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[H]Chronique d'un paladin


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2 réponses à ce sujet

#1 Templatre

Templatre

    somnifere ambulant


Posté 12 février 2005 - 16:18

Chronique d'un paladin
Ier partie: naissance d'un paladin

An de grace 1830 de l'age de la lumière, moi, frère Dombarald Desthryon vais vous conter ma vie de paladin au service de l'ordre de Damtor.

J'avais 12 ans lorque je vit pour la première fois un de ces chevaliers, ce fut après la bataille de la gorge de Datelryand, connue pour son massacre de Bormak, monstre au combien sanguinaire. Ils aimaient par dessus tout chose massacrait les pelerins qui se dirigaient vers la ville sainte de Damtor. Ce guerrier mystique, m'impressionna a tel point que j'eu l'audace de m'approcher de lui. J'appris plus tard qu'il aurai du me tuer, les paladins de l'Ordre de Damtor vont vers leur membres et pas l'inverse, mais celui ci, sans doute intrigué par ma folie ou mon courage décida de m'écouter, et il a bien fait.

Nous avons discuter de nombreuses heures, ses frères d'armes étant soignés dans notre petit village. Notre discussion m'amena à lui demander quel sorte de soldat il était; la question l'intrigua. D'après lui, très peu de monde ignorait ce qu'était un paladin, il commenca a m'expliquer ce qu'il en retournait, je sus de suite que tel était ma destinée; être paladin.
Il me fit remarquer que même si je voulais faire partie de cet ordre, je ne pouvais pas choisir cette voie sans l'accord préalable d'un frère, il décida, mais je ne le sus que bien après, que pendant notre discussion il allait me tester. A mon avis, j'ai du réussir son test.
Le lendemain matin, il vint annoncer a mes parents que je partait avec lui au krak de l'Ordre, il avait decelé en moi cette grace si particulière à cet caste, mes parents furent heureux, mais triste aussi, je les quittaient a 12 ans pour ne jamais les revoir, ils allaient mourrir dans un raid de Bormak, 4 ans après mon départ.

Le voyage jusqu'au krak de l'Ordre dura 2 semaines, période durant laquelle mon futur maitre commenca ma formation: épée, maniement du bouclier et endurance. Cela ce déroulait surtout durant le repas du soir, le reste de la journée il m'enseignait la doctrine de l'Ordre, lorsqu'il m'en jugea digne, il me révéla son nom; prince de L'Ordanem, Fogondar de L'Ordanem.
Le plus vieux royaume attaché a l'Empire des Alfondaris. Je n'aurais jamais pensé même dans mes rêves les plus fous avoir comme maître un prince. Cela me gonflait d'orgueil, mais me térifiait aussi, je n'avait pas le droit de le décevoir.

Après ces 2 semaines de voyages, tôt le matin, le krak de l'Ordre fut en vue, la taille du chateau me subjugua, jamais auparavant je n'avait vu un tel chateau, en fait je n'en avait jamais vu un de toute ma vie. Les gardes de faction saluèrent mon maître d'une façon un peu bizarre, ils ne le saluaient pas comme les autres paladins, ils devait être d'un plus haut grade qu'eux. Ce qui était effectivement le cas, il etait chef d'une Fondarelm, un regroupement de paladin au sein du chateau, il ne commandait pas la meilleure, mais ces membres faisaient partit des meilleurs hommes de l'Ordre.
Après que l'ont pris soin de ses frères blessés, il me mena vers le chef de l'Ordre, l'Archiprimarque Gomabarald de L'Ordanemdess. Ancien Empereur de l'empire des Alfondaris. Moi un fils de paysan, présenté devant l'ancien empereur, je dois dire que j'en tremble encore, mais lui je le connaisais; d'ailleurs qui n'en avait pas entendu parler.
Le plus grand guerrier de l'empire, retiré dans un ordre de preux chevaliers, et aujourd'hui je lui suis présenté. Je lui ai de suite plus, il confirma mon maître dans sa position. Il me formera.
L'Archiprimarque déclara que nous nous reverrions plus tard; quand j'aurai progresser. Mon maitre me montra mes quartiers, réservés aux nouveaux arrivants dans mon cas, une trentaines de jeunes apprentis y étaient déjà, ils me firent un excellent acceuil, de tout ceux qui étaient la, je suis le seul vivant aujourd'hui, bien des guerres et des batailles m'ont fait perdre mes amis.

