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[dur@ndil]

La voix qui lui répondit était douce mais cela ne suffit pas à le calmer complétement
"Ca risque pas non" répondit Raspoutine, qui détestait plus que tout être réveillé en sursaut.

Il prit conscience que l'occupante de cette chambre venait de lui dire "j'ai trébuché en me levant, dague à la main". Il rangea son sabre et reprit la parole d'un ton moqueur:

"Un conseil, on ne se sert pas d'une dague quand on trébuche".

Il tourna ensuite des talons en rentra dans sa chambre, referma la porte et remit le meuble devant la porte. Il s'allongea ensuite sur son lit, une dague sous son oreiller, l'autre toujours glissée dans sa botte

[Kyuketsuki]

- Merci de votre réaction, j'aurais été bien mal à l'aise qu'on me découvre a nouveau! J'ai croisé cet étrange personnage au rez de chaussée, j'ai écourté ma discretion avec lui quand j'ai eu l'occasion de me faufiler a l'etage.

Daisuke considera a nouveau la Bosmer.

- Pourriez vous également m'apprendre votre identité? A moins que je ne vous dérange et que ne vouliez me mettre a la porte sans plus tarder. Auquel cas je serai obligé d'aller me nourir sans plus attendre autre part.

Il avait ajouté ces dernieres phrases avec un sourire, laissant apparaitre ses dents si typique des créatures de la nuit.

Modifié par Kyuketsuki, 15 janvier 2007 - 22:31.

[Darkeyes]

"Moi? Je me nomme Darkeyes. Mais ne tardez plus en ces lieux, rien que l'idée que vous alliez vous nourrir de quelqu'un d'autre me répugne, mais à chacun sa nature... alllez-vous en maintenant!"

Darkeyes repointa ses lames vers le vampire, le peu d'influance qu'avait le vampire usr son esprit fort avait été rompu.

[Kyuketsuki]

Daisuke tira la reverence a la Bosmer et sorti comme une ombre de la piece. Un fois retourné dans le couloir il ferma discretement la porte et se cacha dans les ombres en attendant de se diriger vers une autre porte.

<Avec tout ce bruit, ça serait un miracle que l'aubergiste ne soit pas alerté, je ferais bien de me faire tel une ombre>

Et Daisuke fit corps avec les tenebres du corridor.

Modifié par Kyuketsuki, 15 janvier 2007 - 22:54.

[Not Quite Dead]

Après avoir fait ses comptes en sifflotant quelques mesures de La Complainte de Solitude, signe chez lui que les affaires avait été particulièrement prospères, Olaf venait de réveiller et de diriger doucement, mais fermement vers la porte son dernier client, Harold Asbjørnson. Du seuil de son établissement, il regardait avec le sourire le pauvre vieux s'efforcer de regagner son domicile, lorsqu'un fracas retentissant le fit sursauter.

Que se passait-il, par les tripes déversées d'Orkey?

Non s'en s'être saisi de la masse d'arme d'acier qu'il conservait sous le comptoir, le tavernier monta quatre à quatre les escaliers. Contre toute attente, les portes des chambres étaient closes et tout paraissait en ordre... Il était pourtant sûr d'avoir entendu du bruit... Etreignant plus fortement encore son arme, il fit quelques pas en avant, dépassant sans s'en rendre compte le vampire tapis dans les ténèbres.

[Darkeyes]

Darkeyes sortit de sa chambre, pour cause étant, un besoin pressant... A peine sortit dehors que l'aubergiste surgit une énorme masse à la main prêt à fendre l'air dans sa direction. Mais celui-ci freina son mouvement à la vue de l'elfe des bois.

"Pourquoi êtes-vous donc si agiter aubergiste? Cela à sans doute avoir avec le bruit? L'homme vétut de noir de la chambre voisine à la mienne n'a pas apprécié un peu de bruit venant de ma chambre, dû à ma démarche maladroite... J'espère que cela ne vous à pas trop effrayer? Bon veuillé m'excuser, j'ai un besoin urgent"

Darkeyes repartit dans le couloir.

