnasse.


Siméon prit un malin plaisir a retarder au plus son voyage, « l’impertinent gamin »  montra les premier signe de fatigues au milieu de l’après midi.
La pluie était passé mais l’ont attendait une tempête pour le soir.
Colm allait et venait régulièrement resserrer les liens, un sourire édenter sur sa face de jeune abruti, prenant le plus de soin possible a serrer au maximum la corde aux pieds du captif.
« Ha ha ! Qu’est c’qui t’arr’ve ? Déssere tes poings dont ! Ou j’t’rosserais ! Desserres tes pins ch’te dit ! »
Il lâchât un juron suivit d’un soupir, face au silence de l’étranger, lui faisant comprendre la bêtise de ses dernière paroles.

Les quart se succédait, le bateau vira a bâbords.
« Cap au nord ! » hurla Simelon, et tous ses marins s’affairèrent à sa tache propre, étendant la voilure au maximum profitant d’un fort vent du sud.

Les quart se succédaient, et le vent perdit de sa chaleur, et finit par glacer les mains de l’aventurier, qui serra de plus belle les mains, et étendit les bras pour maintenir son équilibre sur le tangage de l’embarcation.

Les quarts se succédait, et bientôt le disque argenté de la lune sortit de l’horizon et éclaira le bateau. La pluie se remit à tomber, et après le passage de Colm, qui s’affairait et empêche sa circulation sanguine, l’étranger reçu la visite d’un Simelon  qui affichait une humeur joviale.

_Tu est fatigué ?
_oui !
_tu a mal ?
_oui !
_tu sait que se serra la tempête se soir ?
_oui
_si malgré tes liens tu tombe tu t’en tirera toujours mieux que si tu reste sur cette proue tu le sait ?
_oui
_tu abandonne ?
_Non !

Simelon lâchât un rire gras, lâchant des postillons dans sa barbe grisonnante.
Il se tourna vers l’intérieur du bateau, appelant a lui un Colm qui se jeta presque a ses pied, et entrèrent au chaud pour le dîner….

Les voies s’élevèrent de la cabine, et il songeât qu’il n’avait rien mangé depuis longtemps, il était à bout de force
Enfin deux heures s’écoulèrent et il supposa que tous les marins à part celui tenant la barre devaient se saouler, et se goinfrer devant les deux autre « prisonnier » d’infortune

« Iro ?....Iro ?! »

Le diablotin, courut de la vigie a la voilure, s’engouffrât dedans, et glissât jusqu au bas du tissus, tomba d’un ou deux mètres sur un amas de corde et se releva en se frottent le séant, douloureusement chauffé par les frottement du tissus.
Il couru sur la rampe  du pont jusqu'à la proue ou il rejoignit son maître

« Je suis là ! » répondit il d’un sourire ponctué de dents aiguisées...

[re-re a suivre]

[Tim]

"Moi j'vous l'dit capt'aine! C'gamin, l'a l'pied marin! Et il m'a l'air trop tetue pour vous laisser gagner la partie"

Le gros norbert, au bras recouvert de tatouages obsenes, s'adressait a Simélon sous l'effet d'un trop plein de rhum dans la pense, mais le capitaine devait reconaitre que la brute n'avais pas aussi tort. Ce gamin avait deja passé quelque année en mer, et la preuve en était qu'il se montrait plus que coriace.
Simelon se leva, e gagna un hublot ou il pus voir silencieusement une mer dechirée, eclairé par les bref instants de clarté qu'offrait la foudre.
La plus part des hommes avait des "haut le coeur", les captif avait deja renduent leur bile sur le sol, et l'odeur empestait, mélangée aux fortes emanations d'alcool
Même Colm avait cessé d'autopsier le rat qui s'était permis de piocher dans sa pitance
Le chef des marin le pria donc d'aller surveiller l'efronté, qui semble t'il était toujours perché sur son bout de bois.

Il s'executa, emportant une bouteille, et dansant sur le pont lavé par une pluie torrentielle

"Yeeeeehlaaaaa. Dame Guenievre! Qui pour cents ecus-nous offrait breve entrevue! Avec ses belles-de son bordel-du port d'Urtiel... YEEEEEEEEEhla! Dame Dominique! pour cent ecus-on la...
Te v'la moribon? J'me va t'serrer tes lein, et t'offir pitance comme l'capt'aine il a dit..."

Quelques instants plus tard Simelon constatait enfin à quel point l'ivrogne tardait à sa tache
Il se decida a le rejoindre et suveiller sa façon de l'acomplire.
il le trouva a enou, en train de changer précautioneusement la corde, l'ancienne étant rongée de toute part.

"Bougre d'ane, la manqué de s'detacher! Fout y un coup Colm! le marin s'executa, et retourna rapidement a ses quartier laissant son superieur et le detenu ensemble.
Le capitaine du navire, ne conversa pas avec ce dernier, celui ci emetait regulierement un bruit qu'il prit pour un probleme de respiration du au choc que le poing du sous fifre avait fait en s'ecrasant dans le dos de l'efronté.

Simelon ramassa la corde hors d'usage, verifia rapidement son cap, et s'en retourna a l'interieur
malgré les vent, et la foudre, tout était calme ce soir là...