Mais tel étaient notre destin. Après être installé dans mes quartiers, qui se résume plutôt à un dortoir, Frère L'Ordanem m'ordonna de le suivre, nous allions voir si l'armurerie disposait d'un équipement à ma taille. Ce fut le cas, après m'avoir montré comment m'équiper, il me dit de tout enlever et de recommencer, encore et encore, je devait m'habiller vite et bien, et ce n'importe quand et n'importe où. A la fin de la journée j'arrivais a m'équiper et à me desequiper assez vite pour que j'aille manger et dormir; j'était épuiser par cette journée, l'armure pesait très lourd, je ne l'imaginais pas comme ça, mais Frère L'Ordanem me dit que l'habitude viendrais.

Le gruau que l'on donnait a la cantinue ne valait pas les plats fait par ma mère, mais cela permettait de faire ce qu'attendait de nous les instructeurs. Après le repas du premier soir, abrutie de fatigue, je me dirigeais vers le dortoir lorsque mon maître vient me rattraper, il me disant que même épuisé, je devais participer aux prières du soir. Là, l'Archiprimarque dit avant de commencer la prière que nous avions un nouveau frère; moi. Juste après, la prière commenca, j'eu l'impression qu'elle durait une éternité, je ne me couchais pas mais me jeter sur mon lit, mon maître me dit de bien profiter de ce repos car demain serait encore plus dur comme journée, et elle le fut.
Jamais je ne connu pire, même au plus fort des combats. L'entrainement consista à m'entrainer a la course en armure, chose qui ne se faisait pas chez les paysans. Je devais enchainer les tours de cours d'entrainement les uns après les autres, heuresement que mon maître n'était pas loin de moi, je courrais avec une veste de cuir, lui me suivait avec son armure de plate.
Je me demandais comment il faisait. A la fin de la matinée, je ne pouvais plus avancer, il eu pitié de moi, puisqu'il se contenta de m'entrainer a l'épée; ils m'appris diverse feintes et attaques, le tout en utilisant mon bouclier pour approcher ou me protéger.
Lorsque je fit une pause, je vit les autres élèves en train de faire la même chose mais avec des boucliers d'acier, alors que le mien n'était que de bois, je commencais a comprendre l'intéret d'un tel entrainement. Mon maître m'expliqua qu'au combat, l'entraînement prend toute son importance, c'est la ou l'on voit que les mois d'entraînement paient. J'ai très vite compris que l'entrainement me permettrais de survivre dans un combat, et je me mis en tête d'être le meilleur dans toute les disciplines, ce que j'arrivais a faire après plusieurs années de travail et de labeur.

La première année passa vite a ce rythme, et a la fin de cette année, la cérémonie de l'Altazar ou je fut reconnu comme paladin novice, je recu a cette occasion ma première armure en acier, je portais toujours ma veste de cuir cloutée, avec cette armure un bouclier avec les armes de l'Ordre. J'en fut très fier, peu de novice avait l'honneur de recevoir un tel cadeau, surtout a la fin de sa première année.
A partir de la, tout changea, je rejoignit ce soir la le dortoir des novices, abandonnant celui des apprentis. L'entrainement s'intensifia de la même manière, levé plus tôt et couché plus tard, nous devions en plus trouver notre voix dans le domaine de la magie. Pour ma part, les frères me trouvèrent une bonne maîtrise des arts de guérison, je devint donc a partir de ce jour un frère guerrisseur. Mes amis ayant des donts pour la magie de destruction, ou de détection, mais notre puissance étaient bien inférieure a celle de mage. Cependant durant un combat, nos sorts pouvaient sauver des vies, et cela influence forcément dans une bataille.
Anciennement " Lancelot " mais trop cucul !

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Templatre

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#2 Templatre

Templatre

    somnifere ambulant


Posté 20 février 2005 - 16:42

IIeme partie : découverte d'un paladin:


-Bien, reprenons Darald.

-Oui messire nous en étions rester a votre entrainement lors de votre première et deuxième année.

-Ah oui, éxact, alors comment reprendre correctement?

