Pour le chapitre 11, je l'avais survolé en fin de week-end, mais je m'en souviens encore, comme de l'embuscade d’assassins avec la charrette de fruits reversée par exemple. Je le relierai correctement et te le commenterai sur ton blog.
Tu m'excuseras pour ma disparition, mais cette semaine, j'ai travaillé à temps (presque) plein en Intérim sur différents lieux de travail avec un temps de trajet moyen aller-simple de 1 heure pour m'y rendre. Combiné à la fatigue, je n'avais pratiquement plus aucun temps libre, et même ma propre histoire est resté au point mort depuis dimanche soir.
Concernant le chapitre 12, je n'ai pas pu décrocher dès que j'ai commencé à le lire. Je vois que tu fais intervenir pour la première fois Akatosh (copisseuse ) avec les visions divines qui te sauve de la mort. On constate aussi clairement que l'ascension prend des heures et le vocabulaire de la gelure est bien présent, ce qui rend très bien compte des contraintes physiques de l'altitude. Je te félicite.
Pour ton échelle de temps, ce que je te demande, c'est pas de faire exactement la même que moi (c'est impossible), mais de garder une certains logique selon ta propre échelle. Si pour toi, un trajet Blancherive-Rivebois prend une après-midi entière, évite que le retour ne dure qu'une heure. Là, on sent bien l'immensité de la Gorge du Monde et que son ascension n'a pas été une mince à faire. Le fait que d'autres pèlerins abandonnent au 3ème emblème rend bien compte de sa difficulté.
La meilleure idée de ce chapitre est le moment où c'est Lydia qui raconte les faits. Ce changement de point de vue et cette période où ton héroïne était clouée au lit de l'Auberge de Fort-Ivar (car congelée) rend ton récit encore plus vivant.
Par contre, passer au présent rend la lecture un peu bizarre. L'avantage du passé, c'est que le Français fait la distinction de la durée de l'action avec l'imparfait et le passé simple, distinction qui n'est pas faite au présent. Certes, il est plus facile d'écrire au présent, mais le texte devient plus plat (à comparer avec le break raconté par Lydia qui est au passé). C'est mon avis.
Cependant, si tu es plus à l'aise au présent, garde le présent... Et bien entendu, la règle d'or : lorsqu'on choisit un temps, il faut s'en tenir jusqu'au bout. Il n'y a rien de pire que le mélange des deux.
Je vais essayer d'enfin finir mon chapitre suivant et de le publier, car il est presque fini. (Même ses captures d'écrans sont déjà mises en ligne !) J'y tiens, car ça fait presque 1 semaine que je n'ai pas fait de MàJ. Fëalóciel se fait désirée.
Modifié par Amras Anarion, 02 février 2012 - 23:37.