62 réponses à ce sujet

[Takaeda]

-avant de partir pour cette régon hostile je propose de faire quelque provision genre du skooma ou encore du sucre de lune

Takaeda avait pris un air sérieux,pour tout ce qui s'agissait de skooma et autre drogue il ne rigolait jamais

[Evildeadmeat]

Affiche placardée à l' entrée de la ville, pres de la porte de l' auberge du passage:

Citation

PEUPLE VVARDENFELLIEN

OYEZ, OYEZ,

PAR DECISION IMPERIALE, LE COUVRE FEU IMPOSE A CALDERA SOUS L' AUTORITE DES PALADINS DU DRAGON D' OR A ETE LEVE CE JOUR CI. LES FORCES IMPERIALES ONT DONC QUITTE CALDERA EN APPLICATION DE CETTE DECISION APPROUVEE PAR L' EMPEREUR EN PERSONNE. LA VIE CALDERIENNE PEUT DONC REPRENDRE SON COURS NORMALEMENT, SANS RESTRICTIONS A L' ENTREE OU A LA SORTIE DE LA VILLE.

OYEZ,OYEZ

[Rubicante]

Un jeune dunmer se présenta devant la résidence de Duncan Imrryan, portant un gros colis enveloppé de toile et une envellope cachetée.

"C'est pourquoi ?" demanda un servant.

"On m'a dit de remettre ce paquet et cette lettre en mains propres au maître des lieux."

[Duncan Imrryran]

- Je vais voir s'il peut vous recevoir. Attendez ici.

Le serviteur s'éloigna au petit trot dans les entrailles du champignon vivant, laissant le dunmer seul avec l'homme-serpent qui gardait la porte. Quelques minutes plus tard il réapparaissait à la porte.

- Il consent à vous recevoir. Suivez-moi je vais vous guider.

Ils entrèrent dans le bâtiments et empruntèrent un escalier taillé dans l'épaisse paroi du végétal magique. Duncan Imrryran avait rompu ave la tradition telvanni en permettant aux non-mages d'accéder aux étages supérieurs. Trois minutes plus tard ils se trouvaient devant le bureau du seigneur des lieux.

- C'est le messager sire, dit le domestique.
- Entrez ! Dit une voix depuis l'intérieur.

La porte s'ouvrit d'elle-même et ils pénétrèrent dans la petit salle encombrée d'objets divers et de parchemins entassés sur des étagères. Au fond trônait un lourd bureau de bois massif derrièer lequel un dunmer d'âge mur était assis. Il leva la tête vers les nouveaux arrivant, le menton appuyé sur ses mains jointes et coudes sur la table.

- Il parait que vous avez quelque chose à me donner en mains propres ?

[Rubicante]

"Oui monsieur. C'est ce qu'à bien préciser l'homme qui m'a confié tout ça. C'est confidentiel qu'il a dit. Et puis aussi que vous devez d'abord lire la lettre avant d'ouvrir ce paquet. Puise-je partir maintenant ?"

[Duncan Imrryran]

Le mage se leva et tendit la main.

- Donnez-moi cette lettre alors.

Il fit discrètement un signe de la main à son domestique qui hocha la tête puis sortit de la pièce en refermant rapidement la porte.

[Rubicante]

"La voici."

Le dunmer lui remît une envellope dont le cachet de cire n'avait nul ornement. Le mage l'ouvrît précautionneusement et en retira un papier dont était inscrit ces mots :

"Cher ami,

J'ai entendu dire que vous aviez récemment visité notre bonne ville de Caldéra. Je sais pertinnement que le voyage fût pour vous très ... enrichissant n'est-ce pas ? Aussi me suis-je permis de vous envoyer un petit souvenir de votre voyage qui je suis sûr, ne vous laissera pas insensible. Vous le trouverez dans le colis ci-joint avec une petite note qui répondra j'en suis persuadé à certaines de vos interrogations."

Cette lettre sybilline n'étant nullement signée, le telvanni scruta le paquet d'un air légèrement troublé ...

[Duncan Imrryran]

Le mage regarda le mesager, son regard troublé le regarda longuement avant de parler.

- Veuillez ouvrir ce paquet je vous prie.

Il se rassis derrirèe son bureau et attendit que le messager s'exécute. Pendant qu'il parlait on avait entendu des pas derrière la porte et le domestique rentra dnas la salle en laissant la porte légèrement entrouverte. Il hocha la tête à l'attention de son maître qui avait repris la position qu'il avait à l'entrée des deux hommes dans le bureau.

[Rubicante]

Le dunmer affichait un air ennuyé, mais il se mît à l'ouvrage. Il enleva la toile, révélant un coffret de belle taille mais de fabrication rustique. Un simple loquet le tenez fermé.