-Je ne sais pas, raconter comment vous avez vécu ces autres années ou alors des combats, si vous en avez eu, bien sur.

-Je sais. Aller note:

Mes deuxièmes et troisième années ce passerent commes les autres, une suite ininterrompus d'entrainement. Augmentation de notre force physique, mentale. Dévotion diverse et varie, apprentissage des prières communes, choix d'une classe particuliere de paladin. Notre Ordre à de cela de particulier que les paladin sont divisés en caste, plus ou moins nombreuses. Chaque caste dispose d'une mission spécifique, celle que j'ai choisi était de chasseur de démon. A ma plus tendre époque, des demons circulaient plus ou moins librement dans notre monde, les nécromanciens étant particulierement virulent. Nous avions pour tache de les traquer sans relache, mais cela pour l'instant je ne pouvais que l'imaginais.


J'avais 14 ans lorsque je choisi cette voix, et je l'ai choisi de ma propore volonté. Dans l'ordre, la caste des Aldras, les chasseurs de démons si tu prefère est la moins nombreuses. En effet, nous ne sommes pas beaucoup aimés par le peuple, mais cela, nous n'en avons cure. Notre mission première étant de traquer toute chose non-vivante

-Et il y a 60 ans, il y en avait beaucoup, tu peut me croire, mon cher Darald. Bien, évitons de s'égarer.

Je disais donc, que j'ai choisi de devenir un chasseur de démons. Nos deux premières années, notre entrainement nous avaient considérablement murri, et renforcer dans notre foi de l'Ordre et du devoir. Et c'est avec une joie peu commune que j'entrais dans cette caste. A 14 ans. Ma vrai formation de paladin commencait à ce moment. Découverte des runes de protection contre les différents sorts de nécromancie, les divers types de démons présents dans le monde, les divers facons de les tuer. Une année rien que dans les livres. A coté de cela, nous apprenions des enchantements d'armes, même s'il n'était pas des plus puissant, juste quelques minutes, ils pouvaient nous aider à renvoyer un démon. A 15 ans, donc, je recevais la permission lors d'une cérémonie interne à la caste, de commencer a faire les premières patrouille avec les frères, mais il me fallait un cheval. L'écurie du krak étant particuièrement bien fourni en chevaux, on me trouvait une monture digne d'un Aldras.

-Quel type de monture était ce, maître? Jimagine que les démons ne sont guère jolie a regarder.

-Tu as raison, la monture idéal pour un chasseur de démon, est un cheval qui lors du dressage est reste calme, et en fait impassible même lorsque les dresseurs on tout fait pour l'enerver. Ce type de cheval est très rare, mais si les dresseurs si prennent bien, une monture normal peut devenir un bon choix pour un chasseur de démon.

-Etiez vous content du votre ?

-très content, nous sommes rester ensemble .... 12 ans, jusqu'a ce qu'un démon viennent le tuer, il n'a pas profiter bien longtemps de sa mort, je l'ai tuer peu après.

-Je suis désoler de vous poser ces questions, mais elles me permettent de mieux comprendre votre récit.

-Il n'y a pas de mal, continuons.

Ma seizième année se deroula paisiblement, les attaques de démons n'étaient guere courant a cette époque, nous ne faisions que patrouiller dans la région avoisinnante, pour protéger les habitants des éternels pillards. Nous avions droit a de petites escarmouches, deci dela, pas de quoi rentrer fatiguer le soir. Peu de temps après mes seize ans, un messager venant de la cour impériale arriva au chateau, j'était de garde se soir là, à la porte principale, il m'a demander les quartiers de l'Archirpimarque. Au vu de sa livrée, la garde personelle de l'Empereur, je les lui indiquer, et lui proposer même un guide s'il voulait. Il a refuser, disant qu'il était pressée et que son message ne souffrait d'aucun délai. A voir l'état de sa monture, il avait du parcourir la distance du relais "des 3 hommes" au krak d'une traite, une chance que son cheval ne soit pas mort sous ses jambes. Après lui avoir indiqué la direction de son bureau, il y partit a fond de train. Le palefrenier qui s'occupa de son cheval, m'a avoué que celui ci n'aurait pas pu aller plus loin.