[Not Quite Dead]

Confus d'avoir manqué de fendre le crâne d'une cliente, le tavernier marmonna une excuse et glissa son arme dans sa ceinture.

Puis, non sans avoir adressé un regard soupçonneux aux ténèbres, il tourna les talons et regagna son lit, situé au rez-de-chaussée.

[Kyuketsuki]

Dans la noirceur du corridor s'eleva la Silhouette de Daisuke. Sa nictalopie augmentait, ce qui pour l'heure n'etait pas un desavantage.
Quand la Bosmer et l'aubergiste furent partis, il continua ses recherches dans le corridor.

Il évita la porte voisine de celle de l'elfe, sachant quel étrange personnage s'y trouvait.

Il erra donc dans le corridor en épiant les murs jusqu'a ce qu'il lui semble qu'une autre vie fraiche se tenait derriere une porte.

Il réajusta ses vêtements comme a l'habitude

Il l'entrouvrit et se faufila dans la chambre.

C'etait une femme orc d'une laideur effrayante, mais Daisuke, apres ses mesaventures de la soirée, n'allait pas en plus choisir victime plaisante.

Il releva les cheuveux (graisseux) du cou (musclé) de l'orc. Il y planta doucement ses crocs. La victime fremit puis tomba dans un sommeil plus profond encore que celui qui l'habitait aupart avant.

Daisuke satisfait, regarda dans le miroir de la chambre ses traits rajeunir, pendant que sa victime palissait. Peut-être en avait-il prit un peu trop.

Le vampire réajusta sa chemise et sa redingotte, sortit en silence et referma la porte.

Il se sentait revivre , comme a chaque fois...

Il monta sur le toit par une fenetre, afin d'attendre un de ses spectacles favoris, le lever du soleil, maintenant que cela lui était permis.

Modifié par Kyuketsuki, 15 janvier 2007 - 23:49.

[Darkeyes]

Tout ces évènements avaient assé remué Darkeyes mais se rendormit assez rapidement. De la petite fenêtre de sa chambre, elle fut réveillé par les rayons du soleil, qui venait de se levé.
Après s'être préalablement habillé. Darkeyes descendit dans la pièce principale de la taverne voyant le Tavernier, elle dit alors:

"Bonjours Messieur Olaf, je vais faire un tour en ville, je repasserai sûrement pour manger, à plus tard."

Darkeyes se dirigea vers l'entrée puis sortit.

[Kyuketsuki]

Quand la nuit s'emplit de lumiere, Daisuke profita des derniers instant nocturnes, et contempla la disparition de Sécunda. Puis le soleil commença a apparaitre derriere les montagnes qui séparaient Cyrodill de Hammerfell. Il apprehendait toujours un peu l'apparition de l'astre qu'il craignait tant en temps normal, mais finalement, la malediction rendait son du et il pouvait profiter du lever du soleil.

Cepandant, il n'aimait pas la chaleur et l'eblouissement du soleil. Aussi descendit il du toit de l'auberge par l'arriere, se laissant glisser sur les planches lisses du toit de l'auberge, car le sol était un pente, et la chute moins difficile.

Il revint dans la rue et croisa l'elfe qui sortait de l'auberge.

- Bien le bonjour madame, avait vous bien dormi?

Modifié par Kyuketsuki, 16 janvier 2007 - 22:56.

[Darkeyes]

L'elfe des bois venait à peine de sortir de l'auberge qu'un jeune homme l'interpella. D'un air fort interloqué elle hésitat un moment puis après un second coup d'oeil se rendis compte que c'était son agresseur du soir précédent. Avec un sourire hésitant répondit:

"Ha c'est vous... Heu oui... Co..Comment allez-vous?"

Contrairement à la nuit précédente, Daisuke était jeune et agréable au regard, voir même séduisant.

[Kyuketsuki]

- Rajeuni, jeune Bosmere, rajeuni.

Daisuke ria, ses dents étaient encore plus pointues que la moyenne mais rétractées.