"Euh, j'ouvre aussi le coffre ?"

[Duncan Imrryran]

Ne voulant pas trop que le dunmer voit ce que contenait le coffre, le telvanni lui lança un petit sort de cécité de base.

- N'ayez pas peur, c'est très temporaire. Et oui, je souhaite que vous ouvriez ce coffre.

[Rubicante]

"Par tous les saints, on m'a payé pour une livraison mais pas pour qu'on m'ensorcelle ! J'aurais du me méfier quand on m'a dit que c'était pour un telvanni. J'exige 100 pièces d'or pour le risque que je prends à vous ouvrir ça, je suis messager moi, pas désarmorceur !"

[Duncan Imrryran]

Le Telvanni le regarda en souriant et montra la porte de doigt à son domestique. celui-ci l'ouvrit en grand et deux hommes-serpents en armure entrèrent dans la salle, des bruits de sourds laissaient supposer que d'autres se tenaient dans le couloir.

- Si vous n'ouvrez pas ce paquet vous le ramènerez à votre commanditaire, dont vous ne m'avez d'ailleurs pas dit le nom. Et comme il risque de vous en vouloir je crois qu'il est de mon devoir de vous protéger. Je vous invite donc à rester ici le temps qu'il faudra pour que vous soyez en sûreté dehors. Vous aurez ainsi tout votre temps pour m'expliquer pourquoi il faut un désamorceur pour ouvrir ce paquet.

[Rubicante]

"Qu'est-ce que j'en sait qu'il est piégé ? Vous me demandez de l'ouvrir mais la façon dont vous vous y prenez montre bien que vous craigniez un piège non ? Et s'il l'est, qui va se ramasser le cadeau ? Moi ! Le type qui m'a donné ce paquet m'a juste dit de vous le livrer et m'a déjà payé pour ma course, je suis qu'un transporteur et je ne suis en aucun cas responsable si ce coffre est piégé alors finalement, ouvrez-le vous même ou faîtes ça par un de vos hommes, eux ils sont payés pour ce genre de chose !"

Le messager croisa les bras et resta là.

[Duncan Imrryran]

Le mage s'adressa à ses gardes :

- Emmenez-le dans ses "appartements".

Alors que les hommes d'Akavir emmenaient le prisonnier sans le quitetr des yeux Duncan Imrryran se tourna vers son employé.

- Je veux savoir comment s'appelle ou à quoi ressemble celui qui m'a envoyé ce paquet. Faites appel à quelqu'un de doué pour obtenir des confessions. Je ne veux pas qu'on le torture, il ne sera pas dit qu'on aura fait cela dans ma tour. Et puis trouvez-moi quelqu'un de doué en mysticisme qui sache garder son silence, le bréton que nous avons engagé il y a presque un mois pour fabriquer des gemmes d'âmes par exemple.
- Bien maître, j'y vais de ce pas.

Le serviteur s'engouffra dans la porte en vitesse et alla chercher ceux que son maître lui avait demandé. Celui-ci retourna à ses affaires. Il y avait tant de choses à faire.

[Rubicante]

"Vous n'avez pas le droit de me retenir ici contre mon gré ! Je ne suis qu'un honnête homme ! Je me plaindrais !" fûrent les dernières paroles prononcées par le messager avant qu'on le fasse sortir de la pièce.

Le coffre était toujours là sur la table, fermé par un simple loquet qu'il suffisait de tirer pour l'ouvrir, curieusement oublié de tous ...

[Duncan Imrryran]

Peu après un mage bréton entra dans le bureau.

- Vous m'avez fait mander ?
- Oui, j'aurais besoin de vos services pour uen tâche spéciale. Il faudrait que vous ouvriez un coffre dont je ne sais s'il est piègé.
- Ce coffre ? demanda-t-il en le pointant du doigt.
- Celui-là même. Pouvez-vous le faire ? Je crois que vous avez certains talents en télékinésie.
- Ca ne devrait pas présenter de difficulté. Voulez-venir dans mon atleier, j'y ai uen salle blindée magiquement, c'est très utile lorsqu'on travaille avec des gemmes instables.
- Allons-y alors.

Le maître des lieux se leva et tous les deux se dirigèrent vers les sous-sols de la tour, à travers les racines du champignon géant. Quand ils furent arrivés dans la salle sus-mentionnée il s'arrêtèrent et le bréton déposa le coffre à l'intérieur du bouclier magique. D'une vive torsion de son esprit il ouvrit le loquet, laissait entendre un petit *clic* dans l'atmosphère silencieuse.