Le messager resta quelque temps dans le bureau de l'Archprimarque, la rumeur d'un message faisant parti de la garde rapproché de l'Empereur c'était vire répandu, une bonne centaine de soldats etaient massés a proximité des appartements de l'ancien Empereur. Après une discussion rapide, le message ressorti et exigea une monture pour repartir vers la capitale. Elle lui fut donné, et il repartit sans dire un mot.
Après cela, L'Archiprimarque sortit de ses appartements et demanda si un Aldras était devant lui, étant le seul de la caste, je sortit des rangs et déclinait mon identié, Il m'ordonna d'aller reveiller de suite mes frères, et mon supèrieur, le frère Fogondar de L'Ordanem. Il voulait nous parler de suite. Je m'executais, et partais au pas de course vers le dortoir. Une fois a l'intérieure, une cloche me permit de réveiller tout le monde, je leurs expliquaient rapidement pourquoi je les tiraient du lit. Quelques minutes plus tard, les 50 frères des Aldras étaient devant l'Archprimarque.

-Pour quel raison vous a t'il fait venir en pleine nuit ?

-J'y vient, ne t'en fais pas.

Il nous expliqua que l'Empereur avait eété victime d'une tentative d'assassinat, perpétué par un démon majeur. Il n'avait pu être repoussé qu'avec de lourde perte de sa garde rapproché, des mages étant dans les jardins impériaux ayant achevés le démon. Il exigé sur le champ l'envoi de la caste anti-démons, et ce avec ou sans le consentement de l'ancien Empereur. Il ne pouvait pas se défiler, nous partirions le matin même, et nous devrions faire dilligence pour être a la cite Impériale dans les plus bref délais. Je dois dire que je ne pouvais pas me résoudre a dormir après une telle nouvelle, moins de quatre ans après mon arrivé dans l'Ordre, j'allais voyager vers la Cité Impériale, si mes parents s'avaient ça. La nuit paru courte est en même temps très longue, le temps peut être tellement bizarre suivant les situations. Mais toute chose a une fin, et celle de la nuit fini par arriver, les 50 Aldras preparaient febrilement leurs équipement, nous ne devions manquer de rien sur le trajet, car nous ne suivrions pas les trajet balisés, nous allions couper a travers forets, champs. Alors que nous allions partir, un messager arrive porteur d'une demande de troupe pour le village de Blodarem, mon village. Je me dirgeais vers le messager avec une certaine inquiétude, que c'est il passé chez moi ?

Le messagé n'etait pas porteur de bonne nouvelle, un nouveau raid de Bormak avait eu lieu, et mon village etait complètement rasé, tous les habitants avaient été massacrés, il n'y avait pas un survivant. Ainsi, je ne reverrais jamais plus mes parents, plus rien ne me retenait, a part ma dévotion et fidélité envers l'Ordre et l'Empire. On ne me laissa guère de temps pour pleurer mes parents, le départ fut un peu retardé pour que je puisse leur adressé une rapide prière. Mais la volonté de l'Empereur fait force de loi, on ne peut retardé une mission parce qu'un membre de l'Ordre a perdu sa famille, je mis de côtè mon chagrin et mes pleurs pour ne plus penser qu'a une chose, mon but. Tuer des démons, et j'allais pouvoir voir si mes 4 ans de travail n'auront pas étaient vains. Le voyage dura 2 longues semaines, la ou nous nous arretions pour panser les chevaux, les palefrinier nous disaient que le messager envoyé par l'empereur avait plusieurs jours d'avance sur nous. Ils fallait nous presser.

Après presque une semaine de voyage hors des sentier battus, nous arrivames en vu de la Cité Impériale, la grande capitale D'Alnar. Le krak m'avait déjà impressioné par ces dimensions, mais il semblait petit comparé a la Cité Impériale, une enceinte de pres de 30 metres de haut, un premier cercle, uniquement des terrains de manoeuvres pour les troupes d'élites de l'Empire, des casernes. Une seconde muraille plus haute que la première, et encore plus épaisse, en passant sous la porte, j'ai vu que 6 a 7 hommes pouvaient se tenir côte à côte sur la muraille. La basse cité, zone ou l'on retrouve les habitations des citoyens, les principaux marchés, les armureries pour les gardes, et les armes de parades, les halles commercantes. La rue principale ou nous étions était surchargés par de nombreuses charettes de toute sortes, mais nous avancions quand même. Après une remonté fastidieuse de la basse cité, une nouvelle muraille, la derniere avant le bastion central. Cette porte ouvre sur la haute cité, zone d'habitation ou se coitoit les nobles, les pairs d'empire, les chambellans, les Archimages d'empire, les hauts fonctionnaires ....