[Tim]

"Affalez les voiles bande de cancrelat! Vous deux! Allez aidez Tolemus a maintenir le cap! Et que l'on me trouve Colm! le bateau vas se renverser!"
_"Cap'taine! Les voilures sont coincées!"

Ca y est! la tempete avait declanché sa toute fureur, et l'embarcation n'avait guerre de resistance a offrir contre la colere des élements. Simelon était en mauvaise posture une fois de plus, Il venais de perdre un matelot qui l'avait quitté quelques heures plus tôt completement ivre mort, le gouvernail avait peine a maintenir le cap, et impossible de fermer les voiles...

"Toi! Tu monte détacher les voiles! Toi! tu me trouve Colm! et toi!...qu'est ce que tu fout encore là?! va me detacher ces FOUTU VOILES! CRETIN VERDATRE!"

L'orc, au vertige maintenant officiel, balbutiat quelques mots inintelligible au sujet du disparu.
Colm était déja en haut, escaladant le mat, avec semble t'il un couteau entre les dents. Il pris rapidement son equilibre et courru sectionner quelque cordages.

"DESCEND D'LA GARCON! T'est completement bourré! tu va t'tuer!"

et pourtant l'homme aux vetement trempé avait reussi a faire descendre le tissus deux 2 metres.
Le reste du noeud était maintenant a ce niveau, completement hors de porté.

Le bateau tanguat horriblement, en pendant un instant, la proue et son passager d'infortune se retrouverent sous l'eau.
Colm, lui était plus que a l'aise sur son perchoir, il s'assit sur le tronc horizontale, acrochat un pied au cordages, et basculat en arriere, se laissant tomber dans le vide, et ateignant les derniers emmelement. La coque pris un roulis effroyable, et le marin laissa echaper sa lame qui se planta sur les planche du pont.
Par chance, le poid du large tissus dechira les dernier filament de lin, et la voile recourvri le pont comme un brouillard blanc...


Le lendemain, au midi, colm avait avait reçu l'ordre de se reposer, le soleil tapait sur les matelot qui reparait leur moyen de propulsion, et Simelon calculait le nouveau cap a suivre. L'aventurier, ne bronchait plus, il conservait toujoure cette positon petrifiée, face a la ligne d'horizon.
_"Faudrait p'tete voir a le detacher mon capitaine..."lachat un vieu loup de mer prit d'un intense sentiment de pitié
_"A notre arrivée! Il s'est assez payé ma tete comme ça! qu'il assume"
_"HIIIISSEZ-HAUT!"
les voiles se gonflaient a nouveau, le bateau reprit de l'allure, propulsé par une douce brise, vestige de la tempete nocturne.
Le voyage durra une nuit de plus, la pitance manqua, et les deux autres detenus n'eurent droit qu'a la carne du rat qui se fit autopsié la veille.

Et enfin, au petit matin, il arriverent a Seyda Nihyn, n employé du recenssement les aida a s'amarer, et l'on pouvait enfin rendre l'elfe et l'homme chauve a la lierté qui leur était du, completment dépouyé, il ne dirent pourtant aucun mot sur cette pratique qui semblait courante.

On les vis sortire, et se metre deja en quetes de logement et de pitance plus apreciable que ce qu'il eurent a manger il y eu quelque heures.

_"Eh Ho! M'sieur des taxes, j'vous amene l'dernier gars! on a dû le corriger à notre façon, l'était dangereux pour mon équipage..."
l'interlocuteur, par habitude, se gratta le casque comme si son doigt eut traversé l'acier pour atteindre le crane.
_"Comment??? Un quatrieme je pensait que vous n'aviez que trois passagers..."
_" Bah oui! L'vla l'troisieme..."
_"Non! Trois personne sont deja venu se faire recencer, un grand type rasé, un elfe avec plein de trous dans les oreilles, et un jeune habillé en matelos, avec un tissu rouge en guise de couvre chef"

Simelon se figeat, conservant quelque instant une moue revelatrice de reflexions intense. La description était celle de Colm, et il n'avait aucun esoin d'etre citoyen de VVardenfel.
L'homme courru jusqu'a l'avant du pont, grimpa sur la poue, alla detacher son captif, et soutin son corps tetanisé, et raide. il le tira et le coucha sur les planche, pensant a avoir a faire a un cadavre, surtout lorsqu'il vit é aiguille plantées à travers la robe de l'individu.
Puis, le capitaine posa ses yeux sur le visae de l'homme allongé. et reconnu les trait de son jeune matelot.
l'employé des taxes retira les aiguilles qui semblaient enchantées par un sort de paralysie, et le corp de Colm repris sa souplesse. Il lachat un flot de parole qui n'en finissait pas, tout les mots qu'il ne pus dire sous son était sortaient maintenant de sa bouche avec un debit effroyable.

Le capitaine leva les yeux et vit dans la ville, un garçon suivit d'un diablotin, liberant sa sombre cheuvelure de l'ecarlate bandeau subtilisé au marin en meme temps que ses attours. L'ancien detenu portait son arme, et allumait sa pipe comme si rien ne s'était passé...