- Je rentre a l'auberge, je connais actuellement un sensation qui m'est bien aise. La faim des mortels, meme si apres tout je ne suis pas obligé de la satisfaire, je dois avouer que je n'ai pas eu de bon repas depuis quelques temps. Bonne matinée bosmer!


Daisuke entra dans l'auberge, et avança vers le comptoir comme s'il entrait ici pour la premiere fois.

- Aubergiste, puis-je avoir de quoi déjeuner je vous prie?

Modifié par Kyuketsuki, 16 janvier 2007 - 23:33.

[dur@ndil]

Raspoutine se réveilla un peu plus tard qu'à son habitude, se leva, fit un brin de toilette et nettoya rapidement ses vêtements. Il déplaça ensuite le meuble bloquant la porte et sortit de sa chambre, emportant avec lui sa selle et sa bride.
Il descendit ensuite au rez-de-chaussée et vit l'étrange elfe s'approcher du comptoir et demander à manger.

"Tavernier, vous me mettrez la même chose" fit-il en passant devant le comptoir. En passant derrière l'elfe, il lui glissa à l'oreille :
"Vous avez étrangement rajeuni messire l'elfe, je me demande si c'est bien normal"

Puis il alla s'installer à la même table que la veille au soir et attendit que le tavernier lui apporte son déjeuner.

[Darkeyes]

Darkeyes se baladait dans Bruma, la ville était assé animée. Le ciel venai de se couvrir pour laisser place à une fine neige tombant tel des crystaux blanc. Un tel spectacle était commun pour elle, vivant dans les montagnes... Elle s'arrêta devant une boutique nommée Novaroma. Voyant ses flèches en quantité restreinte elle entra pour tenter d'en acheter.
Une fois à l'intérieur, un homme se tenait derrière un comptoir, s'approchant de celui-ci elle demanda:

"Qu'avez-vous comme flèche en stock? Je n'ai guère énormément d'argent mais suffisement que pour en acheter je pense"

L'homme feuilleta un bouquin puis relevant les yeux répondit:

"J'ai effectivement un arrivage de flèche de fer et elfique qui viennent d'arriver. celle de fer sont à 1pièce d'or à l'uniter et les elfique sont à 8pièces d'or à l'uniter. Mais pour une si jolie femme, je ferait qu'a 5pièces d'or les elfiques."

Darkeyes fouilla sa bourse et compta son or, et regardant le marchand avec sourire repris:

"Hum alors je prendrai 10 elfiques, merci beaucoup pour le rabais."

Elle déposa 50pièce d'or sur le comptoir, le marchand allat chercher dans l'arrière boutique les flèches et le donna à Darkeyes. Après avoir mis celle-ci dans son carquoi, sortit de la boutique tout en remerciant le marchand.

Modifié par Darkeyes, 17 janvier 2007 - 00:10.

[Kyuketsuki]

Daisuke vint se dirigea vers raspoutine, au fond de la salle. L'auberge était encore vide, les autres devaient etre dejà parti, et au moins une personne n'etait pas révéillée...

- J'ai utilisé une très ancienne médecine, adressa-t-il a l'autre.

Le vampire fit mine de vouloir prendre place en face de Raspoutine.

- Puis-je prendre déjeuner avec vous? Il me semble que je vous doit bien ça, étant parti un peu précipitement hier soir, je ne vous dérange pas?

[dur@ndil]

Il n'était pas dans les habitudes de Raspoutine de manger avec quelqu'un quand il pouvait l'éviter, mais aujourd'hui il était de bonne humeur, malgré les événements de la nuit, et il était intrigué par cette soi-disant "médecine ancienne".

"Vous ne me devez rien mais faites donc" répondit Raspoutine en se levant et en montrant une chaise de la main. Raspoutine se rassit mais cette fois le dossier de la chaise entre la table et lui.

Plus Raspoutine y repensait, plus il trouvait ce rajeunissement étrange, tout comme son comportement dans le couloir. Il repensa à ce qu'il avait entendu au coin de certains feux à propos des vampires, créatures qu'il avait toujours considéré comme des légendes où des histoires de vieilles femmes. Il attendit que l'elfe engage la conversation, n'étant pas très doué dans ce domaine et ne voulant pas dévoiler plus de choses que nécessaire à propos de son passé.