Chaque maison débordant de plus de décoration que la voisine, chacune essayant de ce démarquer de l'autre par un morceau de construction invraisemblable, ce qui rend l'avenue assez bizarre. Nous arrivons enfin au bastion central, forteresse et palais de l'Empereur, je ne sais comment décrire une telle forteresse. les mots me manque, quoi su'il en soit, après les formalités d'usage a l'entrée et après avoir exiber notre ordre de mission daté et contre signé par l'Empereur en personne, les gardes a l'entrée ne pouvait que nous laissait passer. Nous n'avons pas attendu bien longtemps avant que sa Majesté nous recoive.

-Vous avez vu l'Empereur ?

-Oui, mais de loin, seul mon maître l'a vu de près et lui a parlé, nous nous étions en bas du trône, et nous étions tête ployés. Nous n'avaons pas pu suivre la discussion, mais elle a duré une bonne demi heure.

-Qu'est ce que l'empereur a dit a votre maître ?

-Nous ne l'avons jamais su, mais nous pouvions le deviner, sa Majesté avait remis, et ça nous pouvions le voir, un anneau, porteur des armes de sa garde, en bref, Il nous octroié les pleins pouvoir dans la chasse aux démons.

-Qu'avez vous en suite ?

-Cela je te le dirais demain, je suis fatigué, et puis il est tard, je dois me coucher.

-A vote guise, a quel heures reprenons nous demain ?

-je viendrai te chercher, ne te fais pas de souci.
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#3 Templatre

Templatre

    somnifere ambulant


Posté 30 mars 2005 - 18:33

Chapitre 3 : Chasse aux démons
1er partie : l'enquête



-Darald, ou en étions nous rester hier ?

-Et bien, a l'entrevue avec l'Empereur.

-D’accord.

Après que mon maître eu parlé avec lui, nous repartîmes de la cité impériale. En chemin, mon maître nous expliqua brièvement notre future mission. L’attaque d’un démon majeur dans l’enceinte de la cité impériale démontré que quelqu’un voulait tuer l’Empereur.
Or, pour qu’une personne en arrive à cette extrémité, les griefs qu’ils lui portaient devaient être très important. L’Empereur ne savait pas qui pouvait l’attaquer, et notre but, était justement de trouver qui.

-Comment avez vous trouvez cette personne ?

-Mon maître pensait que seul une personne se pensant injustement spolié malgré de bon et loyaux services, et disposant d’une possible vue sur le trône pouvait entreprendre une telle manœuvre. Ce qui était justement notre cas.

Dans le sud, l’empire était en guerre contre le royaume des Alzader, et face a ses troupes, nous avions le duché de Koldriem, et le duché de Goldraf. La guerre, qui en fait n’en était pas une au sens propre du terme puisqu’il n’y avait pas de bataille rangée, était plutôt du style guérilla. Les deux duchés en souffraient, tous les paysans aux frontières étant constamment attaqués par des bandes de pillards. Mon maître pensait donc que l’un des deux duc pouvait être à l’origine de l’attaque du démon.

-Mais pour appeler un démon majeur, il faut un nécromant démoniste, hors c’est extrêmement rare comme profession parmi ceci. Comment est ce possible ?

-Si l’on met le prix, tout est possible.

-De quel prix peut on parler, ici ?

-D’objet de puissance. Pour un nécromant, je dirait un grimoire ancien, ou alors un bâton de liche.

-Mais de tel objet, sont …. très rare, en lui-même l’objet vaut plus que tout ce pourquoi la personne concernée fait le travail.

-Nous nous égarons, là, Darald.

-C’est vrai, excuser moi.