[Rubicante]

Il n'y eut rien ensuite. Si piège il y avait, il n'était pas magique. Ils s'approchèrent alors du coffre et pûrent discerner son contenu. C'était un morceau de roche métallique. Pas de l'ébonite. Un mot était posé à côté ...

[Duncan Imrryran]

Le mage s'avança pour lire le mot.

[Rubicante]

Voici ce qu'il pu lire :

"J'espère que mon cadeau vous aura plus. Il s'agît là d'un bloc d'adamantine importé du continent. Comme vous le savez, ce métal est totalement introuvable sur Vvardenfell. Bien sûr, on y trouve les plus importants gisements d'ébonite mais on en trouve aussi bien en Hauteroche ou dans le désert d'Alik'r. Sa contrebande est je trouve pas aussi rentable que ça, et surtout très risquée. Que se passerait-il si l'on découvrait vos petites visites nocturnes à Caldéra ? Rien de bien agréable, vous vous en doutez ...
Ho, mais n'y voyez pas là une menace, juste un avertissement entre futurs associés.
En effet, je représente un groupe d'investisseurs désireux de pouvoir écouler en Vvardenfell quelques matériaux surtaxés injustement par la loi ... quand elle n'est pas interdite. Nous avons déjà quelques contacts dans la région et nous aimerions beaucoup que vous nous rejoigniez dans notre affaire.
Libre à vous bien sûr de refuser mais cela nous contraigneraient à vous considérer comme un concurrent, avec malheureusement tout ce que cela peut impliquer de ... désagréable ?
Mais je suis sûr que vous accepterez après avoir réfléchit à notre offre. Nous vous contacterons plus tard, n'ayez crainte, pour savoir votre décision.

PS : Oh, si jamais vous veniez à essayer de remonter la source de cette missive, je crains que vous n'échouiez. Ce paquet a circulé entre plusieurs mains en suivant un itinéraire pour le moins farfelu. On appele ça "brouiller les pistes".

A bientôt."

[Duncan Imrryran]

Le mage enfourna rapidement le papier dans sa poche et prit le bloc d'adamentium entre ses mains. Il remercia rapidement le bréton pour son aide et le laissa retoruenr à ses opérations précédentes. Enfin il retourna à son bureau où il posa le papier et la pierre sur le grand meuble.

Peu après, son domestique, le même qui avait introduit le messager dans le bureau, entra à nouveau et referma soigneusement la lourde porte.

- J'ai agi selon vos consignes, et un homme est actuellement en train d'interroger le... prisonnier.
- J'ai bien peur qu'il n'arrive pas à grand chose.

Il semblait réfréner une certaine colère. D'un geste brusque il prit le papier et le mit devant les yeux de son collaborateur.

- Regardez ça ! Ils croient que je fais de la contrebande d'ébonite. Les idiots, comme si je n'avais pas assez d'argent comme ça pour en chercher dans de petits trafics mesquins.
- Ils pourraient nous aider à en trouver plus, plsu facilement.
- Oui, mais j'ai bien peur que leur prix soit trop élevé. Ces gens-là compensent le risque par de substantielles marges avant et arrière. Au fait où en est-on avec les armures ?
- La récolte n'est pas aussi fructueuse qu'on aurait pu l'imaginer. Les armures d'ébonites n'atterrissent que rarement entre les mains d'aventureirs inexpérimentés... et ceux qui en ont répugnent souvent à s'en débarrasser. MAis j'ai bon espoir que certaines des personnes que nous avons approchées accèden à notre demande. Toutefois...
- Je sais, coupa-t-il. Je connais vos objection. Ca va coûter cher certe, mais avoir de l'ébonite de cette qualité, déjà raffinée et taillée, compense bien le prix que nous devons y mettre

Les deux mers continuèrent à discuter encore un moment avant de retourner à leurs tâches quotidiennes.

[Dark_Musashi]

La ruelle était silencieuse, tranquille, presque vide devant l'énorme champignon Telvanni, dont la sortie n'était reliée aux rues que par un mince pont végétal, tel le lien reliant cette même faction à la réalité du monde extérieur. Le marché allait bientôt prendre fin en ctete après-midi, un vendeur de potions Bosmer crie encore le prix de ses meilleures potions, espérant qu'un aventurier tardif arrive pour s'équiper.
Ce magnifique silence fut brisé par un " QUOIIIIIIIIIIIIIIIIIII? UN PROCES? C'EST QUOI CETTE ARNAQUE?!" assourdissant, provenant de ce même légume Telvanni, faisant sursauter le vendeur en question qui laissa tomber un sac de potions. Il fit de la surenchère au hurlement en protestant et réclamant un remboursement de la part du vandale responsable. Tout ce qu'il reçu, c'était une bousculade de la part d'une Khajiite tout juste vêtue d'une robe blanche, galopant hors du champignons vers le port, l'air dément. Une petite lueur tremblotante, apparemment un papillon, la suivait maladroitement, et s'attarda un instant devant le vendeur abassourdi, comme pour s'excuser des excès de sa maîtresse, mais il reprit très vite le chemin.