[Nito]

Le Froid de cette cité et son caractère "rustaud" n'était pas du gout de l'Elfe, toutefois il était venu étudié quelques ruines anciennes non loin et la perspective de dormir dehors par ce temps ne l'enchantait nullement, ainsi il c'était résolu a chercher refuge dans la guilde des mages locale, afin pourquoi pas d'échanger quelques paroles avec des confrères qui lui semblait toutefois bien médiocre pour la plupart.
C'est ainsi que ses pieds l'avaient menés jusqu'en cette auberge trop miteuse a son gout, il avait bien prit soin de venir en dehors des horaires de fréquentations habituelles pour ne pas être incommodé par la présence de ses bêtes de Nordiques dont l'ignorance n'avait d'égale que l'odeur, et avait choisit une table en retrait de tout, légérement dans la pénombre, ce qui expliquait pourquoi les deux troubles-fêtes qui venaient d'entrer pour perturber sa quiétude ne l'avait probablement par apperçu puisque ils ne lui avait seulement pas jeté une regard.

L'Elfe se contenta donc de soupiré en leurs jetant quelques regards fugace de temps a autre...

[Not Quite Dead]

Après avoir servi à ses clients un solide déjeûner, Olaf s'attribua une autre chope d'hydromel. C'était un remède familial, idéal pour chasser dès le réveil les incertitudes de la veille. Il ne savait toujours que penser du raffut qui avait eu lieu durant la nuit, et entendait bien ne pas en apprendre davantage, pourvu qu'on lui paie son écot et que nul ne se plai...

« Que Malacath te bouffe les tripes, aubergiste merdeux! »

Olaf sursauta en voyant Gurka-gra-Gomoth jaillir des escaliers comme les ennuis d'une cornue d'alchimiste et le saisir par le col avant qu'il n'ait le temps d'esquisser ne serait-ce qu'un geste vers le gourdin salvateur, dissimulé derrière le comptoir. Malgré la taille du Nordique, la guerrière orque le secouait comme un prunier en l'agonissant d'insultes pour le moins pitoresques.

« Gargl! » protesta Olaf qui commençait à manquer d'air « Je... j'ai fait quoi?
- T'appelle ça des lits, fils de porc? Même par terre, on dort mieux! Me suis jamais réveillée aussi fatiguée, foutue merde de gobelin! »

[Nito]

Voila le genre d'événements qui faisaient que Constantin détéstait Bruma ! Une Orque et un Nordique semblant dansé un tango endiablé, si ce n'est l'Aubergiste qui commençait a changer de couleur, l'Elfe aurait surement prit tout cela comme une sorte de...coutume locale peut être ?

Cela dit, si cette brute a la peau verte ne relachait sa prise, le Nordique finirait surement pas rejoindre le tertre de ses ancêtres. Bien que cela ne l'enchantait guère, le mage se décida a intervenir, peut être qu'un peu de diplomatie pourrait calmé l'esprit plus qu'échauffé de l'Orque verte ?

Il s'approcha donc, abaissant sa capuche et posa sa main sur l'épaule de la...hem..."dame".

"Excusez moi Dame Orque...peut être serait il judicieux de relacher ce pauvre homme, m'est avis que l'air commence a lui manquer."

[Not Quite Dead]

Olaf, dont le teint avoisinait déjà le bleu opina des yeux, à défaut de pouvoir le faire du chef.

Dans un grognement, Gurka-gra-Gomoth relâcha sa prise sur la gorge du Nordique qui s'affala sur le sol dans un râle de soulagement.

« Hah! L'a plutôt intérêt à me rembourser, votre copain. » déclara-t-elle au magicien elfe. « Je paie pour dormir; pas pour me lever plus crevée qu'au soir! »

[Nito]

Le Mage gratifia l'Orque d'un sourire approbateur

"Et bien je suis sur que vous pourrez trouvez un arrangement sans arrivé a de telles extremités"

Inutile de précisé que le fait de deviser avec un Orque était pour l'elfe une épreuve, mais il se devait de la surmonté, d'une part cela lui avait permis de faire sa bonne action journalière, d'autre part puisque l'haleine de la créature ne l'avait pas tué, il n'en ressortirait que plus fort !