Mon maître pensez donc que l’un des deux duc était responsable de l’attaque, le seul problème, c’est que nous pouvions pas nous présenter a ces deux personnes en disant tout simplement que l’on enquêter sur l’attaque. Mais d’un autre cote, l’attaque contre l’Empereur n’était pas passer inaperçue, une bonne partie de l’empire était déjà au courant. Quand au commanditaire, il devait s’avoir que son attaque avait échoué. Mon maître choisi de ne pas faire dans le détail, si l’un des deux ducs apprenait notre arrivée, il est fort possible que ce dernier préférerait sans doute fuir. Ce fut le cas. Le duc de Goldraf était parti quand nous arrivâmes en vu du château. En fait, il n’y avait plus personne dans le château. Enfin, plus personne de vivant. Le pont-levis était abaissé, la herse quand a elle, relevé. Nous reçûmes l’ordre de nous déployer. Lorsque nous fumes rentrer, la seule chose visible dans toute la cour, était un amoncellement de cadavre. Mais une chose était bizarre, c’est qu’ils avaient l’air vivant.

Nous étions tous rentrer dans la cour du château, lorsqu’un bruit se fit entendre dans notre dos. La herse venait de tomber, nous enfermant dans une cour remplis de cadavres qui commençaient, eux, à se lever. Nous vîmes de suite le danger, les servants et servantes ne poseraient sans doute aucun problème, mais il y avait des gardes parmi eux, et sans doute des archers sur la muraille. Mon maître ordonna à 10 hommes de monter sur la muraille et de chercher tout archer. Pendant ce temps, dans la cour, des morts vivants arrivaient de toutes les portes du château. Le Duc avait fait exterminer tout ses gens, sans doute l’œuvre du nécromant. Deux hommes partirent pour voir si la herse pouvait être relevée mais vu la vitesse a laquelle ils revinrent, on en déduis que cela était impossible pour le moment. Ils se dirigèrent vers mon maître :

-Seigneur L’Ordanem, tout le châteaux parait mort, nous n’avons pas pu atteindre le mécanisme de la herse, il y avait un sort de destruction nécromant, nous n’avons pas les connaissance magiques pour le détruire.

-Nous nous en occuperons après.  Tout le monde, pied a terre, laisser vos chevaux près de la herse, préparez vous a combattre.

50 hommes contre un château. Mais nous avions un avantage, les morts ce déplace moins vite. Malheureusement, ils sont plus résistants. Nous établîmes rapidement un cercle défensif, nous entendions les 10 hommes se battrent sur les remparts. Maître Fogondar envoya 5 hommes de plus sur les remparts, nous voila à 35 face a presque 200 morts vivants. Les servants ne pouvaient rien faire avec leurs simples mains, comme nous étions en armure lourde. Les hommes d’armes nous posèrent plus de problème.

Au premier abord, ils semblaient être comme tous les ressuscites, lents et bêtes, mais nous nous sommes sites rendues compte que le nécromant les avaient rendus beaucoup plus rapide et intelligent que le premier abord laisse supposé. Et c’est sans doute la ou nous sommes trompes, nous pensions avoir affaire a des revenants tout ce qu’il y a de plus courant, mais lorsque ces derniers commencèrent a nous attaquer, nous avons de suite compris notre erreur. Nous avons perdu 4 frères lors du premier assaut. Décapités. Nous avons tous réagis de la même manière, une rune de protection magique, et un enchantement de nos armes. Il ne nous restait plus qu’à venger nos frères tombés.  Le nécromant avait bien prépare l’attaque, nous étions gênés par tous les servants.

A partir de ce moment, je ne peut que raconter ce que j’ai vécu, nous avions en moyenne pas loin de 10 a 15 morts vivants minimum pour chaque frère, regarder un peu trop longtemps ce que faisaient les autres équivalait a un suicide. J’eu de suite 2 hommes d’armes qui m’attaquèrent de front. Le premier porta un coup d’estoc que j’eu du mal a paré, le deuxième porta un coup de taille la ou je n’était plus protéger par mon bouclier. Je reculais d’un coup, la lame laissa une éraflure sur mon plastron, mais le coup était rate. Je contre attaquait de suite. Je visais le soldat qui m’avait porte le coup de taille, comme il avait du ce baisser, il était vulnérable. Mon coup d’épée lui fracassa le crâne.