Quelques minutes après, payant le double du prix au capitaine, elle naviguait sur la Mer des Fantômes, avec l'idée ferme de retourner sur Vvarde,fell, où se déroulait ce fameux procès... et, regardant distraitement la mer, elle caressait doucement du bout de la griffe son fragile éphèmère.
Ce qui surprit fortement le capitaine, c'est que le soir tombé, quand la vigile descendait du mat, la Khajiite y grimpait et prenait sa place pour dormir, refusant obstinément tout matelas en guise de lit. Encore un de ces esclaves trop nerveux à l'idée de faillir à son maître Telvanni, craignant les horribles punitions. Evidemment, il ne pouvait pas se douter que sa cliente était une archimage Telvanni, mais cela n'intéressait personne pour l'instant.

Modifié par Dark_Musashi, 15 septembre 2004 - 20:44.

[Ezuriel]

un homme vétu d'une robe enchapuchonné ([HRP] ben oui, il pleut souvent à Sadrith...) S'approchat de la haute tour "Les autres maison ne savent pas faire ça, elles" pensa-t-il en s'approchant du palais vivant.

"pourrais-je parler au maître des lieux, le seigneur ducan Imrryran ?"
déclara-t-il au gardien.


Tout en attendant la réponse, il caressa  l'anneau sur son index droit, puis bricola son amulette.

[Duncan Imrryran]

Le garde se détourna d'une discussion avec son collègue akavirois en entendant ces paroles. Il toisa l'homme du regard et parla avec un léger accent bréton.

- Revenez quand vous saurez prononcer correctement le nom de mon maître et aurez appris les bonnes manières question présentation.

[Ezuriel]

Ahem... exusez moi, je ne suis pas doué pour la discussion, j'en n'oublie même de me presenter, je suis maître Ezuriel, maître d'une nouvelle colonie telvanni, Tel Atheal, à l'ouest de sadrith Mora, mais je ne suis pas ici pour ma colonie, mais pour discourir de l'attaque de Balmora, je souhaite en effet présenter mon soutien en... matériel et en... hommes, si je puis dire. En effet, Tel Atheal est située à proximité d'une ruine dwemer, de taille réduite, la plupart  est enfouie, mais nos chercheur on trouvé ceci:
Le dunmer checha un objet dans un recoin de sa robe, puit sortit un ouvrage sans doute trés ancien, mais en bon état, ainsi qu'un coffret
Ce coffret contient un plan de construction complet de centurion à vapeur, ainsi que les derniere technique de blindage à partir de minerais rares, verre, ebene, certain même d'adamentium, mais ils sont difficile, je ne compte pas ls essayer, le livre, lui est un exemplaire du livre "construction des centurion dwemer", ou quelque chose approchant... nous avons tenté de construitre quelques centurions, et nous avons reussit... en secret, car je craint que les autres maîtres n'approuvent pas de faire un pas en avant, je peut donc affirmer à maitre DUNcan Imrryran, qu'avec un léger soutien fiancier, nous avons dépensé beaucoup et sur tout les point pour construire ses merveilles dwemers, disons... 100 piéce par centurions, et nous vous fabiqueront une armée qui ne connaît pas la peur... idéal non ?
Je ne compte pas soutenir seulement le seigneur Duncan pour la bataille à venir, mais pour toute, et je lui donne les centurions, qui ne seront controlé par mes chercheur, mais par le seigneur duncan, voilà,sur ce, bonne journée messieurs, j'espére que le soleil reviendra vite sur Sadrith Mora, quant à moi, vous me trouverez  sans doute au bord de l'eau, prêt de la porte nord, celle du palais du conseil.

[Duncan Imrryran]

Le garde n'avait pas compris grand-chose au discours embrouillé et technique de l'intru. Par contre il avait été frappé par l'emploi fréquent du nom du maître des lieux et son association avec "argent" et "dwemer". Pour lui c'était caractéristique d'un marchand ambulant comme il s'en présente si souvent aux portes des tenants du pouvoir. C'est en ce sens qu'il présenta l'incident quand vint l'heure de faire son rapport. Le sorcier l'écouta d'une oreille distraite et passa à la gestion des comptes pour la construction de la nouvelle salle d'alchimie.