"Cependant, il faut parfois savoir faire preuve de clémence, nous ne sommes après tout que dans une ville modeste et la rudesse du climat et de la vie se reflete dans bien des choses...jusque dans la literie !"

[Not Quite Dead]

Olaf se sentit vexé par la dernière réplique de ce client providentiel. Ses lits n'étaient peut-être pas les plus propres de Tamriel, mais, bon sang! ils satisfaisaient d'habitude n'importe quel client! Cependant, la gratitude ainsi qu'une gorge encore douloureuse eurent tôt fait de le convaincre de ne pas défendre avec trop d'entêtement son établissement.

Conciliant, il maugréa donc: « C'est entendu: vous serez remboursé. Tenez! Pour se faire pardonner, la maison vous offre le déjeuner, qu'en dites-vous? »

L'Orque demanda avec espoir: « Y a du cheval au menu?
- Heu... pas au déjeuner, non.
- Du sanglier alors?
- Je m'en occupe, asseyez-vous là-bas. » soupira le Nordique qui avait eu un aperçu de l'appétit de sa cliente la veille lorsqu'il s'agissait de viandes.

Et il se dirigea vers la réserve pour y récupérer de quoi apprêter le repas de l'orque, non sans remercier au préalable l'elfe pour son intervention.

[Nito]

L'elfe adressa un signe de tête a l'aubergiste.
Puisque l'Orque était calmée, peut être pouvait il a présent esperé un peu de calme, bien que la taverne ne soit plus tout a fait deserte !
Il soupira toutefois, pensa qu'une fois encore, la malséance prenait le pas sur les règles de la civilisation, il suffisait que le plus fort hausse la voix pour obtenir gain de cause.

Il trouva néanmoins la réaction de l'aubergiste plutôt intelligente, inutile de recevoir les foudres de cette orque qui pouvait causé ici plus de dégats que ne lui en couterait le remboursement de la chambre.

"Bien, je suis heureux que nous ayons résolu cette épineuse situation, si vous voulez bien m'excusez"

lacha t-il a l'intention de l'orque tout en inclinant legerement la tête pour prendre congé

[Kyuketsuki]

Daisuke sourit sicretement de l'orque. Puis il regarda son interlocuteur.

- Les Orques sont de fascinantes créature n'est-ce pas?

Puis apres avoir jeté un coup d'oeil a la salle, il regarda plus serieusement Raspoutine.

- Je n'ai pas daigné me presenter la derniere fois. Je suis Daisuke, on me dit errant, mais pourtant je suis à la table des plus grands, on me dit voleur, mais je suis plutot un chasseur. Qui suis-je?

Il s'approcha de Raspoutine.

- Je doute que vous n'en ayait pas une idée.

[dur@ndil]

Raspoutine avait été à deux doigts de lancer son couteau vers l'Orque lorqu'elle avait demandé s'il y avait du cheval au menu, ne supportant pas les barbares qui mangeait la viande d'un animal si précieux à ses yeux.
Il avait cependant réussi à se contrôler, conscient que cela ne ferait qu'empirer la situation, conduirait sans aucun doute à un combat, combat dont l'issue semblait déterminée d'avance mais qui nuirait grandement à son besoin de discrétion.

Il se tourna vers le nommé Daisuke, un léger sourire au coin des lèvres.

"A vrai dire, j'ai bien ma petite idée sur le sujet. Mais cela ne me dérange pas outre mesure tant que vous ne vous en prenez pas à moi."

Son regard se fit dur, contredisant son sourire.

"Si c'était le cas je serai dans l'obligation de vous tuer, je vous préviens tout de suite..." il acheva sa phrase à voix basse "... messire le vampire."

Il ne s'était toujours pas présenté et n'avait pas spécialement l'intention de le faire, sauf s'il le fallait vraiment. Il attendit une quelconque réaction de la part de son interlocuteur.