Le deuxième quand a lui me porte un deuxième coup d’estoc, mon bouclier étant bien place, il ne me fit rien, sa tête finie par terre juste après son coup. J’avais a peine fini mes 2 premiers revenants, que d’autres arrivent, pour le moment il s’agissait de serfs, qui n’était pas armé, mais je restait prudent. Mon premier enchantement arrivait a son terme, j’en relançais un, je profitais de ce moment de calme relatif pour observer ce qui ce passait autour de moi. Les cadavres de revenants commençaient à s’entasser devant mes frères paladin, quand à mon maître, il se permettait même d’avancer dans la masse de morts vivants. Pour le moment la bataille commençait bien.

Pendant ce temps, dans le donjon du château.

-Seigneur Duc, les paladins massacrent vos anciens serfs.

-Aucune importance, nécromants. Vos créatures les réduiront en miettes j’espère.

-Ce ne sont pas des paladins normaux, Seigneur. Je pense que l’Empereur a fait appel au Aldras, et si je ne me m’abuse, l’ancien empereur est peut être parmi eux.

-Quoi, le prince de L’Ordanem est parmi eux !

-C’est possible, mais a cette distance je ne saurait être précis sur ce point.

-Pouvez vous vous éloigner des vos créatures ?

-Non, je suis déjà à la limite, si je pars, elles tomberont en cendre. Et c’est sans doute pour cette raison que les paladins en ce moment essayent de briser les lignes de mes morts vivants. Je peut essayer des les retarder encore un peu, mais s’ils utilisent des armes enchantés, je n’ai sans doute pas beaucoup de chance de les retenir.

-Faites ce que vous pouvez, je vous paye assez cher.

Le prince avait donne l’ordre d’essayer d’avancer. Il avait pu le donner après avoir repousse la quatrième vague d’assaut. Il nous dit que le nécromant devait être dans le château, sinon il ne pouvait pas contrôler ses créatures, nous devions avancer et bousculer les morts vivants. C’était plus facile à dire qu’à faire, ils se battaient bien et ne reculait pas d’un mètre.  Apres une heure de combat, la cour était nettoyée de tous les morts vivants qu’elle pouvait contenir. Les 15 hommes sur les murs avait eu a faire a fort partit, de nombreux archers et guetteurs étant morts dans les tours. Ils avaient sans nul doute éviter un massacre dans nos rangs, du fait de la position surplombante des archers. Avec les 4 hommes morts lors du premier assaut, nous avions a déplorer 6 autres morts, et pas loin d’une bonne dizaine de blessés, mais comme nous étions plusieurs frères guérisseurs, ces derniers furent rapidement sur pied. Mon maître alla voir ensuite la rune qui protégeait la herse, il réussit à la détruire après plusieurs essais.

-Seigneur Duc, les paladins ont écrasés mes forces dans la première cour, ils ne tarderont pas à arriver. Vous devriez partir, il me reste assez de force pour les ralentir dans les couloirs. J’arriverait a me sauver, ne vous en faite pas, nous nous retrouvons au point de rendez vous.

-Bien sur, je vous attendrai 3 jours, pas un de plus. Ne soyer pas en retard. N’oubliez pas ce que je vous ai promis si ça marche.

-Je ne raterai ça pour rien au monde Seigneur. Aller, fuyez, ils pénètrent dans la deuxième cours. Je n’ai qu’une vingtaine de squelette, cela ne fera que les ralentir tout au plus.

Les paladins avançaient doucement. La herse avait était relevée, et 10 hommes garder l’entrée. Les squelettes dans la deuxième cours apparurent alors aux paladins. Mon maître donnait des ordres pour que tout le château soit nettoyé de ces choses :

-Ils ne sont pas nombreux, écrasez les, et trouvez moi leur maître !

Les squelettes ne durèrent pas longtemps, les enchantements et les runes permettant de les écraser. La petite troupe avancait vite, plus ils se rapprochaient du donjon et plus les dernières forces maléfiques présentes devenaient puissantes.

-Le nécromant est dans le donjon, il doit sans doute se trouver en haut, s’exclama mon maître. Qu’est ce que c’est que cette odeur ?

Un des paladins eu le temps d’hurler ce que c’était avant de se faire repousse contre un mur.

-Une liche !
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