Je ne peut concevoir qu'un clan de fiers bédouins cendrais use des mêmes vocables qu'un couple de bergers khajiits de la campagne de Leyawiin, outre, éventuellement, une probable lingua franca de base cyrodiliique, encouragée par l'empire pour un usage diplomatiquement et administratif, mais, évidemment, sans plus. La preuve de cela est, bien sur, les noms. La langue d'un homme appelé Septimus Stator devrait s’approcher d'une base romane, celle d'un Brolaf Sigurdsen d'une base germanique, et celle d'une Anne Cuchenllek d'une variété de celte tardif et influencé, comme le... breton(la ils ont fait fort, un unique accent ajouté, quoi!).
De même, si chaque province avait sa langue, chaque province n'aurait pas "sa" langue, mais plutôt son tronc étymologique, la différence entre les cyrodiiliques nibéniens et coloviens ne peut qu’être comparable entre les langues d'oïl et d'oc, de meme, et a la manière du Saint Empire, chaque chatelerie aurait "son" nordique. Une penssée de Frédérique de Prusse illustre a merveille cet exemple: "Je trouve une langue à demi-barbare, qui se divise en autant de dialectes différents que l'Allemagne contient de provinces. Chaque cercle se persuade que son patois est le meilleur."
Donc, en plus du draconnique et de l'Ayléide (dont Umaril lui même n'avait pas de vrai accent approprié(ce dont je me suis trouvé personnellement choqué) ), que sait on de ces langues?
Modifié par Wulkos, 16 mars 2013 - 15:32.